Lille : Des chercheurs découvrent un nouveau gène qui rend les enfants obèses

Une nouvelle étude pourrait permettre de trouver un traitement contre l’obésité génétique chez certains enfants…

C’est une découverte qui pourrait révolutionner l’existence de certains enfants obèses. Trois études publiées, lundi, conjointement dans la revue scientifique Nature Genetics démontrent qu’ une obésité sévère de l’enfant peut provenir d’une anomalie génétique.

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Mince, ça ne va pas plaire aux pro-sports, aux nourriture sains, aux nutritionnistes,... qui eux, pensent et disent haut et fort, que ça n'a rien à voir avec les gènes. Que c'est une vie malsaine qui fait ça !!!

L'hygiene de vie ca ne coute rien, un traitement ca rapporte.

Faut arrêter de leur refiler des saloperies  hamburger frites et coca, ça ira mieux après de ce côté là ,

bonjour,

tout est là......pour "certains enfants"

dans la majorité des cas, ce n'est pas génétique ( enfin pas trop) mais venant de l'alimentation...trop de sucres, de graisses, pas assez de fruits et encore moins de légumes .

le" je n'aime pas" conduit bien souvent les parents à céder à la facilité s'ils veulent voir leurs enfants manger !

ce n'est pas simple tous les jours et de plus,j'ai la nette sensation que nos chers gamins ne veulent plus se casser la tête à mâcher quelque chose...tout doit être en petits morceaux , hachés !

l'obésité infantile n'est pas une fatalité.....certains peuvent être forts, mais cela s'arrange avec la puberté et si l'on est un peu vigilant sur le "coca" à table ...cela ne peut qu'aller mieux.

chez  moi, il n'y a jamais eu de boissons sucrées au repas...de l'eau rien que de l'eau  ( je le confesse, un peu de vin en repas ...mais cela c'est une autre histoire )

bonne journée

Il est quand même en partie question d'alimentation puisqu'il s'agit d'une anomalie génétique "détraquant le phénomène de satiété dans le cerveau et les dépenses énergétiques dans le tissu adipeux". Plusieurs études démontrent aussi que le manque de sommeil favorise le surpoids, l'obésité et le diabète, entre autres en perturbant la régulation neuroendocrinienne de l'appétit.

Citation

la privation de sommeil diminue de manière significative l'activité dans les régions de l'évaluation appétitifs dans le cortex frontal humain et le cortex insulaire pendant choix de désirabilité alimentaires, combinée à une amplification inverse d'activité dans l'amygdale