Vouloir des enfants

vos molles réparties.

A la hauteur des vôtres. Dans le jargon des parents, on appelle ça une diahrée

Diahrée = selles molles et fréquentes

On aura rarement vu le mot diarrhée être aussi mal orthographié.

Désolée. Je n'ai pas l'habitude de l'écrire, ni de le lire. Merci pour la correction en tout cas.

Ratez votre premier enfant, vous réussirez le deuxième !

L'enfant en lui-même est toujours une réussite, c'est pourquoi le négliger, le mépriser, ne pas saisir sa chance de le connaître peut être un échec.

@ Madmartigan, vous savez trop peu de choses à mon propos pour vous permettre des suppositions. J'ai bien voulu discuter un peu avec vous car le thème s'y prêtait et le forum aussi mais si voulez faire l'apologie de la stérilité et mépriser la maternité, ayez au moins la décence de savoir vous faire discret auprès des autres car si nos mères ne nous avaient pas enfantées selon votre idéal, nous ne pourrions pas nous intéresser aux autres, alors soyez donc fidèle à vous-même en existant le moins possible ainsi vos idées orgueilleuses, méprisantes et méprisables ne courront pas le risque d'être fertiles. Vos menaces qui se veulent formulées avec emphase me répugnent et vous ridiculisent face aux enfants dont vous ne méritez pas, en effet, quelconque sollicitation.

Vos répugnances m'indiffèrent autant que votre exaltation et joie à procréer égoïstement.

La procréation, par principe, est une dictature que vous le voulez ou non, car vous prenez la décision de procréer sans consentement bilatéral. De surcroît, à aucun instant, je n'ai désiré que nous échangions. Ce qui m'importe, c'est juste de pouvoir poser mon propre point de vue à la suite de certains témoignages ou interventions qui pourraient verser dans l'idéalisme parental.

Que votre morale dictatoriale de reine du polichinelle dans le tiroir me juge apte à patauger dans la fosse septique reste, je dois le confesser, le cadet de mes soucis...

L'enfant en lui-même est toujours une réussite, c'est pourquoi le négliger, ne pas saisir sa chance de le connaître peut être un échec.

Son éducation est rarement une réussite. Joli raccrochage aux branches, cela dit.

Désolée. Je n'ai pas l'habitude de l'écrire, ni de le lire. Merci pour la correction en tout cas.

Je vois, Madame a la chance de ne pas devoir consulter Doctissimo pour des symptômes pestilentiels de type gastro-entérite et elle le fait savoir. De rien.

L'enfant en lui-même est toujours une réussite, c'est pourquoi le négliger, le mépriser, ne pas saisir sa chance de le connaître peut être un échec.

Quelle absurdité !

Ne faîtes pas de vos grossesses un futur fondamentalement sain et indéboulonnable...Car sur un plan purement rationnel, vous ne maîtrisez rien.

Chaque fruit de vos entrailles est un pari sur l'avenir et sur lequel, de surcroît, vous avez une très courte influence...

Vos répugnances m'indiffèrent autant que votre exaltation et joie à procréer égoïstement.

La procréation, par principe, est une dictature que vous le voulez ou non, car vous prenez la décision de procréer sans consentement bilatéral. De surcroît, à aucun instant, je n'ai désiré que nous échangions. Ce qui m'importe, c'est juste de pouvoir poser mon propre point de vue à la suite de certains témoignages ou interventions qui pourraient verser dans l'idéalisme parental.

Que votre morale dictatoriale de reine du polichinelle dans le tiroir me juge apte à patauger dans la fosse septique reste, je dois le confesser, le cadet de mes soucis...

Si je vous indiffère, quelle raison avez vous de me répondre? Quand vous intervenez dans un forum, vous vous exposez à de possibles réponses et vous attirez l'attention sur ce que votre mère a enfanté.

Je n'ai jamais décidé de procréer, en revanche je suis ce que je suis, fertile, et j'aime les enfants. Les hommes qui me connaissent peuvent le savoir avec facilité et ne sont donc pas en danger de ce point de vue en ma présence.

Si je vous indiffère, quelle raison avez vous de me répondre? Quand vous intervenez dans un forum, vous vous exposez à de possibles réponses et vous attirez l'attention sur ce que votre mère a enfanté.

Je n'ai jamais décidé de procréer, en revanche je suis ce que je suis, fertile, et j'aime les enfants. Les hommes qui me connaissent peuvent le savoir avec facilité et ne sont donc pas en danger de ce point de vue en ma présence.

Aiïe aïe aïe ! La répugnance que je vous inspire et votre côté génitrice ou future génitrice exaltée m'indiffèrent, je ne parlais pas de vous dans votre globalité...Je ne vous connais que trop peu pour opter pour ce genre de sentiment tranché.

Quelle absurdité !

Ne faîtes pas de vos grossesses un futur fondamentalement sain et indéboulonnable...Car sur un plan purement rationnel, vous ne maîtrisez rien.

Chaque fruit de vos entrailles est un pari sur l'avenir et sur lequel, de surcroît, vous avez une très courte influence...

Je suis entre autre une humaniste et j'estime que chaque enfant est précieux, ils ont en eux une force que rien ne peut remplacer. Et bien sûr que ma maîtrise est peut-être bien plus présente que ce que vous en imaginez.

J'ai confiance en la vie et en son avenir malgré les difficultés. Un lien relationnel, même à distance peut être durable, solide et son influence remarquable.

Je suis entre autre une humaniste et j'estime que chaque enfant est précieux, ils ont en eux une force que rien ne peut remplacer. Et bien sûr que ma maîtrise est peut-être bien plus présente que ce que vous en imaginez.

J'ai confiance en la vie et en son avenir malgré les difficultés. Un lien relationnel, même à distance peut être durable, solide et son influence remarquable.

Je n'ai pas écrit que votre maîtrise étant totalement absente, mais qu'elle était relative. Nuance !

Vous n'êtes pas humaniste(D'ailleurs, je déteste ce mot qui ne renferme qu'un magma idéologique)...Utopiste, plutôt. Le réel risque de faire sonner votre réveil d'une manière particulièrement douloureuse.

Je n'ai pas écrit que votre maîtrise étant totalement absente, mais qu'elle était relative.

Vous n'êtes pas humaniste...Utopiste, plutôt. Le réel risque de faire sonner votre réveil d'une manière particulièrement douloureuse.

Les idéalistes le sont car ils sont conscients de ce qu'est l'idéal et de ce qui ne l'est pas. Ils souffrent de la médiocrité et ambitionne un avenir meilleur auquel ils se consacrent.

Qu'est qui vous paraît utopiste dans mes écrits?

Les idéalistes le sont car ils sont conscients de ce qu'est l'idéal et de ce qui ne l'est pas. Ils souffrent de la médiocrité et ambitionne un avenir meilleur auquel ils se consacrent.

Qu'est qui vous paraît utopiste dans mes écrits?

Un avenir meilleur ? Pour qui ?

Interrogez dans la confidentialité chaque être humain de cette planète, vous aurez autant d'avenir meilleur que de personnes sollicitées...

Vous commencez à sombrer dans l'idéologie et pas forcément dans le soucis du bien commun...(en admettant qu'il en existe un)

Vous détestez la médiocrité ? Pensez-vous être un zénith intellectuel ? Voilà des paroles bien méprisantes et suffisantes pour une humaniste auto-déclarée...

De surcroît, nous bifurquons vers le philosophique, ce n'est pas le sujet de base.

Un avenir meilleur ? Pour qui ?

Interrogez dans la confidentialité chaque être humain de cette planète, vous aurez autant d'avenir meilleur que de personnes sollicitées...

Vous commencez à sombrer dans l'idéologie et pas forcément dans le soucis du bien commun...(en admettant qu'il en existe un)

Vous détestez la médiocrité ? Pensez-vous être un zénith intellectuel ? Voilà des paroles bien méprisantes et suffisantes pour une humaniste auto-déclarée...

De surcroît, nous bifurquons vers le philosophique, ce n'est pas le sujet de base.

Je suis capable d'envisager un idéal commun à tous, il en existe bien un.

Le mépris peut être utile quand il vise ce qui nuit à l'humanité, donc aussi la médiocrité.

Quelle absurdité !

Ne faîtes pas de vos grossesses un futur fondamentalement sain et indéboulonnable...Car sur un plan purement rationnel, vous ne maîtrisez rien.

Chaque fruit de vos entrailles est un pari sur l'avenir et sur lequel, de surcroît, vous avez une très courte influence...

C'est la vie en elle-même qui est une réussite. Un miracle même. Je regardais baby-boom pour la première fois hier. J'ai tendance à fuir ce genre d'émissions car je trouve qu'ils tombent dans la sensiblerie propre à toutes émissions de TV et plus particulièrement celles de M6. Mais je n'ai pas été déçue parce que même si 95% du temps on voit des images de douleurs et d'angoisse (oui.. Quelle horreur!!!!), les 5% de moments de bonheur surpassent largement le reste.

Sur un plan purement rationnel le simple fait de se mettre avec quelqu'un est une absurdité... On ne maîtrise pas plus l'autre qu'un enfant...

Je suis capable d'envisager un idéal commun à tous, il en existe bien un.

Le mépris peut être utile quand il vise ce qui nuit à l'humanité, donc aussi la médiocrité.

Vous ne pouvez rien envisager pour le commun car vous ne savez intellectuellement appréhender, par manque de recul culturel, les aspérités infinies et inhérentes au réel.

On sait ce que ce genre d'autoritarisme intellectuel implique et envisage, de surcroît : Une idéologie emmitouflée sous de belles parures, qui, sous couvert d'apporter le bien être commun favorise l'anthropocentrisme et l'individualisme cher à "L'Homme Nouveau". En clair : "La liberté des autres s'arrête où commence mon seul désir".

Vous gommez le champ des possibles propre à l'humanité...Ainsi, véritablement, commence la médiocrité...

C'est la vie en elle-même qui est une réussite.

Ainsi, c'est moi qui aie des idées pleinement arrêtées...?

Ceci est un slogan et non le fruit d'une pure réflexion...^^

Sur un plan purement rationnel le simple fait de se mettre avec quelqu'un est une absurdité... On ne maîtrise pas plus l'autre qu'un enfant...

S'il y a consentement mutuel, je ne vois pas en quoi cela est absurde.

Parce que nous changeons tous... Hier je voulais sortir avec mon habit de Spider-Man, aujourd'hui c'est plutôt la honte... Demain je serais encore quelqu'un d'autre... Et ma nana aussi... Je ne maîtrise pas mes propres changements, je ne peux pas non plus maîtriser les changements de ma nana... Si demain elle décide de devenir végétarienne ou d'aimer l'amour à plusieurs , je n'ai rien contre ça...

Non, ça a toujours été la honte, si je peux te rassurer...

Une simple inflexion au sein des envies de l'être n'implique pas nécessairement et donc systématiquement un changement des pans physiques ou moraux constituant sa globalité.

Si je change de gratte, demain, cela n'implique pas que je vais fatalement changer de femme.

Bon, ensuite, si savoir que ta femme se fait marbrer le fondement par une équipe de foot ne te pose pas de problème...Comme dirait l'autre : Chacun voit midi à sa porte.

En attendant, ce genre de liberté laissée à l'autre ne rentre pas dans le cadre de ma morale.

Ce sont des choses que je ne maîtrise pas...