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Elections en Grèce:

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PASDEPARANOIA

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Membre, Posté(e)
Leste Membre 2 502 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

J'adore la source : Comité pour l'annulation de la dette du tiers monde.

Cette source va forcément prendre parti pour la Grèce, elle en fait d'ailleurs son business : "Faites un don".

Vous avez pas une source plus objective ? Personnellement j'arrive difficilement à prendre cette source au sérieux.

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Membre, Dégonfleur de baudruches, 68ans Posté(e)
Dinosaure marin Membre 24 125 messages
68ans‚ Dégonfleur de baudruches,
Posté(e)

Un commentaire sur le texte peut-être ?

Ah non lorsque les faits gênent il est plus facile de critiquer la source.

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Membre, Posté(e)
Leste Membre 2 502 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Les allemands ont payé la guerre d'une autre manière que financière :

Après la Seconde Guerre mondiale, selon la Conférence de Potsdam tenue entre du 17 juillet au 2 août 1945, l'Allemagne dut payer aux Alliés 20 milliards de reichsmarks, soit environ 315 millions USD, surtout en termes de machines et d'usines. Les réparations à l'Union soviétique ont été interrompues en 1953. De plus, conformément à une politique systématique de désindustrialisation et de pastoralisation de l'Allemagne, un grand nombre d'usines civiles ont été démontées pour être transportées en France, en Union soviétique, au Royaume-Uni ou tout simplement détruites.

Après la capitulation allemande et au cours des deux années suivantes, les États-Unis et l'Union soviétique poursuivirent un programme vigoureux de pillage du savoir-faire technologique et scientifique allemand ainsi que des brevets déposés en Allemagne durant la période de guerre. L'historien John Gimbel établit10 que les « réparations intellectuelles » prises par les États-Unis et le Royaume-Uni se sont élevées à près de 10 milliards de dollars.

Les réparations allemandes devaient partiellement prendre la forme de travail forcé. En 1947, environ 4 000 000 d'Allemands ont été utilisés pour le « travail de réparation » en Union soviétique, en France, au Royaume-Uni, en Belgique et dans la zone allemande sous contrôle américain.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Indemnit%C3%A9_de_guerre

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Membre, Dégonfleur de baudruches, 68ans Posté(e)
Dinosaure marin Membre 24 125 messages
68ans‚ Dégonfleur de baudruches,
Posté(e)

Après la Seconde Guerre mondiale, selon la Conférence de Potsdam tenue entre du 17 juillet au 2 août 1945, l'Allemagne dut payer aux Alliés 20 milliards de reichsmarks, soit environ 315 millions USD, surtout en termes de machines et d'usines.

Ce sont ces sommes dont le paiement a été "différé" (en fait annulé) en 1953.

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Membre, 48ans Posté(e)
lycan77 Membre 17 331 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)

J'adore la source : Comité pour l'annulation de la dette du tiers monde.

Cette source va forcément prendre parti pour la Grèce, elle en fait d'ailleurs son business : "Faites un don".

Vous avez pas une source plus objective ? Personnellement j'arrive difficilement à prendre cette source au sérieux.

Et bien évidemment, dans l'esprit des peuples endettés, c'est toujours la faute aux créanciers, jamais la leur ! :sleep:

Qu'ils aient truandé comme c'est pas permis le fisc de leur propre pays, tout comme ils essayent actuellement de truander le FMI et les partenaires de l'UE, quoi de plus normal ! "C'est de la faute aux autres, de toutes les façons !"

La "finance internationale", cette "ennemie jurée" à laquelle on s'accroche pourtant si désespérément dans la France des socialistes français aux manettes ! :smile2:

Cette même finance internationale à laquelle on vient encore d'emprunter plus de 150 milliards d'euros en 2014 ! :rofl:

Une paille pour ces gens là, que financer son train de vie avec le fric des autres, tout en refusant de mettre en place des réformes structurelles courageuses d'avenir, à même de relancer l'activité par la relance de l'offre et non pas celle de la demande, vision socialiste qui a largement démontré son échec total depuis plus de 30 ans maintenant ... :o°

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Membre, Dégonfleur de baudruches, 68ans Posté(e)
Dinosaure marin Membre 24 125 messages
68ans‚ Dégonfleur de baudruches,
Posté(e)

Le soucis n'est pas de mettre en oeuvre des réformes mais de le faire tellement brutalement que l'on casse la machine économique au point que plus on instaure de mesures d'austérité plus la dette augmente.

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Membre, 48ans Posté(e)
lycan77 Membre 17 331 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)

Ah non ! Le soucis est précisément la volonté politique farouche de ne surtout pas mettre en oeuvre ne fut-ce qu'un début de réformes structurelles permettant de redonner le goût à l'innovation et à l'effort productif à la population française, qui en vient à se dire que finalement, il vaut mieux rester peinard chez soi à rien branler de la journée en touchant les aides sociales plutôt que se casser le cul à monter une boîte qui permettra de vivre dignement des fruits de son travail !

Le refus systématique de la concurrence, dans un pays gangréné par un corporatisme et un esprit de caste stupéfiant est l'un des verrous les plus solides au redémarrage économique de notre pays.

Il n'y a qu'à voir la levée de boucliers que la loi Macron, pourtant à des années-lumière des vraies mesures libérales qui s'imposent au pays pour s'en convaincre.

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Membre, 63ans Posté(e)
Aglaglae Membre 2 503 messages
Baby Forumeur‚ 63ans‚
Posté(e)

Et bien évidemment, dans l'esprit des peuples endettés, c'est toujours la faute aux créanciers, jamais la leur ! :sleep:

Qu'ils aient truandé comme c'est pas permis le fisc de leur propre pays, tout comme ils essayent actuellement de truander le FMI et les partenaires de l'UE, quoi de plus normal ! "C'est de la faute aux autres, de toutes les façons !"

La "finance internationale", cette "ennemie jurée" à laquelle on s'accroche pourtant si désespérément dans la France des socialistes français aux manettes ! :smile2:

Cette même finance internationale à laquelle on vient encore d'emprunter plus de 150 milliards d'euros en 2014 ! :rofl:

Une paille pour ces gens là, que financer son train de vie avec le fric des autres, tout en refusant de mettre en place des réformes structurelles courageuses d'avenir, à même de relancer l'activité par la relance de l'offre et non pas celle de la demande, vision socialiste qui a largement démontré son échec total depuis plus de 30 ans maintenant ... :o°

B9TTGhVIIAAgmio.png

focusissuefront_1.png

:D

B9TTGhVIIAAgmio.png

Les allemands ont payé la guerre d'une autre manière que financière :

Après la Seconde Guerre mondiale, selon la Conférence de Potsdam tenue entre du 17 juillet au 2 août 1945, l'Allemagne dut payer aux Alliés 20 milliards de reichsmarks, soit environ 315 millions USD, surtout en termes de machines et d'usines. Les réparations à l'Union soviétique ont été interrompues en 1953. De plus, conformément à une politique systématique de désindustrialisation et de pastoralisation de l'Allemagne, un grand nombre d'usines civiles ont été démontées pour être transportées en France, en Union soviétique, au Royaume-Uni ou tout simplement détruites.

Après la capitulation allemande et au cours des deux années suivantes, les États-Unis et l'Union soviétique poursuivirent un programme vigoureux de pillage du savoir-faire technologique et scientifique allemand ainsi que des brevets déposés en Allemagne durant la période de guerre. L'historien John Gimbel établit10 que les « réparations intellectuelles » prises par les États-Unis et le Royaume-Uni se sont élevées à près de 10 milliards de dollars.

Les réparations allemandes devaient partiellement prendre la forme de travail forcé. En 1947, environ 4 000 000 d'Allemands ont été utilisés pour le « travail de réparation » en Union soviétique, en France, au Royaume-Uni, en Belgique et dans la zone allemande sous contrôle américain.

http://fr.wikipedia....C3%A9_de_guerre

A plusieurs reprises sur ce fil, des liens ont eté mis, ou des articles copiés en entier detaillant l'histoire de la dette allemande et des défauts de dette allemande au siècle dernier. Mais non, tu continues à rabacher les memes inepties.

Il n'y a pire sot que celui qui ne veut pas lire....

Ah non ! Le soucis est précisément la volonté politique farouche de ne surtout pas mettre en oeuvre ne fut-ce qu'un début de réformes structurelles permettant de redonner le goût à l'innovation et à l'effort productif à la population française, qui en vient à se dire que finalement, il vaut mieux rester peinard chez soi à rien branler de la journée en touchant les aides sociales plutôt que se casser le cul à monter une boîte qui permettra de vivre dignement des fruits de son travail !

Le refus systématique de la concurrence, dans un pays gangréné par un corporatisme et un esprit de caste stupéfiant est l'un des verrous les plus solides au redémarrage économique de notre pays.

Il n'y a qu'à voir la levée de boucliers que la loi Macron, pourtant à des années-lumière des vraies mesures libérales qui s'imposent au pays pour s'en convaincre.

Si tu pouvais eviter de projeter tes frustrations de petit français sur la Grece, peut etre verrais tu les choses plus clairement.

Meme pour les allemands, il n'y a pas de petits profits.... :D

"Deutsche Bank is carefully monitoring talks with Greece and believes that now is the time to buy Greek bondsDeutsche Bank predicts that a deal will be found for Greece and has recommended that its investors buy bonds that are cheap as a result of the political uncertainty. Last week it created a time line on key dates worth bearing in mind in February:

DEUTSCHEBANK.png"

http://en.protothema.gr/deutsche-bank-marks-key-dates-tells-investors-to-buy-greek-bonds/

Modifié par Aglaglae
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Membre, Posté(e)
Leste Membre 2 502 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Les insultes et les doigts d'honneurs ! Bravo !

Ah quand on a tort, on s'énerve ! :smile2:

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
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Ah non ! Le soucis est précisément la volonté politique farouche de ne surtout pas mettre en oeuvre ne fut-ce qu'un début de réformes structurelles permettant de redonner le goût à l'innovation et à l'effort productif à la population française, qui en vient à se dire que finalement, il vaut mieux rester peinard chez soi à rien branler de la journée en touchant les aides sociales plutôt que se casser le cul à monter une boîte qui permettra de vivre dignement des fruits de son travail !

Le refus systématique de la concurrence, dans un pays gangréné

par un corporatisme et un esprit de caste stupéfiant est l'un

des verrous les plus solides au redémarrage économique de notre pays.

Il n'y a qu'à voir la levée de boucliers que la loi Macron, pourtant à des années-lumière des vraies mesures libérales qui s'imposent au pays pour s'en convaincre.

Chacun voit midi à sa porte !

Tu estimes que la société toute entière

doit se soumette à la "loi de la concurrence libre

et non faussée" et que ceux qui y résistent freinent

le développement économique !

Celui qui se retrouve exclu et chômeur

à cause de cette "concurrence libre ",

celui qui voit son entreprise bénéficiaire pourtant,

se délocaliser car le patron va exploiter

ailleurs une main d'œuvre moins chère,

laissant tous les travailleurs sur le carreau,

celui-là mesure à quel point cette loi est

antisociale !

Et tous ceux qui l'entourent mesurent bien que l'usine fermée,

c'est aussi les commerces fermés, les écoles fermées,(...)

une ville toute entière sinistrée !

La concurrence c'est la loi du profit non pour

la société mais pour UN !

Le chômeur et le commerçant, et le médecin, et tout le

corps social a plus intérêt à une société de

coopération que de concurrence !

Il n'y a qu'à observer le monde pour voir que partout

l'armée des chômeurs augmente !

Avec cette loi de la concurrence, tout se bloque et la

pauvreté s'installe ...il n'y a qu'à regarder !

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Membre, 63ans Posté(e)
Aglaglae Membre 2 503 messages
Baby Forumeur‚ 63ans‚
Posté(e)

Les insultes et les doigts d'honneurs ! Bravo !

Ah quand on a tort, on s'énerve ! :smile2:

Meme pas, on est fatiguée de lire depuis 37 pages les memes insanités. On a répondu une fois, deux fois, trois fois, et maintenant on renvoie les radoteurs à leur bétise.

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Membre, 63ans Posté(e)
Aglaglae Membre 2 503 messages
Baby Forumeur‚ 63ans‚
Posté(e)

Un résumé sur les exactions allemandes en Grece pendant la deuxième guerre mondiale :

Grece : La Grande Famine

La Grèce a, dés le début de la guerre et forte des ses siècles de resistance aux Turcs, resisté massivement, d'ou les represailles allemandes. Les Oradour sur Glane en Grece se sont comptés par centaines.

La resistance en Grece

Modifié par Aglaglae
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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ah ouais.

Tsipras veut retrouver des marges de manœuvres budgétaires.

Il a besoin pour cela de « récupérer » de 6 à 8 milliards d’euros,

qui sont actuellement affectés au paiement des intérêts

de la dette grecque.

Il a besoin de cet argent pour mettre en place

les mesures qui éviteront au peuple grec de périr.

C’est une réalité tragique, et pourtant tout à fait évidente.

Cette diminution de la charge des intérêts est nécessaire

et permettra au gouvernement de mettre en place un programme

de sortie de l’austérité.

C’est pour cela que Syriza a fait de l’annulation partielle

de la dette, ou à tout le moins d’un moratoire de 20 à trente ans

sur les paiements une de ses priorités.

On sait que, sur ce point, il est soutenu tant par des économistes

– et non des moindres – que par le gouvernement américain.

On sait aussi que les réserves de la Grèce sont insuffisantes

pour permettre à ce pays de faire les paiements prévus

au début de juillet.

Au total, ce sont 23 milliards d’euros que la Grèce devrait verser.

Dans la meseur ou Tsipras a réjeté la dernière tranche du plan

d’aide prévue par la « troïka », cela signifie qu’un accord

devra impérativement être trouvé avant cet été."

http://www.legrandsoir.info/grece-un-jeu-complexe.html

Modifié par LouiseAragon
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Membre, 63ans Posté(e)
Aglaglae Membre 2 503 messages
Baby Forumeur‚ 63ans‚
Posté(e)

Un bon recap sur la crise de l'Euro (en anglais, désolée) :

ith Syriza having won Greece’s election on a platform to reject the Troika-imposed bailout, the eurozone has reached yet another fork in the road. Let us hope it does not take the wrong turn, again.

Squeezing Syriza and humiliating Greece further, as appears to be the strategy in Germany and other powers in the EU, could be the straw that breaks the eurozone’s back. Cutting Greece any slack is opposed by a majority of Germans, even while support for Alexis Tsipras in Greece soared after his election as he fought for concessions on debt. Political space in the eurozone has shrunk to a point where it may no longer be possible to implement sensible economic policy. Which wrong turns did we take? How can we choose wisely this time?

At the outbreak of the crisis, EU leaders insisted on national solutions to what was essentially a European problem: the fragility of large often pan-European banks. This increased the final bill, as countries refused to bite the bullet and delayed recognising that their banks were bust.

Even as leaders came under domestic fire for rescuing banks with taxpayer money, Greece’s fiscal problems provided a godsend distraction. Many northern Europeans promoted a narrative of “lazy Greeks” who had been “fiscally profligate”.

While the unsustainability of Greek debt was recognised by many, intensive lobbying by German and French banks which owned large amounts of Greek bonds meant that the much-needed restructuring of this debt was vetoed. An ill-designed programme was imposed as condition of financial aid to Greece. This was essentially a bailout of European banks at the expense of Greek citizens and European taxpayers.

Even worse, the narrative of “lazy southerners” and a “fiscal crisis” promoted byGermany and EU institutions crowded out the reality of an untreated banking crisis.

Ireland, having foolishly guaranteed its insolvent banks, was then forbidden from imposing losses on bank bondholders by the ECB. Private debt became public and the banking crisis became a fiscal one. Even though the failure to repair and restructure banks was the biggest problem in countries such as Spain, many were treated as though they had been fiscally irresponsible and prescribed austerity.

As bank uncertainty and fiscal cuts were biting and driving the eurozone into a deep recession, the narrative of a “fiscal crisis” became self-fulfilling as debt-to-GDP ratios climbed because of both bank rescues and collapsing GDPs. The problem was compounded by Angela Merkel and Nicolas Sarkozy threatening to push Greece out of the eurozone, which in turn made markets question the viability of the single currency and fuelled panic, driving Spanish and Italian spreads up to record levels.

Thus the downward spiral of a badly misdiagnosed and deliberately miscommunicated problem, and a tragically ill-conceived treatment began. Bailing out the supposedly lazy southerners has stoked anti-EU sentiment in creditor economies like Germany, who want to see more, not less austerity in debtor economies. Suffering under Troika-imposed excessive austerity has fuelled the rise of anti-austerity parties such as Syriza and Podémos.

While Greece’s failures are widely recognised, including by Syriza itself, it is time to concede that the eurozone has also failed Greece and its citizens. Without a mea culpa acknowledging that Greece’s rescue was actually a rescue of European banks and the programme poorly designed, German and Greek citizens would never see eye-to-eye. They deserve to be told the truth.

Syriza, more than anyone else, is being honest about what went wrong. Choking them would only catalyse anti-European sentiment and would be the last, potentially fatal, wrong turn for the eurozone. Choosing wisely means a compromise, no matter what the short-term political cost.

http://www.theguardian.com/commentisfree/2015/feb/06/stop-squeezing-syriza-europe-greece-eurozone-crisis

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Membre, Posté(e)
Leste Membre 2 502 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Tsipras veut retrouver des marges de manœuvres budgétaires.

Il a besoin pour cela de « récupérer » de 6 à 8 milliards d’euros,

qui sont actuellement affectés au paiement des intérêts

de la dette grecque.

Il a besoin de cet argent pour mettre en place

les mesures qui éviteront au peuple grec de périr.

C’est une réalité tragique, et pourtant tout à fait évidente.

Cette diminution de la charge des intérêts est nécessaire

et permettra au gouvernement de mettre en place un programme

de sortie de l’austérité.

C’est pour cela que Syriza a fait de l’annulation partielle

de la dette, ou à tout le moins d’un moratoire de 20 à trente ans

sur les paiements une de ses priorités.

On sait que, sur ce point, il est soutenu tant par des économistes

– et non des moindres – que par le gouvernement américain.

On sait aussi que les réserves de la Grèce sont insuffisantes

pour permettre à ce pays de faire les paiements prévus

au début de juillet.

Au total, ce sont 23 milliards d’euros que la Grèce devrait verser.

Dans la meseur ou Tsipras a réjeté la dernière tranche du plan

d’aide prévue par la « troïka », cela signifie qu’un accord

devra impérativement être trouvé avant cet été."

http://www.legrandsoir.info/grece-un-jeu-complexe.html

La situation n'a plus rien à voir avec celle de l'après guerre. Si l'Europe avait accepté dans le temps de diminuer une partie de la dette allemande c'était pour booster l'économie européenne et contrer l'URSS. De plus cette dette avait été annulée sans l'être vraiment, la France avait pu en échange continuer à puiser dans les mines de charbon allemandes jusqu'en 1981.

A l'heure actuelle la situation est radicalement différentes, tous les pays européens sont endettés, tous les pays européens connaissent une période difficile dans leurs économies. C'est pour ce qu'à mon avis il y aura pas de grands cadeaux de l'Europe à la Grèce.

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Membre, 48ans Posté(e)
lycan77 Membre 17 331 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
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B9TTGhVIIAAgmio.png

Si tu pouvais eviter de projeter tes frustrations de petit français sur la Grece, peut etre verrais tu les choses plus clairement.

Meme pour les allemands, il n'y a pas de petits profits.... :D

"Deutsche Bank is carefully monitoring talks with Greece and believes that now is the time to buy Greek bondsDeutsche Bank predicts that a deal will be found for Greece and has recommended that its investors buy bonds that are cheap as a result of the political uncertainty. Last week it created a time line on key dates worth bearing in mind in February:

DEUTSCHEBANK.png"

http://en.protothema...uy-greek-bonds/

Quel grossier personnage vous faîtes, madame !

Je plains vos enfants, si jamais vous en avez, pour la piètre qualité d'éducation aux règles fondamentales du savoir-vivre en société que vous avez du leur faire endurer ...:|

J'aurai souhaité vous répondre, mais ..... Non: au final, je vous propose autre chose: le silence de mon plus superbe mépris et ma plus superbe ignorance envers des gens d'une aussi piètre éducation que la vôtre.

Madame, je ne vous salue pas ! :mef:

Meme pas, on est fatiguée de lire depuis 37 pages les memes insanités. On a répondu une fois, deux fois, trois fois, et maintenant on renvoie les radoteurs à leur bétise.

Ayez la décence et la pudeur de ne pas prendre votre cas personnel pour une généralité madame ! :sleep:

Vous êtes lue !

Modifié par lycan77
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Membre, 63ans Posté(e)
Aglaglae Membre 2 503 messages
Baby Forumeur‚ 63ans‚
Posté(e)

"Les crimes financiers commis par les nazis pendant la Seconde guerre mondiale restent assez méconnus

Depuis l'élection d'Alexis Tsipras (Syriza), le serpent de mer de la dette qu'aurait l'Allemagne envers la Grèce depuis la Seconde guerre mondiale s'agite de nouveau, comme nous le rappelions récemment sur Slate. Le nouveau Premier ministre grec compte présenter la facture des crimes nazis à l'Allemagne, faisant sienne une revendication très populaire en Grèce. Rien que le remboursement des 476 millions de Reichsmark que le Troisième Reich a extorqué à la banque nationale grecque en 1942 sous forme d'emprunts obligatoires s'élèverait à plusieurs milliards d'euros en comptant les intérêts, fait remarquer l'hebdomadaire Der Spiegel:

«Le service scientifique du Bundestag a évalué la valeur de l'emprunt à 8,25 milliards d'euros avec les intérêts en 2012. Un rapport du gouvernement grec

milliards d'euros avec les intérêts en 2012. Un rapport du gouvernement grec avance la somme de 11 milliards. Cet ordre de grandeur suffirait à accorder ne serait-ce qu'une respiration à Tsipras.»

Mais la Grèce n'est pas le seul pays européen à avoir été pillé par les nazis, écrit Der Spiegel. En 1944, l'Allemagne nazie avait déjà dérobé 14 milliards de Reichmarks à la France, à la Belgique et au Danemark via des emprunts forcés de ce type.

Si les actes de barbarie commis par le Troisième Reich ont été largement documentés, les crimes financiers commis par les nazis restent assez méconnus:

«Presque tout le monde sait aujourd'hui que pendant la Seconde Guerre mondiale, l'Allemagne a pillé les territoires occupés avec une brutalité inconcevable. Mais en plus de déporter, de mettre au travail forcé, d'exproprier et de laisser mourir de faim des millions de personnes, les nazis usaient d'une politique de vol encore plus subtile: la politique monétaire et financière du Reich allemand visait à se servir de manière systématique chez les ministères des Finances et les banques centrales des Etats occupés –en ruinant leur monnaie au passage.»

S'appuyant sur les recherches de l'historien Götz Aly, spécialiste de l'histoire du nazisme, l'hebdomadaire allemand donne quelques exemples des combines auxquelles avaient recours les nazis pour dévaliser les territoires occupés par leurs troupes: afin de doter d'un fort pouvoir d'achat les entreprises allemandes ainsi que les soldats de la Wehrmacht
stationnés hors d'Allemagne, les nazis manipulaient les taux de change. La couronne tchèque fut ainsi dévaluée d'un tiers peu après que les troupes allemandes ont envahi le pays.
Ils ne se gênaient pas non plus pour «exporter» l'inflation, en mettant en place une monnaie parallèle au Reichsmark, les
«Reichskreditkassenscheine»
, qui n'était valable que dans les pays qu'ils avaient envahis et que les soldats pouvaient échanger sur place à des taux de change très avantageux. Leur pouvoir d'achat était ainsi dopé, et ce sans provoquer d'inflation en Allemagne:

«A la suite de cela, les marchandises vinrent vite à manquer dans les territoires occupés, l'inflation masquée augmenta.»

L'Allemagne n'a pourtant jamais honoré ses dettes. Comme l'explique Der Spiegel dans un autre article, l'Accord de Londres, signé en 1953,
qu'elle devait aux pays européens qu'elle avait envahis. C'est cette clémence des puissances alliées qui ont d'ailleurs
») dans les années 1950, comme l'expliquait en 2013 l'historienne allemande Ursula Rombeck-Jaschinski sur le site de la radio et télévision internationale allemande Deutsche Welle:

«On peut considérer que le miracle économique n'aurait pas été possible sans cet accord sur la dette.»

Un enseignement qui pourrait bien donner de nouveaux arguments à Alexis Tsipras."

Modifié par Aglaglae
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