Aller au contenu

En Essonne, les policiers des BAC doivent se regrouper

Noter ce sujet


Invité

Messages recommandés

Annonces
Maintenant
Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

cuenu3lxgaak_-v.jpg?w=901&h=402

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

:hi:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 1 heure, Anne Atôle a dit :

Ils sont trois à avoir vécu un burnout lié aux pressions de l'administration. Marc La Mola, ancien de la BAC de Vitrolles près de Marseille, a bien failli mettre fin à ses jours.

Arnaud est à présent retraité; mais pour cet ancien des Renseignements Généraux, tout a basculé du jour au lendemain. Eric, enfin, est toujours en service, mais il a entrepris de se battre contre son administration.

 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Citation

Bataclan : des familles de victimes demandent des comptes à l’Etat

Deux ans et demi après l’attentat, dix-sept victimes et ayant droit portent plainte. Selon eux, si les soldats de l’opération Sentinelle, présents sur place, avaient pu agir, le bilan aurait été moins lourd.

Le procureur de la République va voir arriver ce vendredi sur son bureau une plainte particulière. Deux ans et demi après la tragédie du Bataclan le 13 novembre 2015, qui fit 90 morts sous les balles des terroristes, dix-sept victimes ou familles de victimes se sont regroupées en un collectif. Leurs trois avocats déposent conjointement une plainte, initiée par une avocate lyonnaise Me Océane Bimbeau, du cabinet Sannier et Associés, « contre X pour non assistance à personne en péril en l’absence d’intervention des militaires lors des attentats perpétrés au Bataclan».

(...)


Ce n’est pas la première fois que des familles demandent à la justice de faire la lumière sur ce point. Gérard Chemla, avocat pénaliste à Reims, représentant quatre vingt autres victimes et ayant droit du Bataclan, avait, en 2016, fait une demande d’acte aux juges d’instruction « pour qu’ils enquêtent sur la non autorisation aux militaires de donner leur arme». « Le juge m’avait répondu : Je ne suis pas saisi de ces questions ». Maitre Chemla avait alors tenté un recours devant la Cour d’appel, qui n’avait pas eu de suite.

Les familles et leurs avocats souhaitent l’ouverture d’une enquête afin de comprendre pourquoi les soldats n’ont pu intervenir ce soir là. En 2016, une commission d'enquête parlementaire sur ces attentats, présidée par Georges Fenech, alors député (LR), ancien magistrat, avait tenté de faire la lumière. Pour ce dernier, «clairement, un ordre a été donné aux soldats Sentinelle de ne pas engager le feu alors qu’ils avaient en ligne de mire des terroristes ». « A la question : Qui a donné l’ordre aux soldats de ne pas intervenir ? On n’a jamais su, regrette Georges Fenech. Avec les autres parlementaires, on était sidérés ». Ce jeudi, le porte-parole du gouverneur militaire, interrogé », a indiqué «ne pas avoir eu connaissance de la plainte » et « ne pas avoir de commentaires à faire ».

(...)

Me Samia Maktouf, l’une des avocates des dix-sept victimes, va plus loin. En parallèle de cette plainte au pénal, elle intente une action en responsabilité de l’Etat devant le tribunal administratif . Elle plaidera le 4 juillet prochain.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/bataclan-des-familles-de-victimes-demandent-des-comptes-a-l-etat-07-06-2018-7759467.php

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Citation

Policiers brûlés à Viry-Châtillon : les coulisses d’une enquête haletante

Dans son réquisitoire du 28 mai, le parquet d’Évry réclame un procès aux assises pour 13 suspects. Entre omerta, pressions et dénégations, les investigations ont été difficiles.
(...)

 

Après un an et demi d’enquête, le parquet d’Évry a requis, le 28 mai, le renvoi devant la cour d’assises de 13 suspects, dont trois mineurs au moment des faits, pour « tentative d’homicide volontaire sur personnes dépositaires de l’autorité publique ». Dans son réquisitoire de 76 pages, l’accusation décrit de jeunes hommes âgés de 17 à 23 ans, dont certains ont déjà été condamnés.

Ils appartiennent pour plupart à la bande de la « S », pour rue de la Serpente, lieu de réunion de ces amis d’enfance adeptes de chicha et de football. Omerta dans le quartier, absence de traces ADN et images de vidéosurveillance « médiocres »… La justice n’est pas parvenue à mettre la main sur l’ensemble des auteurs. Même le mobile reste incertain : la thèse retenue est une vengeance de « la S » après l’installation d’une caméra sur le carrefour, jugée gênante pour le trafic de stupéfiants. Retour sur cette enquête haletante.
 

Réseaux sociaux

L’enquête de la sûreté départementale de l’Essonne démarre… sur Instagram. Un policier relève la présence d’une vidéo montrant les voitures des victimes enflammées avec des commentaires odieux: « Si t’es un keuf ou une poucave (balance), rentre pas dans ma zone grande Borne » et « Oulala ça sent le poulet rôti ».

Interrogé, l’auteur du film évoque des assaillants « fiers d’eux, serrant le poing comme pour fêter une victoire ». Il révèle aux enquêteurs les pseudonymes de plusieurs membres de « la S », dont celle de « Tchambo ». Ce dernier est soupçonné d’être un des « leaders » de la bande. Il a été confondu par son bandage à la main gauche.

Les enquêteurs identifient aussi trois suspects sur des clips de raps amateurs postés sur YouTube. Des photos trouvées sur Facebook et des renseignements recueillis permettent aux policiers de compléter leur liste.

Témoin anonyme

Les investigations basculent avec l’audition sous X d’un habitant du quartier, qui aurait reçu « les confidences » des participants à l’attaque. Celui-ci raconte que « Lookaz », « Kossdar » et « Roro » ont planifié l’agression pour « prouver aux plus jeunes leur efficacité » et qu’ils ont effectué des repérages. L’objectif, poursuit ce témoin, était « d’effrayer les policiers et les faire éloigner ».

Une réunion préparatoire pour confectionner les cocktails Molotov, entreposés dans un caddie, aurait été organisée la veille. Le témoin égrène les rôles de trois membres de la « S » dans les violences : « Roro » a cassé la vitre de la première voiture et jeté un engin incendiaire, « Santos » l’a imité et « Sanay » s’est brûlé à la main en frappant le fonctionnaire qui a pris feu. Les autres assaillants auraient raté leur cible ou pris peur.

Pressions

L’enquête se heurte très vite aux pressions exercées sur les habitants de Grigny pour imposer la loi du silence. Un mineur est ainsi passé à tabac dans les toilettes de son lycée, accusé d’être « une poucave ». « De sa cellule en garde à vue, il fondait en larme et confiait à un enquêteur sa crainte de subir des représailles s’il parlait », résume le parquet.

Une vidéo troublante est aussi découverte par les enquêteurs : on y voit un enfant de 11 ans apeuré, « un serpent autour du cou » et « les mains attachées », se faisant intimider par des individus inconnus. Ce garçon avait été chargé de collecter de l’essence pour la bande.

Même l’un des participants présumés de l’attaque est tabassé en pleine rue pour s’être confié au téléphone avec une amie. Quand ce n’est pas un propre membre de « la S » qui part s’installer au Mali « parce que c’est chaud » depuis ses confidences aux enquêteurs.

En détention provisoire, certains des mis en examen sont parvenus à récupérer des téléphones portables pour s’enquérir des déclarations des uns et des autres ou menacer d’autres membres.

Auditions infructueuses

Malgré de nombreux interrogatoires et confrontations, la plupart des 13 suspects, décrits par les psychologues comme « immatures » ou « impulsifs », contestent toute participation à l’attaque, de jet de cocktail Molotov ou minimisent leur présence sur les lieux. Et livrent parfois des explications jugées « fantaisistes » par la justice.

Le parquet a requis un non-lieu pour cinq mis en examen en l’absence suffisante de charges. L’un des leaders présumés s’est toutefois trahi en prison : alors qu’un ami l’appelait pour féliciter « la S pour l’histoire des keufs brûlés », celui-ci a lâché : « Ah grave, tu sais mon boug, on est là. » Les policier n’en ont pas raté une miette.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/policiers-brules-a-viry-chatillon-les-coulisses-d-une-enquete-haletante-08-06-2018-7759929.php

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 10 heures, Tala* a dit :

 

qui n 'a jamais eu affaire à qq comme ça ne peut pas comprendre....

les mecs apportent le pain en tenue d 'inter' complète.... Normal!!!:zen:...

et ces mecs sont les premiers a réclamer d 'être défendu au nom des droits de l 'homme...

Hallucinant, non?

Chouettes voisins en devenir...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 4 minutes, Anne Atôle a dit :

qui n 'a jamais eu affaire à qq comme ça ne peut pas comprendre....

Cela m'a fait penser aux secteurs fermés et aux UMD. Là tu n'as ni gilet ni casque... Mais bon, c'est hors sujet ;)

Au fait, ça a bien fait pschitt ;)

DfF33UtWkAMvQot.jpg:large

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
à l’instant, Tala* a dit :

Cela m'a fait penser aux secteurs fermés et aux UMD. Là tu n'as ni gilet ni casque... Mais bon, c'est hors sujet ;)

ça me fait penser aux quelques fois ou j 'ai eu affaire à des types comme ça... Faut avoir les nerfs solides et être en forme physique.... et être plus nombreux aussi:p, c 'est mieux....

mais bon... on réunit pas toujours toutes les conditions, et vaut mieux pas qu 'ils le sachent......mais c 'est HS

https://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2351121/il-s’arrache-les-yeux-et-s’empale-en-pleine-rue.html

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

"syndicats caca" disait Coluche...

et la spéciale DDR....

 

 

:D

allez ... je file...:p...

:hello:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Il y a 12 heures, Tala* a dit :

 

Pour qui veut avoir une petite idée ...à voir absolument..:good:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
il y a 1 minute, Tala* a dit :

pour qui a été en contact avec des détenus et partagé un "peu de temps", la théorie et la consigne administrative devient vite très flou... c'est un univers à aprt que l 'univers carcéral... l 'envers de nos société... pour le mesurer, il faut en avoir été "éclaboussé"...

C 'est juste effrayant...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

https://www.la-croix.com/France/Securite/police-face-defi-recrutement-2018-05-15-1200939131

les futurs "Flics" .... devraient vite comprendre que ce n 'est pas un jeu qui les attend... mais un "métier" à risques... et l 'administration devrait les en avertir... auquel cas, plus grand monde pour se porter volontaire...

C’est notamment sur cette seconde voie de recrutement que les critiques les plus fortes se portent. « Le niveau a même été abaissé » pour Alexandre Langlois, secrétaire général de Vigi (ex-CGT Police). « Lors de la session de septembre 2017, environ 200 places n’ont pas été pourvues, alors même qu’ils ont pris des candidats avec une moyenne au concours de 9 », déplore-t-il.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

@DroitDeRéponse

Vigi (ex-CGT Police)

Pour devenir gardien de la paix, il existe actuellement deux voies possibles. Un concours externe, à partir du bac, et un concours interne auquel se présentent essentiellement des adjoints de sécurité, « ex-cadets de la République », qui n’ont pas nécessairement eu de diplôme.

et donc Cf ciDessus

« Comment voulez-vous qu’ils ne fassent pas d’erreurs de procédure s’ils ne maîtrisent pas les règles de l’expression, du vocabulaire et de l’orthographe… »,

« Les policiers ne sont aujourd’hui pas du tout armés pour faire face aux problèmes socio-économiques auxquels ils vont être confrontés professionnellement », estime celui qui s’inquiète d’« un manque de maturité lié au déficit d’expériences sur le terrain »

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

mais surtout....

 

les départs en retraite de ce qu'il reste de "forces vives", les anciens,... la perte de sens du métier et donc la baisse du niveau d 'investissement des plus "convaincus" par la nécessité du métier couplé à la responsabilité que représente l 'encadrement forcé et contraint (patrouiller avec des novices mal formés) risque fort de participer de la dégradation annoncée, voire accélérée  de la capacité de la police à protéger la société...

 n 'est il pas déjà trop tard et n 'est pas déjà en train d ' arriver....

Bon ap'!:hello:

big up!:bo:

Il y a 19 heures, Anne Atôle a dit :

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)
Citation

LE CHANT DU CYGNE

Droit de réponse à la Direction de la MA de Fleury-Mérogis

Le 08 juin 2018

Madame la cheffe d’établissement,

Nous tenons par la présente à exercer notre droit de réponse concernant votre laïus adressé aux personnels.

L’inondation de vos mails est très informelle et a des effets violents pour les personnels placés sous votre autorité.

On ne répond pas à une souffrance psychologique par un étalage de moyens matériels dont la moitié n’a pas été obtenu de votre fait !

Développons point par point votre argumentaire, où les notions de «disponibilités» et «à votre disposition » figurent à de nombreuses reprises.

«Dialogue social et notion d’humanité» n’y figurent toujours pas, mais nous ne désespérons pas de vous amener sur cette thématique essentielle et légitime.

Il est inutile de faire de faux semblants aux travers de vos écrits quand la majorité de votre personnel se plaint de votre absence de considération lorsqu’ils croisent votre route...

Concernant la liste des points évoqués, de nombreux sujets sont de la compétence des ACT venant des organisations syndicales. Qui plus est, lorsque vous évoquez les admissions en HO des personnes fragiles au sein de nos détentions, dont le terme a changé depuis juillet 2011 et qui est devenu «hospitalisation sous contrainte à la demande d’un représentant de l’état », il est de notre devoir de vous rappeler que cela relève de la compétence du préfet sur un dossier argumenté par le corps médical compétent.

C’est faire insulte au travail de maillage du corps médical que d’écrire de telles inexactitudes, une de plus, hélas...

Nous vous invitons, dans l’évocation de données chiffrées, à ne pas évoquer des chiffres peu glorieux, surtout que ceux que vous évoquez n’excluent pas les encellulements individuels sur les QD, QI, QS, QER, QM, SMPR ainsi que tous les «seuls en cellule». Le rapport de surpopulation correspond alors à une réalité de coursive ordinaire et alarmante, celle de votre personnel qui gère et qui souffre en silence !

Notre organisation, FORCE OUVRIERE, vous invite à plus de modération, car il est beau de brandir l’apaisement social lorsque la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis brûle et que vous soufflez sur les braises, drapées dans une dignité offensée...

Le management par la terreur, celui que vous avez choisi et depuis trop longtemps usé et abusé envers le Corps d’Encadrement et d’Application comme celui du Corps de Commandement est révolu.

Personne ne nous fera taire, ni vous ni vos fidèles serviteurs...Vous n’êtes là que pour faire souffrir vos subalternes et servir vos propres intérêts.

Lors du dernier CHSCTS local, le Directeur Interrégional qui, lui aussi en grande difficulté face aux événements, fait mine de vous soutenir a reconnu que: «sans dégager de responsabilité, personnen’a tiré de signal d’alarme» concernant les événements dramatiques qui ont secoué notreétablissement.

Vous vous défendez désormais de porter réellement la parole de vos personnels auprès du Parquet, quid des 260 dossiers de protection statutaire en carence et les dizaines de milliers d’Euros en souffrance quant aux dépassements d’honoraire non remboursés et autre frais médicaux engagés par votre personnel aux abois pécuniairement ? Sans compter que cela les met systématiquement en difficulté lors de leur consultation chez les praticiens qui ne souhaitent attendre un remboursement qui est leur dû.

À l’invitation du DI, nous ne manquerons pas de lui envoyer un tableau des nombreux dossiers en litige, à défaut d’un traitement local.

À ce titre, nous demandons également qu’un groupe de travail soit immédiatement mis en place sur la protection statutaire. Ce groupe doit réunir les RH, les responsables de structure, les ADP ainsi que le cabinet d’avocat qui en charge de la défense de nos personnels. Il y a urgence à agir au vu du nombre d’incompréhension de la part des agents quant au suivi de leur dossier et des acteurs cités qui nous demandent ce groupe.

Si vous êtes choquée des commentaires sur les réseaux sociaux où déferlent de la colère, il faut vous faire à l’idée que c’est un espace démocratique de décharge émotionnelle. Ce lien dématérialisé est le seul espace où les agents ont besoin de se sentir écoutés, notamment lorsqu’ils ont des inquiétudes et une colère légitime.

En somme, nous vous invitons à recentrer votre politique managériale sur l’Humain.

Des hommes et des femmes, qui, tous grades et tous corps confondus, soutiennent à bout de bras votre établissement se sentant bien trop souvent esseulés, et abandonnés par une direction locale qui les méprise et parfois les humilie !

Nos collègues sont fatigués, au bord du gouffre, croulant sous une charge temporelle démesurée, sans parler du doute qui s’est installé dans leurs pratiques professionnelles remises en cause à de trop nombreuses reprises. À ce rythme-là, nous ne passerons pas l’été sans un nouveau drame et ce n’est pas faute de vous l’avoir tant répété oralement et par écrits ces derniers mois !

Nous exigeons des groupes de paroles et l’instauration d’une enquête sur le bien-être au travail dont les résultats devraient vous alerter dès la synthèse reçue sur votre bureau... Pour peu que vous ne les «lisiez».

Enfin et surtout, nous vous prions de garder vos pamphlets, vos plaidoiries, pour des instances toutes autres...Madame, il ne s’agit pas d’un acharnement contre votre personne mais bien le temps pour vous et vos fidèles serviteurs d’une prise de conscience qui s’impose. Les personnels n’accepteront plus longtemps d’être les souffres douleurs de certains comportements, attitudes et paroles totalement dépassés.

Madame, vous auriez dû signer «La Directrice, une présence au quotidien...»

https://docs.wixstatic.com/ugd/e3d837_c431ea3cab274a4988be70ba4a9cc071.pdf

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×