La Bible vous parle de la corde d' Argent ?

une corde qui relie l'âme ? le cordon ombilical

purée je l'avais dit par déduction et intuition

je vais sur google je tape "corde d'argent est un cordon ombilical" et bien j'ai raison

12.8 Cette corde est comme le cordon ombilical, elle lie l'âme au corps. Lors de la mort, la corde d'argent est coupée.

http://www.bibledejesuschrist.org/content/texts/fra_bjc/EC12.html

712:8Cette corde est comme le cordon ombilical, elle lie l'âme au corps. Lors de la mort, la corde d'argent est coupée.

Azed : relie bien le lien que tu nous donnes !!!

La note dit que c'est ""COMME"" le cordon ombilical !!!

C'est une comparaison ! Pas une affirmation !!

C'est pas pareil !!! De déductions attives comme ce là naissent les malentendus et les fausses doctrines !!!

Désolé Azed ! Bon je comprends tout à fait ta joie d'avoir trouvé ce lien ! Je ne peux pas te jeter la pierre ! Je m'enflamme parfois aussi souvent dans la précipitation ! :smile2: :smile2: :smile2:

712:8Cette corde est comme le cordon ombilical, elle lie l'âme au corps. Lors de la mort, la corde d'argent est coupée.

Azed : relie bien le lien que tu nous donnes !!!

La note dit que c'est ""COMME"" le cordon ombilical !!!

C'est une comparaison ! Pas une affirmation !!

C'est pas pareil !!! De déductions attives comme ce là naissent les malentendus et les fausses doctrines !!!

Désolé Azed ! Bon je comprends tout à fait ta joie d'avoir trouvé ce lien ! Je ne peux pas te jeter la pierre ! Je m'enflamme parfois aussi souvent dans la précipitation !

ma joie ,.. y en a qui sont dans ma tête ici

comme le cordon ombilical c'est à dire un cordon pour la naissance et un pour la mort

N'empêche que pour moi , un au de là existe tout comme une vie existe sur d'autres planètes ...et personne n'en ait vraiment sûr ! Un jour peut-être on en saura plus là dessus ! Et ça mettra un terme définitif à la discution !

Mais on le sait déjà !

L'esprit (ou l'âme) est produit pas le corps, quand le corps est détruit, quand il disparaît, l'âme n'est plus produite : elle n'existe plus.

C'est tout simple !

C'est histoires de "corde d'argent" (ou de tunnel avec la lumière au bout), à mon avis, c'est juste pour amuser le chaland.

pour pas qu'il s'angoisse de trop, le pauvre. Et qu'il reste rentable pour la société.

Jésus Christ un brave type ?

C'est ce qu'on voudrait croire. Mais c'est pas si sûr.

Il semble avoir été violent parfois (les marchands du temple... je suis venu apporter le glaive..;"

C'était quand même un peu une sorte de fou de Dieu, même si ça folie était souvent douce.

Quand St Jean l'a trempé dans l'eau, il est ressorti.. mouillé, bien sûr mais aussi illuminé.

Persuadé que Dieu l'avait choisi lui, personnellement (et pas un autre) : c'est quand même grave !

Et l'avait choisi pourquoi ? C'est pas très clair sa mission au départ.

Pas pour fonder une nouvelle église en tout cas !

Pour "revenir aux fondamentaux" (!!!) (comme on dit à la mode !) de la religion juive et pour les juifs seulement.

Genre peuple élu et préféré de Dieu... etc : tout ça est quand même un peu moche. Il le dit plusieurs fois que l'important c'est les juifs. Les autres, non !

C'est par la suite, ses successeurs qui on décidé de fonder une autre religion, ouverte aux" gentils", pas lui. Et ça ne s'est pas fait tout seul. Son frère de Jésus et St Pierre ne voulaient pas trop. Ils voulaient rester entre eux.

Son second commandement c'est "aimer son prochain comme soi-même" soit.

Cela semble aller dans la bonne direction, mais son premier commandement :

"Aimer Dieu de tout son coeur et de tout son être (ou son âme)."

ça ne veut rien dire !

Dieu veut qu'on l'aime ? Qu'est-ce qu'il en aurait à faire, s'il existait de ces fourmis que nous sommes ? S'il nous a créés, c'est qu'il en avait envie, mais qu'il exige qu'on l'aime en retour ? C'est primitif comme idée. Archaïque. A coup sûr indigne d'un créateur. Dieu serait jaloux comme on dit dans l'ancien testament ! Primaire !

Voilà : le problème de Jésus Christ c'est que d'entrée, il déraille !

Le centre de gravité de sa pensée, c'est la religion, et non le monde, et dès lors tout le monde qui l'entoure est incohérent.

Le monde n'est plus réel pour lui. Mais fantasmé.

L'exemple c'est quand il dit "nul n'est prophète en son pays". Certains évangiles (peut-être apocryphes?) précisent " nul n'est prophète ni médecin dans son pays".

Pour lui le monde réel n'existe pas. Toute maladie n'est qu'une "punition" ...divine !

Mince !

Les grecs et bien d'autres travaillaient déjà sur la médecine depuis des siècles !!!

Sur Ötzi l'homme préhistorique d'il y a plus de 5000 ans, retrouvé dans les Alpes, on a retrouvé dans sa ceinture des champignons au vertus antibiotiques. Jésus, lui, non :il faisait un signe avec la main pour soigner ou une prière !!!

Pour Jésus, un médecin c'est juste un beau parleur.

Comme un prophète.

Tu m'étonnes qu'on ne le croit pas chez lui un prophète ! Son métier c'est de délirer, c'est de mentir !

Quand on t'a connu "petit merdeux" dans ton village, tu peux pas leur faire gober que t'es l'envoyé spécial de Dieu !

Il semblerait qu'à la fin sur la croix il ait réalisé que le monde n'était pas qu'imaginaire. Pas qu'un délire...

Et sa fin est bien triste.

Voilà je m'arrête, y'en aurait tant à dire !...

Avant d' être le Messie envoyé par Dieu , Jesus - Christ etait un homme avec toute les caracteristique que nous lui connaissons .

Tu parle de sa colère contre les marchand du temple .

Tu nous donne le point de vue d' une personne qui ne croit même pas à son aura Divine ?

Dans une Eglise ou une Mosquée , tu t' y rend pour prier pas pour faire la promotion de tes canapés ou

dernière voitures sortis .

Un lieu de culte , ce n' est un supermarché .

D' ailleurs les marchand du temple t' explique le pourquoi de la venue du Christ .

Les Juifs s' eloignaient tellement de la foi qu' il fallait intervenir ????

hier je ne me rappelait plus le nom de ces trois parques

une autre version de la corde d'argent de la bible

Parques

Les Parques (du latin Parcae, provenant des mots parco, parcere, « épargner ») sont, dans la religion romaine ou la mythologie romaine, les divinités maîtresses de la destinée humaine, de la naissance à la mort. Elles sont généralement représentées comme des fileuses mesurant la vie des hommes et tranchant le destin. Elles sont le symbole de l'évolution de l'univers, du changement nécessaire qui commande aux rythmes de la vie et qui impose l'existence et la fatalité de la mort.

Origine[modifier | modifier le code]

Au départ, les Romains ne connaissaient qu'une Parque, Parca Maurtia, qui symbolisait la destinée, ainsi qu'une déesse appelée Neuna Fata, qui était associée à la naissance et qui « se transformera » au fil du temps en la Parque Nona. C'est sous l'influence des Moires grecques, qui président respectivement à la naissance, au déroulement de la vie puis à la mort, que les Romains adopteront l'idée de trois Parques (Parcae).

Mythologie[modifier | modifier le code]

Les Parques sont trois sœurs, Nona, Decima et Morta. Leurs origines sont très floues, selon les versions, elles sont les filles, soit de Jupiter (Zeus) et de Junon (Héra), soit de Jupiter (Zeus) et de Thémis, soit de Nox (Nyx, la nuit) et de l'Érèbe, soit, selon quelques poètes, de Nécessité (Ananké) et du Destin. L'obscurité de leur naissance indique qu'elles ont exercé leurs fatales fonctions dès l'origine des êtres et des choses ; elles sont aussi vieilles que la Nuit, la Terre et le Ciel. Elles se nomment Nona, Decima et Morta (la transposition latine des Moires grecques Clotho, Lachésis et Atropos), et habitent un séjour voisin de celui des Horae (Heures), leurs possibles sœurs, dans les régions olympiques, d'où elles veillent non seulement sur le sort des mortels, mais encore sur le mouvement des sphères célestes et l'harmonie du monde. Elles ont un palais où les destinées des hommes sont gravées sur du fer et sur de l'airain, de sorte que rien ne peut les effacer. Immuables dans leurs desseins, elles tiennent ce fil mystérieux, symbole du cours de la vie, et rien ne peut les fléchir ni les empêcher d'en couper la trame. Elles calmèrent toutefois la douleur de Cérès (Déméter), affligée par la perte de sa fille, et aidèrent Jupiter (Zeus) dans son combat contre les géants (les Titans).

Rôles et représentations[modifier | modifier le code]

Les anciens représentaient les Parques sous la forme de trois femmes aux visages sévères, avec des couronnes faites de narcisses. D'autres leur donnaient des couronnes d'or ; quelquefois une simple bandelette leur entoure la tête ; rarement elles paraissent voilées. Pausanias et d'autres auteurs anciens les couronnaient de branches de chêne vert1, espèce végétale au feuillage sempervirent symbolisant très souvent la pérennité, l'immuabilité entre la vie et la mort.

Les Romains rendaient de grands honneurs aux Parques (et les Grecs aux Moires), et les invoquaient ordinairement après Apollon, parce que, comme ce dieu, elles pénétraient l'avenir. On leur immolait des brebis noires, comme aux Furies (Érinyes).

Ces divines et infatigables filandières n'avaient pas seulement pour fonction de dérouler et de trancher le fil des destins, elles présidaient aussi à la naissance des hommes. Elles étaient même chargées de conduire à la lumière et de faire sortir du Tartare les héros qui avaient osé y pénétrer. C'est ainsi qu'elles servirent de guides à Bacchus (Dionysos), Hercule (Héraclès), Thésée, Ulysse, Orphée, et d'autres. C'est à elles encore que Pluton (Hadès) confia son épouse, lorsque, suivant l'ordre de Jupiter (Zeus), elle retourna dans le ciel pour y passer six mois auprès de sa mère. Enfin, elles devaient faire « respecter » le destin. Par exemple, ce sont les Parques qui empêchaient une divinité de porter secours à un héros lorsque l'« heure » de celui-ci était arrivée2. Elles incarnent une loi que même les dieux ne peuvent transgresser sans mettre l'ordre du monde en péril.

Les Parques, par Alfred Agache

Nona - ou Clotho pour les Grecs -, signifiant « filer » en grec, paraît être la moins vieille des Parques. C'est elle qui fabrique et tient le fil des destinées humaines. On la représente souvent vêtue d'une longue robe de diverses couleurs, portant une couronne formée de sept étoiles, et tenant une quenouille qui descend du ciel vers la terre. La couleur qui domine dans ses draperies est le bleu. Elle est nommée sous la forme francisée Cloton à l'époque classique3.

Decima - ou Lachésis pour les Grecs -, nom qui en grec signifie « sort » ou « action de tirer au sort », est la Parque qui déroule le fil et qui le met sur le fuseau. Ses vêtements sont quelquefois parsemés d'étoiles, et on la reconnaît au grand nombre de fuseaux épars autour d'elle. Ses draperies sont de couleur rose.

Morta - ou Atropos pour les Grecs -, c'est-à-dire « inévitable » en grec, coupe impitoyablement le fil qui mesure la durée de la vie de chaque mortel. Elle est représentée comme la plus âgée des trois sœurs ; près d'elle, on voit plusieurs pelotons de fil plus ou moins garnis, suivant la longueur ou la brièveté de la vie mortelle qu'ils mesurent. L'image de la Parque coupant le fil de la vie apparaît tardivement dans la poésie latine4. Elle est notamment absente chez Catulle5, mais apparaît chez Martial et devient très populaire à la Renaissance.

Notes et références[modifier | modifier le code]

↑ Quercus ilex L.

↑ http://www.lycee-cantonal.net/cours/mytho/parques.html [archive]

↑ François Mainard "La Belle Vieille", La Fontaine "Epître à M. de Turenne

↑ Sylvie Ballestra-Puech, Les parques dans Dictionnaire des mythes littéraires, Monaco, éditions du Rocher, 1994, p. 1139-1142

↑ Poésies, LXIV, v. 307-319

Sources[modifier | modifier le code]

Pierre Commelin, Mythologie grecque et romaine [détail des éditions] [lire en ligne].

(de) Thomas Blisniewski : Kinder der dunkelen Nacht. Die Ikonographie der Parzen vom späten Mittelalter bis zum späten XVIII. Jahrhundert. Diss. Köln 1992, Köln 1992 (mit ausführlicher Bibliographie zu Moiren und Parzen sowie deren Nachleben in der Kunst)

http://fr.wikipedia.org/wiki/Parques