En avion, le douloureux tabou des viols de nuit

Des baffes ^^

:D

Quant à définir les limites....: c'est simple ; aucun geste déplacé, aucune parole déplacée, RIEN

Le plus simple ça serait quand même que les hommes lèvent la main pour signifier aux femmes qu'ils désirent leur parler.

En fait, si le clivage du verbiage politiquement correct n'existait pas ( "je vais t'expliquer ce que tu as voulu dire, ce que tu penses mieux que tu ne le sais, ") ce sujet ne compterait aucune réponse parce que je ne crois pas qu'il y ait des personnes sur ce fil qui se prononcent pour les agressions sexuelles.

Quelle époque étrange où on en vient à discuter non pas du sens des mots mais de ce que sous-entendraient leur emploi ou leur absence d'emploi.

Qui dit le redresseur de tort, planqué derrière son écran, car nous avons là un super ZORRO :smile2:

Tiens , je l'avais zappé celui-ci.

Visiblement l'Ultra-Sécuritaire sympathisant FN ne condamne pas tous les délits.

De plus , cet idiot me met dans la position du redresseur de tort tout en me qualifiant de SUPER ZORRO.

À croire que concernant l'aller-retour il s'est senti concerné personnellement.

Des faits similaires à son actif peut-être ?

oui tu as raison c'est un jeu de mots, je voulais juste dire qu'il n'a pas vocation à rendre la chose plus légère ni "à prendre le lecteur pour des imbéciles" et qu'il n'y a donc pas de raison d'être déçues comme vous semblez l'être Cricket et toi.

Comme Lowy, je ne trouve pas non plus que l'article minimise les autres formes d'agressions sexuelles que le viol avec pénétration. Au contraire il les met en avant puisque l'histoire principale raconte des attouchements et montre à quel point les coupables ne sont pas inquiétés alors même qu'ils ne nient pas.

L'article dénonce le tabou des vols de nuit, c'est à dire celui des compagnies aériennes qui manifestement sont informées de ces agressions mais ne font rien pour y répondre, même pas un semblant de formation du personnel navigant.

Vous contredisez mon avis au sujet du titre. Il s'agit d'un détail que j'ai remarqué moi aussi dès la première lecture, c'est une question de cohérence littéraire, mais ça explique à mon avis les causes de la polémique de départ que l'auteur aurait pu éviter. Je considère que le titre ne correspond pas vraiment à l'ensemble de l'article même s'il y est un peu question de viol. Mais effectivement il est quand même facile de comprendre les raisons de ce choix, qui, comme vous pouvez le constater a des inconvénients.

Quant au tabou, je pense que cela fait allusion aussi au classique et fréquent silence des victimes faisant de ce sujet un problème peu connu, le personnel naviguant réagissant selon ses possibilités, en changeant de place les personnes, en tentant de rassurer les victimes sans créer d'effet de panique chez les autres passagers et en prévenant le pilote et les autorités si ils le jugent nécessaire. Il est quand même formé à réagir aux comportements agressifs bien que pas spécifiquement en effet aux agressions sexuelles, ce qui pourrait s'avérer pourtant utile.