Faut-t-il interdire le droit de vote aux hommes blancs?

Il y a 3 heures, AbbéCafarelli a dit :

Mais tu retardes. La question de l'emploi est mondiale dans un monde globalisé. Si t'es ingénieur agronome, tu vas pas trouver beaucoup de boulot en Dordogne. Va falloir que tu bouges un peu, au Brésil, en Malaisie. Dans tous les domaines de l'ingénierie c'est la même histoire. Donc c'est mouvant et c'est pas à l'Etat d'orienter l'emploi. C'est surtout le privé qui innove. Sauf quand on est un collectiviste comme toi, nostalgique du stalinisme et qui invente des complots des blouses blanches tous les matins. Mais ça, c'est parce que t'as un petit vélo.

Du coup, le nationalisme est un frein à l'emploi, puisqu'en bloquant les frontières, il bloque les compétences, donc le dynamisme. On l'a vu avec les électeurs de Trump : des red necks qui voudraient pouvoir lyncher tout ce qui leur fait peur. C'est à dire toutes les minorités qui font la richesse d'un pays, sa diversité, son intérêt.

Et il faut donner le pouvoir aux red necks de revenir 500 ans en arrière ?

 

Super, fais moi la promotion de l'emploi mondial et explique au smicard meusien que son avenir est de bouger en Roumanie, là où il y a du travail mais zéro droit social. J'hallucine toujours de voir des gens agiter ce genre d'éléments, on dirait qu'ils n'ont jamais mis les pieds hors de leurs manoirs et me font penser à Marie-Antoinette qui, lorsqu'on lui disait que le peuple n'avait plus de pain répondait "Ils n'ont qu'à manger de la brioche !" . Mais c'est assez intéressant parce que ça en dit long sur l'image que tu te fais des besoins du peuple, puisque dans ton exemple, si l'ingénieur s'en sort en allant gagner son salaire outre-Atlantique, le smicard lui, est condamné à s'aligner sur les plus bas salaires mondiaux et à surtout bien fermer sa gueule au nom du progrès. Si c'est ça ton avenir, il est noir, et ça explique bien légitimement la remontée des nationalismes. Ton idéal, il pue. Et il ne profitera qu'à une petite poignée d'enculés, qui a déjà beaucoup mais veut encore plus.

à l’instant, AbbéCafarelli a dit :

Tu inverses ! Ce sont les nationalistes isolationnistes qui rejettent l'Autre et refusent l'ouverture. Pourquoi les laisserait-on ériger des murs ?

Je n'inverse rien du tout, l'ancêtre: vous ne faites que ressasser le vieux refrain de Rousseau, qui explique que ceux qui ne se plient pas au choix de la majorité doivent être rejetés de la société. Les idéologies totalitaires vont reprendre Rousseau, et appliquer cette élimination physiquement.

Par ailleurs, les conservateurs ne rejettent pas l'Autre par principe. Mais pour pouvoir apprécier l'autre à sa juste valeur, il faut déjà se connaître soi-même. Avec vous, plus d'autre ou de soi. Juste un gloubi-glouba immonde, éparse et sans goût. Qui voudrait de ça? Seuls les bourgeois déjà mondialisés, qui ne s'intéressent qu'à l'argent.

à l’instant, Savonarol a dit :

Super, fais moi la promotion de l'emploi mondial et explique au smicard meusien que son avenir est de bouger en Roumanie, là où il y a du travail mais zéro droit social. J'hallucine toujours de voir des gens agiter ce genre d'éléments, on dirait qu'ils n'ont jamais mis les pieds hors de leurs manoirs et me font penser à Marie-Antoinette qui, lorsqu'on lui disait que le peuple n'avait plus de pain répondait "Ils n'ont qu'à manger de la brioche !" . Mais c'est assez intéressant parce que ça en dit long sur l'image que tu te fais des besoins du peuple, puisque dans ton exemple, si l'ingénieur s'en sort en allant gagner son salaire outre-Atlantique, le smicard lui, est condamné à s'aligner sur les plus bas salaires mondiaux et à surtout bien fermer sa gueule au nom du progrès. Si c'est ça ton avenir, il est noir, et ça explique bien légitimement la remontée des nationalismes. Ton idéal, il pue. Et il ne profitera qu'à une petite poignée d'enculés, qui a déjà beaucoup mais veut encore plus.

Tu n'as rien compris ! La globalisation gommera progressivement les disparités sociales. Comme pour l'Espagne quand elle a intégré la CEE.

Bien sûr qu'il faut chercher l'emploi là où il est. Tu auras toujours des régions plus dynamiques : bienfaits de la géographie ou hasard d'une concentration de talents. Préfères-tu végéter dans une région vide ?

Savoir bouger est un impératif. Et donc parler anglais. Les nationalistes font de l'enfumage, en appelant à la peur et rester muré dans son isolement.

il y a 5 minutes, Serguei Zoubatov a dit :

Je n'inverse rien du tout, l'ancêtre: vous ne faites que ressasser le vieux refrain de Rousseau, qui explique que ceux qui ne se plient pas au choix de la majorité doivent être rejetés de la société. Les idéologies totalitaires vont reprendre Rousseau, et appliquer cette élimination physiquement.

Par ailleurs, les conservateurs ne rejettent pas l'Autre par principe. Mais pour pouvoir apprécier l'autre à sa juste valeur, il faut déjà se connaître soi-même. Avec vous, plus d'autre ou de soi. Juste un gloubi-glouba immonde, éparse et sans goût. Qui voudrait de ça? Seuls les bourgeois déjà mondialisés, qui ne s'intéressent qu'à l'argent.

On voit ta haine suinter de ces propos discriminants et stigmatisants l'Autre, comme celui qui est ouvert. Tu veux une dictature ethnique autarcique.

il y a 1 minute, AbbéCafarelli a dit :

Tu n'as rien compris ! La globalisation gommera progressivement les disparités sociales. Comme pour l'Espagne quand elle a intégré la CEE.

Bien sûr qu'il faut chercher l'emploi là où il est. Tu auras toujours des régions plus dynamiques : bienfaits de la géographie ou hasard d'une concentration de talents. Préfères-tu végéter dans une région vide ?

Savoir bouger est un impératif. Et donc parler anglais. Les nationalistes font de l'enfumage, en appelant à la peur et rester muré dans son isolement.

Une région vide ? Il suffit d'un peu de volonté politique pour faire vivre un endroit où il n y a soi-disant rien, et où il n y a rien suite à de mauvaises décisions politiques. C'est juste ça, une question de volonté politique. Et désolé, mais le citoyen hors-sol que tu nous décris, ça n'existe que pour la bourgeoisie cosmopolite parce que 80% du peuple est enraciné. La sédentarité est d'ailleurs ce qui a donné naissance la civilisation, quand les nomades décident de se poser pour cultiver la terre, et vivre de cette dernière. Les nomades après ça, n'étaient plus guère que des marchands et des parasites.

il y a 39 minutes, AbbéCafarelli a dit :

On voit ta haine suinter de ces propos discriminants et stigmatisants l'Autre, comme celui qui est ouvert. Tu veux une dictature ethnique autarcique.

Ethnie? La France n'a jamais été fondé sur une ethnie, je ne vois pas pourquoi je me préoccuperais de ces conneries.

Et puis bon, qui déteste l'autre, hein, au vu des nombreuses imprécations que vous étalez ici?

Il y a 15 heures, Savonarol a dit :

Une région vide ? Il suffit d'un peu de volonté politique pour faire vivre un endroit où il n y a soi-disant rien, et où il n y a rien suite à de mauvaises décisions politiques. C'est juste ça, une question de volonté politique. Et désolé, mais le citoyen hors-sol que tu nous décris, ça n'existe que pour la bourgeoisie cosmopolite parce que 80% du peuple est enraciné. La sédentarité est d'ailleurs ce qui a donné naissance la civilisation, quand les nomades décident de se poser pour cultiver la terre, et vivre de cette dernière. Les nomades après ça, n'étaient plus guère que des marchands et des parasites.

T'es bien un Français, toi. T'attends toujours tout de l'Etat. Si tu veux dynamiser une région vide, investis-y ! Mais comme la plupart des gens préfèrent être salariés qu'entrepreneurs, faut pas s'étonner s'il est très conseillé de suivre l'emploi là où il existe.

Ensuite, ta sédentarisation, c'est bien joli. Mais tu t'es arrêté avant la révolution industrielle et la révolution verte. L'agriculture n'a plus besoin que 90 % de la population soit ancrée dans le rural, attachée à la glaise.

Donc il faut bouger. Mais grâce à toi, on apprend que les immigrés italiens du New York de 1900 étaient des "bourgeois" ou des parasites. T'as raison, y a que ces grosses enflures de Bourbon-Sicile et leurs valets impérialistes, ploutocratiques et réactionnaires qui ont cherché à voler le pain de la grosse pomme.

Viva la revolucion, compadre !

Il y a 15 heures, Serguei Zoubatov a dit :

Ethnie? La France n'a jamais été fondé sur une ethnie, je ne vois pas pourquoi je me préoccuperais de ces conneries.

 

Donc tu n'es pas pour la fermeture des frontières, puisqu'elles ont toujours été ouvertes. Si Français n'est pas une ethnie, c'est bien que c'est un mélange depuis toujours.

Tu as retrouvé la raison et rejoins donc le seul camp possible : celui des progressistes et des humanistes.

à l’instant, AbbéCafarelli a dit :

Donc tu n'es pas pour la fermeture des frontières, puisqu'elles ont toujours été ouvertes. Si Français n'est pas une ethnie, c'est bien que c'est un mélange depuis toujours.

Tu as retrouvé la raison et rejoins donc le seul camp possible : celui des progressistes et des humanistes.

Que la France ne soit pas fondée sur une ethnie n'en fait pas une nation ouverte à tous vents, l'ancêtre. Les démographes considèrent d'ailleurs que la composition de la population française a peu évoluée entre les années 900 et les années 1970.

Etre Français, c'est une culture, un patrimoine, un attachement à la terre. Pas considérer qu'on est un d'hôtel pour putes et clients, comme vous le faites.

il y a 8 minutes, Serguei Zoubatov a dit :

Que la France ne soit pas fondée sur une ethnie n'en fait pas une nation ouverte à tous vents, l'ancêtre. Les démographes considèrent d'ailleurs que la composition de la population française a peu évoluée entre les années 900 et les années 1970.

Etre Français, c'est une culture, un patrimoine, un attachement à la terre. Pas considérer qu'on est un d'hôtel pour putes et clients, comme vous le faites.

Que les entrées aient été peu nombreuses à la période médiévale, ça rejoint ce que j'essayais de t'expliquer et que tu captais pas sur la non-existence d'une mondialisation, c'est à dire d'échanges intercontinentaux pendant plusieurs siècles intermédiaires. Maintenant, c'est marrant que tu cites 900 car c'est l'époque des Vikings. La "France" s'est construite autour de mélanges antérieurs aux Capétiens. Pendant l'Empire romain, tu trouves des phéniciens ou des Babyloniens à Arles ou même plus au nord. Sous Charlemagne, t'as l'installation de Saxons. Bref, melting-pot, fusions, recompositions. C'est l'histoire des hommes.

Chaque pays est un havre pour le voyageur de la vie. Ce n'est pas une prison. Et ta comparaison avec les putes est sexiste. Tu veux interdire aux gens de s'aimer ? Tu es contre les mariages mixtes j'imagine. Tu retournes vers le côté obscur de la force.

à l’instant, AbbéCafarelli a dit :

Que les entrées aient été peu nombreuses à la période médiévale, ça rejoint ce que j'essayais de t'expliquer et que tu captais pas sur la non-existence d'une mondialisation, c'est à dire d'échanges intercontinentaux pendant plusieurs siècles intermédiaires. Maintenant, c'est marrant que tu cites 900 car c'est l'époque des Vikings. La "France" s'est construite autour de mélanges antérieurs aux Capétiens. Pendant l'Empire romain, tu trouves des phéniciens ou des Babyloniens à Arles ou même plus au nord. Sous Charlemagne, t'as l'installation de Saxons. Bref, melting-pot, fusions, recompositions. C'est l'histoire des hommes.

Chaque pays est un havre pour le voyageur de la vie. Ce n'est pas une prison. Et ta comparaison avec les putes est sexiste. Tu veux interdire aux gens de s'aimer ? Tu es contre les mariages mixtes j'imagine. Tu retournes vers le côté obscur de la force.

Super, on trouve deux Péniciens à Lutèce et vous en déduisez que la totalité de la Gaulle était un pays multiculturel et métissé. 

Oui, ce sont les Grecs qui ont fondés Massilia. Oui, on a eu pas mal de Romains pour venir en Gaule. Et des Ibériques, aussi. Mais pas des masses. Et surtout, après les "grandes" invasions barbares (quelques dizaines de milliers, voire une centaine de milliers au mieux), la composition ne change pas. Pas comme aujourd'hui, où on a 200 000 entrées CHAQUE ANNEE. Entrées légales. C'est incomparable.

Et les arrivants, sous Charlemagne, ils ferment leur gueule et ils se fondent dans la masse. Même les Francs se sont fondus dans la masse des Gallo-romains. Ca n'a rien d'un "melting pot" où les gens se mélangent. C'est de l'assimilation: les arrivants se fondent dans la masse. Ce qui est normal. Quand je vais chez quelqu'un, je me plie à ses règles, je vais pas direct aller chier sur la table.

L'idée qu'il soit possible faire cohabiter plusieurs cultures différentes (et je parle de culture vraiment différentes, sans liens entre elles) sur un même territoire, ça remonte à il y a 50 ans.

La France s'est faite autour des Rois, d'un territoire et d'une civilisation. Pour devenir Français, il faut abandonner son ancien soi pour se fondre là-dedans. Nous n'avons plus de Rois, mais il reste la terre et le culture.

Quant aux frontières, j'ai l'impression que vous ne comprenez pas le concept d'Etat. Un Etat, c'est un territoire délimité où vit une population et où s'exerce une politique. Qui, par définition, se limite à l'intérieur même de ces frontières. 

il y a 2 minutes, Serguei Zoubatov a dit :

Super, on trouve deux Péniciens à Lutèce et vous en déduisez que la totalité de la Gaulle était un pays multiculturel et métissé. 

Oui, ce sont les Grecs qui ont fondés Massilia. Oui, on a eu pas mal de Romains pour venir en Gaule. Et des Ibériques, aussi. Mais pas des masses. Et surtout, après les "grandes" invasions barbares (quelques dizaines de milliers, voire une centaine de milliers au mieux), la composition ne change pas. Pas comme aujourd'hui, où on a 200 000 entrées CHAQUE ANNEE. Entrées légales. C'est incomparable.

Et les arrivants, sous Charlemagne, ils ferment leur gueule et ils se fondent dans la masse. Même les Francs se sont fondus dans la masse des Gallo-romains. Ca n'a rien d'un "melting pot" où les gens se mélangent. C'est de l'assimilation: les arrivants se fondent dans la masse. Ce qui est normal. Quand je vais chez quelqu'un, je me plie à ses règles, je vais pas direct aller chier sur la table.

L'idée qu'il soit possible faire cohabiter plusieurs cultures différentes (et je parle de culture vraiment différentes, sans liens entre elles) sur un même territoire, ça remonte à il y a 50 ans.

La France s'est faite autour des Rois, d'un territoire et d'une civilisation. Pour devenir Français, il faut abandonner son ancien soi pour se fondre là-dedans. Nous n'avons plus de Rois, mais il reste la terre et le culture.

Quant aux frontières, j'ai l'impression que vous ne comprenez pas le concept d'Etat. Un Etat, c'est un territoire délimité où vit une population et où s'exerce une politique. Qui, par définition, se limite à l'intérieur même de ces frontières. 

Je comprends rien à ton laïus. T'es en train d'expliquer que le brassage était tellement insignifiant sur la réalité sociale et culturelle qu'on parle toujours le celte ? lol

Pour ta dernière remarque, ben les frontières sont celles, physiques, de la planète qui, étant une sphère, a une finitude. Content ?

à l’instant, AbbéCafarelli a dit :

Je comprends rien à ton laïus. T'es en train d'expliquer que le brassage était tellement insignifiant sur la réalité sociale et culturelle qu'on parle toujours le celte ? lol

Pour ta dernière remarque, ben les frontières sont celles, physiques, de la planète qui, étant une sphère, a une finitude. Content ?

Il n'y a pas eu brassage culturel, l'ancêtre.

Et il n'y a aucune unité culturel en ce bas monde, donc pas d'unité mondiale, donc pas d'Etat-monde. C'est une utopie ennuyeuse et dangereuse.

à l’instant, Serguei Zoubatov a dit :

Il n'y a pas eu brassage culturel, l'ancêtre.

 

Donc, là, on est en train d'écrire en celte, avec alphabet ogham. C'est ça ? On en apprend tous les jours avec toi, mon lapinou.

Il y a 3 heures, AbbéCafarelli a dit :

T'es bien un Français, toi. T'attends toujours tout de l'Etat. Si tu veux dynamiser une région vide, investis-y ! Mais comme la plupart des gens préfèrent être salariés qu'entrepreneurs, faut pas s'étonner s'il est très conseillé de suivre l'emploi là où il existe.

Ensuite, ta sédentarisation, c'est bien joli. Mais tu t'es arrêté avant la révolution industrielle et la révolution verte. L'agriculture n'a plus besoin que 90 % de la population soit ancrée dans le rural, attachée à la glaise.

Donc il faut bouger. Mais grâce à toi, on apprend que les immigrés italiens du New York de 1900 étaient des "bourgeois" ou des parasites. T'as raison, y a que ces grosses enflures de Bourbon-Sicile et leurs valets impérialistes, ploutocratiques et réactionnaires qui ont cherché à voler le pain de la grosse pomme.

 

Les immigrés dont tu parles étaient précisément en quête de sédentarisation parce qu'on ne produit rien hors-sol. Mais c'est intéressant, parce que les mouvements migratoires auxquels tu fais allusion sont le produit de fuites successifs, et non d'un genre de programme philanthrope mondialiste. En réalité, lorsque le péquin quitte sa terre, c'est très souvent parce qu'il y est obligé. Soit par la guerre, soit par l'économie en berne de son pays, et en réalité le but n'est pas de favoriser la fuite des travailleurs mais bien d'organiser les moyens de les épanouir à l'endroit où ils vivent. Bel aveu d'échec que de faire l'apologie de la fuite comme si c'était une sorte de progrès.

il y a 3 minutes, Savonarol a dit :

Les immigrés dont tu parles étaient précisément en quête de sédentarisation parce qu'on ne produit rien hors-sol. Mais c'est intéressant, parce que les mouvements migratoires auxquels tu fais allusion sont le produit de fuites successifs, et non d'un genre de programme philanthrope mondialiste. En réalité, lorsque le péquin quitte sa terre, c'est très souvent parce qu'il y est obligé. Soit par la guerre, soit par l'économie en berne de son pays, et en réalité le but n'est pas de favoriser la fuite des travailleurs mais bien d'organiser les moyens de les épanouir à l'endroit où ils vivent. Bel aveu d'échec que de faire l'apologie de la fuite comme si c'était une sorte de progrès.

Ce que t'appelles "fuite", c'est déplacement. Je crois pas savoir que les Français d'origine algérienne ont interdiction de conserver quoi que ce soit au pays.

Et y a encore plus fou, des gens changent plusieurs fois d'endroit au cours de leur vie. Dingue, non ?

Mais personne t'oblige à quitter ton clocher et ton lavoir si ça te fait si peur. J'espère que t'es paysan en ce cas.

Il y a 3 heures, AbbéCafarelli a dit :

Ce que t'appelles "fuite", c'est déplacement. Je crois pas savoir que les Français d'origine algérienne ont interdiction de conserver quoi que ce soit au pays.

Et y a encore plus fou, des gens changent plusieurs fois d'endroit au cours de leur vie. Dingue, non ?

Mais personne t'oblige à quitter ton clocher et ton lavoir si ça te fait si peur. J'espère que t'es paysan en ce cas.

Quand on part d'un endroit parce qu'on ne peut techniquement plus y vivre, ça s'appelle fuir. Quand on s'arrange pour amener le travail et la production à proximité du citoyen et non l'inverse, ça s'appelle le bon sens et en plus tout le monde est gagnant. Celui qui produit, celui qui consomme. le seul qui n'y trouve pas son compte, c'est l'intermédiaire, mais celui-là est un parasite, donc on s'en branle.

Il y a 21 heures, Savonarol a dit :

Quand on part d'un endroit parce qu'on ne peut techniquement plus y vivre, ça s'appelle fuir. Quand on s'arrange pour amener le travail et la production à proximité du citoyen et non l'inverse, ça s'appelle le bon sens et en plus tout le monde est gagnant. Celui qui produit, celui qui consomme. le seul qui n'y trouve pas son compte, c'est l'intermédiaire, mais celui-là est un parasite, donc on s'en branle.

Je t'ai répondu mais tout a été effacé. Je te disais notamment que certains restent pas encroutés toute leur vie au même endroit mais bougent plusieurs fois. Et c'est très bien. Ca évite de sombrer dans le fanatisme identitaire. Aère-toi. Visite le vaste monde et tu ne refuseras plus d'accueillir l'Autre près de toi.

il y a une heure, AbbéCafarelli a dit :

Je t'ai répondu mais tout a été effacé. Je te disais notamment que certains restent pas encroutés toute leur vie au même endroit mais bougent plusieurs fois. Et c'est très bien. Ca évite de sombrer dans le fanatisme identitaire. Aère-toi. Visite le vaste monde et tu ne refuseras plus d'accueillir l'Autre près de toi.

Je connais ce genre de réponse typique de nomade parasite. Tout le monde ne vit pas d'abstractions, et la visite du vaste monde n'est pas la même aventure selon que tu le visites en manutentionnaire ou en grand bourgeois. Demande aux migrants s'ils kiffent risquer leur vie sur des bateaux de fortunes.

Il y a 5 heures, AbbéCafarelli a dit :

Je t'ai répondu mais tout a été effacé. Je te disais notamment que certains restent pas encroutés toute leur vie au même endroit mais bougent plusieurs fois. Et c'est très bien. Ca évite de sombrer dans le fanatisme identitaire. Aère-toi. Visite le vaste monde et tu ne refuseras plus d'accueillir l'Autre près de toi.

J'ai déjà été plusieurs fois à l'étranger, y compris une année entière pour étudier. Et pas en Belgique, hein, de l'autre côté de l'Atlantique. J'ai adoré ça. Il n'empêche qu'il me manquait quelque chose, d'indéfinissable, que je n'ai retrouvé qu'une fois sur le sol de France.

Donc vos délires de nomades...

Il y a 5 heures, Savonarol a dit :

Je connais ce genre de réponse typique de nomade parasite. Tout le monde ne vit pas d'abstractions, et la visite du vaste monde n'est pas la même aventure selon que tu le visites en manutentionnaire ou en grand bourgeois. Demande aux migrants s'ils kiffent risquer leur vie sur des bateaux de fortunes.

Les migrants quittent des pays sans avenir, pour justement démarrer une vie nouvelle. Ils ne s'accrochent pas à un vieux tronc calciné.

Le programme Erasmus devrait en fait être rendu obligatoire, pour permettre aux jeunes de s'abreuver de conceptions des autres pays modernes, surtout ceux du monde anglo-saxon, où le dynamisme entrepreneurial est grand.

Le service civique pourrait aussi faire passer ce message d'altruisme, en permettant aux jeunes générations d'aider à gérer des camps d'accueil ou à faire de l'humanitaire. Ca t'aurait rendu plus ouvert. Mais il n'est pas trop tard pour que tu fasses bien.

il y a une heure, Serguei Zoubatov a dit :

J'ai déjà été plusieurs fois à l'étranger, y compris une année entière pour étudier. Et pas en Belgique, hein, de l'autre côté de l'Atlantique. J'ai adoré ça. Il n'empêche qu'il me manquait quelque chose, d'indéfinissable, que je n'ai retrouvé qu'une fois sur le sol de France.

Donc vos délires de nomades...

Qu'est-ce qui te manquait ? Ta chambre d'enfant ? Ne songe plus par rapport à un enfermement communautaire dans ton bocage. Accepte le monde comme une mosaïque colorée et vivante.

il y a 51 minutes, AbbéCafarelli a dit :

Les migrants quittent des pays sans avenir, pour justement démarrer une vie nouvelle. Ils ne s'accrochent pas à un vieux tronc calciné.

Le programme Erasmus devrait en fait être rendu obligatoire, pour permettre aux jeunes de s'abreuver de conceptions des autres pays modernes, surtout ceux du monde anglo-saxon, où le dynamisme entrepreneurial est grand.

Le service civique pourrait aussi faire passer ce message d'altruisme, en permettant aux jeunes générations d'aider à gérer des camps d'accueil ou à faire de l'humanitaire. Ca t'aurait rendu plus ouvert. Mais il n'est pas trop tard pour que tu fasses bien.

 

Les migrants fuient des endroits pourris par la guerre ou la misère, purée mais tu crois vraiment que les flux migratoires massifs sont dûs à un genre de goût de l'aventure de ceux qui risquent leur vie, abandonnent leur passé, leur pays et leur culture pour se retrouver dans des endroits froids et hostiles ? Dans quel monde tu vis ? Si ils le pouvaient, c'est à dire si les pays d'où ils partent étaient en paix et leur fournissait de quoi vivre, tu crois qu'ils risqueraient leur vie pour l'Europe ? Après la philanthropie coloniale des populations sauvages qui sont bien contentes de se faire génocider au nom du progrès, la vague de migration "club med" selon Abbécafarelli.

Le plus flippant c'est que tu puisses vraiment croire à toutes ces absurdités que tu me sors.