La vraie nature de l'Islam

Contrairement à ce que ne manqueront pas de prétendre certains représentants de la bien-pensance et du politiquement correct, journalistes et chroniqueurs des médias aux ordres ou serviles porte-voix du "Minotaure", ce document a été rédigé sans haine et sans colère. Mais sans concession non plus, avec une volonté déterminée d'informer et de ré-informer.

Il ne vise pas à "stigmatiser" une partie de nos compatriotes ni à diviser plus encore notre communauté nationale, déja dangereusement chahutée ces temps-ci. Mais seulement à expliquer, le plus objectivement possible, les origines réelles de l'islam, son histoire et ses visées, analysées par un esprit libre et critique, non soumis à la censure et encore moins à l'auto-censure.

Il est bien difficile, philosophiquement parlant, de définir ce qu'est une "religion". A partir de quel moment, par exemple, une secte plus ou moins secrète devient-elle une religion ? Une religion n'est-elle pas tout simplement une secte qui a réussi ?

Contrairement à ce que ne manqueront pas de prétendre certains représentants de la bien-pensance et du politiquement correct, journalistes et chroniqueurs des médias aux ordres ou serviles porte-voix du "Minotaure", ce document a été rédigé sans haine et sans colère. Mais sans concession non plus, avec une volonté déterminée d'informer et de ré-informer.

Il ne vise pas à "stigmatiser" une partie de nos compatriotes ni à diviser plus encore notre communauté nationale, déja dangereusement chahutée ces temps-ci. Mais seulement à expliquer, le plus objectivement possible, les origines réelles de l'islam, son histoire et ses visées, analysées par un esprit libre et critique, non soumis à la censure et encore moins à l'auto-censure.

Il est bien difficile, philosophiquement parlant, de définir ce qu'est une "religion". A partir de quel moment, par exemple, une secte plus ou moins secrète devient-elle une religion ? Une religion n'est-elle pas tout simplement une secte qui a réussi ?

Au plan étymologique, une "religion" est une organisation qui "relie" les hommes entre eux, en général pour donner un sens à leur vie, en établissant un lien entre l'existence (matérielle) et l'essence (spirituelle).

Il y a aujourd'hui dans le monde 1,5 milliard de musulmans (et 2,5 milliards de chrétiens, ce qu'on oublie souvent de rappeler). Or, ce n'est pas seulement l'intolérance religieuse qui rend les conflits inter-religieux inévitables, c'est aussi la volonté affichée, pour une religion, non seulement de proposer aux hommes une croyance spirituelle, révélée ou non, mais de vouloir s'imposer et s'immiscer dans leur manière de vivre leur existence matérielle. Et c'est bien de là que nait le fanatisme, auquel n'a d'ailleurs pas échappé, dans son histoire, le christianisme, dont les excès furent jadis pointés et combattus par Voltaire au Siècle des Lumières.

Cette confusion entre la matière et l'esprit est par exemple aujourd'hui encore manifeste au Maroc, ou le Roi, chef de l'Etat, est également "Commandeur des Croyants" (1). Notre France s'est libérée depuis longtemps de cette intrusion du spirituel dans le politique et il ne viendrait pas à l'idée du président de la République, aussi stupide soit-il, de se prétendre élu de droit divin.

Contrairement à ce que ne manqueront pas de prétendre certains représentants de la bien-pensance et du politiquement correct, journalistes et chroniqueurs des médias aux ordres ou serviles porte-voix du "Minotaure", ce document a été rédigé sans haine et sans colère. Mais sans concession non plus, avec une volonté déterminée d'informer et de ré-informer.

Il ne vise pas à "stigmatiser" une partie de nos compatriotes ni à diviser plus encore notre communauté nationale, déja dangereusement chahutée ces temps-ci. Mais seulement à expliquer, le plus objectivement possible, les origines réelles de l'islam, son histoire et ses visées, analysées par un esprit libre et critique, non soumis à la censure et encore moins à l'auto-censure.

Il est bien difficile, philosophiquement parlant, de définir ce qu'est une "religion". A partir de quel moment, par exemple, une secte plus ou moins secrète devient-elle une religion ? Une religion n'est-elle pas tout simplement une secte qui a réussi ?

Au plan étymologique, une "religion" est une organisation qui "relie" les hommes entre eux, en général pour donner un sens à leur vie, en établissant un lien entre l'existence (matérielle) et l'essence (spirituelle).

Il y a aujourd'hui dans le monde 1,5 milliard de musulmans (et 2,5 milliards de chrétiens, ce qu'on oublie souvent de rappeler). Or, ce n'est pas seulement l'intolérance religieuse qui rend les conflits inter-religieux inévitables, c'est aussi la volonté affichée, pour une religion, non seulement de proposer aux hommes une croyance spirituelle, révélée ou non, mais de vouloir s'imposer et s'immiscer dans leur manière de vivre leur existence matérielle. Et c'est bien de là que nait le fanatisme, auquel n'a d'ailleurs pas échappé, dans son histoire, le christianisme, dont les excès furent jadis pointés et combattus par Voltaire au Siècle des Lumières.

Cette confusion entre la matière et l'esprit est par exemple aujourd'hui encore manifeste au Maroc, ou le Roi, chef de l'Etat, est également "Commandeur des Croyants" (1). Notre France s'est libérée depuis longtemps de cette intrusion du spirituel dans le politique et il ne viendrait pas à l'idée du président de la République, aussi stupide soit-il, de se prétendre élu de droit divin.

Tout celà pour proposer peut-être une nouvelle définition de que devrait être une "religion" au XXI° siècle, en Europe et plus particulièrement dans notre pays qui vit depuis plus d'un siècle et avec succès la séparation de l'Eglise et de l'Etat : une organisation strictement spirituelle, qui "laisse à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu". Peut-être serait-ce là la vraie "laïcité" dont on nous rebat tant les oreilles. En quelque sorte, il faudrait la "mériter", cette liberté religieuse, l'Etat ne se mêlant pas du spirituel tant que la religion considérée ne se mêlerait pas de l'organisation politique et sociale.

Avec une telle acception, l'Islam, qui prétend précisément régir les rapports politiques entre les hommes (en leur imposant, par exemple, la charia en guise de Code Pénal) ne pourrait être considéré comme une religion, mais comme une organisation subversive non démocratique et donc illégale (et même illégitime) dès lors qu'elle empiète sur l'organisation politique et sociale du pays.

C'est peut-être la conclusion que vous tirerez de la lecture de cette histoire de l'islam. C'est peut-être la voie la plus simple et la plus claire pour combattre et réduire ce mal qui ronge notre pays. A condition bien sûr que le peuple le veuille, et que ses dirigeants aient le courage de conduire une action politique qui provoquera - mais un temps seulement - des résistances et sans doute des violences prévisibles.

Mais "une guerre qu'on évite", disait en substance Machiavel, repris plus tard par Clausewitz, "est une guerre qu'on retarde, au bénéfice de l'adversaire".

Marc Le Stahler

1) Certains objecterons peut-être que la Reine d'Angleterre est aussi le chef de l'Eglise anglicane, mais il faut considérer que le rôle du souverain britannique relève aujourd'hui du folklore et de la tradition, tant au plan matériel qu'au plan spirituel, et que la croyance religieuse n'est en rien imposée à ses "sujets".

L'Islam n'est pas une religion ;c'est une propagande pour manipuler un peuple et exercer l'autoritarisme extrémiste; assouvir les femmes ,manipuler les faibles!! Votre "dieu" vous dictes de tuer ;
ça fait des décennies que vous êtes en guerre ,ce qui prouve que vous ne connaissez pas la voie de la Sagesse. Pendant votre ramadan vous égorgez vivants des animaux pour avoir une viande "pure": he bien ,devenez végétariens déja !!
Arrêtez d'avoir peur de la sexualité et du pouvoir des femmes!
Les hommes musulmans ont si peur des femmes qu'ils les veulent cachées, voilées, soumises ,marient leur filles dès l'enfance :horreur!
L'Islam = dictature ! Je souhaite que vous évoluiez ! :dev:

c'est sûr qu'en France ça vas pas le faire!! :smile2: :smile2:

Le cri d’avertissement de l’archevêque de Mossoul aux Européens

Mgr Amel Shimoun Nona, fait partie de ces réfugiés irakiens de confession chrétienne qui ont fuit la barbarie islamique du « califat ». Dans une interview accordée au journal italien Corriere de la Sera, il lance un avertissement aux Occidentaux.

« Notre souffrance est un prélude à ce que vous-mêmes, chrétiens européens et occidentaux, souffrirez dans un futur proche », a crié l’archevêque à ses frères chrétiens d’Occident. « S’il-vous-plaît, il faut que vous compreniez. Vos principes libéraux et démocratiques n’ont aucune valeur ici. Vous devez reconsidérer la réalité du Moyen-Orient, car vous accueillez un nombre croissant de musulmans. Vous aussi, vous êtes en danger. Il vous faut prendre des décisions courageuses et dures, y compris en allant à l’encontre de vos principes. Vous croyez que tous les êtres humains sont égaux, mais ce n’est pas une chose certaine. L’Islam ne dit pas que tous les êtres humains sont égaux. Vos valeurs ne sont pas leurs valeurs. Si vous ne comprenez pas cela rapidement, vous tomberez victimes d’un ennemi que vous aurez accueilli dans votre maison. »

Membre de """ l’état islamique""" devant des têtes de chrétiens décapités...................

Bonjour,

Il existe de nombreux sujet sur l'Islam.

Aussi, ce topic relève, sur le fil, de l'incitation à la haine raciale et à l'intolérance.

Fermeture.