Hésitation

Pas mon truc, je ne me met en couple que si je suis sûre de n'avoir envie de personne d'autre.. D'où tous ces problèmes

Lorsque nous ne parvenons pas à nous décider entre deux options distinctes, il convient d'en envisager une troisième.

Prends à tes côtés ces deux braves types et part à la recherche des inconnues du triolisme !

- Frissons garantis -

Lorsque nous ne parvenons pas à nous décider entre deux options distinctes, il convient d'en envisager une troisième.

Laisse de côté l'inconnu X et le triolisme et devient abstinente afin de rencontrer Dieu !

- Passion garantie -

Eh bien !

Si a cet age la j'avais su ce qui se passe dans la tete des filles, ça m'aurait guéri de mon romantisme trés vite.

C'est pas "les filles", c'est une fille parmi tant d'autres, toutes différentes.

C'est pas "les filles", c'est une fille parmi tant d'autres, toutes différentes.

Oui, si je m'en tiens uniquement a la raison.

Oui, si je m'en tiens uniquement a la raison.

Non, en faisant fi de la raison et en ouvrant ton coeur, justement... tu percevras les différences d'un individu à l'autre, qu'il soit femme ou homme. Je comprends cette volonté de définir les "autres" en les catégorisant dans des ensembles ; c'est une forme d’économie de la pensée, cela semble reposant car alors, il suffit d'élaborer un comportement identique à chaque nouvelle rencontre mais, je t'invite à lire et relire cette phrase que j'ai mis en signature :

"Si vous faites ce que vous avez toujours fait, vous obtiendrez que ce que vous avez toujours obtenu."

Mais admettons, utilisons notre raison pour comprendre la situation de Splanchnopleure (c'est quoi ce pseudo inintelligible, d'abord ? o_O ). Elle hésite... Mhm...

L’hésitation est fille du doute.

Le doute, ici, est bel et bien lié à la peur de faire erreur et lorsque nous avons peur de nous tromper, c'est parce que nous voulons bien faire.

Vouloir bien faire ? Dans quelles circonstances voulons-nous bien faire ? Lorsque nous savons que ce "faire" est bon pour nous... c'est donc notre coeur qui nous guide.

Son coeur de pierre est une façade bien fissurée qui laisse entrevoir qu'elle a à coeur d'être heureuse mais ne sait pas si ce sera auprès de machin ou de bidule. Le romantisme est si malmené qu'il se planque comme il peut.

Non, en faisant fi de la raison et en ouvrant ton coeur, justement... tu percevras les différences d'un individu à l'autre, qu'il soit femme ou homme. Je comprends cette volonté de définir les "autres" en les catégorisant dans des ensembles ; c'est une forme d’économie de la pensée, cela semble reposant car alors, il suffit d'élaborer un comportement identique à chaque nouvelle rencontre mais, je t'invite à lire et relire cette phrase que j'ai mis en signature :

"Si vous faites ce que vous avez toujours fait, vous obtiendrez que ce que vous avez toujours obtenu."

Mais admettons, utilisons notre raison pour comprendre la situation de Splanchnopleure (c'est quoi ce pseudo inintelligible, d'abord ? o_O ). Elle hésite... Mhm...

L’hésitation est fille du doute.

Le doute, ici, est bel et bien lié à la peur de faire erreur et lorsque nous avons peur de nous tromper, c'est parce que nous voulons bien faire.

Vouloir bien faire ? Dans quelles circonstances voulons-nous bien faire ? Lorsque nous savons que ce "faire" est bon pour nous... c'est donc notre coeur qui nous guide.

Son coeur de pierre est une façade bien fissurée qui laisse entrevoir qu'elle a à coeur d'être heureuse mais ne sait pas si ce sera auprès de machin ou de bidule. Le romantisme est si malmené qu'il se planque comme il peut.

C'est une façon romantique de voir les choses.

Mais un coeur toujours grand ouvert finit par obliger la raison a se manifester pour mettre un peu d'ordre.

Et chez toute personne il y a une volonté consciente, qui s'appelle personnalité, et une volonté inconsciente.

La ou c'est le plus manifeste a mon avis c'est quand le désir sexuel est au paroxysme, pas mal de gens peuvent adopter, presque a leur insu dirons nous, des comportements, des modes de pensées, une personnalité qui est tout autre que dans leur état "normal" et civilisé.

On peut penser a un cas extreme: "Docteur Jeckyll et mister Hyde"

Alors ou se situe la vérité d'une personne ?

Sauf que Splanchnopleure semble toute entière rangée derrière sa raison, peut-être pour s'éviter des haut-le-cœur.

La vérité d'une personne ne concerne qu'elle.

La vérité d'une personne ne concerne qu'elle.

Sauf quand on en est amoureux.

Et alors vouloir comprendre sa vérité ça peut etre pour mieux l'aider...Ou pour s'en détacher.

Car on dit parfois que comprendre c'est aimer, ou aimer c'est comprendre, mais quand on souffre de trop aimer, on voudrait bien parfois s'assurer que l'on a mal compris.

C'est terrible d'envisager qu'aimer ne se résume qu'à aider ou comprendre l'autre.

Et je ne crois pas que l'on souffre de "trop aimer"... Souffrir de ne pas être aimé comme l'on voudrait, oui. Souffrir de ne pas parvenir à exprimer avec justesse son amour, oui. Trop aimer, cela n'existe pas. C'est une mauvaise application de ce terme. Nous n'aimons jamais assez.

Aimer, ça rend léger, ça rend heureux, ça rend "vivant", ça te fait sentir immortel ; et ce, que ton amour soit dirigé vers une personne, un animal, une entité, une idée, etc.

Les "on dit", tu devrais les laisser à ceux qui les vivent car ils n'ont rien à voir avec ce que toi tu vis.

C'est terrible d'envisager qu'aimer ne se résume qu'à aider ou comprendre l'autre.

Et je ne crois pas que l'on souffre de "trop aimer"... Souffrir de ne pas être aimé comme l'on voudrait, oui. Souffrir de ne pas parvenir à exprimer avec justesse son amour, oui. Trop aimer, cela n'existe pas. C'est une mauvaise application de ce terme. Nous n'aimons jamais assez.

Aimer, ça rend léger, ça rend heureux, ça rend "vivant", ça te fait sentir immortel ; et ce, que ton amour soit dirigé vers une personne, un animal, une entité, une idée, etc.

Les "on dit", tu devrais les laisser à ceux qui les vivent car ils n'ont rien à voir avec ce que toi tu vis.

Pour emboiter le pas a doline je dirais moi aussi:

Oui tu as raison.

Cependant tu parles comme quelqu'un qui a eté gaté ( choyé ) par l'amour.

Et les " on dit" c'est juste un effet de style, je les emploie seulement pour ne pas paraitre trop péremptoire.

Mais quand meme, est ce que l'on s'est suffisamment penché sur cette question:

Est ce qu'aimer ça rend léger et heureux ?

( vivant oui sans aucun doute )

C'est etre aimé en retour qui nous rend heureux, pas plus, pas moins.

L'amour heureux c'est le dialogue des ames, et on ne peut pas dialoguer tout seul.

Oui, il est possible de se donner les moyens de ne pas lui faire barrage, à l'amour.

Lorsque nous parvenons à comprendre qu'il ne vient pas réellement des autres mais que pour le sentir en soi, il faut simplement accepter qu'il soit là, cela facilite considérablement l'existence. Nous arrêtons alors d'attendre "quelqu'un" pour être heureux.

Ce que nous avons à partager avec "quelqu'un", ce n'est pas un manque ou un mal-être, c'est un bonheur.

Fais organiser un combat à mort, et prends le gagnant. Bidule contre machin, c'est romantique, surtout pour le trophée qui les attend, un coeur de pierre, ou alors une partouze.

Oui, il est possible de se donner les moyens de ne pas lui faire barrage, à l'amour.

Lorsque nous parvenons à comprendre qu'il ne vient pas réellement des autres mais que pour le sentir en soi, il faut simplement accepter qu'il soit là, cela facilite considérablement l'existence. Nous arrêtons alors d'attendre "quelqu'un" pour être heureux.

Ce que nous avons à partager avec "quelqu'un", ce n'est pas un manque ou un mal-être, c'est un bonheur.

Oui, c'est le discours quasiment officiel de ceux qui pretendent a la sagesse, je l'entend tres souvent.

Mais deja il faut connaitre un peu la vie de ceux qui le tiennent.

Est ce une femme séduisante et courtisée, qui par ailleurs a des enfants ?

Deux raisons de douter un minimum de son objectivité en la matière.

Je pense qu'il n'est meme pas utile de développer.

Il est bien entendu que l'on parle ici de la relation ( amoureuse ) a l'autre.

Car sinon je conçois tout a fait que l'on puisse parvenir a etre heureux dans le détachement.

Le discours officiel de ceux qui prétendent à la sagesse...

Et pour ceux qui prétendent à la sérénité, le discours diffère beaucoup ?

Et pourquoi connaître la vie de ceux qui tiennent ce discours ?

Si un discours me touche, me fait vibrer, me "parle", j'aurais peut-être le désir d'en savoir plus sur la personne qui le tient mais, indéniablement, il m'aura apporté une ouverture même s'il est anonyme. Et quand bien même, la personne qui tient ce discours a (ou a eu) une vie dissolue, je m'abstiendrais de déformer l'effet qu'aura eu son discours sur moi. Ça, c'est du détachement et effectivement, ça rend heureux.

La relation amoureuse à l'autre n'a rien d'un détachement, c'est un attachement.

C'est bien de ce bonheur de se sentir "attaché" et donc lié à l'autre que je parle plus avant. Et même si cet autre ne sait rien de cet attachement. L'amour, c'est d'abord en soi qu'il naît... que nous le partagions ou pas n'enlève rien à cet élan remarquable qu'il fait jaillir dans notre être.

Je pense qu'il est toujours utile de développer.

C'est tellement rare que je trouve des mecs de mon âge qui me conviennent.. Pas envie de laisser passer DEUX occasions! Je n'ai de sentiment pour aucun (toujours été un cœur de pierre) mais les deux m'attirent vraiment.

Je propose à l'autre d'être le mec du placard?

tu n'as aucun sentiment pour les 2

mais ils t'attirent tous les 2 c'est ce que tu énonces ici.

donc sors avec les 2

1) tu choisis d'être honnête avec les 2; et tu les informes que tu n'éprouves aucun sentiment pour eux mais que tu as envie de passer de super moments avec eux et puis ensuite bye bye!

quand on n'éprouve pas de sentiment on ne reste pas avec quelqu'un n'est ce pas?

reste à ce que tes prétendants l'acceptent

2) evidemment tu peux rien leur dire, sortir avec l'un puis l'autre et puis les quitter tous les 2 ensuite.

et voilà

à toi de voir

:)

Le discours officiel de ceux qui prétendent à la sagesse...

Et pour ceux qui prétendent à la sérénité, le discours diffère beaucoup ?

Et pourquoi connaître la vie de ceux qui tiennent ce discours ?

Si un discours me touche, me fait vibrer, me "parle", j'aurais peut-être le désir d'en savoir plus sur la personne qui le tient mais, indéniablement, il m'aura apporté une ouverture même s'il est anonyme. Et quand bien même, la personne qui tient ce discours a (ou a eu) une vie dissolue, je m'abstiendrais de déformer l'effet qu'aura eu son discours sur moi. Ça, c'est du détachement et effectivement, ça rend heureux.

La relation amoureuse à l'autre n'a rien d'un détachement, c'est un attachement.

C'est bien de ce bonheur de se sentir "attaché" et donc lié à l'autre que je parle plus avant. Et même si cet autre ne sait rien de cet attachement. L'amour, c'est d'abord en soi qu'il naît... que nous le partagions ou pas n'enlève rien à cet élan remarquable qu'il fait jaillir dans notre être.

Je pense qu'il est toujours utile de développer.

Tu penses donc qu'un discours n'a pas besoin d'etre cohérent avec la vie de celui qui le tien ?

En prenant des cas extremes:

-Un homme qui a toujours vecu dans l'opulence et qui disserterait sur la faim ou la pauvreté.

-Un arriviste opportuniste qui parlerait de la générosité

-Un pervers narcissique qui parlerait de l'amour ( pour séduire )

....

C'est vrai qu'il y a des personnes trés talentueuses capable de parler de tout, de défendre une these et son contraire.

Dans l'antiquité on les appelaient Sophistes, et ils gagnaient leur vie en enseignant la philosophie.

"La relation amoureuse à l'autre n'a rien d'un détachement, c'est un attachement."

Oui précisément !

Et si on est attaché a l'autre c'est d'abord parce que l'on pense bien le comprendre et le connaitre, que l'on appréçie beaucoup ce que l'on croit qu'il est.

Et c'est la que j'ai du mal a admettre que l'on a pas besoin que cet autre nous "voit" pour etre heureux.

Sauf eventuellement si une partie de ce besoin ( qui me semble naturel ) est comblé par ailleurs.

Tu penses donc qu'un discours n'a pas besoin d'etre cohérent avec la vie de celui qui le tien ?

En prenant des cas extremes:

-Un homme qui a toujours vecu dans l'opulence et qui disserterait sur la faim ou la pauvreté.

-Un arriviste opportuniste qui parlerait de la générosité

-Un pervers narcissique qui parlerait de l'amour ( pour séduire )

....

C'est vrai qu'il y a des personnes trés talentueuses capable de parler de tout, de défendre une these et son contraire.

Dans l'antiquité on les appelaient Sophistes, et ils gagnaient leur vie en enseignant la philosophie.

"La relation amoureuse à l'autre n'a rien d'un détachement, c'est un attachement."

Oui précisément !

Et si on est attaché a l'autre c'est d'abord parce que l'on pense bien le comprendre et le connaitre, que l'on appréçie beaucoup ce que l'on croit qu'il est.

Et c'est la que j'ai du mal a admettre que l'on a pas besoin que cet autre nous "voit" pour etre heureux.

Sauf eventuellement si une partie de ce besoin ( qui me semble naturel ) est comblé par ailleurs.

Ce que j'ai mis en caractère gras prouve ce que je viens d'écrire juste avant : c'est d'abord en soi que l'amour naît, dans nos pensées, nos croyances... qui est l'autre véritablement permettra à l'amour de grandir ou de s'éteindre si la chance nous est donnée d'entrer en relation avec.

Pour le reste, je ne réponds pas, au risque de me répéter.

D'ailleurs, je préfère en rester là pour ce hors-sujet car nous avons atteint l'extrémité et ne pouvons que tourner en rond, désormais, à coup de reformulations veines et stériles.

J'espère que nos échanges auront malgré tout servi à Splanchnopleure, d'une manière ou d'une autre.

L'année est presque terminée. Il faut garder ces 2 relations en état de séduction .

Puisque tu n'éprouves pas d'amour , alors pas la peine d' en laisser un sur le carreau inutilement