Essai

Bonjour, post un petit(relatif) texte que j'ai écrit, c'est un essai je cherche a avoir des avis, prenant le temps de lire s'il vous plait^^

Il doit y avoir des fautes d'orhto mais j’étais assez fatiguer quand j'ai recopié tout ca, n'en prenez pas compte, et merci d'avance pour les éventuelles réactions.

Il faisait toujours aussi noir, il n'avait plus aucune idée de l'heure qu'il pouvait être, mais il ne pouvait ne plus se remettre en route tant que l'aube ne s’était pas montré.

L'air était glacial, malgré l'obscurité régnante il distinguait nettement son souffle se condenser et former de micro nuages, un léger tapis d'herbe jaunâtres jonchaient le sol aride, il y avait par ci par la un arbre ou deux qui résistait aux conditions extrêmes de la régions; l'alternance de chaleur torride et de froid glacial avaient tué toutes espèces vivantes et le peu d'hommes qui osaient traverser cette région du monde étaient soit en quête de chimères de vieux contes, ou tout simplement fou, bien que les premiers ne soit pas sains d'esprit non plus...

Les lueurs éclatantes du soleil se levaient sur la steppes et dissipaient les ténèbres glacial de la nuit ils apportaient un brin de vie a cet endroit et le rendaient de même quelque peu magique, ce spectacle était d'ailleurs l'une des seules choses qu'il aimait sur cette terre, lui qui avait vécu sans parents ni amis, il ne possédait rien d'autre qu'un maître d'arme qui était tout et rien pour lui.

Il l'avait abandonné quelques jours plus tôt avec pour seul vivre une gourde de cuir rudimentaire mais qui contenait assez d'eau pour tenir la semaine, ainsi que quelques morceau de viande séché, il lui confia de plus un poignard et quelques paroles "Tu comprendra assez vite pourquoi, ton seul but est de réussir a me rejoindre au village sous la montage, tu as une semaine..." et il le planta ainsi sans lui laisser le temps d'avoir l'idée de le questionner, et c'est au triple galop qu'il le laissa.

Cela faisait maintenant trois à quatre jours que son maître avait disparu, il avait vu sa silhouette disparaître à l'horizon petit à petit tel ses vivres, mais il ne lui en voulait pas, tout ce que son maître avait fait il avait eu raison de le faire, il lui faisait confiance...

Il avait repéré une colline et comptait l'atteindre avant le zénith, heure à laquelle il ne pourrait plus continuer à avancer, il plia bagages, le peu qu'il avait se résumé à une peau de bête dans laquelle il se fourrait pour s'abriter du froid, elle était encombrante mais il n'avait pas le choix, il le roula et l'attacha sur son dos a l'aide de sangle faite de cuir, sur son trajet il ne vit âme qui vive, pas un homme, pas une créature, seulement la chaleur qui ne faisaient qu'augmenter et devenait de plus en plus étouffante, il ruisselait de sueur et n'avait rien pour s'éponger, et de toutes manières il suffirait de le faire qu'il se remettrait a transpirer de sitôt, pas après pas la colline devenait de plus en plus imposante, et une faille apparut, un sorte de caverne ou il pourrait s'abriter jusqu’au coucher du soleil.

La route vers la cavernes était sinueuse mais simple, la colline en elle même n’était pas très haute mais elle semblait comme ces steppes, morte recouverte d'herbe toute aussi morte. Il arriva à l'entrée de la grotte, qui était plus grande que prévu mais il devait s'allonger pour y accéder et une fois à l’intérieur une sensation de fraîcheur l'envahit a cet instant il se crut au paradis, mais lorsqu'il alluma une torche improvisé d'un bout de bois et de quelques tissus, il balaya de long en large et vu apparaître devant lui une carcasse de bovin assez récente, il en déduit assez rapidement la présence d'animaux sauvages dans la région et se rappela les paroles de son enfoiré de maître "tu comprendra assez vite" et il imagina un sourire diabolique sur le visage de celui ci, une chose était sûre ces animaux devaient êtres vachement bêtes pour quitter cet endroit en plein zénith et puis il ne comptait pas se faire prier pour devenir le nouveau propriétaire de cet endroit.

Il boucha quelque peu l'entrée avec quelques pierres et s'affala sur sa peau de bête et sombra dans un court sommeil, il fut réveillé par des jappements et des bruits de pattes, il bondit sur ses genoux et brandit son poignard de son étui de cuir, frappa une pierre de plein talon et l'envoya valser en plein museau d'une des deux bêtes qui était une hyène, il roula rapidement sur le dos pour s'extirper de son logis et pendant que la première bête se remettait du coup reçu , l'autre lui bondit dessus mais il esquiva rapidement d'un simple mouvement du bassin, il venait a peine de finir le mouvement que la deuxième bête revenait déjà a l'attaque et le prit au mollet, il se tordit de douleur et faillit lâcher son poignard, il ravala sa salive et serra les dents aussi fort qu'il put, jusqu'à croire que sa mâchoire aller se rompre, et d'un coup sec et rapide leva la jambe et décolla la hyène du sol et l'acheva d'un coup de poignard en plein crane, il n'arrivait pas a déloger l'arme du crane de la bête qu'il fut surpris a lâcher un cri de douleur, l'autre animal revenait a la charge et l'avait mordu a l’épaule il envoya un coup de coude pour se libérer et vit ruisseler un long filet écarlate sur son bras, il avait une once de peur, mais cette même peur lui permis d'extirper son arme de la bête et acheva celle qui restait de travail.

Il était blessé et exténue, il venait de tuer pour la première fois dans le but de survivre et il n'en éprouvait pas moins du dégoût, il était bien battit; les épaules larges, les muscles saillant et une bonne taille.

Il avait les yeux noirs tellement noirs qu'ils en paraissaient pur, ses cils était long et épais, comme ceux d'une femme lui répétait son maître, son nez aquilin et sa mâchoire large lui conférait autant de virilité que de beauté, et pour couronner le tout ses cheveux tout aussi sombre que ses yeux lui glissaient a mi visage.

Malgré toute la force qui émanait de lui, il n'en restait pas moins un gamin, du haut de ses quatorze ans, il ne connaissait rien du monde, rien de ses origine et rien de la vie, mais il venait de donner la mort...il avait une quête a accomplir, une quête dont il ne connaissait rien...mais connaissait il quelques choses?

Wold lava sa plaie avec une petite quantité d'eau et la bandé avec un morceau de sa tunique qu'il venait de couper, il ramassa tant bien que mal ses effets et se remit en marche, il savait qu'il ne pourrait pas dormir ce soir et de toute manière il devait trouver le village au plus vite sans quoi il ornerait la steppe de ses os.

Il se mit a redescendre la colline et lâcha avec un léger sourire : « quand quelle merde il m'as encore foutu » et petit à petit disparut dans les ténèbres des la steppe...

un petit up :p