qui sommes nous

"qui sommes nous"

Nous ne sommes qu’un des quelques résultats viables parmi un nombre incommensurable d’expériences avortées.

Nous ne sommes que des machines biologiques (robots biologiques) munis de capteurs permettant de traiter les informations issues de l’extérieur comme de l’intérieur et véhiculées par notre système nerveux jusqu’aux centres de traitement dont le principal est le cerveau.

Nos programmes pulsionnels et autres qui dictent nos comportements sont, autant que faire se peut, adaptés à notre environnement grâce à notre intelligence.

Si j’en juge au regard de l’organisation de notre société actuelle, j’ai l’impression que notre intelligence est d’un niveau trop faible pour nous adapter efficacement aux progrès technologiques qui évoluent, apparemment, trop rapidement pour nos capacités d’adaptation. Ils sont sou employés ou parfois mal utilisés.

Bonjour Vertgandazert, poigne de mains.

L'idée du Carpe Diem, est des plus austères, Tiré d'un poème d'Horace en offrant un aperçu de l'épicurisme.

Carpe diem quam minimum credula postero diei. Est assez loin de ce que tu présentes, puisque cela demande une conscience et une absence de crédulité, tout à l'inverse de la demande contemporaine des publicitaires, comme d'une indolence instinctive.

Quand au hasard bien il est pas du tout si hasardeux que ça, mais dépend de lois mathématiques très stricte (à l'origine le mot hasard vient de l'arabe qui veut dire destin, fortune ). Les mutations génétique correspondent à des lois strict, elles sont bien organisé, ce n'est pas par ce que nous n'avons pas encore une totale compréhension de celle ci, qu'elles font n'importe quoi, ce sont des mutations adaptatives au changements de milieu.

bonjour Promethee_Hades, poigne de mains

Oui il conviendrait de préciser, ce que l'on entend par hasard, disons qu'en biologie il est plutôt synonyme de tirages aléatoires, comme le sont effectivement certaines mutations génétiques,après évidemment ce sont les êtres vivants les plus adaptés au milieu qui survivent le mieux, mais c'est une tautologie de fonder le moteur de l'évolution, sur un tel mécanisme.

En effet, ces mutations hasardeuses, n'interviennent que pour des caractères mineurs, elles ne sont jamais à l'origine de nouvelles espèces.

Par ailleurs, certaines espèces par exemple les mouches drosophiles mutent beaucoup, mais elles "n'évoluent pas pour autant.

Si l'on veut expliquer l'évolution du vivant, vers plus de cérébralisation, plus de conscience, par le hasard des mutations génétiques, il faudrait admettre que ce hasard se répète souvent dans le même sens, ce qui est contradictoire avec la notion même de hasard. Comme le faisait remarquer Einstein, le hasard sert souvent à expliquer ce que l'on ne comprend pas, c'est "Dieu" qui se promène incognito, mais il parlait de physique quantique pas de biologie, à noter aussi que les expériences assez récentes lui ont donné tort, pour ce qui est du hasard et des particules élémentaires.

Par contre en biologie, le hasard reste bien le joker des biologistes matérialistes, c'est normal; mais cela n'explique rien.

Je crois que la matière vivante, c'est de la matière plus informée, je ne vois pas comment de l'information peut surgir par hasard? Mais en fait je n'en sais rien.

Bonjour

Quand je parle de courage je pense au courage qu'il faille pour admettre que nous ne sommes rien d'autre qu'un produit utilitaire d'une nature qui nous dépasse, et que ce que nous croyons être nous même n'est qu'une grossière erreur. Faut du courage pour accepter que nous ne sommes RIEN de ce que nous croyons être.

"qui sommes nous"

Nous ne sommes qu’un des quelques résultats viables parmi un nombre incommensurable d’expériences avortées.

Nous ne sommes que des machines biologiques (robots biologiques) munis de capteurs permettant de traiter les informations issues de l’extérieur comme de l’intérieur et véhiculées par notre système nerveux jusqu’aux centres de traitement dont le principal est le cerveau.

Nos programmes pulsionnels et autres qui dictent nos comportements sont, autant que faire se peut, adaptés à notre environnement grâce à notre intelligence.

Si j’en juge au regard de l’organisation de notre société actuelle, j’ai l’impression que notre intelligence est d’un niveau trop faible pour nous adapter efficacement aux progrès technologiques qui évoluent, apparemment, trop rapidement pour nos capacités d’adaptation. Ils sont sou employés ou parfois mal utilisés.

Bonjour nolibar,

Je pense effectivement que le décalage croissant entre le "progrès technique" et notre progrès moral qui ne suit pas est source de malaise et de crise.

C'est sans doute la raison principale de la crise de civilisation que nous vivons et mal pour la plupart.

FARPAITEMENT !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

c'est pourquoi je suis en avance et vs etes tous des attardés .

Peut-être que ce n'est pas le progrès moral qui ne suit pas.

Puisque aujourd'hui ces thèses sont à la mode.

Ne serait-ce pas simplement l'évolution politique qui est entravée ?

Entravée par l'animalité (l'égoïsme) humaine ?

L'Homme serait alors un animal "pas assez politique" !

Il reste toujours sur une gestion animale de sa vie.

Des amibes se multiplient dans une goutte d'eau jusqu'à ce que leur propres déjections

rendent leur environnement invivable et qu'elle meurent toutes.

L'homme fait exactement la même chose.

Le progrès technique ne fait qu'accélérer le processus.

Et en ce moment, le premier but du "capitalisme financier" animal, omnipotent et mondial est d'éliminer tout pouvoir politique.

C'est dire qu'on n'est pas près de la solution.

" Le progrès technique ne fait qu'accélérer le processus. "

C’est parce que, tout simplement, l’Homme n’est pas assez intelligent et trop égoïste ou dominateur (donc trop animalesque) pour l’utiliser comme le ferait des hommes/femmes intelligents/es à forme de penser évoluée.

Eux, l’utiliseraient pour construire une Société la plus rationnellement et pragmatiquement organisée pour, tout en permettant à tous de profiter agréablement de la vie qui leur est donnée, économiser, autant que faire ce peut, les ressources non renouvelable de notre Planète. Ils prendraient grand soin du reste de la biodiversité, non seulement pour son intérêt nutritionnel, mais aussi pour le plaisir des yeux par le cadre de vie qu’elle crée grâce à la grande diversité de ses espèces tant animales que végétales.

Peut-être aussi que dans la plupart des cas, la psychologie et donc les motivations humaines

(depuis "l'invention" de l'esprit !) sont en partie névrotiques et qu'en particulier pour ceux qui arrivent à

acquérir un certain pouvoir -sur les autres- qu'ils ont bien voulu, recherché, et qui se sont longtemps battus pour l'obtenir

le problème n'est pas tellement d'être heureux soi ni épanouis :

Je penserais que souvent pourrait intervenir l'absurdité d'un :

"Ce n'est pas le tout d'être heureux, encore faut-il que les autres soient malheureux !"

Je me demande...

Du cynisme ?...

Qui voudrait souvent se faire passer et même se prendre pour de l'humour.

Suivez mon regard !...

"Ce n'est pas le tout d'être heureux, encore faut-il que les autres soient malheureux !"

Bah ! Ceux-là ne sont pas faits apparemment pour vivre dans une société civilisée ; il faut donc leur désigner un territoire où ils pourront, pour leur plus grand plaisir, s’entretuer gaiment.

Je plaisante, bien sûr !

Peut-être pas finalement ?