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Ce qu'on doit faire et ce qu'on fait vraiment


Invité Quasi-Modo

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Invité Quasi-Modo
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Pourquoi l'être humain a-t-il tellement tendance à la fois, à faire ce qu'il sait pertinemment qu'il ne devrait pas faire, et d'autre part à ne pas faire ce qu'il sait pertinemment qu'il devrait faire?

Je pense que nous avons tous à chaque instant de notre vie des choses dont nous savons très bien que nous devrions les faire, mais que nous faisons traîner (p.ex. oublier de payer une facture), tandis que d'autres choses que nous faisons sont nuisibles plus qu'autre chose, à nous même ou aux autres (p.ex. fumer).

Si la connaissance de ce qui est bien ou mal ne suffit pas à agir justement, que manque-t-il donc à l'humain pour qu'il le fasse?

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Invité Lucy Van Pelt
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Parce-que certaines personnes (dont je suis) n'agissent que dans l'urgence, ont besoin de sentir le vide sous leur pied  pour contrer la peur...En même temps  le bien le mal, tout cela est bien maniamérichéen.

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Invité Quasi-Modo
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il y a 4 minutes, Lucy Van Pelt a dit :

Parce-que certaines personnes (dont je suis) n'agissent que dans l'urgence, ont besoin de sentir le vide sous leur pied  pour contrer la peur...En même temps  le bien le mal, tout cela est bien maniamérichéen.

Oui c'est vrai. Contre toute attente cela nous fera un points commun :D

Combien de personnes qui ont besoin qu'on leur annonce un problème grave de santé pour se calmer sur la cigarette par exemple?

Le fait d'éprouver un coup de stress est nécessaire à l'exécution de certaines tâches ou à la non exécution d'actions nuisibles.

Comme si on y croyait pas vraiment sauf devant le fait accompli.

Mais il me semble qu'au delà des caractères propres à chacun et de sa façon de gérer son temps, il est en fait surhumain de faire son devoir quand on regarde bien. Il n'y a pas une personne en découvrant suffisamment intimement au quotidien, dont je puisse dire qu'elle avait à un moment donné fait exactement tout ce qu'elle avait à faire, moi y compris.

Nous sommes toujours tendus entre nos objectifs et notre présent actuel. C'est incompréhensible, ou plutôt cela montre que nous ne sommes pas rationnels au niveau le plus fondamental.

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Invité Quasi-Modo
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D'ailleurs l'idéal philosophique n'est-il pas de faire ce que nous disons et de dire ce que nous faisons? Y a-t-il jamais eu un philosophe sur cette planète? :D Cette inertie dans le passage à l'action ou dans l'incapacité à se motiver suffisamment pour cesser certains comportements est vraiment désespérante. Ne voit-on clair qu'au pieds du mur?

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Invité Kokelicot
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Parce que l'être humain est faillible et que dès le plus bas âge on nous fait culpabiliser...

Parce que procrastiner n'est pas vertueux même si prendre du temps pour soi est pourtant bénéfique mais il nous faut être rentable...

Après il y a tout ce qui est nuisible, néfaste pour la santé... à chacun sa réflexion et sa prise de conscience en temps et en heure pour y remédier... en espérant qu'il ne soit pas trop tard ou nous donnant un autre regard sur la vie...

 

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Invité Colybris
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il y a 40 minutes, Quasi-Modo a dit :

Pourquoi l'être humain a-t-il tellement tendance à la fois, à faire ce qu'il sait pertinemment qu'il ne devrait pas faire, et d'autre part à ne pas faire ce qu'il sait pertinemment qu'il devrait faire?

Je pense que nous avons tous à chaque instant de notre vie des choses dont nous savons très bien que nous devrions les faire, mais que nous faisons traîner (p.ex. oublier de payer une facture), tandis que d'autres choses que nous faisons sont nuisibles plus qu'autre chose, à nous même ou aux autres (p.ex. fumer).

Si la connaissance de ce qui est bien ou mal ne suffit pas à agir justement, que manque-t-il donc à l'humain pour qu'il le fasse?

La notion de bien ou de mal pour moi est bien plus complexe que le fait de payer en retard ou pas ses factures.

Bon, fumer ou avoir des conduites addictives déjà il y a peut être matière à réflexion effectivement.

Je pense que le plus difficile à gérer se sont des comportements ou attitudes que l'on sait nocives pour soi-même  et/ou notre entourage perso ou pro (refaire les mêmes erreurs par ex), mais qu'on ne peut s'empêcher de faire. On voit le mur et on y fonce...

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il y a 13 minutes, Colybris a dit :

La notion de bien ou de mal pour moi est bien plus complexe que le fait de payer en retard ou pas ses factures.

Bon, fumer ou avoir des conduites addictives déjà il y a peut être matière à réflexion effectivement.

Je pense que le plus difficile à gérer se sont des comportements ou attitudes que l'on sait nocives pour soi-même  et/ou notre entourage perso ou pro (refaire les mêmes erreurs par ex), mais qu'on ne peut s'empêcher de faire. On voit le mur et on y fonce...

D'ailleurs on pourra sans doute y voir un lien avec la compulsion de répétition.

A l'image de ces femmes qui tombent systématiquement sur les mêmes types de relations et se font trahir, ou de Descartes qui tant qu'il ne se rappelait pas que sa nourrice avait un strabisme, n'arrivait à s'intéresser qu'aux femmes qui louchent.

Je pense qu'on a un côté sado maso au fond de nous quand même dans ce sens là.

il y a 25 minutes, Kokelicot a dit :

Parce que l'être humain est faillible et que dès le plus bas âge on nous fait culpabiliser...

Parce que procrastiner n'est pas vertueux même si prendre du temps pour soi est pourtant bénéfique mais il nous faut être rentable...

Après il y a tout ce qui est nuisible, néfaste pour la santé... à chacun sa réflexion et sa prise de conscience en temps et en heure pour y remédier... en espérant qu'il ne soit pas trop tard ou nous donnant un autre regard sur la vie...

Dans la Bible il y a un passage où le Christ dit qu'un adulte c'est celui qui sait ce qui est mal et bien pour lui comme pour les autres, et qui agit en conséquence pour favoriser le bien. C'est surtout en pensant à ce passage que j'ai parlé de bien et de mal :D

Comme si face à ça nous étions tous des enfants (ou tous des pécheurs).

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@Quasi-modo

Oulala j'étais bien éloignée de toute référence à la religion...

Et je dois bien avouer que je n'ai pas envie de m'y rattacher...

A la rigueur je parlerai plutôt bien volontiers de bienveillance, gentillesse et de bonté, (pour les autres autres et pour soi-même) bien souvent décriées pour un côté "nunuche" et pourtant humainement parlant pour son prochain ou son proche quoi de mieux sans crédulité. aucune... mais je m'éloigne certainement de ton sujet.

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Membre, 56ans Posté(e)
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Baby Forumeur‚ 56ans‚
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il y a une heure, Quasi-Modo a dit :

Pourquoi l'être humain a-t-il tellement tendance à la fois, à faire ce qu'il sait pertinemment qu'il ne devrait pas faire, et d'autre part à ne pas faire ce qu'il sait pertinemment qu'il devrait faire?

Je pense que nous avons tous à chaque instant de notre vie des choses dont nous savons très bien que nous devrions les faire, mais que nous faisons traîner (p.ex. oublier de payer une facture), tandis que d'autres choses que nous faisons sont nuisibles plus qu'autre chose, à nous même ou aux autres (p.ex. fumer).

Si la connaissance de ce qui est bien ou mal ne suffit pas à agir justement, que manque-t-il donc à l'humain pour qu'il le fasse?

Parce-que mon moi, contrairement à ce qu'il croit, n'est pas le patron.

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Invité Quasi-Modo
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il y a 4 minutes, Kokelicot a dit :

@Quasi-modo

Oulala j'étais bien éloignée de toute référence à la religion...

Et je dois bien avouer que je n'ai pas envie de m'y rattacher...

A la rigueur je parlerai plutôt bien volontiers de bienveillance, gentillesse et de bonté, (pour les autres autres et pour soi-même) bien souvent décriées pour un côté "nunuche" et pourtant humainement parlant pour son prochain ou son proche quoi de mieux sans crédulité. aucune... mais je m'éloigne certainement de ton sujet.

Sans même avoir besoin de se rattacher à la religion, il s'agit dans mon propos de prendre cette idée au sens philosophique en faisant même abstraction de son origine (la Bible). Les adultes n'existent donc pas plus que les philosophes, et le plus souvent nous rationalisons bêtement nos actes à postériori en adaptant nos pensées et nos systèmes pour qu'ils y correspondent. Le plus important sera sans doute de mener une bonne vie pour éviter que nos pensées ne soient corrompues. C'est peut-être plus d'éthique que de morale dont nous devrions alors parler.

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Invité Kokelicot
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il y a 6 minutes, Quasi-Modo a dit :

Sans même avoir besoin de se rattacher à la religion, il s'agit dans mon propos de prendre cette idée au sens philosophique en faisant même abstraction de son origine (la Bible). Les adultes n'existent donc pas plus que les philosophes, et le plus souvent nous rationalisons bêtement nos actes à postériori en adaptant nos pensées et nos systèmes pour qu'ils y correspondent. Le plus important sera sans doute de mener une bonne vie pour éviter que nos pensées ne soient corrompues. C'est peut-être plus d'éthique que de morale dont nous devrions alors parler.

Allons en ce sens... Alors comment définir ce qui serait une bonne vie ? Et quitte à parler d'éthique dans la vie quotidienne au tant la rapporter à des principes de base... mais lesquels au vu de la diversité humaine ?  Chacun y trouverait à redire. Je ne vois pas de consensus... le bien, le mal...il n'y a que notre conscience et cultiver un minimum  d'objectivité et de remise en question pour tenter de ne pas tomber dans l'obscurantisme.

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Invité Quasi-Modo
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il y a 7 minutes, Kokelicot a dit :

Allons en ce sens... Alors comment définir ce qui serait une bonne vie ? Et quitte à parler d'éthique dans la vie quotidienne au tant la rapporter à des principes de base... mais lesquels au vu de la diversité humaine ?  Chacun y trouverait à redire. Je ne vois pas de consensus... le bien, le mal...il n'y a que notre conscience et cultiver un minimum  d'objectivité et de remise en question pour tenter de ne pas tomber dans l'obscurantisme.

Je dirais qu'un bon principe de base serait d'optimiser la souffrance humaine dans le sens où nous devrions opter pour les actions qui les minimisent. Finalement s'arranger pour éviter les situations conflictuelles dont les violences sont toujours des conséquences. Les trois singes de la sagesse peut-être auraient quelque chose à nous dire? Ne rien dire de mal - Ne rien entendre de mal - Ne rien voir de mal. Préserver notre innocence et notre "naïveté" autant que faire se peut.

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Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 23 860 messages
79ans‚ Talon 1,
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"L'homme soumis aux sentiments ne dépend pas de lui-même, mais de la fortune (hasard), dont le pouvoir sur lui est tel qu'il est souvent contraint de faire le pire même s'il voit le meilleur." Spinoza

"Il n'advient pas au sage ce qu'il souhaite mais ce qu'il a prévu."

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Invité Kokelicot
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il y a 3 minutes, Quasi-Modo a dit :

Je dirais qu'un bon principe de base serait d'optimiser la souffrance humaine dans le sens où nous devrions opter pour les actions qui les minimisent. Finalement s'arranger pour éviter les situations conflictuelles dont les violences sont toujours des conséquences. Les trois singes de la sagesse peut-être auraient quelque chose à nous dire? Ne rien dire de mal - Ne rien entendre de mal - Ne rien voir de mal. Préserver notre innocence et notre "naïveté" autant que faire se peut.

je visualise très bien l'image "des 3 singes" mais généralement l'Homme aime prendre position et s'affirmer que d'être en retrait et observateur...  Il faut désirer une démarche personnelle et volontaire pour être dans l'état d'esprit que tu décris, malheureusement je ne pense pas que ce soit le propre, ni la volonté de l'être humain en général...

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Invité Quasi-Modo
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il y a 10 minutes, Kokelicot a dit :

je visualise très bien l'image "des 3 singes" mais généralement l'Homme aime prendre position et s'affirmer que d'être en retrait et observateur...  Il faut désirer une démarche personnelle et volontaire pour être dans l'état d'esprit que tu décris, malheureusement je ne pense pas que ce soit le propre, ni la volonté de l'être humain en général...

J'avoue que le rapport entre les trois singes et la volonté de s'affirmer (ou le refus de rester observateur et en retrait) ne me saute pas aux yeux. Je me dis qu'il suffit parfois d'un seul être humain pour que la contagion opère. En fait l'idéal serait de mener une vie qui ne permet ni de voir, ni d'entendre, ni de dire du mal au sens où cela nous passerait au dessus. Le mal ne serait que dans l'oeil de celui qui observe, alors que dans le fond, les humains sont innocents et ne font jamais que ce dont ils éprouvent la nécessité à un niveau ou à un autre.

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Invité Kokelicot
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il y a 5 minutes, Quasi-Modo a dit :

J'avoue que le rapport entre les trois singes et la volonté de s'affirmer (ou le refus de rester observateur et en retrait) ne me saute pas aux yeux. Je me dis qu'il suffit parfois d'un seul être humain pour que la contagion opère. En fait l'idéal serait de mener une vie qui ne permet ni de voir, ni d'entendre, ni de dire du mal au sens où cela nous passerait au dessus. Le mal ne serait que dans l'oeil de celui qui observe, alors que dans le fond, les humains sont innocents et ne font jamais que ce dont ils éprouvent la nécessité à un niveau ou à un autre.

L'être humain possède 5 sens, 3 qu'il faudrait "omettre" pour qu'il y ait moins de conflits.... que de privations ! ;)

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Invité Quasi-Modo
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il y a 12 minutes, Kokelicot a dit :

L'être humain possède 5 sens, 3 qu'il faudrait "omettre" pour qu'il y ait moins de conflits.... que de privations ! ;)

Peut-être pas tant omettre trois sens que demeurer dans un état d'esprit qui dépasse tout conditionnement.

Quand on croit voir entendre ou dire du mal, il faut se questionner sur les causes profondes de ce qui provoque cette pensée là chez soi. Et alors, en comprenant les mécanismes à l'origine de cette fausse perception (puisque le mal n'est jamais dans la réalité mais dans l'oeil de l'observateur), il deviendra impossible de traiter le mal comme un objet ou un acte réel.

Prenons la honte ou la culpabilité par exemple : personne ne peut nous le faire ressentir sans notre complicité implicite.

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Invité Kokelicot
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il y a 4 minutes, Quasi-Modo a dit :

Peut-être pas tant omettre trois sens que demeurer dans un état d'esprit qui dépasse tout conditionnement.

Quand on croit voir entendre ou dire du mal, il faut se questionner sur les causes profondes de ce qui provoque cette pensée là chez soi. Et alors, en comprenant les mécanismes à l'origine de cette fausse perception (puisque le mal n'est jamais dans la réalité mais dans l'oeil de l'observateur), il deviendra impossible de traiter le mal comme un objet ou un acte réel.

Prenons la honte ou la culpabilité par exemple : personne ne peut nous le faire ressentir sans notre complicité implicite.

je comprends très bien ton positionnement et parfaits exemples que la honte ou que la culpabilité, je te te l'accorde nous les induisons implicitement et leurs donnons une place car autrui nous les suggèrent à tort ou à raison. Si je te suis dans ton raisonnement le mal n'existerait que dans notre perception, à nous de savoir occulter... Cela nécessite une vraie sagesse, un recul nécessaire qu'agir ou penser instinctivement... j'ai du chemin à faire !

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Membre, 8ans Posté(e)
bouddean Membre 11 380 messages
Maitre des forums‚ 8ans‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, Quasi-Modo a dit :

Pourquoi l'être humain a-t-il tellement tendance à la fois, à faire ce qu'il sait pertinemment qu'il ne devrait pas faire, et d'autre part à ne pas faire ce qu'il sait pertinemment qu'il devrait faire?

Je pense que nous avons tous à chaque instant de notre vie des choses dont nous savons très bien que nous devrions les faire, mais que nous faisons traîner (p.ex. oublier de payer une facture), tandis que d'autres choses que nous faisons sont nuisibles plus qu'autre chose, à nous même ou aux autres (p.ex. fumer).

Si la connaissance de ce qui est bien ou mal ne suffit pas à agir justement, que manque-t-il donc à l'humain pour qu'il le fasse?

t'es sen train de demander la définition du mot : " con", pourquoi agit on comme des cons, c'est ça ?

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Invité Quasi-Modo
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Posté(e)
Il y a 19 heures, Kokelicot a dit :

je comprends très bien ton positionnement et parfaits exemples que la honte ou que la culpabilité, je te te l'accorde nous les induisons implicitement et leurs donnons une place car autrui nous les suggèrent à tort ou à raison. Si je te suis dans ton raisonnement le mal n'existerait que dans notre perception, à nous de savoir occulter... Cela nécessite une vraie sagesse, un recul nécessaire qu'agir ou penser instinctivement... j'ai du chemin à faire !

Pas sûr. Ou alors c'est moi qui ait du chemin à faire et cette vision est un peu utopiste. Difficile de ne pas voir le mal quand on vous insulte ou qu'on vous agresse. Disons dans ces cas là qu'il faut savoir rester compassionnel et comprendre que c'est la souffrance qui est à l'origine de ces comportements. Mais je suis pas assez sage pour ça! :(

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