Aller au contenu

Lecture partagée - Les pionniers de la conquête spatiale

Noter ce sujet


January

Messages recommandés

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 963 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

On avait donné des yeux au LM, sous la forme d’un radar d’alunissage qui balaierait la surface devant lui et repérerait les accidents de terrain les plus marquants. Il serait en mesure de corriger le pilotage automatique. Le LM était donc soumis à un conflit de personnalités entre ses deux moyens de guidage : le computeur d’une part, auquel on avait fait enregistrer tous les paramètres possibles pour qu’il fasse décrire à l’engin une superbe courbe mathématique, pure et abstraite, et le radar d’alunissage qui dirait : impossible par ici, un peu plus à droite, moins vite, un peu plus à gauche… Et ces contrordres allaient déplaire au computeur, dont l’œuvre parfaite serait bosselée par le radar vandale.

Les ingénieurs y avaient bien pensé et le computeur pouvait admettre l’intrusion du radar mais…jusqu’à un certain point.

La dernière phase, celle de la courte finale et du posé, devait être pilotée manuellement. Il aurait fallu que la surface lunaire soit plate comme la main, sans rocs, petits cratères ni bosselures pour que le pilote automatique amène à coup sûr le LM jusqu’au sol sans encombre.

 

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)
il y a une heure, January a dit :

immense pièce du Centre de Houston

Résultat de recherche d'images pour "Houston apollo XI"                    Image associée

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 963 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Tout se passait bien jusqu’à ce que le cœur d’Aldrin fit un bond : dans la fenêtre du disky clignotaient des chiffres, avec une indication « Alarme ». Il appela aussitôt le sol : « 12 02, on a une alarme 12 02 » et les cœurs de Mission Control eurent eux aussi des ratés. Au sol, le « Guido », Steve Bales, connaissait par cœur les plus infimes détails de toutes les pannes possibles et imaginables, il annonça « Go, ils sont go sur cette alarme » (ils peuvent continuer).

La 12 02 était une alarme concernant les relations entre le computeur d’Aigle et le radar d’alunissage. Il y avait eu désaccord et l’ordinateur refusa d’aller plus loin si ça n’était pas réglé séance tenante. Cela amena une saturation temporaire du calculateur qui déborda comme un lavabo et ce débordement déclencha l’alarme : le computeur cessait son travail une fraction de seconde, le temps que le niveau diminue et que cesse le débordement. Puis il reprenait son travail et paf ! ça débordait de nouveau, l’alarme éteinte réapparaissait, l’ordinateur passait sur pause, l’alarme disparaissait et le cycle recommençait…

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 10 heures, January a dit :

Au sol, le « Guido », Steve Bales, connaissait par cœur les plus infimes détails de toutes les pannes possibles et imaginable

Image associée

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 963 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Si l’alarme flashait en rafale c’était très grave, il faudrait se tenir prêt à un avortement car le computeur définitivement saturé allait s’autovidanger et dans la débâcle s’en iraient des informations de base contenues dans la mémoire : le computeur deviendrait amnésique. Une amnésie, même partielle, équivalait à un suicide, car le computeur était irremplaçable pour piloter la remontée vers l’orbite.

En cet instant précis le sort de la mission reposa sur Steve Bales. Lui savait que si l’alarme allait et venait sur un tempo assez lent, la situation était tendue mais sans plus. Aldrin lui, ne savait pas tout ça, annonçant chaque nouvelle apparition des chiffres, et chaque fois, Bales disait « Go ».

A ce moment-là, si les deux astronautes n’avaient pas gardé leur sang-froid et fait confiance à Bales, ils auraient pu décider d’eux-mêmes l’avortement.

Une autre alarme se montra, 12 01, un sous-produit de 12 02 …

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 963 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Le LM filait pourtant sans que ces alarmes n’aient de répercussion sur son vol. Armstrong n’allait pas se comporter autrement qu’en pilote et les bons pilotes n’agissent pas dans la précipitation. Apollo XI continua, alarmes ou pas alarmes. Ils descendaient, passaient la marque des 3 kilomètres d’altitude.

A moins de 2000 mètres d’altitude, Armstrong fouille des yeux le terrain devant lui et cherche les repères mais rien, rien du tout de reconnaissable. Où diable est la zone prévue d’alunissage ? Armstrong ne fouille pas plus longtemps, Aldrin, anxieux en diable, annonce : « Alarme 1201 ».

« Vous êtes Go, tenez bon vous êtes Go ».

Armstrong constate qu’il est impossible de déterminer visuellement l’altitude, les cratères peuvent aussi bien faire 100 mètres de diamètre que 2… Il prend en main la trajectoire. Des cratères, des crêtes, des ourlets.. Il repère une zone  quasiment plate, enfin, ça va être bon par là.

Il faut garder à l’esprit qu’il n’a pas beaucoup de temps, parce-qu’il n’a pas beaucoup de carburant à consommer pour ce coup là…

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 963 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

En approche sur la zone repérée, c’est raté : un champ de pierrailles. Le sol défile de plus en plus rapidement, l’altitude diminue, Aldrin annonce « 120 mètres ». Armstrong choisit un nouveau terrain et c’est encore raté : un champ de cailloux.

Vite, là, un faux-plat, grand comme un court de tennis, c’est fini, on n’a plus le choix c’est ici ou nulle part, le carburant se fait rare. Armstrong laisse filer l’Aigle, le laisse descendre vers cet endroit acceptable, note que c’est plein de cratères tout autour…

« Descente un soixante-cinq, deux soixante-quinze en avant, cinq pour cent…témoin, c’est tout bon, vingt-deux mètres. »

A Mission Control, ils en oublient de respirer. Plus rien ne bouge, plus personne ne vit.

« Ombre légère, un vingt et un en avant, un vingt en avant, dérive à droite, un quatre-vingts, descente zéro quinze » ce coup-ci on y est, on va toucher…

« En avant, dérive à droite », boum.

Une secousse douce, et plus rien ne bouge. Aldrin annonce :  « C’est bon, moteur coupé, ACA enclenché » Arsmtrong annonce : « Ca y est ».

La salle de presse est tétanisée : personne n’ose ouvrir la bouche même chez ceux qui connaissent le sujet car eux, là-haut, n’ont rien dit.

Aldrin : « Les commandes sont sur Auto, la commande manuelle de descente est coupée, le système d’armement du moteur est coupé, le 413  est affiché »

Charlie Duke au sol, se hasarde : « La télémesure indique que vous êtes posé, Aigle »

Neil Armstrong : « Houston, ici Base de la Tranquillité. L’Aigle s’est posé. »

Mission Control explosa, la salle de presse explosa aussi, hurla, des millions de transistors de par le vaste monde répercutèrent les braillements de joie, des centaines de millions d’êtres humains n’en crurent pas leurs oreilles et foncèrent dehors regarder la Lune. On pleura parfois, on se regarda l’air abasourdi…

 

  • Waouh 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)

Cette confiance en Houston, ce sang-froid ! admiration !    Big Bang Theory Wow GIF by CBS

Il y a 1 heure, January a dit :

« Vous êtes Go, tenez bon vous êtes Go ».

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)
il y a 5 minutes, January a dit :

Neil Armstrong : « Houston, ici Base de la Tranquillité. L’Aigle s’est posé. »

Image associée

 

il y a 5 minutes, January a dit :

Mission Control explosa

apollo11lcc.jpeg

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 963 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

 

Si vous ne voulez que la phase d'approche finale vous pouvez commencer la lecture à 10 minutes.

 

  • Like 1
  • Merci 1
  • Waouh 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 963 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Aldrin se tourna lourdement vers Arsmstrong et lui tendit la main. L’homme qui venait de réussir le premier posé sur un autre corps céleste que la Terre affichait un sourire radieux, et ils se broyèrent les doigts en une poignée de main qui venait du fond des âges.

Mais il fallait immédiatement se lancer dans les check-lists afin de déterminer si on pouvait rester ou non. Ils eurent confirmation qu’ils étaient bons pour rester. Ils changèrent alors de personnalité et se transformèrent en explorateurs.

Les pilotes étaient First Class mais ne valaient pas un clou comme explorateurs, dirent certains. C’était une critique facile : on pouvait aussi affirmer qu’ils n’avaient pas à être des Cousteau de la Lune, à rapporter des images et des descriptions d’une grande qualité journalistique ou scientifique. Ils étaient posés sur la Lune, c’était déjà beau. Ils allaient essayer d’y marcher et d’y travailler, c’était encore mieux.

Ils n’étaient que des précurseurs. Leur job se bornait – si on peut dire parce que vu la dimension de l’entreprise – à démontrer que le voyage spatial était faisable. Alors, l’exploration…

 

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 963 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Avant de marcher sur la Lune, ils avaient encore nombre de check-lists à parcourir, notamment pour s’assurer qu’ils pourraient redécoller normalement pour rejoindre Collins. Ils se livrèrent à une simulation et tout indiqua que leur retour serait sans soucis.

Ils discutèrent aussi avec Collins, qui les survolait, et malgré son urbanité celui-ci apparut comme le laissé-pour-compte, l’oublié.

Il était prévu qu’Aldrin et Armstrong dormiraient après l’alunissage. Reposés, ils pourraient ensuite s’équiper et sortir. Mais c’était sans compter les flots d’adrénaline qui noyaient leurs veines. Armstrong demanda d’abord à sortir, et cette envie se comprenait : Houston accepta, mais on passa quand même au dîner au préalable.

Le dîner comportait juste un peu plus de calories en prévision des efforts importants qu’ils allaient devoir déployer lors de leur sortie. Ils rassasièrent leurs estomacs, leur moral de plus en plus au beau fixe maintenant que leur faim était apaisée.

Ils se préparèrent à la sortie.

 

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 963 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Et ils commencèrent à se battre avec les tenues, les casques, les alimentations. L’intérieur du LM se transforma en capharnaüm au milieu d’interjections, d’exclamations, de jurons, de conseils que la fatigue et les émotions ne rendaient pas moins vifs.

Ils avaient besoin l’un de l’autre pour s’habiller, vérifier que tout était correct, coincé, fermé, assuré, étanche. Et là… la NASA connut la honte du retard, et pas n’importe quel retard : deux heures ! Deux heures de plus qu’un timing normal d’habillage. Mauvaise surprise pour Houston qui découvrait que dans l’environnement lunaire des hommes aussi trempés que les astronautes pouvaient fort bien se laisser impressionner au point de perdre quelque peu leur proverbiale précision d’action.

Armstrong, accroupi (au prix de difficultés incroyables), put enfin manœuvrer l’écoutille de sortie. Le sol se découpait dans l’ouverture rectangulaire, un décor qui ressemblait à une plage bombardée d’un soleil furieux mais étrangement surplombée par un ciel d’un noir de velours, impalpable, sans limites. Etre ébloui dans le noir est une sensation connue des astronautes, mais retrouver cet éblouissement alors que l’on repose soi-même sur un corps céleste, une planète claire, était totalement nouveau.

Neil Armstrong, guidé par Aldrin, se retrouva à genoux sur la plateforme : « Houston, je suis sur le porche. »

 

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 963 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Armstrong, sous les yeux ou les oreilles d’un milliard de personnes à travers le monde, descendit son échelle avec maintes précautions. Il arriva en bas  : « Je suis au pied de l’échelle… Les pieds du LM… ne sont enfoncés que de quelques centimètres. Curieux… Vue de près, elle semble composée de grains très très fins, presque de la poudre. Vraiment très fins. Je vais quitter le LM maintenant. »

Il allait donc marcher, s’écarter du LM, laisser son pied se poser sur la surface.. Sur Terre, tout cela paraissait tellement incroyable !

Neil Armstrong, 39 ans, pilote professionnel et astronaute…était debout sur la Lune. Il parla calmement, alors qu’une vague immense de murmures vibrait doucement dans Mission Control, la salle de presse et ailleurs encore : « Ce n’est qu’un petit pas pour l’homme…mais un bond de géant pour l’humanité. »

On y était. Kennedy avait gagné. Von Braun aussi.

 

  • Like 2
  • Merci 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)

                         objectif_lune_foot_hr_fr.jpg

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 963 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Aldrin rejoignit Armstrong à la surface 15 minutes plus tard et ensemble ils explorèrent le nouvel environnement. Puis ils regagnèrent le LM, dormirent d’un sommeil agité et repartirent le lendemain en un décollage parfait. Ils retrouvèrent Collins en orbite, larguèrent le LM après avoir transféré leurs échantillons et mirent en marche le SPS pour rejoindre la Terre.

Nixon et le monde entier les attendaient, ils avaient donné la Lune aux hommes, ils avaient montré aux humains de la Terre qu’il devenait possible de se prétendre Terriens.

Aldrin quitta la NASA, Armstrong aussi. Ce dernier devint prof d’ingénierie aéronautique, puis vice-président de LearJet et Chrysler avant de faire un infarctus puis de mourir bien plus tard, à la suite d’une opération du cœur. Il fut, étant pilote de la Marine, immergé avec les honneurs.

Collins lui, prit brillamment la direction du majestueux National Air and Space Museum de Washington et en fit l’un des musées les plus visités au monde.

 

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)

a11-lem-edwinaldrin2s.jpgapollo11-carte-s.jpg

il y a 6 minutes, January a dit :

Nixon et le monde entier les attendaient

 

 

                               Résultat de recherche d'images pour "apollo 11 retour" Résultat de recherche d'images pour "apollo 11 retour"

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 61 963 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Quelques mois plus tard de nouveaux explorateurs avaient répété le voyage : Pete Conrad (la grève du lavement), assisté d’Alan Bean, réalisa avec Apollo XII le plus ahurissant des exploits en matière de navigation : après 400 000 kilomètres de vol interplanétaire ils alunirent à portée de caillou de leur objectif, un machin grand comme un parasol de piscine.

Jim Lovell avec Fred Haise et Jack Swiggert, pour Apollo XIII, le vol le plus hallucinant de tous – la plus belle réussite de la NASA dirent les pros. Apollo XIII décolla pour aller se poser dans la région de Frau Mauro. Leur module de service explosa en route et le LM – qui n’était pas prévu pour cela – les ramena sur Terre après être allé tourner derrière la Lune, substituant tous ses systèmes aux systèmes pulvérisés du SM.

Lovell quitta la NASA, Swigert mourut d’un cancer et Haise fit voler plus tard la navette spatiale…

Puis ce fut Apollo XIV, Alan Shepard, avec lui Ed Mitchell, marchèrent sur la Lune.

Apollo XV fut la plus magnifique des missions. Dave Scott et Jim Irwin embarquèrent dans un Rover, une voiture lunaire qui leur permit d’étendre considérablement leur exploration.

John Young conduisit Apollo XVI dans la région du cratère de Descartes. Plus tard, il pilotera Columbia et il fera renouer la NASA avec la voie historiquement logique de l’astronautique orbitale : Columbia, première navette spatiale, fille colossale des X1, Skyrocket, X15 ou même Me 163 Comète, qui réveillera bien des fantômes en venant se poser sur la croûte d’Edwards.

 

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Petit pois
Invités, Posté(e)
Invité Petit pois
Invité Petit pois Invités 0 message
Posté(e)
il y a 12 minutes, January a dit :

Apollo XII 

Résultat de recherche d'images pour "Apollo XII"

 

il y a 12 minutes, January a dit :

Apollo XIII 

Résultat de recherche d'images pour "Apollo XIII"

 

il y a 15 minutes, January a dit :

Apollo XIV,

Image associée

 

 

il y a 16 minutes, January a dit :

Apollo XV fut la plus magnifique des missions. Dave Scott et Jim Irwin embarquèrent dans un Rover, une voiture lunaire qui leur permit d’étendre considérablement leur exploration.

Résultat de recherche d'images pour "Apollo XV"

 

 

il y a 18 minutes, January a dit :

Apollo XVI dans la région du cratère de Descartes

 

Résultat de recherche d'images pour "lune cratère Descartes"

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×