Aller au contenu

Poésie du 16 ème Siècle ( Anthologie )


Zz'roth

Messages recommandés

Nouveau, Posté(e)
Zz'roth Nouveau 1 message
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour, bonsoir.

Je viens vers vous aujourd'hui car après de longue heures passées à chercher des poèmes du 16ème siècles concernant "La Ville" ou "Pays", je ne trouves malheureusement rien.

Je me demandais donc si des gentils personnes accepterait de partager leurs références en la matière ?

Merci d'avance et bonne soirée / matinée.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, forumeuse acharnée, Posté(e)
querida13 Membre 45 110 messages
forumeuse acharnée,
Posté(e)

Joachim du Bellay:heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage,cherche sur internet.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Karbomine
Invités, Posté(e)
Invité Karbomine
Invité Karbomine Invités 0 message
Posté(e)

Grave. Tu mets le nez dans Les antiquités de Rome, c'est blindé.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

  • 1 mois après...
Membre, 76ans Posté(e)
Blaquière Membre 18 850 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)

Je sais Bellaud de la Bellaudière, mais c'est en provençal.

Sur Wikipédia y'a que ça :

https://fr.wikipedia...i/Louis_Bellaud

C'est incontestablement (à mon avis) et avec Frédéric Mistral le poète provençal le plus extraordinaire.

Baroque, parfois surréaliste, subtil, blagueur, profond...

Entre François Villon et Rabelais si ça peut donner une idée...

Sa ville de prédilection (pour faire bombance !) c'était Avignon...

Ou Aix.

Il s'y retrouvait avec ses copains -quand il n'était pas en prison- dont Malherbe !

(Le rigoureux Malherbe : je n'en reviens toujours pas !)

Un de ses vers me revient, trop couillon pour l'oublier :

Sur le modèle du français "Tant va la cruche à l'eau..."

"Tant va pichier èn taverno qu'a la fin lou broussoun li resto dins la man !"

(Tant va pichet en taverne qu'à la fin le "goulot" lui reste dans la main !")

Si vous saisissez l'allusion...

On disait de lui qu'il ne lui a jamais fallu plus de temps pour composer un sonnet

que le temps de l'écrire.

Son art poétique, son inspiration, il la raconte ainsi : c'est qu'un soir il s'est pris une cuite colossale et pendant la nuit "non sabi qualo véno mi toumbet dau cerveu" (je ne sais pas quelle veine m'est tombé du cerveau) si bien que le matin "senso peno" (sans peine) en se réveillant, il a rempli de "rimaillons" "tout un plein magasin"!...

Il va sans dire qu'à considérer la poésie de cette façon, il parlait du "compère" Du Bellay en rigolant.

"Jamais le compère Du Bellay ne pourra enfermer dans le parc d'un sonnet

autant d'amis que j'ai, moi, dedans Avignon" (De mémoire)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×