Le social est l'infirmière de l'économie, il répare ce que l'autre casse.

Aujourd’hui, Pékin ( la Chine ) s’enrhume, le Brésil s’asphyxie…

Les déboires de l’ex-empire du Milieu peuvent d’autant plus alarmer en Europe que, comme le relevait un analyste , « quand vous avez un rythme de croissance de l’ordre de 1 % par an, vous êtes vulnérable au moindre choc externe ». Tout le problème est bien là, dans cette politique d’austérité qui perdure partout dans l’UE, plombant la consommation populaire , premier ressort de l’activité dans l’Hexagone, hypothéquant toute reprise économique à la consommation populaire, et donc la baisse du chômage. Le ralentissement chinois a finalement valeur de piqûre de rappel : au lieu de faire miroiter une aléatoire conquête des marchés mondiaux, priorité devrait être donnée à une relance par le pouvoir d’achat des ménages, l’investissement dans l’appareil productif et les services publics.

Or, la droite ne propose que l'inverse et la gauche patine dans la choucroute.

A force de parler de rentabilité à tout crin, de baisses des charges des entreprises dont certains gagnent des milliards, d'attaquer les retraites, de favoriser les bas salaires et les petits boulots, voilà ce que cela donne.

L'économie ne peut être que sociale mais, je pense que c'est compliqué à comprendre. :smile2:

Et il n'y à pas d'assistanat ni d'assistés, vous délirez complètement.

D'ailleurs, qui pourra me dire, où commence et où fini le social?..

Un courant assez dominateur du libéralisme actuel entend démontrer que l'économie c'est juste des chiffres, et que l'aspect social n'a rien à faire là-dedans. C'est ce qu'on enseigne dans les universités, c'est ce que pensent beaucoup de nos chers hommes politiques... et c'est ce qui explique en grande partie la merde dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui. En France heureusement on sait encore "faire du social", ce qui permet d'amortir un peu la casse. Les grands pays libéraux nous le reprochent assez, d'ailleurs.

Un courant assez dominateur du libéralisme actuel entend démontrer que l'économie c'est juste des chiffres, et que l'aspect social n'a rien à faire là-dedans. C'est ce qu'on enseigne dans les universités, c'est ce que pensent beaucoup de nos chers hommes politiques... et c'est ce qui explique en grande partie la merde dans laquelle nous nous trouvons aujourd'hui. En France heureusement on sait encore "faire du social", ce qui permet d'amortir un peu la casse. Les grands pays libéraux nous le reprochent assez, d'ailleurs.

Nous ne vivons que par le social en effet, mot que les ultralibéraux ont connoté péjorativement.

Lorsqu'un pauvre achète un pain, un vélo , une brosse à dents il fait vivre l'économie et, c'est bien en donnant un dollars par jour aux millions de chômeurs qui traînaient sur les routes que l'amérique va redresser le pays

D'ailleurs, Ford et Taylor vont vite piger qu'il y à une manne à glaner.Nous connaissons la suite de ce cercle dit vertueux

J'espère que vous avez fait vos calcul avant d'imprimer plus d'argent comme vous voulez faire.

Je n'ai pas l intention de faire marcher la planche á billets..