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Pourquoi continuer à manger de la viande ?

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Savonarol

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Et toi il ne te reste que les attaques personnelles à mon encontre pour eviter de chercher des arguments qui tiennent debout pour legitimer ton specisme. L'argument du consommateur moderé et eclairé ne tenant pas plus debout qu'une poule confinée dans sa cage trop petite.

Il n'y a pas d'attaque personnelle. Tu es pris à ton propre piège, voilà tout.

Le specisme est légitimé par le fait que l'anti spécisme vegan repose sur une arnaque: il faut par exemple buter des animaux pour pouvoir manger des céréales.

L'antispécisme vegan du consommateur éclairé est aussi une arnaque, la plupart des vegans consommant et polluant comme des gorets sur tout le reste de leur impact écologique.

Bref, si une cause est basée sur une incohérence, tant au niveau de la position que de la marge qu'il y a entre les propos et les actes, elle n'a plus aucune crédibilité.

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Baby Forumeur‚ 57ans‚
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On te parle spècisme tu reponds ecologie. Dire que l'on est obligé de tuer des animaux pour manger des cérèales est vrai en un sens, mais cela legitimerait en quoi l'elevage et l'esclavage d'animaux qu'il faut de toute façon nourrir de cereales?

" J'aime les animaux mais je les fais tuer et je les mange" , c'est coherent peut être?

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On te parle spècisme tu reponds ecologie.

1/Tu et non pas on

2/Merci de ne pas faire de lecture sélective.

Dire que l'on est obligé de tuer des animaux pour manger des cérèales est vrai en un sens, mais cela legitimerait en quoi l'elevage et l'esclavage d'animaux qu'il faut de toute façon nourrir de cereales?

Essaie de poser la question dans le sens inverse et tu comprendras peut-être pourquoi la posture anti spéciste vegan repose sur une imposture.

" J'aime les animaux mais je les fais tuer et je les mange" , c'est coherent peut être?

Ca n'est pas plus incohérent que "j'aime les animaux mais je les fais tuer pour manger autre chose", bien au contraire.

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Baby Forumeur‚ 57ans‚
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Donc, parce-que l'on est obligé pour se nourrir de detruire du vivant, on s'autorise à tuer et exploiter Tout le vivant? Et tu le mets où le curseur entre l'animal à bouffer et celui qu'il est odieux de bouffer? Le nombre de pattes? Mince le poulet en a 2 et le chien 4. L'intelligence? Un porc est aussi intelligent qu'un chien et plus qu'un chat. L'herbivore? Le cheval l'est comme la vache...etc. Alors je veux bien être responsable de la mort de quelques surmulots en consommant des cerèales, et reconnaitre qu'il est très difficile de ne nuire à aucun être vivant, pas de problème. Mais tout ce que je peux faire pour l'eviter, je le fais, sans me refugier derrière l'idée fataliste arrangeante et deresponsabilisante qu'on est obligé de participer au massacre, qu'on a pas le choix. Parce-que si, on l'a le choix, et tout ce que tu racontes ici ne demontre en rien le contraire. S'il n'y avait plus d'abattoirs ça serait deja un grand pas, et ça tu te racontes ce que tu veux, mais soutenir la demande en consommant de la viande, ça rend directement complice de ce qui s'y passe.

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Membre, 57ans Posté(e)
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Baby Forumeur‚ 57ans‚
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«“J’aime les animaux” et “j’aime mon steak”, ça ne fonctionne pas ensemble. Le cerveau humain trouve donc des manières de contourner ce paradoxe.» –Martin Gibert

http://journalmetro.com/plus/bouffe/771154/martin-gibert-ce-sont-les-animaux-qui-souffrent-pas-la-viande/

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Donc, parce-que l'on est obligé pour se nourrir de detruire du vivant, on s'autorise à tuer et exploiter Tout le vivant?

Non, ce n'est ni ce que je dis, ni ce que je sous entend. Ta déduction est foireuse.

Et tu le mets où le curseur entre l'animal à bouffer et celui qu'il est odieux de bouffer? Le nombre de pattes?

Et tu le mets où le curseur entre l'animal à épargner et celui qu'il est autoriser de buter pour bouffer tes céréales?

Alors je veux bien être responsable de la mort de quelques surmulots en consommant des cerèales, et reconnaitre qu'il est très difficile de ne nuire à aucun être vivant, pas de problème.

Doux euphémisme mal placé.

Mais tout ce que je peux faire pour l'eviter, je le fais, sans me refugier derrière l'idée fataliste arrangeante et deresponsabilisante qu'on est obligé de participer au massacre, qu'on a pas le choix.Parce-que si, on l'a le choix, et tout ce que tu racontes ici ne demontre en rien le contraire.

Pourtant tu as le choix. Tu peux choisir de ne pas manger de céréales. Pourquoi le fais tu alors? Pourquoi te déresponsabilise tu en prétextant que les animaux morts pour tes céréales ne se décomposent pas dans ton bide?

Donc ta pseudo démonstration se retourne encore une fois contre toi.

S'il n'y avait plus d'abattoirs ça serait deja un grand pas, et ça tu te racontes ce que tu veux, mais soutenir la demande en consommant de la viande, ça rend directement complice de ce qui s'y passe.

Tu remplaces viande par céréales et ça marche pareil. T'es directement complice.

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Baby Forumeur‚ 57ans‚
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T'as raison, t'as trouvé là de quoi te deculpabiliser. Puisque tu roules en voiture et que tu ecrases des papillons tu es un monstre sanguinaire, alors ne vient pas me rappeller que mon boudin c'est du sang sorti d'un animal que j'aurais pu choisir d'epargner. Super raisonnement. De toute façon on va pouvoir jouer comme ça longtemps. Toi avec tes arguments accusateurs visant à te deculpabiliser, et moi en te rappellant qu'il y a matière à culpabiliser.

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T'as raison, t'as trouvé là de quoi te deculpabiliser.

C'est pourtant exactement ce que tu fais: te voiler la face, idéaliser ta façon de consommer et charger les autres pour bien te déculpabiliser.

Faites ce que je dis, pas ce que je fais.

Tu le mets où le curseur entre l'animal à épargner et celui qu'il est autoriser de buter pour bouffer tes céréales?

Puisque tu roules en voiture et que tu ecrases des papillons tu es un monstre sanguinaire, alors ne vient pas me rappeller que mon boudin c'est du sang sorti d'un animal que j'aurais pu choisir d'epargner. Super raisonnement. De toute façon on va pouvoir jouer comme ça longtemps. Toi avec tes arguments accusateurs visant à te deculpabiliser, et moi en te rappellant qu'il y a matière à culpabiliser.

Ce n'est pas mon raisonnement là, mais c'est encore ton super-pouvoir de caricaturer et trafiquer le point de vue d'un opposant à ta cause.

Tu veux jouer? Reste donc dans ton bac à sable, seul.

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C'est pourtant exactement ce que tu fais: te voiler la face, idéaliser ta façon de consommer et charger les autres pour bien te déculpabiliser.

Faites ce que je dis, pas ce que je fais.

Tu le mets où le curseur entre l'animal à épargner et celui qu'il est autoriser de buter pour bouffer tes céréales?

C'est très simple, fermer les abattoirs, ne plus exploiter et elever pour les manger des animaux, arrêter la pêche. Deja là, une fois ça reglé, ce sont des milliards de vies et autant de souffrances epargnées. Quand on en sera à regler le problème des sauterelles tuées par les moissoneuses batteuses, on aura vraiment avancé.

Ce n'est pas mon raisonnement là, mais c'est encore ton super-pouvoir de caricaturer et trafiquer le point de vue d'un opposant à ta cause.

Tu veux jouer? Reste donc dans ton bac à sable, seul.

Mais si c'est ton raisonnement. Tu m'accuses de me voiler la face, de n'être pas coherent, dans le seul but de trouver là matière à legitimer ce qui est très difficilement legitimable. L'idée que puisqu'il faut que du vivant meurre pour que l'on puisse s'alimenter nous autorise de fait à massacrer et à engloutir sans compter, c'est uniquement une façon de s'autoriser à ne rien changer. On a tous nos petits arrangements avec notre conscience, mais il y a une chose dont je suis certain, on y gagne beaucoup en terme d'accord avec soi-même, à chaque fois que nos actes vont dans le sens d'epargner de la vie.

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[...]Une éthique est personnelle et ne vise pas à s’imposer aux autres…

Les végétariens éthiques ne sont pas dans un espace de négociation. Compromis rime pour eux avec compromission. La logique du végétarien éthique est une logique de guerre, celle qu’on a si souvent mobilisée dans l’histoire occidentale. Et il y a un autre problème : la situation des animaux ne s’est nullement améliorée depuis trente ans. Elle a au contraire empiré. L’élevage industriel est plus terrible que jamais. Les animaux sont moins anesthésiés au moment de leur mort par exemple. La logique du boycott a un sens quand vous êtes nombreux. Si vous êtes ultra-minoritaires, comme dans le cas des végétariens, qui représentent en France beaucoup moins que 5 % de la population, une telle démarche ne rime tout simplement à rien. Cette question n’est jamais abordée et me pose un vrai problème : qu’est-ce qu’une éthique qui n’a aucune efficacité ? Au fond, je pense que l’on ne peut pas avoir une position éthique efficace qui repose sur des prémisses théoriques bancales. Mon propos doit être considéré comme une invitation à ouvrir un vrai débat sur la question végétarienne, qui me paraît essentielle, et reconnaître que le paradigme de la pauvre bête, majoritaire aujourd’hui chez les végétariens, doit être abandonné pour une posture théorique plus satisfaisante.[...]

Philosophe et éthologue, enseignant à l’École normale supérieure et chercheur au Muséum national d’histoire naturelle, Dominique Lestel est l’auteur de L’Animalité (L’Herne, 2007), de L’Animal est l’avenir de l’homme, munitions pour ceux qui veulent (toujours) défendre les animaux (Fayard, 2010) et d’Apologie du carnivore (Fayard, 2011).

http://www.lemondedesreligions.fr/mensuel/2011/48/tuer-un-animal-n-est-pas-un-crime-24-06-2011-1649_179.php

Vous aurez noté que cette interview aura trouvé sa place dans la catégorie "le monde des religions"

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Membre, 57ans Posté(e)
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Baby Forumeur‚ 57ans‚
Posté(e)

[...]Une éthique est personnelle et ne vise pas à s’imposer aux autres…

Les végétariens éthiques ne sont pas dans un espace de négociation. Compromis rime pour eux avec compromission. La logique du végétarien éthique est une logique de guerre, celle qu’on a si souvent mobilisée dans l’histoire occidentale. Et il y a un autre problème : la situation des animaux ne s’est nullement améliorée depuis trente ans. Elle a au contraire empiré. L’élevage industriel est plus terrible que jamais. Les animaux sont moins anesthésiés au moment de leur mort par exemple. La logique du boycott a un sens quand vous êtes nombreux. Si vous êtes ultra-minoritaires, comme dans le cas des végétariens, qui représentent en France beaucoup moins que 5 % de la population, une telle démarche ne rime tout simplement à rien. Cette question n’est jamais abordée et me pose un vrai problème : qu’est-ce qu’une éthique qui n’a aucune efficacité ? Au fond, je pense que l’on ne peut pas avoir une position éthique efficace qui repose sur des prémisses théoriques bancales. Mon propos doit être considéré comme une invitation à ouvrir un vrai débat sur la question végétarienne, qui me paraît essentielle, et reconnaître que le paradigme de la pauvre bête, majoritaire aujourd’hui chez les végétariens, doit être abandonné pour une posture théorique plus satisfaisante.[...]

Philosophe et éthologue, enseignant à l’École normale supérieure et chercheur au Muséum national d’histoire naturelle, Dominique Lestel est l’auteur de L’Animalité (L’Herne, 2007), de L’Animal est l’avenir de l’homme, munitions pour ceux qui veulent (toujours) défendre les animaux (Fayard, 2010) et d’Apologie du carnivore (Fayard, 2011).

http://www.lemondedesreligions.fr/mensuel/2011/48/tuer-un-animal-n-est-pas-un-crime-24-06-2011-1649_179.php

Vous aurez noté que cette interview aura trouvé sa place dans la catégorie "le monde des religions"

Au lieu de t'evertuer à essayer de demontrer que l'ethique des non-bouffeurs de viande est mauvaise, essaie de nous vendre la tienne d'ethique . Explique donc comment tu gères la contradiction entre aimer son poisson rouge (au point de lui rendre publiquement hommage sur le post "photos de vos animaux") et le fait de manger un poisson pané? Comme celui qui nous montre son amour pour son chat et qui vient ici taper sur ceux qui n'aiment pas qu'on maltraite les animaux. Comment vous faites pour gerer ça, cette compassion selective basée sur de la projection sur de gentils adorables animaux, et de la non compassion pour du vulgaire betail à bouffer? Ca te choque le marché au chiens de Yulin? http://www.lefigaro.fr/international/2015/06/19/01003-20150619ARTFIG00399-malgre-la-controverse-le-festival-chinois-de-viande-de-chien-aura-bien-lieu.php

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Toujours du même article

Une situation dans laquelle, dites-vous, le carnivore se retrouve plus proche de l’animal en acceptant sa propre nature animale au lieu de s’en dégoûter… Expliquez-nous en quoi le végétarien s’exclut de l’animalité et va même jusqu’à "exclure l’animalité du vivant", lui qui, écrivez-vous avec provocation, "hait la nature" ?

Dans ma définition non-végétarienne du végétarien, ce dernier est celui qui refuse de se laisser intoxiquer par l’animal. Le végétarien occidental contemporain ne veut pas se compromettre avec l’animal, il ne veut pas le faire souffrir ou causer sa mort. Rien ne pourra jamais justifier de faire volontairement souffrir un animal. Mais le tuer n’est pas toujours un crime ni le manger une abomination. Dire que l’animal « ne veut pas mourir » n’a tout simplement pas de sens. Et pourquoi l’arbre centenaire qu’on abat aurait-il moins d’importance qu’un lapin qu’on tue ? L’animalité repose en particulier sur une dynamique de prédation. La juger immorale et considérer que l’homme peut la corriger signifie qu’il est en dehors de la nature et qu’il la déteste. En quoi ce constat est-il une provocation ?

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Baby Forumeur‚ 57ans‚
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Toujours du même article

Une situation dans laquelle, dites-vous, le carnivore se retrouve plus proche de l’animal en acceptant sa propre nature animale au lieu de s’en dégoûter… Expliquez-nous en quoi le végétarien s’exclut de l’animalité et va même jusqu’à "exclure l’animalité du vivant", lui qui, écrivez-vous avec provocation, "hait la nature" ?

Dans ma définition non-végétarienne du végétarien, ce dernier est celui qui refuse de se laisser intoxiquer par l’animal. Le végétarien occidental contemporain ne veut pas se compromettre avec l’animal, il ne veut pas le faire souffrir ou causer sa mort. Rien ne pourra jamais justifier de faire volontairement souffrir un animal. Mais le tuer n’est pas toujours un crime ni le manger une abomination. Dire que l’animal « ne veut pas mourir » n’a tout simplement pas de sens. Et pourquoi l’arbre centenaire qu’on abat aurait-il moins d’importance qu’un lapin qu’on tue ? L’animalité repose en particulier sur une dynamique de prédation. La juger immorale et considérer que l’homme peut la corriger signifie qu’il est en dehors de la nature et qu’il la déteste. En quoi ce constat est-il une provocation ?

Parce-qu'un arbre lorsque tu approche la lame de son ecorce n'a pas tendance à se barrer. Parce-qu'un arbre n'a pas de système nerveux et donc ne ressent ni peur , ni douleur. Quand à ta dynamique de predation, le jour où tu te serviras de tes griffes et de tes canines pour trouver à bouffer plutôt qu'à utiliser ta carte bleue ou tes tickets resto on en reparlera.

Et sinon, ton poisson rouge, qu'avait-il de si exeptionnel pour meriter tant d'egards?

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Parce que tu cultives toi même ton soja brésilien peut être ?

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Baby Forumeur‚ 57ans‚
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J'en mange pas. Par contre toi oui, puisqu'il sert à engraisser les bêtes à viande que tu crois nourries avec de la bonne herbe bien de chez nous.

En 2010, la France importait 4,6 millions de tonnes de soja sous forme de tourteaux, d’huile, de graines de farine et de sauces. 90 % de ces volumes étaient destinés à l’alimentation animale principalement sous forme de tourteaux et 70 % provenaient directement d’Amérique du sud. La France est aujourd’hui la 3e importatrice mondiale de soja brésilien.

Les besoins d’un Français pour satisfaire son alimentation carnée représentent l’équivalent de la superficie d’un terrain de basket de culture de soja.

La filière avicole (volaille et œuf) absorbe 58% du soja destiné à l’alimentation animale . 30% sont destinés à la filière bovine, notamment pour les vaches laitières, et 12% pour l’élevage porcin .

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Quand tu produiras naturellement ce que tu consommes, sachant que ce que tu qualifies sarcastiquement de lobby de marchands de carottes est une réalité agroalimentaire que tu encourages par ta consommation; tu viendras me faire la leçon.

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Membre, 57ans Posté(e)
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Baby Forumeur‚ 57ans‚
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Y sont partout les marchands de carottes. Tiens, le boeuf carotte par exemple, si c'est pas une façon insidieuse d'infiltrer les rangs carnistes...

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J'aurais préféré du saumon, il n'y a pas de raison de favoriser les ours.

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Parce-qu'un arbre lorsque tu approche la lame de son ecorce n'a pas tendance à se barrer. Parce-qu'un arbre n'a pas de système nerveux et donc ne ressent ni peur , ni douleur.

Tu admets donc une échelle du vivant qui te conduit avec l'éradication des insectes et autres nuisibles aux cultures a pratiquer strictement le même spécisme que celui que tu dénonces quand ça t'arrange.

On en revient donc là :

"Au fond, je pense que l’on ne peut pas avoir une position éthique efficace qui repose sur des prémisses théoriques bancales"

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