Moteur paradoxal

Bonjour,

Je suis l’auteur d’un essai philosophique sous forme d’e-book (gratuit), intitulé « Moteur paradoxal », disponible chez les plus grands distributeurs du web (Fnac, Amazon, Google,…).

Ce livre numérique a un blog équivalent : moteur-paradoxal.webnode.fr

Ce blog est transgressif. Non pas d'un point de vue moral, mais plutôt d'un point de vue causal : il est susceptible de casser quelques rêves.

Il s'adresse à des esprits critiques qui ont fait le tour des questions fondamentales sans jamais avoir trouvé l'offre intellectuelle susceptible de les satisfaire vraiment.

Vous-êtes-vous déjà posé la question : comment puis-je percevoir la couleur rouge alors que la physique et la chimie ne les contiennent pas en soi ?

Ni l'onde électro-magnétique (la lumière), ni le photorécepteur (votre œil), ni le flux nerveux (votre cerveau).

On vous dira que la couleur n'est qu'une interprétation, un rêve irréel, une conception irrationnelle.

Mais ne pensez-vous pas que ce chapeau est un peu petit pour un si gros lapin ?

La couleur, comme l'ensemble des sensations et perceptions (en tant que telles), ne relève-t-elle pas plutôt d'une rupture ontologique, d'une modalité d'existence différente ?

A l'évidence, ce n'est pas le "quoi" mais le "qui" qui vous répondra.

La couleur, entre autres conscientisations, n'est pas un "quoi", mais un "qui" dont je vous parlerai dans mon blog.

Pour mieux savoir à quoi vous attendre, faisons une introduction flash :

_ Vous ne pouvez mécaniquement pas douter de votre propre véracité, c'est-à-dire votre sensibilité au vrai, parce que c'est elle qui dimensionne votre faculté de croire.

_ Vous ne pouvez mécaniquement pas réprimer votre volonté, sauf à vous animer d’une volonté transcendante : exception confirmatoire.

_ Vous ne pouvez pas dénier votre réalisme (à ne pas confondre avec "réalité") puisqu'il fonde le spectre exclusif de votre expérience.

Ce sont ces trois dimensions primitives qui fondent la grammaire de votre conscience.

Leur exclusivité (toujours vraie, réalité d'une accélération maximale) exprime l'immanence du moteur paradoxal.

Parce qu'in fine, vous ne pouvez pas vous administrer votre propre mal, sauf à lui reconnaître un bien transcendant.

La dimension du bien, de votre bien propre, vous est donc matricielle, maternelle.

Cordialement, Fraction

Jeovah ? Moon ? Scientologie ? Bah c'est con, trop tard pour moi, j'ai acheté du mandarom la semaine dernière...

A part ça, le spectre electromagnétique dans le visible ne contient pas le rouge ?

Regarde un peu mieux, mdr, vers les 650 - 700 nm...

Allez, basta Skippy le grand gourou...

Aucune de nos perceptions ne montre la réalité puisque c'est notre cerveau qui forme les représentations. Il est difficile d'admettre que quand un arbre tombe dans la forêt et s'il n'y a personne pour l'entendre, le bruit de la chute n'existe pas.

Le sujet auquel la couleur et l'image sont inhérentes n'est point l'objet ou la chose vue. Il n'y a réellement hors de nous rien de ce que nous appelons image ou couleur.

 T. Hobbes

Il y a 16 heures, Fraction a dit :

 

Il s'adresse à des esprits critiques qui ont fait le tour des questions fondamentales sans jamais avoir trouvé l'offre intellectuelle susceptible de les satisfaire vraiment.

Excellent. Notre discipline se doit de répondre à la demande du marché. D'ailleurs, je crois que l'avenir appartient aux philosophies sur mesure, où le philosophe sera appelé à développer une philosophie adaptée au consommateur, à partir de ses préférences idéologiques.

Aucune de nos perceptions ne montre la réalité puisque c'est notre cerveau qui forme les représentations. Il est difficile d'admettre que quand un arbre tombe dans la forêt et s'il n'y a personne pour l'entendre, le bruit de la chute n'existe pas.

Le sujet auquel la couleur et l'image sont inhérentes n'est point l'objet ou la chose vue. Il n'y a réellement hors de nous rien de ce que nous appelons image ou couleur.

Bonjour,

J’ai tenté de vous faire envisager une rupture dualiste.

Dès lors que cette rupture est conçue, peut se poser la question de la position du curseur : du monisme de la matière au monisme de l’esprit.

Plus le média (le rouge ou autre perception) est plastique, dimensionné et autonome, plus le curseur peut se déplacer vers le monisme de l’esprit.

Pour qu’enfin, dans mon essai, le médiatique se substitue au physique.

Cordialement, Fraction

>Excellent. Notre discipline se doit de répondre à la demande du marché. D'ailleurs, je crois que l'avenir appartient aux >philosophies sur mesure, où le philosophe sera appelé à développer une philosophie adaptée au consommateur, à partir de ses >préférences idéologiques.

Bonjour,

L’association entre philosophie et consumérisme n’est évidemment pas exclue : la formalisation du vrai de l’émetteur est censée répondre à un appétit donné du récepteur.

Mais je nuancerai ce propos en déclarant que lorsque la volonté fait ingérence envers la raison, elle devient perverse.

Et l’on finit par croire ce qu’on veut.

Cordialement, Fraction

>Jeovah ? Moon ? Scientologie ? Bah c'est con, trop tard pour moi, j'ai acheté du mandarom la semaine dernière...

>A part ça, le spectre electromagnétique dans le visible ne contient pas le rouge ?

>Regarde un peu mieux, mdr, vers les 650 - 700 nm...

>Allez, basta Skippy le grand gourou...

Bonjour,

Le mot « gourou » a une connotation institutionnelle, communautaire, associative, …

Or ce n’est en aucun cas mon projet, qui est plutôt d’émanciper mes lecteurs.

Oui, évidemment, la couleur rouge n’est pas contenue par l’onde électro-magnétique.

La communauté scientifique en est consciente, bien que son interprétation puisse différer.

Sinon, comment expliquer que d’autres animaux, ou autres daltoniens, la perçoivent autrement ?

Cordialement, Fraction