Jésus et son frère

Ben oui !

Le Frère de Jésus ,serais Jacques et pas Jean le baptiste .

JESUS n¨aimait pas avoir retenu les morales des fréres et les oublier;une pensée est naturelle percevante en esprit;les moments aux péres sont des temps précieux.

Ou là, ou là là, mon Dieu que c'est étrange :D .

Alors Jésus, bien il y en a deux , il y a deux généalogie de Jésus, dans les évangiles et les deux généalogie sont différentes, de plus tout laisse à penser que Jésus avait des frères et sœurs. Par contre Jean le Baptiste n'est en rien le frère aîné d'un des Jésus des évangiles, ou alors ce serait de mère différentes . De plus Jésus est un nom qui est courant à l'époque il y en a des centaines, je peux t'en offrir une bonne dizaine même plus de très connu dans l'antiquité. Le cas de Jésus ( Niveau religieux ) est des plus suspect et n'est en rien démontré historiquement, il brille par son absence totale et semble une pure invention, bref il n'a jamais existé.

Je l'ai déjà dit :

si Jésus n'avait pas existé, les orthodoxes de la religion juive en place ne se seraient pas fait faute de le dire. au lieu de ça, ils ont simplement essayé de le discréditer. En disant que sa mère prétendue vierge était adultère, et son père un légionnaire ROMAIN :

C'est ça la preuve qu'il a bien existé !

Après tout le reste a été inventé après coup : La vierge, le fils de Dieu... l''arbre généalogique qui remonte à David ou à Adam,

St Jean Baptiste qui lui passe le relais, les miracles, l'eau en vin, marcher sur l'eau, la résurrection... etc.

Il fallait donner du corps, de la matière à l'idéologie de la secte, fournir aux fidèles que quoi s'émerveiller.

Aimer ses ennemis et pas lapider les femmes c'était pas suffisant et ça n'intéressait pas grand monde.

Mais pour ce qui est de son existence :

Ne touchez-pas à MON Jésus !!!!

C'est comme les américains qui ne seraient pas allés sur la lune.

Si c'était le cas, les russes ne se seraient pas fait faute non plus de le dire.

Ils avaient les moyens de vérifier.

Non rien a voir avec une preuve, mais alors rien à voir. Quand au discrédit il remonte au IV e siècle suite à des persécutions.