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L'Euro


DroitDeRéponse

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PASCOU Membre 92 138 messages
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Il y a 2 heures, DroitDeRéponse a dit :

Sauf que comme nous venons de le voir , il n'est en rien évident dette ou pas de répondre si la meilleure reponse est le franc ou l'euro.

Auriez vous des chiffres et des simulations proposés par le FN , autres que celles de Mélenchon et Sapir , pour faire avancer l'analyse ?

 

Que vient faire le Fn la dedans.

Sauf peut être que celui ci n'est en rien responsable de la situation.

Pour le reste, comment pouvez vous encore croire tous ces menteurs.

https://www.upr.fr/actualite/retour-sur-quelques-plans-secrets-concernant-la-sortie-de-leuro-par-vincent-brousseau

La deuxième chose est l’incroyable insistance des politiciens français de  l’UMP et du PS, des autorités européennes, et des principaux médias français à affirmer que la sortie de l’euro est impossible. Or, mis à part peut-être les journalistes, ces gens n’ignoraient absolument pas que cette question avait bel et bien été planifiée. Leurs affirmations récurrentes comme quoi ce serait impossible constituent donc autant de mensonges patents, ainsi qu’une preuve aveuglante du mépris dans lequel ils tiennent les électeurs européens et en particulier français, comme aussi du mépris dans lequel ils tiennent l’intelligence de ces électeurs.

======

médias et politiques et économistes pro Europe vous mènent par le bout du nez. 

 

==============

Lors de la sortie d’un pays X, les billets euro cessent d’avoir cours légal dans ce pays. Il convient donc de les remplacer par des billets en monnaie nationale. Or les presses peuvent avoir été détruites, et le stock de secours peut n’avoir pas été produit – quoique ce soit bien improbable pour les pays les plus riches, dont l’appareil d’État est moins désorganisé que celui de la Grèce.

La solution la plus simple, et la plus couramment imaginée, est fondée sur les exemples plus ou moins récents de cessation d’une union monétaire : tamponner les billets en circulation, les invalidant comme billets euro, et les validant comme billets en nouvelle monnaie nationale, jusqu’à la mise en circulation des premiers billets nationaux. Peut-on appliquer cette solution ?

On le peut, à la condition de respecter une condition très importante : il ne faut tamponner que des billets qui soient non pas en circulation, mais détenus en stock par la banque centrale du pays X. Par la Banque de France dans le cas de la France.

En effet, les billets euro en circulation deviennent une dette de la banque centrale envers ses ex-consœurs de l’Eurosystème au moment précis de la sortie, tandis que les billets qui ne sont pas en circulation, qui sont détenus par la banque centrale, ne le deviennent pas. L’erreur qui consisterait à tamponner des billets circulant pourrait donc revenir astronomiquement cher.

Le stock détenu par la banque centrale suffira-t-il ? Oui, car il ne s’agit en fait que d’amorcer la pompe. Les banques commerciales du pays sortant, soumises à l’autorité de l’État bien qu’elles aiment à faire croire le contraire, recevront l’injonction de rapatrier vers la banque centrale les billets qui leur passeront entre les mains, de sorte que les choses iront assez vite et que la quantité de billets « tamponnables » ne constituera pas un problème.

Ce qui poserait problème dans les pays de la périphérie, tels que la Grèce, serait la rétention par le public des billets euros qu’ils posséderaient. Mais ce comportement, qui est analogue à la conservation de billets dollars ou francs suisses sous le matelas, ne risque pas d’être très répandu dans les pays du cœur de la zone euro, puisque dès à présent les gens n’ont pas tendance à stocker chez eux ou au coffre de leur banque beaucoup de liquidités étrangères. Ce comportement restera donc trop faible pour bloquer le processus dans le cas d’un pays riche sortant de l’euro.

Notons en passant que la banque centrale se défait de sa dette envers ses ex-consœurs lorsqu’elle ôte le billet de la circulation et non pas au moment où elle le leur restituerait. Elle n’a pas à le faire, étant donné qu’un billet euro qu’elle détient elle n’est pas de l’argent, et en particulier n’est pas inclus dans la masse monétaire. En conséquence, en réabsorbant les billets euro, elle diminue d’autant sa dette (la composante billets de la « prime de sortie ») sans perdre la possibilité de réutiliser ces billets, une fois tamponnés, comme billets transitoires de sa nouvelle monnaie.

C’est d’ailleurs ce qui explique que la composante billets de la « prime de sortie » serait un problème dans le cas particulier la Grèce, où les gens garderont l’essentiel de leurs euros, mais ne le serait pas pour des pays plus riches, où les gens ne cherchent pas spécialement à se protéger du risque de redénomination et utilisent les billets plus pour faire leurs courses que pour les thésauriser.

Au jour J, il y aura déjà tous les billets détenus par les banques commerciales, BNP, Société Générale, etc, qui seront capturés par la réabsorption ; c’est un stock considérable dans le cas de la France, tandis que c’est un stock minuscule dans le cas de la Grèce, ou les banques commerciales travaillent, depuis que la crise grecque est devenue aiguë, à flux tendu de billets.

==========

 

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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II.5 – En résumé

En résumé, et hors le cas d’un pays aussi en difficulté que l’est la Grèce, tous les leviers nécessaires à la sortie d’un pays donné sont entre les mains de son pouvoir étatique.

Il faut ajouter que le processus a beaucoup moins d’inconnues que le processus inverse qu’avait été l’entrée des premiers pays dans la zone euro, puisqu’il s’agit de revenir à un état antérieur, déjà connu, et non de se propulser dans une situation inconnue.

La gestion d’une sortie n’est pas d’une difficulté telle qu’elle n’aurait pu être réglée, depuis longtemps, si la notion même de sortie n’avait pas été un tabou.

Dans une situation normale, c’est-à-dire non idéologique, les modalités de sortie auraient d’ailleurs dû être précisées par les textes et dès avant l’entrée. S’il en avait été ainsi, elles seraient depuis bien longtemps complètement étudiées, connues, définies et publiques.

Qu’il n’en ait pas été ainsi, et que l’on doive aujourd’hui empiler les plans secrets pour faire face à l’éventualité d’une sortie, n’est dû qu’à une seule chose : la volonté délibérée de rendre l’idée même de sortie impensable. Ce choix, qui fut celui des pères fondateurs de l’euro, a constitué un déni de démocratie d’une ampleur inédite.

L’Histoire le jugera. Souhaitons que des tribunaux plus concrets aient aussi, le moment venu, à en juger.

à l’instant, PASCOU a dit :

II.5 – En résumé

En résumé, et hors le cas d’un pays aussi en difficulté que l’est la Grèce, tous les leviers nécessaires à la sortie d’un pays donné sont entre les mains de son pouvoir étatique.

Il faut ajouter que le processus a beaucoup moins d’inconnues que le processus inverse qu’avait été l’entrée des premiers pays dans la zone euro, puisqu’il s’agit de revenir à un état antérieur, déjà connu, et non de se propulser dans une situation inconnue.

La gestion d’une sortie n’est pas d’une difficulté telle qu’elle n’aurait pu être réglée, depuis longtemps, si la notion même de sortie n’avait pas été un tabou.

Dans une situation normale, c’est-à-dire non idéologique, les modalités de sortie auraient d’ailleurs dû être précisées par les textes et dès avant l’entrée. S’il en avait été ainsi, elles seraient depuis bien longtemps complètement étudiées, connues, définies et publiques.

Qu’il n’en ait pas été ainsi, et que l’on doive aujourd’hui empiler les plans secrets pour faire face à l’éventualité d’une sortie, n’est dû qu’à une seule chose : la volonté délibérée de rendre l’idée même de sortie impensable. Ce choix, qui fut celui des pères fondateurs de l’euro, a constitué un déni de démocratie d’une ampleur inédite.

L’Histoire le jugera. Souhaitons que des tribunaux plus concrets aient aussi, le moment venu, à en juger.

C'est juste, cette idéologie malsaine et mortifère de l'euro à tout prix qui empêche toute sortie, mais sinon rien.

Faut arrêter d'agiter les peurs pour que quelques technocrates et fonctionnaires européens vivent grassement sur le dos des peuples.

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 815 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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@pascou le FN a un programme concernant le frexit très proche de celui de Mélenchon, il a donc toute sa place sur ce topic en tant que parti mettant l'Euro au coeur de sa stratégie. Vous sachant très au fait sur le FN, votre contribution serait la bienvenue

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
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il y a 40 minutes, DroitDeRéponse a dit :

@pascou le FN a un programme concernant le frexit très proche de celui de Mélenchon, il a donc toute sa place sur ce topic en tant que parti mettant l'Euro au coeur de sa stratégie. Vous sachant très au fait sur le FN, votre contribution serait la bienvenue

Mais que Mélenchon soit pour la sortie de L'euro, possible, moi je pense que le FN était contre son entrée et c'est bien là toute la différence...

Mélenchon est un opportuniste, c'est avant tout un socialiste.

http://www.politique-actu.com/osons/quand-melenchon-votait-maastricht-maastricht-compromis-gauche/235037/

Donc je n'ai aucune confiance dans ce type.

Même si depuis il braille que c'est un échec absolu.

Bin oui, siça peut rapporter quelques voix!

Mais ce n'est pas le sujet.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

DDR,  de quel Mélenchon parlez vous?:)

 

M. Jean-Luc Mélenchon. Et nous ne serons jamais autant Français qu’en y jetant toutes nos forces.

On a invoqué ici, de nombreuses fois, la tradition républicaine de la France pour argumenter contre le progrès de la citoyenneté européenne que constitue le droit de vote accordé aux étrangers communautaires. C’est à mes yeux commettre un contresens et faire preuve d’un archaïsme totalement contraire à la philosophie politique qui a présidé à la fondation de la République dans notre pays et qui garantit la continuité du principe républicain et sa formidable prégnance.

On a dessiné devant nous une identité de la France quasi métaphysique, dans laquelle la souveraineté nationale est confondue avec ses instruments, dont la pérennité tracerait la frontière entre la vie et la mort de la nation. Contresens !

La nation est un mot nouveau qui est né pendant la Révolution française, par opposition au morcellement féodal des peuples de France sous la monarchie.

La nation est le lieu de la citoyenneté ; elle n’est ni éthnique, ni religieuse, ni linguistique. La citoyenneté est dans l’exercice collectif du pouvoir. Là où est le pouvoir réel, là doit s’exercer la citoyenneté. Là où est la citoyenneté, là est la nation.

Tout se tient dans la tradition française entre la démocratie et la nation. Si le pouvoir réel de maîtriser notre destin ne peut prendre toute sa réalité économique et sociale qu’à l’échelle de l’Europe, alors, les vrais démocrates ne peuvent que vouloir l’avènement de la nation européenne et, avec elle, de la citoyenneté européenne.

Mes chers collègues, quand on aime la France – et on peut l’aimer de bien des façons – on sait qu’on ne peut la faire dans un seul pays.

La véritable polarisation du débat politique est là, elle traverse l’histoire de nos deux siècles de République. D’un côté, le conservatisme – ce n’est pas honteux – qui s’oppose à chaque étape au processus qui voit la citoyenneté étendre son rôle. De l’autre, le camp du progrès, qui saisit toutes les occasions de confier le pouvoir réel au plus grand nombre et qui, pour cela, parie toujours sur la dimension universelle de la personne, renvoie les différences les plus essentielles – la foi, la langue, l’attachement aux identités locales dans le domaine privé – pour ne reconnaître comme sujet de l’histoire que le citoyen défini par les droits mutuels universels.

Ces principes, nous les portons avec fierté. A l’heure où nous travaillons à une cause aussi fondamentalement française, il ne peut être question de délibérer sous la pression des mots, des fantasmes et même des leçons de patriotisme.

Si j’adhère aux avancées du Traité de Maastricht en matière de citoyenneté européenne, bien qu’elles soient insuffisantes à nos yeux, vous devez le savoir, c’est parce que le plus grand nombre d’entre nous y voient un pas vers ce qui compte, vers ce que nous voulons et portons sans nous cacher : la volonté de voir naître la nation européenne et, avec elle, le patriotisme nouveau qu’elle appelle. (Applaudissements sur les travées socialistes. - M. Yvon Collin applaudit également.) »

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versys Membre 17 117 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

@ PASCOU. Quand tu parles de " voir naitre la nation européenne", sachant qu'elle est déja dotée d'un parlement et d'une monnaie, penses tu à une nation fédérale avec un seul président, une seule armée, etc... 

Ne penses tu pas que, si la chose était peut ètre envisageable aux origines de la construction européenne, il est grandement trop tard aujourd'hui??

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 45 minutes, versys a dit :

@ PASCOU. Quand tu parles de " voir naitre la nation européenne", sachant qu'elle est déja dotée d'un parlement et d'une monnaie, penses tu à une nation fédérale avec un seul président, une seule armée, etc... 

Ne penses tu pas que, si la chose était peut ètre envisageable aux origines de la construction européenne, il est grandement trop tard aujourd'hui??

Versys, une nation c'est une langue, une histoire, des intérêts communs, là je ne vois rien de semblable pour le moment.

Au contraire, je trouve qu'on a accentué la division et les rancunes.

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 22 heures, DroitDeRéponse a dit :

@pascou le FN a un programme concernant le frexit très proche de celui de Mélenchon, il a donc toute sa place sur ce topic en tant que parti mettant l'Euro au coeur de sa stratégie. Vous sachant très au fait sur le FN, votre contribution serait la bienvenue

En vacances DDR?:)

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 815 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Il y a 1 heure, PASCOU a dit :

En vacances DDR?:)

Nan du taff qui peut pas se faire en vous répondant en même temps :smile2:

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
à l’instant, DroitDeRéponse a dit :

Nan du taff qui peut pas se faire en vous répondant en même temps :smile2:

Pas grave l'Europe ne va pas se sauver!!!:)

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Le ‎07‎/‎12‎/‎2016 à 12:09, PASCOU a dit :

Pas grave l'Europe ne va pas se sauver!!!:)

 

Le ‎07‎/‎12‎/‎2016 à 12:08, DroitDeRéponse a dit :

Nan du taff qui peut pas se faire en vous répondant en même temps :smile2:

Bon l'Europe sera peut un souvenir avant une réponse?;)

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Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 815 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
Posté(e)
Le ‎09‎/‎12‎/‎2016 à 15:21, PASCOU a dit :

 

Je regarde dès que j'ai un moment . Merci . Le "on ne peut pas " n'a pas de sens, la question est "à quel prix et pour quel résultat ?" .

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Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, DroitDeRéponse a dit :

Je regarde dès que j'ai un moment . Merci . Le "on ne peut pas " n'a pas de sens, la question est "à quel prix et pour quel résultat ?" .

Vous avez insisté pour que je vienne, je suis venu, j'ai vu j'ai.....:)

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  • 1 mois après...
Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 815 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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http://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/sans-renégociation-des-traités-leurope-va-exploser/ar-AAlQoAq?li=BBwlBpb&ocid=spartandhp

 

Les débats sur l'Europe se résument aujourd'hui à une opposition stérile entre pro-UE et anti-UE. En réalité, des réformes sont nécessaires pour que la zone avance. Décryptage de notre partenaire Xerfi Canal.

 

Etre ou ne pas être dans l’euro. Etre ou ne pas être dans l’UE. C’est en termes radicaux et binaires que se pose aujourd’hui le débat européen. Une alternative qui s’apparente à bien des égards à celle du choix entre la peste et le choléra. Comme s'il était définitivement acté, que l’euro ne peut pas être réformé. Les perdants de l’euro intériorisent le fait qu’ils ne sont plus en position de faire amender les traités. Les gagnants de leur côté, n’y trouvent aucun intérêt. Et c’est ainsi que l’arche européen, prend l’eau. Que les populismes instrumentalisent la colère des peuples. Et que le débat se clive entre partisans du « in » et partisans de « l’exit » sans qu’aucune autre option ne soit avancée

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  • 2 semaines après...
Membre, Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis, 52ans Posté(e)
DroitDeRéponse Membre 86 815 messages
52ans‚ Un con qui marche ira plus loin qu'un intellectuel assis,
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https://news.sfr.fr/actualites/politique/marine-le-pen-envisage-de-jongler-avec-deux-monnaies-pour-sortir-de-l-euro-1089292.html

 

La candidate FN à l'élection présidentielle a levé un coin du voile sur la façon dont elle entend quitter la zone euro. outre le retour d'une monnaie nationale, elle propose de conserver "une monnaie commune". Ce qui nécessiterait l'accord de nos voisins.

Marine Le Pen cherche-t-elle à rassurer sur son programme? La candidate Front national à l'élection présidentielle a expliqué mercredi sur Europe 1 vouloir une "monnaie nationale" pour les Français au quotidien. Monnaie qui pourrait éventuellement être accompagnée d'une "monnaie commune" pour les États et les grandes entreprises. "Pour les Français il y aura une monnaie, c'est leur monnaie nationale, c'est celle qu'ils auront dans leur portefeuille, il n'y aura pas deux monnaies", a affirmé la présidente du Front national.

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