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Marine le Pen au gala de Time


Invité PINOCCHIO

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Invité PINOCCHIO
Invités, Posté(e)
Invité PINOCCHIO
Invité PINOCCHIO Invités 0 message
Posté(e)

En fait elle nous fait un remake de " Danse avec les loups "

:mur::mur::dort:

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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

NORMALISATION.

Bienvenu au club des gens importants mis en avant par Time. Un petit top ten pour rigoler.

10. Taylor Swift

Time la nomme personnalité de l’année en 2010 pour sa célébrité et sa prétendue capacité à sauver l’industrie musicale. La pop star n’est pourtant pas connue pour un quelconque engagement politique ou humanitaire, et son influence est limitée à la (très) jeune génération. S’interroger sur les raisons ce choix, c’est comme écouter une chanson de la country girl : un parcours douloureux.

Résultats : 30 % d’influence (presque) démoniaque sur la soupe musicale pop américaine

9. George W. Bush

L’ancien président des Etats-Unis a reçu l’honneur du Time quatre fois, en 2008, 2006, 2005 et 2004. Cependant, pour l’édition 2004, Bush était le plan B comme le révèle le réalisateur Michael Moore. Les premiers sélectionnés étaient Michael Moore lui-même, pour son documentaire Fahrenheit 9/11, et Mel Gibson, pour son film La Passion du Christ. Time avait choisi de représenter les deux vainqueurs par une belle photo de couve, que Mel Gibson refusa. Le second choix devint alors le premier.

Résultats : 40 % d’influence démoniaque, 60 % de pathétique.

8. Richard Nixon

Nixon, président républicain maniaque du micro, est récompensé deux années de suite par Time, en 1971 et en 1972. Lors de cette deuxième année, il est même à égalité avec Henry Kissinger, prix Nobel de la paix. Mais échec ! Le scandale du Watergate éclate, Nixon passe à la trappe. Et surprise, le juge John J. Sirica, chargé du Watergate, lui vole sa place en 1973.

Résultats : 70 % d’influence crapuleuse.

7. Kim Jong-un

“L’infamie est souvent dans l’œil de l’observateur et parfois, plus le crime est atroce, plus l’adoration est solide.” Ainsi s’ouvre la tribune du Time consacré à Kim Jong-un pour sa place dans le top 100. Le dictateur nord-coréen fait son entrée dans le classement en 2013 et s’y trouve encore en 2015. Cette même année, il tue son oncle, alors conseiller, le considérant comme un vulgaire opposant au régime. De quoi être devant Marine Le Pen dans le classement.

Résultats : 80 % d’influence démoniaque, c’est un vilain mais à la crédibilité limitée.

6. Pierre Laval

En 1931, Pierre Laval, alors président du Conseil, est nommé Homme de l’année. Ce choix est tactique: la grande dépression bat son plein et Laval est une figure d’espoir. “Il donne constamment l’impression que lui et son gouvernement travaillent”, commentait Time. Cette élogieuse réputation sera de courte durée : Laval sombre dans le pétainisme et la Collaboration et Time le regarde d’un autre œil.

Résultats : 85 % d’influence démoniaque, ça avait pourtant (presque) bien commencé.

5. l’ayatollah Khomeini

Chef religieux chiite, l’ayatollah Khomeini fut un opposant acharné au chah d’Iran et à sa politique pro-occidentale. De retour de son exil français, il impose, en 1979, une théocratie islamique et dénonce les Etats-Unis comme les plus grand ennemis de l’Iran, ce qui lui valut d’être nommé Homme de l’année. Cette année-là, le personnel de l’ambassade américaine de Téhéran est pris en otage et le restera pendant plus de 400 jours. Time explique son choix par une courte phrase : “Rarement un leader si improbable a secoué le monde”.

Résultats : 70 % d’influence démoniaque, surtout en vue des huit années de conflit irano-irakien qui ont coûté plus d’un million de vies aux deux pays.

4. Mullah Mohammed Omar et Sheik Mokhtar Ali Zubeyr

Les deux responsables terroristes trouvent place dans le classement des personnalités les plus influentes en 2012. La raison de leur succès ? “L’attrait hypnotique d’établir le royaume de Dieu sur la terre”, selon le magazine. Que Mullah Omar, leader spirituel des talibans, et Sheik Zubeyr, leader de Al-Shabaab, milice islamiste somalienne, soient honorés par un classement américain, voilà un grand paradoxe. Time n’oublie pas toutefois de rappeler que l’influence des deux hommes n’est que régionale.

Résultats : 80% d’influence démoniaque, leur influence est désormais davantage que locale.

3. Vladimir Poutine

Le président russe fut désigné comme l’un des leaders politiques les plus influents du monde en 2007. Il est alors à la fin de son premier mandat. En 2015, il est toujours dans le classement. Après son annexion de la Crimée en 2014, son absence aurait été une surprise. Cette même année, Poutine avait également été élu “homme de l’année” par le magazine LGBT The Advocate. Un vrai plébiscite.

Résultats : 90% d’influence démoniaque, parce que c’est beau de croire à 10% d’humanité.

2. Staline

Le Petit Père des peuples n’a pas été élu seulement une fois par Time, mais deux fois, en 1939 et en 1942. Bien connu pour les déportations, les exécutions en tout genre, Time revenait alors sur ses penchants à l’autoglorification. “Joseph Staline a poussé loin la tactique de sa propre déification de son vivant. Aucune flatterie n’est trop transparente pour lui. Aucun compliment n’est trop grand pour lui. Il est devenu la fontaine de toute la sagesse socialiste.” Le culte de la personnalité n’est désormais qu’un détail de l’horreur qu’il a fait vivre à l’URSS.

Résultats : 100 % d’influence démoniaque + 10 % pour un narcissisme surdéveloppé.

1. Hitler

Le grand vainqueur de ce top 10 est … roulement de tambours… Adolf Hitler. Détrônant Roosevelt et Gandhi, le Fuhrer est élu “homme de l’année” 1938, année des accords de Munich. Hitler n’est pas encore le meurtrier d’une partie de l’Europe, seulement le dépeceur de la Tchécoslovaquie et le dictateur dans son pays. La question de sa moralité n’était déjà plus une question et les camps de la mort étaient déjà en route. “Adolf Hitler a marché à pas de géant sur une Europe servile avec toute l’arrogance d’un dictateur. Ce n’est pas le simple fait que le Fuhrer ait apporté de nouveaux habitants (…) à son pays conformément à sa règle absolue, qui l’a fait élire « Homme de 1938 . (…) Hitler est devenu en 1938 la plus grande force menaçante à laquelle le monde démocratique, épris de liberté, fait face aujourd’hui“, expliquait le Time, le 2 janvier 1939. Le magazine concluait alors ses explications par “A ceux qui ont observé les événement de l’année, il semble plus que probable que l’Homme de l’année 1938 puisse faire de 1939, une année à retenir.” L’année suivante, Hitler annexait la Pologne.

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Membre, Dégonfleur de baudruches, 68ans Posté(e)
Dinosaure marin Membre 24 125 messages
68ans‚ Dégonfleur de baudruches,
Posté(e)

Je dois dire que son look m'indiffère.

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Membre, In girum imus nocte et consumimur igni , 52ans Posté(e)
PASDEPARANOIA Membre 27 326 messages
52ans‚ In girum imus nocte et consumimur igni ,
Posté(e)

Tu n'aspas de chance, tu ne fais pas parti du coeur de cible de la campagne marketing concoctée par les agents de com parisiens.

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Invité Atrebate
Invités, Posté(e)
Invité Atrebate
Invité Atrebate Invités 0 message
Posté(e)

NORMALISATION.

Bienvenu au club des gens importants mis en avant par Time. Un petit top ten pour rigoler.

10. Taylor Swift

Time la nomme personnalité de l’année en 2010 pour sa célébrité et sa prétendue capacité à sauver l’industrie musicale. La pop star n’est pourtant pas connue pour un quelconque engagement politique ou humanitaire, et son influence est limitée à la (très) jeune génération. S’interroger sur les raisons ce choix, c’est comme écouter une chanson de la country girl : un parcours douloureux.

Résultats : 30 % d’influence (presque) démoniaque sur la soupe musicale pop américaine

9. George W. Bush

L’ancien président des Etats-Unis a reçu l’honneur du Time quatre fois, en 2008, 2006, 2005 et 2004. Cependant, pour l’édition 2004, Bush était le plan B comme le révèle le réalisateur Michael Moore. Les premiers sélectionnés étaient Michael Moore lui-même, pour son documentaire Fahrenheit 9/11, et Mel Gibson, pour son film La Passion du Christ. Time avait choisi de représenter les deux vainqueurs par une belle photo de couve, que Mel Gibson refusa. Le second choix devint alors le premier.

Résultats : 40 % d’influence démoniaque, 60 % de pathétique.

8. Richard Nixon

Nixon, président républicain maniaque du micro, est récompensé deux années de suite par Time, en 1971 et en 1972. Lors de cette deuxième année, il est même à égalité avec Henry Kissinger, prix Nobel de la paix. Mais échec ! Le scandale du Watergate éclate, Nixon passe à la trappe. Et surprise, le juge John J. Sirica, chargé du Watergate, lui vole sa place en 1973.

Résultats : 70 % d’influence crapuleuse.

7. Kim Jong-un

“L’infamie est souvent dans l’œil de l’observateur et parfois, plus le crime est atroce, plus l’adoration est solide.” Ainsi s’ouvre la tribune du Time consacré à Kim Jong-un pour sa place dans le top 100. Le dictateur nord-coréen fait son entrée dans le classement en 2013 et s’y trouve encore en 2015. Cette même année, il tue son oncle, alors conseiller, le considérant comme un vulgaire opposant au régime. De quoi être devant Marine Le Pen dans le classement.

Résultats : 80 % d’influence démoniaque, c’est un vilain mais à la crédibilité limitée.

6. Pierre Laval

En 1931, Pierre Laval, alors président du Conseil, est nommé Homme de l’année. Ce choix est tactique: la grande dépression bat son plein et Laval est une figure d’espoir. “Il donne constamment l’impression que lui et son gouvernement travaillent”, commentait Time. Cette élogieuse réputation sera de courte durée : Laval sombre dans le pétainisme et la Collaboration et Time le regarde d’un autre œil.

Résultats : 85 % d’influence démoniaque, ça avait pourtant (presque) bien commencé.

5. l’ayatollah Khomeini

Chef religieux chiite, l’ayatollah Khomeini fut un opposant acharné au chah d’Iran et à sa politique pro-occidentale. De retour de son exil français, il impose, en 1979, une théocratie islamique et dénonce les Etats-Unis comme les plus grand ennemis de l’Iran, ce qui lui valut d’être nommé Homme de l’année. Cette année-là, le personnel de l’ambassade américaine de Téhéran est pris en otage et le restera pendant plus de 400 jours. Time explique son choix par une courte phrase : “Rarement un leader si improbable a secoué le monde”.

Résultats : 70 % d’influence démoniaque, surtout en vue des huit années de conflit irano-irakien qui ont coûté plus d’un million de vies aux deux pays.

4. Mullah Mohammed Omar et Sheik Mokhtar Ali Zubeyr

Les deux responsables terroristes trouvent place dans le classement des personnalités les plus influentes en 2012. La raison de leur succès ? “L’attrait hypnotique d’établir le royaume de Dieu sur la terre”, selon le magazine. Que Mullah Omar, leader spirituel des talibans, et Sheik Zubeyr, leader de Al-Shabaab, milice islamiste somalienne, soient honorés par un classement américain, voilà un grand paradoxe. Time n’oublie pas toutefois de rappeler que l’influence des deux hommes n’est que régionale.

Résultats : 80% d’influence démoniaque, leur influence est désormais davantage que locale.

3. Vladimir Poutine

Le président russe fut désigné comme l’un des leaders politiques les plus influents du monde en 2007. Il est alors à la fin de son premier mandat. En 2015, il est toujours dans le classement. Après son annexion de la Crimée en 2014, son absence aurait été une surprise. Cette même année, Poutine avait également été élu “homme de l’année” par le magazine LGBT The Advocate. Un vrai plébiscite.

Résultats : 90% d’influence démoniaque, parce que c’est beau de croire à 10% d’humanité.

2. Staline

Le Petit Père des peuples n’a pas été élu seulement une fois par Time, mais deux fois, en 1939 et en 1942. Bien connu pour les déportations, les exécutions en tout genre, Time revenait alors sur ses penchants à l’autoglorification. “Joseph Staline a poussé loin la tactique de sa propre déification de son vivant. Aucune flatterie n’est trop transparente pour lui. Aucun compliment n’est trop grand pour lui. Il est devenu la fontaine de toute la sagesse socialiste.” Le culte de la personnalité n’est désormais qu’un détail de l’horreur qu’il a fait vivre à l’URSS.

Résultats : 100 % d’influence démoniaque + 10 % pour un narcissisme surdéveloppé.

1. Hitler

Le grand vainqueur de ce top 10 est … roulement de tambours… Adolf Hitler. Détrônant Roosevelt et Gandhi, le Fuhrer est élu “homme de l’année” 1938, année des accords de Munich. Hitler n’est pas encore le meurtrier d’une partie de l’Europe, seulement le dépeceur de la Tchécoslovaquie et le dictateur dans son pays. La question de sa moralité n’était déjà plus une question et les camps de la mort étaient déjà en route. “Adolf Hitler a marché à pas de géant sur une Europe servile avec toute l’arrogance d’un dictateur. Ce n’est pas le simple fait que le Fuhrer ait apporté de nouveaux habitants (…) à son pays conformément à sa règle absolue, qui l’a fait élire « Homme de 1938 . (…) Hitler est devenu en 1938 la plus grande force menaçante à laquelle le monde démocratique, épris de liberté, fait face aujourd’hui“, expliquait le Time, le 2 janvier 1939. Le magazine concluait alors ses explications par “A ceux qui ont observé les événement de l’année, il semble plus que probable que l’Homme de l’année 1938 puisse faire de 1939, une année à retenir.” L’année suivante, Hitler annexait la Pologne.

La puissance appelle la puissance. Mais c'est vrai qu'une version "loosers" manque un peu.

On pourrait imaginer une remise de prix à Angers.

Et les nominés sont.... : Philippe Poutou, Albert Lebrun, Renaud Séchan, François Bayrou, Jean-Luc Mélenchon, Henri Krasucki, ....

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