Prolongation de l'état d'urgence

Hollande annonce une prolongation de trois mois de l'état d'urgence

15/07/2016 à 03h53

(...)

François Hollande a également expliqué qu'il ferait appel à "la réserve opérationnelle" - les personnes étant déjà passées sous les drapeaux français - afin de "soulager les forces de police et de gendarmerie". L'opération Sentinelle, qui permet de mobiliser 10 000 militaires supplémentaires, est maintenue "à un haut niveau".

L'article : http://www.bfmtv.com/politique/attaque-de-nice-hollande-annonce-une-prolongation-de-trois-mois-de-l-etat-d-urgence-1006291.html

http://www.lepoint.fr/justice/la-france-sortira-de-l-etat-d-urgence-le-26-juillet-13-07-2016-2054162_2386.php

Comme quoi il roule à vue pépère.

Comme quoi il roule à vue pépère.

La critique est aisée, mais l'art est difficile.

La critique est aisée, mais l'art est difficile.

Pas toujours!

La critique aussi est un art.

Mais c'est un sentiment plus qu'une critique, dire une chose et deux jours ensuite le contraire.

C'est même la marque de fabrique de ce gouvernement.

Un pas en avant, un pas en arrière.

Faite attention aux signalement qui peuvent venir de la même personne .

Qui controle Daesh ?

On maintient l' etat d urgence pour faire face aux menaces d' un groupe " Daesh " fantôme " ?

Pas toujours!

La critique aussi est un art.

Mais c'est un sentiment plus qu'une critique, dire une chose et deux jours ensuite le contraire.

C'est même la marque de fabrique de ce gouvernement.

Un pas en avant, un pas en arrière.

T'as pas l'impression qu'il s'est passé un petit truc entre ces 2 jours ?

Pas toujours!

La critique aussi est un art.

Mais c'est un sentiment plus qu'une critique, dire une chose et deux jours ensuite le contraire.

C'est même la marque de fabrique de ce gouvernement.

Un pas en avant, un pas en arrière.

Et bien-sûr tu aurais accepté que l'état d'urgence ne soit pas prolongé après ce qui s'est passé cette nuit ? Histoire de garder un discours "cohérent" ?

Pffff non mais réfléchis un peu à ce que t'écris avant de prétendre savoir manier "l'art de la critique".

Aucune critique...Chirac a amené cette réserve ( capable d'être opérationnelle de suite ) à 50 000, Sarko à 30 000 et Hollande à 20 000 hommes...Budget des Armées( format de métier ) de 2,5% PIB à 1,5% en 2016. Pendant ce temps...le Français doit accepter la soit "disante" diversité en tendant l'autre joue...

T'as pas l'impression qu'il s'est passé un petit truc entre ces 2 jours ?

Si bien sûr!

Mais pour en revenir au droit d'urgence, c'est juste un transfert de droits des juges vers la police, ça ne change absolument rien sur le renseignement, c'est dans le cas présent surtout un signe en direction des médias et donc des français.

Rappelons que c'est en amont, sur le terrain que ce joue la véritable protection, le travail de fourmi, le transfert des droits est juste un moyen pour rendre légales après coup des actions policières qui de toute façon se feraient.

Et bien-sûr tu aurais accepté que l'état d'urgence ne soit pas prolongé après ce qui s'est passé cette nuit ? Histoire de garder un discours "cohérent" ?

Pffff non mais réfléchis un peu à ce que t'écris avant de prétendre savoir manier "l'art de la critique".

Je ne prétends pas "manier l'art de la critique", j'ai juste à ta phrase, répondu que la critique était un art, ce n'était pas personnel, mais ta réponse l'était sans doute.

Quand à l'état d' urgence, déjà expliqué, c'est en amont qu'il faut lutter, dans l'ombre et c'est bien ça le problème, le politique ne peut pas donner l'impression de bouger quand l'action doit restée cachée, donc il se rabat sur ce qui se voit.

Il est bien obligé d'agir ailleurs pour capter l'opinion après ce énième désastre.

Je ne prétends pas "manier l'art de la critique", j'ai juste à ta phrase, répondu que la critique était un art, ce n'était pas personnel, mais ta réponse l'était sans doute.

Quand à l'état d' urgence, déjà expliqué, c'est en amont qu'il faut lutter, dans l'ombre et c'est bien ça le problème, le politique ne peut pas donner l'impression de bouger quand l'action doit restée cachée, donc il se rabat sur ce qui se voit.

Il est bien obligé d'agir ailleurs pour capter l'opinion après ce énième désastre.

Exact . En periode de crise economique ça doit vraiment se voir !

http://www.magcentre.fr/85831-questions-sur-letat-durgence/

On peut toujours décréter l'état d'urgence si on ne sait pas, ou perquisitionner, si on a pas les renseignements etc...

L'état d'urgence dans le cas présent est la conséquence d'un attentat qui n'a pas été détecté en amont.

çà fait trois fois que la date est repoussée eh eh double mou, sanctionne encore les Français , les terroristes se baladent dans nos rue , et hollande joue de l,état d,urgence, c,est a suffoquer de rire!!si la situation en France n,était pas si grave.allez vas y prolonge, toujours et encore,c,est pas ça qui va impressionner les terroristes.

Exact . En periode de crise economique ça doit vraiment se voir !

Le problème de nos politiques, c'est que l'image passe avant l'action.

On peut doubler le nombre de policiers, et du gign, mais si on ne sait pas d'où vient la menace.

On sait souvent ou ils évoluent, autour des mosquées radicales , etc...et prison !

Ce n'est pas en montrant du doigt la mosquée ou la prison que les choses changeront, au contraire, le problème va se déplacer, se recentrer ailleurs; c'est comme pour la drogue, toujours un coup d'avance;

C'est en infiltrant, c'est avec les indics, les témoignages, les populations etc...

Agir dans l'ombre et surtout avoir l'aval des autorités, et pas cette presse à sensation qui met la pression, avide de vendre.

C'est un travail de chacun.

çà fait trois fois que la date est repoussée eh eh double mou, sanctionne encore les Français , les terroristes se baladent dans nos rue , et hollande joue de l,état d,urgence, c,est a suffoquer de rire!!si la situation en France n,était pas si grave.allez vas y prolonge, toujours et encore,c,est pas ça qui va impressionner les terroristes.

Oui, l'état d'urgence n'est qu'une conséquence, et je trouve assez terrible de se recroqueviller derrière.

http://www.magcentre.fr/85831-questions-sur-letat-durgence/

On peut toujours décréter l'état d'urgence si on ne sait pas, ou perquisitionner, si on a pas les renseignements etc...

L'état d'urgence dans le cas présent est la conséquence d'un attentat qui n'a pas été détecté en amont.

Parce qu'indétectable.

Il s'agit d'un fou, qui agit en acte isolé au nom d'une idéologie de merde.

Et y'en aura de plus en plus. Un mec qui loue un camion et fonce dans le tas. Cet attentat est aussi prévisible que si je décidais de faire la même chose la semaine prochaine. Personne ne peut l'anticiper, personne ne peut l'empêcher.

Parce qu'indétectable.

Il s'agit d'un fou, qui agit en acte isolé au nom d'une idéologie de merde.

Et y'en aura de plus en plus. Un mec qui loue un camion et fonce dans le tas. Cet attentat est aussi prévisible que si je décidais de faire la même chose la semaine prochaine. Personne ne peut l'anticiper, personne ne peut l'empêcher.

Là, c'est l'enquête qui le dira, on ne sait pas actuellement, mais bien sûr que tout n'est pas détectable, mais ça ne change rien sur ce que je dis!

Et l'état d'urgence non plus;

On sait aussi qu'un discours télévisé peut susciter des vocations;

Mais il y a des signes parfois qui peuvent être interprétés, mais qu'on se refuse à voir.

Faut quand même reconnaître que l'on a souvent fermé les yeux et laissé grandir la menace, non?

un acte isolé au nom d,une idéologie , ((mettre hors d,état de nuire, les membre de cette (idéologie) c,est simple si on le veut ,mais il y a le qatar ..et certains pays du golfe eh oui,alors on fait rien.

La critique est aisée, mais l'art est difficile.

Non, la critique se fonde sur un précédent historique qui n'est pas si ancien. Jouer avec les mots, comme le fait le gouvernement actuel, relève de l'irresponsabilité, car en les vidant de toute substance, il proclame lui-même une situation de faiblesse dont profite l'ennemi.

L'état d'urgence n'a pas vocation à être un gadget de communication. C'est un instrument juridique mais, surtout, c'est une orientation politique claire : considérer que l'on fait face à un état insurrectionnel et donc réprimer celui-ci par la force.

Lorsque l'état d'urgence fut utilisé en Algérie, à partir de 1955, la riposte ne se contenta pas de patrouilles faisant de la figuration. Il y eut quadrillage militaire du territoire, instauration du couvre-feu, constitution de tribunaux militaires d'exception et éradication des éléments terroristes.

Un "état d'urgence" qui se satisfait de rassemblements populaires répétés n'a tout simplement aucune réalité. Alors soit il ne correspond à aucune menace et c'est se gargariser de mots pour jouer au-va-t-en-guerre de carnaval et faire oublier le scooter en revêtant un costume de général beaucoup trop large pour de maigres épaules. Soit, et les événements le prouvent, il est inappliqué, alors même qu'un grave danger existe, et cela relève de l'inconscience à l'état brut.

On ne peut à la fois proclamer l'état d'urgence et faire la promotion de la jouissance en autorisant des regroupements festifs, véritables cibles vivantes. Il faut choisir entre les deux. En refusant de choisir, en maintenant la population dans un état d'inconscience euphorisante (les "nuits debout", l'euro, le tour de France etc...), on récolte comme résultat le chaos.

Quelle est la stratégie ? Faire comme si de rien n'était, maintenir l'inoculation de l'anesthésiant mental et attendre le prochain attentat pour un nouveau drapeau Facebook ?

La responsabilité des Pouvoirs publics est énorme. Il y a quelques décennies, a minima le ministre de l'Intérieur aurait démissionné face à une telle faille, voire le Gouvernement serait tombé. Il faut croire qu'il est désormais considéré comme parfaitement normal que le Politique soit synonyme de l'impuissance.

Non, la critique se fonde sur un précédent historique qui n'est pas si ancien. Jouer avec les mots, comme le fait le gouvernement actuel, relève de l'irresponsabilité, car en les vidant de toute substance, il proclame lui-même une situation de faiblesse dont profite l'ennemi.

L'état d'urgence n'a pas vocation à être un gadget de communication. C'est un instrument juridique mais, surtout, c'est une orientation politique claire : considérer que l'on fait face à un état insurrectionnel et donc réprimer celui-ci par la force.

Lorsque l'état d'urgence fut utilisé en Algérie, à partir de 1955, la riposte ne se contenta pas de patrouilles faisant de la figuration. Il y eut quadrillage militaire du territoire, instauration du couvre-feu, constitution de tribunaux militaires d'exception et éradication des éléments terroristes.

Un "état d'urgence" qui se satisfait de rassemblements populaires répétés n'a tout simplement aucune réalité. Alors soit il ne correspond à aucune menace et c'est se gargariser de mots pour jouer au-va-t-en-guerre de carnaval et faire oublier le scooter en revêtant un costume de général beaucoup trop large pour de maigres épaules. Soit, et les événements le prouvent, il est inappliqué, alors même qu'un grave danger existe, et cela relève de l'inconscience à l'état brut.

On ne peut à la fois proclamer l'état d'urgence et faire la promotion de la jouissance en autorisant des regroupements festifs, véritables cibles vivantes. Il faut choisir entre les deux. En refusant de choisir, en maintenant la population dans un état d'inconscience euphorisante (les "nuits debout", l'euro, le tour de France etc...), on récolte comme résultat le chaos.

Quelle est la stratégie ? Faire comme si de rien n'était, maintenir l'inoculation de l'anesthésiant mental et attendre le prochain attentat pour un nouveau drapeau Facebook ?

La responsabilité des Pouvoirs publics est énorme. Il y a quelques décennies, a minima le ministre de l'Intérieur aurait démissionné face à une telle faille, voire le Gouvernement serait tombé. Il faut croire qu'il est désormais considéré comme parfaitement normal que le Politique soit synonyme de l'impuissance.

Qui oserait aujourd'hui quadriller un quartier pour vider les caves, et découvrir ce que tout le monde connaît, une économie parallèle?

Pas de vague;

Grands discours et temporisons.

les vrais coupables ceux sont les politiques, qui ferment les yeux et bouchent les oreilles, ils veulent faire de l,intégration forcée, a n,importe quel prix même au prix de la vie des Français.