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Non, en français le masculin ne l'emporte pas sur le féminin : il s'agit d'invariabilité !


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lucdf Membre 4 113 messages
Forumeur balbutiant‚
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Il y a 2 heures, PLS maker a dit :

Je suis très fière de ma société. Je suis très fière qu’elle soit à ce point avancée quant à l’égalité entre les hommes et les femmes. J’ai d’ailleurs beaucoup apprécié cet article que la sexologue Jocelyne Robert a publié dans le Nouvel observateur au sujet du nom des femmes françaises qui change au gré des maris…

Mais dire qu’une auteure n’est pas un auteur, qu’une présidente n’est pas un président ou qu’une chercheuse n’est pas un chercheur, ce n’est pas la même chose que dire que les étudiants sont des étudiantes et des étudiants, ou que les Québécois sont des Québécoises et des Québécois.

C’est qu’il existe une forme invariable en français.

Pour bien comprendre là où je veux en venir, il importe de comprendre le concept de marque en linguistique. Je dirai brièvement que la marque est un symbole utilisé pour faire des oppositions. Par exemple, le -s, en français, est la marque écrite du pluriel. S’opposent donc deux formes: la forme marquée, qui est au pluriel et qui s’écrit avec un -s, et la forme non marquée, qui est au singulier et qui s’écrit sans -s.

En français, la marque écrite* du féminin est le -e final. La forme non marquée, sans le -e, est donc au masculin. Mais cela ne s’arrête pas là. Prenons les phrases suivantes:

La tarte que j’ai mangée était très sucrée.
Le gâteau que j’ai mangé était très sucré.

Dans la première phrase, le mot mangée possède la marque du féminin, alors que dans la deuxième, mangé possède la non-marque, qui symbolise le masculin. Jusqu’ici, tout va bien. Mais prenons une troisième phrase:

J’ai mangé une tarte très sucrée.

Ici, mangé est non marqué. Mais il n’est pas au masculin. Il est invariable. C’est donc dire qu’en français, la forme non marquée, en plus de symboliser le masculin, symbolise également l’invariabilité.

Article en entier ici : De l'invariabilité en français

(C'est moi qui souligne dans ce texte)

Un point de vu intéressant sur le sujet :) 

Quand les linguistes légitiment l’illégitime. Il fallait juste y penser. :hello:

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Invité
Invités, Posté(e)
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Les linguistes se contentent de décrire, et donc de poser des mots sur des phénomènes qu'ils observent, en en démontrant la pertinence. RAF des légitimités :p 

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Membre, forumeur éclairé, 55ans Posté(e)
Lugy Lug Membre 10 224 messages
55ans‚ forumeur éclairé,
Posté(e)
il y a 7 minutes, PLS maker a dit :

Votre esprit critique éveillé aura éludé, inconsciemment j'en doute pas, l'exemple que je lui ai opposé : 

"Les étudiants sont bêtes ; ils manifestent sans cesse" où seul "ils" peut reprendre un nom invariable, "étudiants" comprenant évidemment des étudiants et des étudiantes. 

oui , vous pouvez bien répéter sans fin les évidences de la langue française, cela ne change rien au fait que le masculin l'emporte sur le féminin sur les principes de groupe et je pense qu'il aurait été souhaitable que notre langue s'attribut une troisième désignation non genré. 

comme je vous l'ai fait remarquer , la langue française attribue un genre à tout les mots donnant une signification idiote est inutilement sexiste comme une tortue mâle sera toujours une tortue et un escargot bien qu'hermaphrodite sera toujours masculin.

après, peut ont ou doit ont changer notre langue, c'est une grande question à laquelle je ne saurais répondre.

peut on y apporter quelques modification, sans doute puisque cela à déjà été fait de nombreuse fois, ainsi par exemple de nombreuse désignation professionnel ont été féminisé alors que le principe du masculin tenait depuis des lustres.

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Membre, 56ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 56ans‚
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il y a 38 minutes, PLS maker a dit :

Qui ça ? Clovis ? Le gars qui parlait une langue germanique ? :rofl:

Le genre neutre a existé, puis a disparu ^^ La langue a choisi la forme au masculin comme forme invariable, pourquoi ? Parce que le féminin est une marque à rajouter à l'écrit (comme préciser dans l'article) et donc non invariable. 

nous sommes à l'ère du patriarcat ! c'est le masculin qui l'emporte. la majorité des noms de famille viennent du père

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il y a 11 minutes, Lugy Lug a dit :

 je pense qu'il aurait été souhaitable que notre langue s'attribut une troisième désignation non genré. 

La langue ne l'a pas estimé utile, puisque la désignation non genrée a disparu du français ! Ou plutôt, il s'est intégré au masculin, devenu par ailleurs forme de l'invariable, notion plus pertinente que l'idée de genre "masculin" pour expliquer le recours de cette forme quand les deux genres sont présents ! 

il y a 15 minutes, Lugy Lug a dit :

comme je vous l'ai fait remarquer , la langue française attribue un genre à tout les mots donnant une signification idiote est inutilement sexiste comme une tortue mâle sera toujours une tortue et un escargot bien qu'hermaphrodite sera toujours masculin.

Merci de montrer que le genre grammatical n'apporte pas systématiquement de sens aux mots ^^" 

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il y a 18 minutes, Lugy Lug a dit :

peut on y apporter quelques modification, sans doute puisque cela à déjà été fait de nombreuse fois, ainsi par exemple de nombreuse désignation professionnel ont été féminisé alors que le principe du masculin tenait depuis des lustres.

Ce n'est pas le sujet. Le sujet, c'est pourquoi on recourt à la forme du masculin quand les deux genres sont présents. L'explication de la linguiste est simple : le masculin tient lieu de forme invariable en français, contrairement au féminin : s'il faut lui rajouter quelque chose pour le faire passer au féminin, alors ce n'est pas une forme invariable, donc elle ne peut assumer la présence des deux genres. 

 

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 128 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

Vos affirmations sont contestables.

La lettre  S n'est pas FORCEMENT la marque d'un pluriel. Il est des mots en français qui se terminent par S naturellement sans qu'ils soient représentés en grand nombre:

le temps, le puits, le relais, le tas,le pas ,le repas,une fois, le ris de veau,le pis de la vache,longtemps, sans, autrefois,le bas,un gars,le chas (d'une aiguille) hélas,un amas,le fatras, un mas,un appas,le taffetas, le vasistas, le bois....

Et puis vous oubliez la lettre X qui est un marqueur de pluriel et qui a les mêmes problèmes,ne dit on pas:

La toux,la poix,la noix, le choix,la voix, le portefaix, la paix...

et le problème des mots en Z qui ne prennent pas de S au pluriel:

les nez, les rez( de chaussée),les riz, les raz (de marée, les gaz....

La lettre E à la fin d'un nom n'est pas non plus la marque absolue d'un féminin:

Ne dit-on pas le caducée, le sigisbée, le périnée,le macchabée, un coryphée...

Mes listes ne sont pas complètes loin de là....

D'autre part rien n'est moins invariable qu'un participe passé.je vous démontrerai cela tout à l'heure en utilisant votre propre exemple.

D'abord,est qualifié d'invariable un mot dont la forme ne change pas QUELQUE SOIT LE GENRE EMPLOYE DANS LE  CONTEXTE de la phrase...

Ce sont souvent des adverbes et des prépositions, un verbe à l'infinitif,ou au participe présent,les pronoms réfléchis et les noms cités ci dessus(ex poliment, gentiment, près, vite, à, de ,pour,sans, par....)

Ex:il m'a parlé poliment sans crier, en me regardant.

Elle m'a parlé poliment sans crier, en me regardant.

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Invités, Posté(e)
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il y a 20 minutes, querida13 a dit :

Vos affirmations sont contestables.

La lettre  S n'est pas FORCEMENT la marque d'un pluriel

(...)

La lettre E à la fin d'un nom n'est pas non plus la marque absolue d'un féminin

Je ne vois pas où est-ce que j'ai affirmé cela :hum:

Désolé si par soucis de clarté je ne me suis pas cru obligé de rappeler tous les pluriels possibles en français... 

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Invités, Posté(e)
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Posté(e)
il y a 22 minutes, querida13 a dit :

D'autre part rien n'est moins invariable qu'un participe passé.

Tout dépend de l'optique où l'on se place. 

Si on se place d'un point de vu normatif, effectivement, le participe passé connaît encore pas mal de flexions sous l'influence du genre et du nombre de l'objet. 

Si on se place d'un point de vu descriptif en revanche, désolé, mais si, notre participe passé tend à s'invariabiliser : à l'oral, où sont les "s", les "e" et les "es" ? Ils sont de moins en moins présents, ils ne sont parfois même plus audibles, et pourtant la communication n'en est pas moins claire. C'est tellement accessoire que l'EN tolère l'absence d'accord avec l'auxiliaire avoir dans de nombreux cas.

Vos affirmations ne sont pas fausses du point de vu du grammairien, mais elles ne sont pas vrai du point de vu de la linguiste qui a écrit l'article présenté en début de sujet, qui parle "d'invariabilité en genre" (je la cite), pas des mots invariables ;)

Par ailleurs, inutile de gâcher votre temps à essayer de me reprendre sur mes propres exemples, car ce n'est pas le sujet ! 

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 128 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)
il y a 27 minutes, PLS maker a dit :

Je ne vois pas où est-ce que j'ai affirmé cela :hum:

Désolé si par soucis de clarté je ne me suis pas cru obligé de rappeler tous les pluriels possibles en français... 

Dans votre premier post  vous avez écrit, je vous cite:

<<Par exemple le S en français EST LA MARQUE ECRITE DU PLURIEL>> (moi je vous réponds:pas forcément et je vous le prouve!)

et vous continuez; je vous cite:<<S'opposent donc deux formes:

-la forme marquée qui est au pluriel et s'écrit avec un S

-La forme non marquée qui est au singulier et s'écrit sans S >>.

Ce à quoi je vous réponds: rien n'est aussi manichéen en français parce qu'il existe plusieurs formes de pluriel que celles en S: celles en Z et en X.(voir listes de mon post précédent)

Et que les mots qui se terminent déjà par S,X Z au singulier ne prennent pas d'S au pluriel.donc cela signifie qu'il y a des mots s'écrivant naturellement en S au singulier et que votre postulat  de départ n'est  pas vraiment exact.

Dan votr premier post égalementvous écrivez:

<<La marque écrite du féminin est le -E final, la forme non marquée sans le -e est au masculin>>

 Si c'est souvent le cas, je vous rappelle cependant quelques exceptions où des masculins finissent en -ée, dans mes listes, certainement incomplètes.

 

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Invités, Posté(e)
Invité
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Purée, mais c'est pas moi, c'est la linguiste dont je cite l'article :D

Et elle résume globalement comment se forme le pluriel, elle n'avait pas dessein de lister exhaustivement les terminaisons pluriel existant en français. Ce n'est pas l'objet de sa démonstration. 

Mais si elle le dit, c'est bien parce que "s" est la marque du pluriel la plus productive en français. Le pluriel en aux des noms en -al n'est plus réservé qu'à une liste fermé de mots, les autres bénéficiant d'un pluriel en s (bal, carnaval...). 

Mais encore une fois : Ce n'est pas le sujet ! 

Je peux ouvrir un topic sur l'invariabilisation dans la langue française, le sujet est passionnant, mais pas ici où on parle de la façon de décrire un phénomène bien connu en français : le recourir à une forme identique au masculin pour les cas où les deux genres sont présents. Merci. 

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 128 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

Vos affirmations sont contestables.

La lettre  S n'est pas FORCEMENT la marque d'un pluriel.Il est des mots en français qui se terminent par S naturellement sans qu'ils soient représentés en grand nombre:

le temps, le puits, le relais, le tas,le pas ,le repas,le ris de veau,le pis de la vache,longtemps, sans ....

Et puis vous oubliez la lettre X qui est un marqueur de pluriel et qui a les mêmes problèmes,ne dit on pas:

La toux,la poix,la noix, le choix, le portefaix, la paix...

et le problème des mots en Z qui ne prennent pas de Sau pluriel:

les nez, les rez( de chaussée),les riz, les raz (de marée)....

La lettre E à la fin d'un nom n'est pas non plus la marque absolue d'un féminin:

Ne dit-on pas le caducée, le sigisbée, le périnée,le macchabée...

Mes listes ne sont pas complètes loin de là....

D'autre part rien n'est moins invariable qu'un participe passé.je vous démontrerai cela tout à l'heure en utilisant votre propre exemple.

D'abord,est qualifié d'invariable un mot dont la forme ne change pas QUELQUE SOIT LE GENRE EMPLOYE DANS LE  CONTEXTE...

Ce sont souvent des adverbes et des prépositions, un verbe à l'infinitif,ou au participe présent,les pronoms réfléchis(ex poliment, gentiment, près, vite, à, de ,pour,sans, par....)

Ex:il m'a parlé poliment sans crier, en me regardant.

elle m'a parlé poliment sans crier, en me regardant.

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Invités, Posté(e)
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C'est HORS SUJET ! Purée :mur: 

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Invité Lucy Van Pelt
Invités, Posté(e)
Invité Lucy Van Pelt
Invité Lucy Van Pelt Invités 0 message
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Il y a 5 heures, Marpletree a dit :

Ah qu'ils sont donc pointilleux ces québécois et québécoises !

(Ils ? Pourquoi ils d'abord ????)

Parce que le masculin l'emporte sur le féminin !:facepalm:

Ah qu'ils sont donc chialeux (raleurs) ces français et françaises.

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il y a 9 minutes, Lucy Van Pelt a dit :

Ah qu'ils sont donc chialeux (raleurs) ces français et françaises.

Correction en plein dans le sujet :hehe:

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 128 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)
Il y a 3 heures, PLS maker a dit :

Qui ça ? Clovis ? Le gars qui parlait une langue germanique ? :rofl:

Le genre neutre a existé, puis a disparu ^^ La langue a choisi la forme au masculin comme forme invariable, pourquoi ? Parce que le féminin est une marque à rajouter à l'écrit (comme préciser dans l'article) et donc non invariable. 

Il y a là aussi matière à creuser:au moyen-âge le support des écrits sont  des parchemins, c'est à dire de la peau de veau (vélin) tannée.Il faut se dire qu'à cette époque le livre est un support rare et cher écrit le plus souvent par des moines à la main!Lorsque vous tenez un livre vous avez la peau du troupeau entre vos mains.L'encre était chère, le support aussi alors on les économisait d'abord en utilisant de abréviations(des tildes,mini lettres souscrites) et je suppose que de prendre comme convention de faire emporter le masculin sur le féminin a pu être une mesure d'économie des matières premières.

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Invités, Posté(e)
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il y a 11 minutes, querida13 a dit :

je suppose que de prendre comme convention de faire emporter le masculin sur le féminin a pu être une mesure d'économie des matières premières.

Ou alors c'est parce que le genre masculin, ayant absorbé le genre neutre, a depuis longtemps constitué le genre "non-marqué" pouvant donc exprimer indifféremment l'un et l'autre des deux genres, tandis que le féminin, marqué lui, ne peut marquer QUE le féminin ^^"

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Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 128 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)
Il y a 3 heures, PLS maker a dit :

Qui ça ? Clovis ? Le gars qui parlait une langue germanique ? :rofl:

Le genre neutre a existé, puis a disparu ^^ La langue a choisi la forme au masculin comme forme invariable, pourquoi ? Parce que le féminin est une marque à rajouter à l'écrit (comme préciser dans l'article) et donc non invariable. 

Il y a là aussi matière à creuser:au moyen-âge le support des écrits sont les parchemins, c'est à dire de la peau de veau (vélin) tannée.li faut se dire qu'à cette époque le livre est un support rare et cher écrit le plus souvent par des moines copistes, à la main!Lorsque vous tenez un livre vous avez la peau du troupeau entre vos mains.L'encre était chère, le support aussi alors on les économisait d'abord, en utilisant de abréviations(des tildes,des mini lettres souscrites) et je suppose que de prendre comme convention de faire emporter le masculin sur le féminin a pu être une mesure d'économie des matières premières.

De manière générale à cette époque , le savoir écrit était propagé  par les moines érudits et a été mis en sécurité dans de abbayes fortifiées au temps où les  grandes invasions et leurs dévastations rendaient le produit culturel  très périssable et inflammable!

De plus l'environnement monacal n'est pas connu pour sa forte fréquentation féminine...Je pense que le fait que le masculin l'emporte sur le féminin devait aller de soi à l'époque! Les femmes, incultes, et peu présentes dans" l'édition" n'y voyaient certainement rien à redire.

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il y a 2 minutes, querida13 a dit :

De manière générale à cette époque , le savoir écrit était propagé  par les moines érudits et a été mis en sécurité dans de abbayes fortifiées au temps où les  grandes invasions et leurs dévastations rendaient le produit culturel  très périssable et inflammable!

De plus l'environnement monacal n'est pas connu pour sa forte fréquentation féminine...Je pense que le fait que le masculin l'emporte sur le féminin devait aller de soi à l'époque! Les femmes, incultes, et peu présentes dans" l'édition" n'y voyaient certainement rien à redire.

Vous oubliez deux choses : 

- Ces moines écrivaient essentiellement en LATIN ! 

- Ce n'est pas le sujet ! 

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Membre, forumeur éclairé, 55ans Posté(e)
Lugy Lug Membre 10 224 messages
55ans‚ forumeur éclairé,
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Il y a 2 heures, PLS maker a dit :

Le sujet, c'est pourquoi on recourt à la forme du masculin quand les deux genres sont présents.

les explications données , notamment par cette linguiste que vous citez, disent le comment et non le pourquoi.

vos explications laisse supposer qu'une forme non genrée eu existé puis disparu comme ça, avec le temps et sans autre forme d'influence.

c'est votre opinion, le mien est autre. cette forme d'assimilation dans le genre masculin est essentiellement issue de la croyance chrétienne de notre peuple qui à porté et influencé ce principe basé sur les fondements patriarcale de son histoire, il ne faut pas oublier que le peuple français n'est devenu lettrée que depuis peu et que la maîtrise et la transmission de l'écriture et des langues en général, à été depuis l'aube de l'humanité le domaine de l'église.

la ou il serait intéressant d'avoir l'avis d'un linguiste sur la question serait dans l'étude de langue de civilisation matriarcale comme la langue celte par exemple.

j'ai personnellement une vision plus oriental de la chose, pour moi le genre commun à l'homme et la femme n'est pas l'homme mais l'humanité est l'on ne devraient pas dire les hommes mais par exemple les humains mais le problème est que tout les mots on un principe M/F et il n'y à donc aucun mots, il me semble qui aurait une signification non genrée et je trouve ça dommage.

 

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