Pour une Société plus intelligemment et humainement organisée ?

bah ! par rapport à l'antiquité nous possédons déjà un degrés de civilisation supérieur , nos civilisations ne condamnent pas les gens à se faire bouffer dans l'arène et autres crucifixions à la chaîne . non , nous on a inventé le chaumage , ça fait moins sale .

Anna Kronisme :

« L'Homme étant justement peu fiable du fait de sa mauvaise maîtrise des ses pulsions animales et autres qui l'animent, j'ai déjà envie de demander de quelle nature sont ces "autres". »

Oh là ! Me chercheriez-vous des poux sur la tête ?

Dois-je en déduire que ma conception d’une Société dite civilisée vous déplait ?

Effectivement, étant peu instruit, j’ai choisi la facilité en rajoutant à tout hasard « autres ».

« Vient ensuite un questionnement logique : pourquoi s'entête-t-il, cet Homme, à fonctionner en Société puisque manifestement, cela rend son espèce plus névrosée que toutes les autres vivant dans ce Monde ? »

Peut-être que, tout simplement, parce qu’il n’a pas le choix ne serait-ce que pour assurer la pérennité de son espèce et pour disposer des produits technologiques qui l’abrutissent un peu plus chaque jour, mais aussi qui peuvent le soigner par exemple ?

« Ne serait-il pas plus judicieux pour lui d'entreprendre une rééducation pulsionnelle afin de vivre en paix avec lui-même et donc "les autres" ? »

Oui ! Mais alors, il faudrait tout d’abord, commencer par arrêter de l’abrutir en lui mettant en tête qu’il doit-être le meilleur en toutes choses (à l’école, au boulot, dans les sports qu’éventuellement il pratique, etc.) s’il ne veut pas être considéré comme un raté, un rebut de le Société…

Je ne cherche l'époux de personne, en voilà une drôle d'idée !

J'étais curieuse de savoir ce que le hasard vous avait soufflé impulsivement.

Je ne connais pas d'autres pulsions que celles que vous nommez "animales" alors si j'avais pu en apprendre davantage aujourd'hui, j'aurais été comblée.

L'humain a le choix et c'est bien en cela qu'il est coupable de sa propre déroute.

Lorsqu'il lui suffisait de courir pour sauver sa peau, il ne s'embarrassait pas de cette intelligente réflexion que nous connaissons bien en philosophie : le doute.

La Société a écarté le danger immédiat alors il faut bien occuper les survivants qui échappent à la sélection naturelle... En les abrutissant ? Oui, absolument. Une fois démuni de tout libre-arbitre, de toute capacité d'autonomie réelle, il aura effectivement à coeur de ne pas devenir un rebut de cette Société sans laquelle il ne survivra pas.

Est ce que le vivre en société, le "vivre ensemble", nous rend meilleur ?

Sans vouloir faire du Rousseau, je ne pense pas malheureusement.

C'est dans la solitude que l'homme a des chances de devenir meilleur, livré a lui meme il subit moins d'influences parasites.

Certes, il lui faut tout de meme une fenetre sur le monde pour comprendre qu'il est loin d'etre le seul a souffrir.

Anna Kronisme :

L’Homme, à cause de sa technologie, s’avère être, pour lui-même et pour le reste de la biodiversité, l’animal le plus dangereux de la Terre ; car pas suffisamment intelligent pour qu’il puisse réellement prendre conscience qu’il est mené par le bout du nez par ses pulsions animales (il suffit, par exemple pour s’en convaincre, d’observer les comportements de nos politiciens qui se disputent pour posséder et garder le « nonos » appelé POUVOIR) et toujours pas suffisamment intelligent pour posséder assez d’amour-propre pour s’en offusquer et décider d’en prendre le contrôle, afin de prendre en main sa destinée pour un avenir beaucoup plus serein…

La condition humaine est difficile, cela commence à être connu, non ?

Depuis le temps que l'on en parle.

Grossièrement l'homme est assez "intelligent" pour s'interroger et survivre, mais il n'est pas assez conscient, pour résoudre l'angoisse qui nait de ses questions.

L'homme est l'espèce animale qui a le plus de libre arbitre,c'est pourquoi il se pose par exemple des questions, malheureusement il n'a pas forcément les réponses adaptées.

Le siècle des lumières n'a allumé que la bougie matérialiste, elle arrive au bout, il va falloir rallumer des cierges...

Bon courage, commencez donc donc par vous détacher de "l'homo basching", il est bon de réapprendre à aimer l'espèce humaine.

« … il est bon de réapprendre à aimer l'espèce humaine. »

Même si je reconnais que dans l’absolu l’Homme ne peut être tenu pour responsable de ses comportements car il n’est après tout, rien de plus et rien de moins, que l’un des produits de la Nature.

Je réapprendrai à éprouver un peu d’estime pour l’Homme lorsqu’il cessera de détruire tout ce qui fait la beauté de la planète que j’aime, c'est-à-dire sa biodiversité,

Qu’il se montrera suffisamment responsable pour arrêter de proliférer comme une colonie de termites envahissantes et destructives.

Etc.

Anna Kronisme :

L’Homme, à cause de sa technologie, s’avère être, pour lui-même et pour le reste de la biodiversité, l’animal le plus dangereux de la Terre ; car pas suffisamment intelligent pour qu’il puisse réellement prendre conscience qu’il est mené par le bout du nez par ses pulsions animales (il suffit, par exemple pour s’en convaincre, d’observer les comportements de nos politiciens qui se disputent pour posséder et garder le « nonos » appelé POUVOIR) et toujours pas suffisamment intelligent pour posséder assez d’amour-propre pour s’en offusquer et décider d’en prendre le contrôle, afin de prendre en main sa destinée pour un avenir beaucoup plus serein…

S'il est effectivement mené par le bout du nez par ses pulsions, il n'en reste pas moins que tout ce qu'il entreprend revient à vouloir les fuir, ces odieux comportements pulsionnels.

Voilà pourquoi je suggèrais une "rééducation" de son essence... Accepter ce qui l'anime en prenant conscience que ce n'est pas "bête" mais naturel, de son naturel. S'il passe son temps à nier ce qu'il est, comment peut-il se développer, mettre son intelligence au service de son environnement et ainsi accomplir sa destinée ?

L'humain est un animal et devrait arrêter de vouloir se contrôler puisqu'il échoué lamentablement. Il devrait s'apprendre, se comprendre et s'aimer tel quel, comme le souligne Vertgandazert, car ce n'est qu'alors qu'il atteindra une certaine maîtrise.

NB : Maîtrise n'est pas Contrôle.

« il n'en reste pas moins que tout ce qu'il entreprend revient à vouloir les fuir, ces odieux comportements pulsionnels. »

J’avoue que j’ai du mal à vous suivre là ?

Pensez-vous vraiment, par exemple, que quand nos politiciens qui salivent outre-mesure devant le « nonos » POUVOIR et qu’ils entreprennent de faire le nécessaire pour s’en saisir et le garder, cela, c’est vouloir le fuir, cet odieux comportement pulsionnel de domination ?

« Accepter ce qui l'anime en prenant conscience que ce n'est pas "bête" mais naturel, de son naturel. »

Mais on peut très bien n’éprouver aucune honte à posséder des pulsions animales, mais aussi être suffisamment lucide pour comprendre que dans un environnement de plus en plus dangereux (les massues, les lances du temps de l’ l’homme de Cro-Magnon ont été remplacées par des bombes atomiques, des armes bactériologiques, etc. bien plus dangereuses) il est sage de prendre le contrôle de certaines de ses pulsions pour éviter des comportements destructifs extrêmement dangereux pour le devenir de l’humanité.

Il faut s’adapter à son environnement changeant pour assurer la pérennité de l’espèce ou se résigner à la voir disparaitre à brève ou plus longue échéance.

« S'il passe son temps à nier ce qu'il est, comment peut-il se développer, mettre son intelligence au service de son environnement et ainsi accomplir sa destinée ? »

Mais ce n’est pas nier ce qu’il est, que de se voir lucidement tel qu’il est, avec ses qualités et ses défauts. L’intelligence n’est vraiment utile que si elle conduit à posséder la lucidité nécessaire pour adopter les comportements les plus adaptés aux situations auxquelles il doit faire face.

« L'humain est un animal et devrait arrêter de vouloir se contrôler puisqu'il échoué lamentablement. Il devrait s'apprendre, se comprendre et s'aimer tel quel, comme le souligne Vertgandazert, car ce n'est qu'alors qu'il atteindra une certaine maîtrise. »

Si il échoue lamentablement comme il a fait pour les guerres de 14/18, 39/45 qu’il n’a pas su ou voulu empêcher et s’il continu avec les conflits actuels, c’est peut-être, tout simplement, parce qu’il ne possède pas ce que j’appelle « une forme de pensée » suffisamment évoluée pour cela ?

Où la raison et donc l’intelligence prend le pouvoir sur le pulsionnel et ainsi le contrôle, ne laissant s’exprimer que les pulsions ne présentant pas de réels dangers pour l’espèce et le reste de la biodiversité, faisant ainsi preuve à la fois de compréhension et de sagesse qui sont les principaux ingrédients pour assurer une bonne harmonie entre les êtres vivants.