Pauvre gorille . Psychanalyse ! Une autre lumière.

L’ homme ! Cet animal dénaturé < J.Rostand >

Je tiens cette histoire d’une femme psychanalyste, sociologue et formatrice. Un jour cette femme ( appelons la M.B ) décide d’emmener son fils au Zoo . Le décor est charmant, le personnel affable, le soleil est au rendez-vous . La femme et l’enfant défilent devant des cages et regardent les animaux. Soudain, la femme entend de grands éclats de rires . Elle se retourne interpelé par ce bruit . Une foule est assemblée devant l’une des cages et rit à gorges déployées .

Dans cette cage se trouve un vieux gorille qui fait des grimaces en se grattant les doigts ce qui provoque l’hilarité des clients .

Mais M.B ne rit pas du tout . Elle à une autre grille de lecture . Ce gorille est tout simplement en train de s’éplucher les doigts comme on épluche une banane . Il saigne . Il se mutile . A passer sa vie dans une cage, l’animal est tombé fou.

Y'à pas de moral dans cette histoire mais uniquement des faits ( décrire le réel c'est tenter de détruire ce réel.. )

A vous lire, au cas où...

bonjour

deux cas pour moi .

dans une espèce de foire , un gorille était assis et regardait ceux qui passait devant sa cage . il ni avait que moi . je m'arrêtais et le regardais dans les yeux . il ne bougea pas et me fixa . je repartis et , je n'avais pas fais 20 mètres que j'entendis un formidable coup dans les barreaux de la cage qui me fis sursauter .

ce qui confirma que regarder un gorille mâle dans les yeux est un défi pour lui .

deuxième cas .

dans un zoo , je regardais un gorille énorme attendant son repas dans sa cage . une trappe s'ouvrit dans le fond de cette cage et quelques bananes et un gros morceau de gâteaux genre pundig tomba sur la paille .

tout le monde s'attendait à voire la bête manger comme un porc mais , nous   eumes droit à une leçon de  savoir vivre .

le gorille prit une banane et l'éplûcha délicatement puis , il en rompit  un petit bout et le mangea doucement .

il prit le morceau de gâteau et retira les brins de paille et en rompit un petit morceau et le mangea délicatement .

bonne journée

il y a une heure, ledébile a dit :

L’ homme ! Cet animal dénaturé < J.Rostand >

Je tiens cette histoire d’une femme psychanalyste, sociologue et formatrice. Un jour cette femme ( appelons la M.B ) décide d’emmener son fils au Zoo . Le décor est charmant, le personnel affable, le soleil est au rendez-vous . La femme et l’enfant défilent devant des cages et regardent les animaux. Soudain, la femme entend de grands éclats de rires . Elle se retourne interpelé par ce bruit . Une foule est assemblée devant l’une des cages et rit à gorges déployées .

Dans cette cage se trouve un vieux gorille qui fait des grimaces en se grattant les doigts ce qui provoque l’hilarité des clients .

Mais M.B ne rit pas du tout . Elle à une autre grille de lecture . Ce gorille est tout simplement en train de s’éplucher les doigts comme on épluche une banane . Il saigne . Il se mutile . A passer sa vie dans une cage, l’animal est tombé fou.

Y'à pas de moral dans cette histoire mais uniquement des faits ( décrire le réel c'est tenter de détruire ce réel.. )

A vous lire, au cas où...

Peut-être que ce jour là elle aura eu cette prise de conscience du fait que l'autre "animal ou humain" n'a pas vocation à souffrir pour le plaisir de quelques-uns. Les gens qui riaient etant dans leur cécité ordinaire, cette cécité qui nous aide à ne pas nous sentir coupables des souffrances que l'on inflige autour.

"Un seul oiseau en cage la liberté est en deuil." 

Jacques Prevert.

belle réflexion et merci pour Prévert

il y a 47 minutes, le merle a dit :

bonjour

deux cas pour moi .

dans une espèce de foire , un gorille était assis et regardait ceux qui passait devant sa cage . il ni avait que moi . je m'arrêtais et le regardais dans les yeux . il ne bougea pas et me fixa . je repartis et , je n'avais pas fais 20 mètres que j'entendis un formidable coup dans les barreaux de la cage qui me fis sursauter .

ce qui confirma que regarder un gorille mâle dans les yeux est un défi pour lui .

deuxième cas .

dans un zoo , je regardais un gorille énorme attendant son repas dans sa cage . une trappe s'ouvrit dans le fond de cette cage et quelques bananes et un gros morceau de gâteaux genre pundig tomba sur la paille .

tout le monde s'attendait à voire la bête manger comme un porc mais , nous   eumes droit à une leçon de  savoir vivre .

le gorille prit une banane et l'éplûcha délicatement puis , il en rompit  un petit bout et le mangea doucement .

il prit le morceau de gâteau et retira les brins de paille et en rompit un petit morceau et le mangea délicatement .

bonne journée

merci, bonne journée

Il était seul dans son enclos. Je ne sais pas pourquoi. 

Tous les autres étaient ensemble de l'autre côté du mur juste derrière lui. 

J'ai trouvé la scène poignante. Que ressentait-il vraiment ?

trés belle image :-)

Il y a 2 heures, le merle a dit :

 

dans une espèce de foire , un gorille était assis et regardait ceux qui passait devant sa cage . il ni avait que moi . je m'arrêtais et le regardais dans les yeux . il ne bougea pas et me fixa . je repartis et , je n'avais pas fais 20 mètres que j'entendis un formidable coup dans les barreaux de la cage qui me fis sursauter .

ce qui confirma que regarder un gorille mâle dans les yeux est un défi pour lui .

 

Je n'aurais pas eu ce sentiment quant à l'attitude du gorille. Qui d'ailleurs aurait été différent, selon que le gorille est enfermé dans une cage ou qu'il est en liberté.

- dans une cage, je l'interprète comme un appel au secours non entendu donc s'exprimant par la colère, le formidable coup dans les barreaux de la cage (le gorille ne s'est pas tapé sur la poitrine, mais il a tapé sur la cage). S'il avait pu parler, qui sait ce qu'il t'aurait dit ? Quelque chose comme : pourquoi vous les hommes vous nous enfermez dans des cages loin de nos habitats naturels et loin de nos semblables, devant lesquelles vous passez nous regarder, totalement indifférents à notre condition de prisonniers malheureux d'être privés de liberté, comme si nous étions des objets et non des mammifères vivants qui donnons la vie aussi ? pourquoi vous faites cela ? pourquoi ? n'avez vous donc pas de coeur ? et bam, le grand coup dans les barreaux.

- en liberté, s'il se tape sur la poitrine en me foudroyant du regard suite au mien dans ses yeux, je l'interprète comme me signifiant qu'il n'a pas le même langage pour que je puisse le comprendre, mais qu'il a comme moi une zone de confort dont je ne dois pas m'approcher, d'autant plus que je viens de violer son territoire (comme quelqu'un qui entrerait dans notre domicile sans frapper ni avertir, et agirait comme chez lui, provocation).

Il y a 1 heure, zera a dit :

Il était seul dans son enclos. Je ne sais pas pourquoi. 

Tous les autres étaient ensemble de l'autre côté du mur juste derrière lui. 

J'ai trouvé la scène poignante. Que ressentait-il vraiment ?

 

Le vide , ses arbres , la forêt tropicale , son harem, tristesse de voir ces si beaux animaux qui nous ressemble, parqué comme du bétail, un gorille n'a pas sa place en cage , laissez les vivre  chez eux, bon sang

il y a 56 minutes, Swannie a dit :

Je n'aurais pas eu ce sentiment quant à l'attitude du gorille. Qui d'ailleurs aurait été différent, selon que le gorille est enfermé dans une cage ou qu'il est en liberté.

- dans une cage, je l'interprète comme un appel au secours non entendu donc s'exprimant par la colère, le formidable coup dans les barreaux de la cage (le gorille ne s'est pas tapé sur la poitrine, mais il a tapé sur la cage). S'il avait pu parler, qui sait ce qu'il t'aurait dit ? Quelque chose comme : pourquoi vous les hommes vous nous enfermez dans des cages loin de nos habitats naturels et loin de nos semblables, devant lesquelles vous passez nous regarder, totalement indifférents à notre condition de prisonniers malheureux d'être privés de liberté, comme si nous étions des objets et non des mammifères vivants qui donnons la vie aussi ? pourquoi vous faites cela ? pourquoi ? n'avez vous donc pas de coeur ? et bam, le grand coup dans les barreaux.

- en liberté, s'il se tape sur la poitrine en me foudroyant du regard suite au mien dans ses yeux, je l'interprète comme me signifiant qu'il n'a pas le même langage pour que je puisse le comprendre, mais qu'il a comme moi une zone de confort dont je ne dois pas m'approcher, d'autant plus que je viens de violer son territoire (comme quelqu'un qui entrerait dans notre domicile sans frapper ni avertir, et agirait comme chez lui, provocation).

 

bonjour

c'est vrai , on oublie que ces animaux sont très proche de nous . certains deviennent fous à force de tourner en rond dans une cage .on oublie souvent que , en plus de leurs instinct , ils ont une certaine intelligence et aussi des sentiments plus une certaine sensibilité que des humains se disant au sommet de la chaîne de l'évolution, non pas .

bonne journée