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Le sentiment de l'absurde peut-il nous rendre heureux ?

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Invité Yokkie
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il y a 13 minutes, swam a dit :

Selon moi Sisyphe n'en a rien a faire d'étudier son rocher, de l'esthétiser, il trouve son "bonheur" dans le fait de repousser toujours ce qui l'écrase, d'exercer sa force, de ne pas renoncer.

Plus l'ennemi est fort plus cela prouve notre force.

Sisyphe est le héros de l'absurde de Camus.

Sisyphe enseigne la fidélité supérieure qui nie les dieux et soulève les rochers», écrit Albert Camus. 
Le héros bâtit, selon lui, un «univers désormais sans maître». «Le chemin importe peu, la volonté d'arriver suffit à tout». Une façon de dire que la vie vaut d'être vécue, malgré son absurdité.

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Il y a 3 heures, swam a dit :

Non le probème de l'absurde c'est: 

Est ce que la vie vaut la peine d'être vécue ?

A quoi ça sert tout ça ?

Qu'est ce qui a une importance ?

Qu'est ce que je fais la ?

Ces questions sont-elles légitimes, ou sont-elles la résultante de quelques symptômes de la dépression ?:hum:

Blague mise à part :
La vie vaut la peine d'être vécue, quand on lui (re)connaît ces bien-faits.
"Tout ça" sert, ce pour quoi tu as envie de servir.
Les valeurs morales (personnelle ou commune), la loi (droit, devoir, justice) et la raison définissent ce qui est important (en espérant que se soit vraiment le cas, personne n'est à l’abri de l'erreur).
Tu viens sur ce forum, pour discuter avec des gens. Si tu parles de l'existence : tes parents t'on créer (je l'espère pour toi) par amour (car ce n'est pas toujours le cas :() ; Et maintenant que tu es majeur et mature, c'est a toi de voir ce que tu veux faire là (un but ? des envies ? des passions ? un rêve ?) !

Ce qui est malheureux, c'est que beaucoup de personnes peuvent se poser ces questions, et les sectes religion ramasse large leur fidèle avec leur réponse toutes faites (comme moi..., sauf que moi, ça va plus loin que "parce que dieu" et "servez Dieu, servez moi").

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zeugma Membre 670 messages
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Il y a 4 heures, hdbecon a dit :

je vous cite en rouge et vous paraphrase en noir...

Il y a une différence entre le penser et le faire. tout à fait mais je ne les ai jamais pris sous le même rapport de potentialité...La notion de potentialité tendant vers l'infini s'entend pour la pensée. oui même si il faut préciser, infini en acte et infini en puissance lorsque l'on parle de l'infini de la pensée... La concrétisation suit loin derrière. elle suit, elle suit....oui dans le cas où l'intelligibilité permet une application pratique, mais dans certains cas, la pensée reste spéculative...Première circonvolution. pas nécessairement, la pensée en vue d'une application est linéaire, c'est à dire qu'elle pose une direction objective : "l’œuvre à accomplir",en plus de son propre ordonnancement d'étapes, qui de fait est unidirectionnel, puisqu'il doit être un enchaînement logique de phases réalisables.. Dans un monde esthétisé de fait, le nécessaire et le superflu sont plus complexes à circonvenir. oui tout à fait, le monde esthétisé pose une prévalence de la forme sur l'acte et de la réalisation finale sur l'efficacité, ce qui rend plus difficile à endiguer selon des normes idéelles ou pratiques, comme les lois ou les contracts...Qu'est-ce que le nécessaire..? pour moi ce qui ne peut être autrement, ni en pensée, ni en pratique... Manger, boire, se reproduire, dormir, survivre. oui, avec un bémol sur "se reproduire", car la reproduction n'oblige que celles et ceux qui choisissent, en conformité à leur instinct de reproduction, de passer à l'acte, mais ce n'est pas au même niveau de survie que les autres spécificités de votre liste, qui d'ailleurs a exclus "respirer" et inclus "survivre", sans doute parce que vous pensiez à la sécurisation pour le verbe "survivre" et que la respiration vous semblait acquise comme réflexe, mais vous savez de nos jours la qualité de l'air doit être prit en compte comme un facteur de survie, alors...Tous les efforts de la pensée ne devraient, dans un monde raisonnable, tendre qu'à ces fins. là encore je dis oui, car en effet en toute pensée et tout acte, la fin ne fait pas que  : justifier les moyens, mais les ordonne et les rend viables (entendu comme ce qui est tourné vers la vie), dans le cas opposé, ces choses nécessaires sont remplacés par bien d'autres actes ou perception qui conséquemment dégrade la vie...Or, nous vivons, du fait de notre conscience d'être au monde, dans notre rapport à celui-ci, dans le superflu. encore oui, mais à cause des choix de développement qui ont mit de coté le nécessaire vital, et inclus un superflus d'artifice, cela est donc une privation, donc un mal, non pas absolu, mais relatif à l'ampleur de l'usage et de la prévalence de l'intelligibilité que ce superflus impose...La conscience humaine, même, ne peut-elle pas se considérer dans ce contexte de l'absurde comme superflue..? de fait oui si elle se soumet à son vécu décrypté psychologiquement comme cause de son instabilité, mais il reste les points de stabilités que la conscience peut trouver hors de son vécu psychique et qui lui donne des occasions nécessaires pour penser et agir, ex: l'amour et le service à autrui...Après tout, si le monde est absurde, notre pouvoir de connaissance, de réflexion ne l'est-il pas plus encore, dans son caractère, vain..? là, ne pas confondre ce que nous avons fait comme absurdités en pensées et en actes et ce que le monde naturel porte comme difficultés inhérentes à la survie, si la connaissance et la réflexion sont vaines, c'est que nous leurs avons attribué une autorité, alors qu'elles n'ont que le pouvoir de nous donner des éléments discusifs pour notre recherche de bonheur et de survie...C'est le sens de "l'à quoi bon" que je rajouterais au pourquoi. Dès lors, le superflu ne devient-il pas nécessaire à l'homme, certes nous pouvons avoir "un coup de mou" là où nous voyons que tous les efforts tant intellectuels que pratiques nous ont conduit dans des impasses écologiquement tragiques et économiquement fragiles, mais reste que, le pourquoi ultime laissé de coté par le comment qui dévore, la pensée et la matière de ce monde dans notre modernité, revient toujours nous "parler" de l'exigence de la vie et du bonheur comme point réalisable et nécessaire justement, ainsi le superflus et la vision esthétique du monde ne sont nécessaire que si ils sont sous-tendus par la vie et la recherche du bonheur... comme seul moyen d'exprimer sa conscience..? c'est dans cette recherche que s'exprime naturellement sa conscience d'être au monde il me semble ... La philosophie, dans le cadre de l'absurde, est superflue : la philosophie est comme une digue et un embarcadère, elle fait que les lames de l'absurde se brise et permet quelques fois de monter à bord d'un vaisseau qui a dans ces cales du ravitaillement et comme destination les rivages de nouvelles terres à découvrir... pourtant, nous sommes ici à discuter ensemble. Parce que ce superflu nous est nécessaire : inversement je dirais que "discuter" est la nécessité de la gratuité, qui admet une nuance à la superfluité en proposant un partage concret et vivifiant pour nos intelligences, mais aussi une coopération et un sens de l'interdépendance pour nos volontés...  nous sommes nés pour réfléchir, inventer, quand bien même dans l'absolu, cela est vain :sommes nous nés pour cela ou pour trouver au travers de notre inventivité et de notre réflexion un bien commun capable de nous unir et de nous rendre désireux les uns des autres ? l'absolu, qui est un infini en acte nous permet de nous mettre humblement au service les uns des autres et de ne pas en tirer avantage et domination, heu, c'est ce qui serait souhaitable...  nous poussons notre rocher. Il faut imaginer Sisyphe heureux...pour finir si ce rocher est allégoriquement ce que d'autres appellent "la destiné", il va sans dire qu'elle est l'inconnue/connue et la connue/inconnue, car il y a en effet une part d'imagination dans toute projection de la destiné humaine, mais cela est notre sort, en ce que nous sommes comme être vivants animés d'une complexité historique stratifiée par une épigénétique évolutive, spécifique à notre espèce, c'est ainsi, nous devons assumer les pensées et les actes de nos prédécesseurs autant que de faire face au choix discutables de nos contemporains, ce qui nous est autant une motivation pour notre agir, qu'une intentionnalité pour notre intelligence volontaire à vivre malgré tout, h e u r e u x...

bien à vous...

 

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Posté(e)
il y a une heure, Demonax a dit :

Ces questions sont-elles légitimes, ou sont-elles la résultante de quelques symptômes de la dépression ?:hum:

Blague mise à part :
La vie vaut la peine d'être vécue, quand on lui (re)connaît ces bien-faits.
"Tout ça" sert, ce pour quoi tu as envie de servir.
Les valeurs morales (personnelle ou commune), la loi (droit, devoir, justice) et la raison définissent ce qui est important (en espérant que se soit vraiment le cas, personne n'est à l’abri de l'erreur).
Tu viens sur ce forum, pour discuter avec des gens. Si tu parles de l'existence : tes parents t'on créer (je l'espère pour toi) par amour (car ce n'est pas toujours le cas :() ; Et maintenant que tu es majeur et mature, c'est a toi de voir ce que tu veux faire là (un but ? des envies ? des passions ? un rêve ?) !

Ce qui est malheureux, c'est que beaucoup de personnes peuvent se poser ces questions, et les sectes religion ramasse large leur fidèle avec leur réponse toutes faites (comme moi..., sauf que moi, ça va plus loin que "parce que dieu" et "servez Dieu, servez moi").

La on entre dans ce qui me semble interessant.

 

Toute personne qui a une conscience est motivée par quelque chose, a la base.

Et sans doute que cette chose est différente selon les personnes.

Est ce que c'est l'origine de l'expression: " tout le monde cherche son chat" ?

 

Alors tout dépend de ce que l'on cherche, de ce dont on a besoin:

Ambition sociale, plaisirs hédonistes --> facile, ça ne demande pas de s'interroger sur le sens.

 

 

 

 

 

 

 

 

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il y a 25 minutes, zeugma a dit :

je vous cite en rouge et vous paraphrase en noir...

Il y a une différence entre le penser et le faire. tout à fait mais je ne les ai jamais pris sous le même rapport de potentialité...La notion de potentialité tendant vers l'infini s'entend pour la pensée. oui même si il faut préciser, infini en acte et infini en puissance lorsque l'on parle de l'infini de la pensée... La concrétisation suit loin derrière. elle suit, elle suit....oui dans le cas où l'intelligibilité permet une application pratique, mais dans certains cas, la pensée reste spéculative...Première circonvolution. pas nécessairement, la pensée en vue d'une application est linéaire, c'est à dire qu'elle pose une direction objective : "l’œuvre à accomplir",en plus de son propre ordonnancement d'étapes, qui de fait est unidirectionnel, puisqu'il doit être un enchaînement logique de phases réalisables.. Dans un monde esthétisé de fait, le nécessaire et le superflu sont plus complexes à circonvenir. oui tout à fait, le monde esthétisé pose une prévalence de la forme sur l'acte et de la réalisation finale sur l'efficacité, ce qui rend plus difficile à endiguer selon des normes idéelles ou pratiques, comme les lois ou les contracts...Qu'est-ce que le nécessaire..? pour moi ce qui ne peut être autrement, ni en pensée, ni en pratique... Manger, boire, se reproduire, dormir, survivre. oui, avec un bémol sur "se reproduire", car la reproduction n'oblige que celles et ceux qui choisissent, en conformité à leur instinct de reproduction, de passer à l'acte, mais ce n'est pas au même niveau de survie que les autres spécificités de votre liste, qui d'ailleurs a exclus "respirer" et inclus "survivre", sans doute parce que vous pensiez à la sécurisation pour le verbe "survivre" et que la respiration vous semblait acquise comme réflexe, mais vous savez de nos jours la qualité de l'air doit être prit en compte comme un facteur de survie, alors...Tous les efforts de la pensée ne devraient, dans un monde raisonnable, tendre qu'à ces fins. là encore je dis oui, car en effet en toute pensée et tout acte, la fin ne fait pas que  : justifier les moyens, mais les ordonne et les rend viables (entendu comme ce qui est tourné vers la vie), dans le cas opposé, ces choses nécessaires sont remplacés par bien d'autres actes ou perception qui conséquemment dégrade la vie...Or, nous vivons, du fait de notre conscience d'être au monde, dans notre rapport à celui-ci, dans le superflu. encore oui, mais à cause des choix de développement qui ont mit de coté le nécessaire vital, et inclus un superflus d'artifice, cela est donc une privation, donc un mal, non pas absolu, mais relatif à l'ampleur de l'usage et de la prévalence de l'intelligibilité que ce superflus impose...La conscience humaine, même, ne peut-elle pas se considérer dans ce contexte de l'absurde comme superflue..? de fait oui si elle se soumet à son vécu décrypté psychologiquement comme cause de son instabilité, mais il reste les points de stabilités que la conscience peut trouver hors de son vécu psychique et qui lui donne des occasions nécessaires pour penser et agir, ex: l'amour et le service à autrui...Après tout, si le monde est absurde, notre pouvoir de connaissance, de réflexion ne l'est-il pas plus encore, dans son caractère, vain..? là, ne pas confondre ce que nous avons fait comme absurdités en pensées et en actes et ce que le monde naturel porte comme difficultés inhérentes à la survie, si la connaissance et la réflexion sont vaines, c'est que nous leurs avons attribué une autorité, alors qu'elles n'ont que le pouvoir de nous donner des éléments discusifs pour notre recherche de bonheur et de survie...C'est le sens de "l'à quoi bon" que je rajouterais au pourquoi. Dès lors, le superflu ne devient-il pas nécessaire à l'homme, certes nous pouvons avoir "un coup de mou" là où nous voyons que tous les efforts tant intellectuels que pratiques nous ont conduit dans des impasses écologiquement tragiques et économiquement fragiles, mais reste que, le pourquoi ultime laissé de coté par le comment qui dévore, la pensée et la matière de ce monde dans notre modernité, revient toujours nous "parler" de l'exigence de la vie et du bonheur comme point réalisable et nécessaire justement, ainsi le superflus et la vision esthétique du monde ne sont nécessaire que si ils sont sous-tendus par la vie et la recherche du bonheur... comme seul moyen d'exprimer sa conscience..? c'est dans cette recherche que s'exprime naturellement sa conscience d'être au monde il me semble ... La philosophie, dans le cadre de l'absurde, est superflue : la philosophie est comme une digue et un embarcadère, elle fait que les lames de l'absurde se brise et permet quelques fois de monter à bord d'un vaisseau qui a dans ces cales du ravitaillement et comme destination les rivages de nouvelles terres à découvrir... pourtant, nous sommes ici à discuter ensemble. Parce que ce superflu nous est nécessaire : inversement je dirais que "discuter" est la nécessité de la gratuité, qui admet une nuance à la superfluité en proposant un partage concret et vivifiant pour nos intelligences, mais aussi une coopération et un sens de l'interdépendance pour nos volontés...  nous sommes nés pour réfléchir, inventer, quand bien même dans l'absolu, cela est vain :sommes nous nés pour cela ou pour trouver au travers de notre inventivité et de notre réflexion un bien commun capable de nous unir et de nous rendre désireux les uns des autres ? l'absolu, qui est un infini en acte nous permet de nous mettre humblement au service les uns des autres et de ne pas en tirer avantage et domination, heu, c'est ce qui serait souhaitable...  nous poussons notre rocher. Il faut imaginer Sisyphe heureux...pour finir si ce rocher est allégoriquement ce que d'autres appellent "la destiné", il va sans dire qu'elle est l'inconnue/connue et la connue/inconnue, car il y a en effet une part d'imagination dans toute projection de la destiné humaine, mais cela est notre sort, en ce que nous sommes comme être vivants animés d'une complexité historique stratifiée par une épigénétique évolutive, spécifique à notre espèce, c'est ainsi, nous devons assumer les pensées et les actes de nos prédécesseurs autant que de faire face au choix discutables de nos contemporains, ce qui nous est autant une motivation pour notre agir, qu'une intentionnalité pour notre intelligence volontaire à vivre malgré tout, h e u r e u x...

bien à vous...

[...]

C'est tellement agréable à lire !
Ce n'est pas du tout un tas de mots soutenu mis à la suite les uns des autres pour faire intello (juste d'apparence), ou pour nous faire vomir des yeux. ...

 

On ne dit pas :

  • "en ce que nous sommes comme être vivants animés d'une complexité historique stratifiée par une épigénétique évolutive, spécifique à notre espèce, c'est ainsi, nous devons assumer les pensées et les actes de nos prédécesseurs autant que de faire face au choix discutables de nos contemporains, ce qui nous est autant une motivation pour notre agir, qu'une intentionnalité pour notre intelligence volontaire à vivre malgré tout, h e u r e u x..."

Mais :

  • "Notre espèce à évoluer, et nous continuons d'agir pour notre bonheur."

 

Merci de respecter la syntaxe !
(vous venez de quel pays ? Vous aimez la masturbation intellectuelle ?)

______

il y a 16 minutes, swam a dit :

Toute personne qui a une conscience est motivée par quelque chose, a la base.
Et sans doute que cette chose est différente selon les personnes.
Est ce que c'est l'origine de l'expression: " tout le monde cherche son chat" ?

Alors tout dépend de ce que l'on cherche, de ce dont on a besoin:
Ambition sociale, plaisirs hédonistes --> facile, ça ne demande pas de s'interroger sur le sens.

Conscience ou pas, tout être vivant à une motivation à agir : L'existence ! (que se soit pour la continuer, ou la terminer)
Non ? :hu:

Cette "chose" différente serait l'interprétation de l'existence. Chacun voit midi à sa porte (pourquoi/comment/quand/but).
Mais, il reste des motivations identiques pour tous : Manger / Dormir / Sécurité.
Non ? :hu:

Mais il y a une différence entre "ce je cherche (moi) ", "ce que l'on cherche (groupe) " et "ce que l'espèce cherche (être vivant)". Mais, quand chacune de ces recherches sont égale, c'est mieux.
Non ? :hu:

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Posté(e)
il y a 1 minute, Demonax a dit :

[...]

C'est tellement agréable à lire !
Ce n'est pas du tout un tas de mots soutenu mis à la suite les uns des autres pour faire intello (juste d'apparence), ou pour nous faire vomir des yeux. ...

 

On ne dit pas :

  • "en ce que nous sommes comme être vivants animés d'une complexité historique stratifiée par une épigénétique évolutive, spécifique à notre espèce, c'est ainsi, nous devons assumer les pensées et les actes de nos prédécesseurs autant que de faire face au choix discutables de nos contemporains, ce qui nous est autant une motivation pour notre agir, qu'une intentionnalité pour notre intelligence volontaire à vivre malgré tout, h e u r e u x..."

Mais :

  • "Notre espèce à évoluer, et nous continuons d'agir pour notre bonheur."

 

Merci de respecter la syntaxe !
(vous venez de quel pays ? Vous aimez la masturbation intellectuelle ?)

______

Conscience ou pas, tout être vivant à une motivation à agir : L'existence ! (que se soit pour la continuer, ou la terminer)
Non ? :hu:

Cette "chose" différence serait l'interprétation de l'existence. Chacun voit midi à sa porte (pourquoi/comment/quand/but).
Mais, il reste des motivations identiques pour tous : Manger / Dormir / Sécurité.
Non ? :hu:

Mais il y a une différence entre "ce je cherche (moi) ", "ce que l'on cherche (groupe) " et "ce que l'espèce cherche (être vivant)". Mais, quand chacune de ces recherches sont égale, c'est mieux.
Non ? :hu:

L'existence ne vaut que si on y trouve ce que l'on cherche, non ?

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il y a 14 minutes, swam a dit :

L'existence ne vaut que si on y trouve ce que l'on cherche, non ?

Je pense que c'est plutôt le désir qui est le moteur de l'existence... 

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à l’instant, Yokkie a dit :

Je pense que c'est plutôt le désir qui est le moteur de l'existence... 

Mais on ne désir pas tous la meme chose.

Il arrive que l'on ne rencontre jamais ce que l'on désire.

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il y a 8 minutes, swam a dit :

Mais on ne désir pas tous la meme chose.

Il arrive que l'on ne rencontre jamais ce que l'on désire.

Mais ai-je prétendu que nous étions mono-désir ?

Je dis que c'est le moteur de l'existence... du reste, quand on n'en a plus, on s'éteint progressivement jusqu'à disparaître pour certains.

C'est l'absence de désir et non l'échec de la recherche qui peut nous laminer.

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il y a 1 minute, Yokkie a dit :

Mais ai-je prétendu que nous étions mono-désir ?

Je dis que c'est le moteur de l'existence... du reste, quand on n'en a plus, on s'éteint progressivement jusqu'à disparaître pour certains.

Oui mais si tu dis que le désir est le moteur de l'existence, c'est comme si tu ne disais rien.

Désirer, oui, mais quoi ?  Telle est la question.

D'ailleurs c'est un peu la meme que celle d'Hamlet, du moins la suite ::

"Etre ou ne pas etre ?"

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à l’instant, swam a dit :

Oui mais si tu dis que le désir est le moteur de l'existence, c'est comme si tu ne disais rien.

Désirer, oui, mais quoi ?  Telle est la question.

D'ailleurs c'est un peu la meme que celle d'Hamlet, du moins la suite ::

"Etre ou ne pas etre ?"

Je dis que sans désir, la vie n'a pas de sens... 

Etre dans cet état nous anime, peu en importe l'objet ! 

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il y a 1 minute, swam a dit :

Désirer, oui, mais quoi ?  Telle est la question.

Non, ce n'est pas la question. C'est une disposition qui différencie de la dépression.

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à l’instant, fx. a dit :

Non, ce n'est pas la question. C'est une disposition qui différencie de la dépression.

:D On vient de dire la même chose avec des mots différents ! 

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il y a 1 minute, fx. a dit :

Non, ce n'est pas la question. C'est une disposition qui différencie de la dépression.

Certes le déprimé n'a plus de désir, et tout le monde sait que le désir fait vivre, mais l'interessant n'est pas la.

Quel est le désir de chacun ?  Quels moyens a t-il a sa disposition pour y accéder ?

 

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il y a 33 minutes, swam a dit :

L'existence ne vaut que si on y trouve ce que l'on cherche, non ?

  • Il y a 2 heures, Demonax a dit :
    • La vie vaut la peine d'être vécue, que lorsqu'on lui (re)connaît ces bien-faits.

C'est un principe général : nous n'agissons que si le "bonheur" (ou "l'état de satisfaction", appelez ça comme vous voulez) potentiel est plus grand que le risque encouru !
La différence entre des individus, c'est qu'ils vont avoir une perception et une interprétation du bonheur, du risque et de l'anticipation différente.

Non ?

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Posté(e)
il y a 1 minute, Demonax a dit :
  •  

C'est un principe général : nous n'agissons que si le "bonheur" (ou "l'état de satisfaction", appelez ça comme vous voulez) potentiel est plus grand que le risque encouru !
La différence entre des individus, c'est qu'ils vont avoir une perception et une interprétation du bonheur, du risque et de l'anticipation différente.

Non ?

Oui.

Mais en disant cela on a pas dit grand chose, non ?  (;))

 

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Invité fx.
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il y a 4 minutes, swam a dit :

Certes le déprimé n'a plus de désir, et tout le monde sait que le désir fait vivre, mais l'interessant n'est pas la.

Quel est le désir de chacun ?  Quels moyens a t-il a sa disposition pour y accéder ?

 

On est pas obligé d'avoir un seul désir et 42 est la réponse au sens de la vie.

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Posté(e)
à l’instant, fx. a dit :

On est pas obligé d'avoir un seul désir et 42 est la réponse au sens de la vie.

Il y a toujours une chose qui se dégage des autres, qui en fait la synthèse.

 

Le bonheur ou le malheur sera d'avoir la possibilité d'y accéder ou non.

 

 

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Posté(e)
à l’instant, swam a dit :

Le bonheur ou le malheur sera d'avoir la possibilité d'y accéder ou non.

Je ne pense pas que le bonheur ou le malheur se limitent à la réalisation d'objectifs.

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il y a 3 minutes, fx. a dit :

Je ne pense pas que le bonheur ou le malheur se limitent à la réalisation d'objectifs.

Le bonheur peut etre quand meme, mais pour le malheur oui tu as raison, atteindre ses objectifs ne suffit certainement pas a nous préserver du malheur, mais au moins pour n'avoir pas de regrets.

Modifié par swam
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