"Aimer les femmes intelligentes est un plaisir de pédéraste."

Non pas du tout, en ce qui concerne l'auteur du topic.

Mais un homme et une femme qui entre en relation, amoureuse il s'entend, devraient pouvoir abandonner de temps en temps l'intellect, s'abandonner a des choses comme la sensibilité, la sensualité, la confiance, la vulnérabilité pourquoi pas.

Etre un homme pour une femme, etre une femme pour un homme, et non des rivaux intellectuels.

Est ce que l'on est entierement soi-meme dans l'intellect ?

Je pense que non, loin s'en faut !

Bonjour Swam, poigne de mains.

Ou là, ou là, ou là là, je comprends pas trop ce que tu nous dit là. Je vais te parler de moi, j'ai une femme merveilleuse elle à 70 ans, je la voulais intelligente, ayant du cœur ( générosité ), du courage. J'ai une ancienne énarque qui a une intelligence supérieur QI >150 elle a un cœur gros comme une chaîne de montagne, elle a du courage, elle est très féminine en plus. En son temps elle fit parler d'elle dans la presse. Jamais l'un ou l'autre dans les rapports que nous avons ensemble n'abandonnons quoi que ce soit de quelque nature qui soit, son intellect est toujours là, même si dans des rapports intimes nous ne parlons pas de politique, ou de philosophie, nous avons l’intellect qui nous pousse aux fantasmes de l'un pour l'autre, ce n'est pas par ce qu'on a un intellect, que l'on est dépourvu de sensibilité, bien au contraire cette sensibilité permet d'aiguiser l'idéation, en fait tout se renforcent mutuellement. Nous n’amputons rien de nous même mais nous nous servons de ce que nous sommes pour tout pousser au maximum de ce que nous pouvons nous échanger

Hum... euh... pardon d'insister, mais que penser de l'épilation?

Que c'est pas vraiment le sujet, même fortement tirer par les cheveux, c'est pas vraiment au poil, bien que j'écrive à poil.

Pourtant ont peut faire un lien entre la pilosité, le taux de testostérone donc les phéromones indispensable à l'attraction mutuelle.

Pas vraiment, mais alors pas vraiment. Les œstrogènes agissent aussi sur la pilosité, pas impérativement la testostérone qui est androgène.

J'ai peut être une explication, faut le voir avec son temps, à Baudelaire et non du notre, le pédéraste est celui qui est connaissant, qui a un savoir certain, et qui apprends l'amour à son élève, ainsi que le reste des choses. Les pédérastes étaient fréquent dans le monde antique, c'était tous des précepteurs. Comme l'éducation se faisaient principalement pour les garçons. https://fr.wikipedia.org/wiki/P%C3%A9d%C3%A9rastie

Hors pour avoir et comprendre un enseignement faut avoir un minimum d’intelligence, c'est pas un idiot ( QI = 30 ) qui peut comprendre, faut au moins une intelligence normale supérieure ( QI = 120 ). De plus du temps de Baudelaire au XIXe siècle il était fréquent que des hommes murs ( >30 ans ) épousent des jouvencelles de 16 ans voir 14 ans. Hors une fille intelligente pouvait comprendre un érudit pas une sotte, voilà donc pour moi l'explication du mot de Baudelaire Aimer les femmes intelligentes est un plaisir de pédéraste, car un pédéraste apprends tout.

Explication séduisante mais dans l'antiquité grecque, l'eraste était celui qui enseignait à l'eromene (l'ado).

Au temps de Baudelaire, pederaste était le terme pour désigner les homos, ne voulait il pas dire tout bêtement que l'on apprecie mieux l'intelligence d'une femme lorsque l'on n'a pas l'esprit distrait par ses attraits ? Quand le jeu de la séduction ne vient pas perturber l'échange ?

Bonjour Swam, poigne de mains.

Ou là, ou là, ou là là, je comprends pas trop ce que tu nous dit là. Je vais te parler de moi, j'ai une femme merveilleuse elle à 70 ans, je la voulais intelligente, ayant du cœur ( générosité ), du courage. J'ai une ancienne énarque qui a une intelligence supérieur QI >150 elle a un cœur gros comme une chaîne de montagne, elle a du courage, elle est très féminine en plus. En son temps elle fit parler d'elle dans la presse. Jamais l'un ou l'autre dans les rapports que nous avons ensemble n'abandonnons quoi que ce soit de quelque nature qui soit, son intellect est toujours là, même si dans des rapports intimes nous ne parlons pas de politique, ou de philosophie, nous avons l’intellect qui nous pousse aux fantasmes de l'un pour l'autre, ce n'est pas par ce qu'on a un intellect, que l'on est dépourvu de sensibilité, bien au contraire cette sensibilité permet d'aiguiser l'idéation, en fait tout se renforcent mutuellement. Nous n’amputons rien de nous même mais nous nous servons de ce que nous sommes pour tout pousser au maximum de ce que nous pouvons nous échanger

Bonjour Prométhée,

Mais un cas particulier ne fait pas une généralité.

Je crois d'ailleurs que tu as mis du temps a la trouver cette femme exceptionnelle.

Sinon je ne crois pas que les hommes et les femmes etaient tres différents d'aujourd'hui il y a 150 ans, ni meme il y a plusieurs millénaires, pas fondamentalement.

Ce qui change ce sont les libertés pour etre soi-meme, les convenances sociales, ce qui est bien vu de ce qui ne l'est pas.

Les femmes intelligentes, tout comme les hommes intelligents, ont plus de capacité que les autres pour s'affranchir des conditionnements de leur milieu et de leur époque.

George Sand etait en avance sur son temps.

Il me semble vraiment que pour Baudelaire les femmes intelligentes avaient ce défaut d'etre trop ( maladroitement ) masculines dans le désir d'etre les égales des hommes, déja a l'époque.