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L'intelligence serait-elle le pire ennemi de l'homme?


marginale2

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Membre, Posté(e)
marginale2 Membre 225 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Salutation,

je pense que notre plus gros défaut est l'individualisme. L'intelligence n'est pas à mon goût la cause directe d'une "autodestruction" de l'Homme, mais plutôt un outil. C'est en effet cette magnifique aptitude que nous avons à en avoir rien à faire des générations suivantes et des autres communautés qui nous détruira.

A titre d'exemple, c'est bien notre intelligence qui nous a permis de développer les nombreuses propriétés du pétrole. Mais c'est notre individualisme qui nous a conduit à construire une société par et pour le pétrole, en l'utilisant abondamment, et donc de la détruire lorsque celui-ci disparaitra.

En somme, l'Homme est incapable de faire des choix pour les autres, il agit nécessairement pour lui en son âme et conscience. Du coup notre civilisation est vouée à disparaitre et ça, de façon interne...

Cordialement,

Delateur.

Bonjour Delateur,

poutant nous sommes des animaux sociaux, peut-être que nous mutons a' devenir solitaires.

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Membre, claniste, 107ans Posté(e)
cry baby Membre 44 061 messages
107ans‚ claniste,
Posté(e)

déja les hommes et les femmes ont de plus en plus de mal a s'entendre..........

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Membre, 30ans Posté(e)
Delateur Membre 231 messages
Baby Forumeur‚ 30ans‚
Posté(e)

Bonjour Delateur,

poutant nous sommes des animaux sociaux, peut-être que nous mutons a' devenir solitaires.

Des animaux qui ont développés une société capitaliste où seule la réussite personnelle compte. C'est le climat social qui nous rend solitaire, et l'argent qui nous donne une structure compétitive au sein d'une ville, d'une entreprise, d'un pays, et plus géréralement envers les autres.

Contrairement aux Fourmies, l'homme est conditionné à être performant et productif, ou du moins plus que les autres. C'est donc ce qui démarque notre espèce, la compétition et l'individualisme....

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Membre, Posté(e)
Ohanzee Membre 87 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

déja les hommes et les femmes ont de plus en plus de mal a s'entendre..........

De ce point de vue, l'évolution va plutôt dans le sens d'une meilleure communication : nous avons donc tendance à de mieux en mieux nous comprendre...

même, cette entende n'est pas encore parfaite.... :zen:

Même si cela peut te te paraître surprenant, il y a de moins en moins de violence dans les rapports hommes / femmes...

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Membre, Posté(e)
marginale2 Membre 225 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

déja les hommes et les femmes ont de plus en plus de mal a s'entendre..........

Bonjour cry baby,

c'est sans doute parce qu'ils sont en conflit, la femme met les points sur les "i" pour sortir de la condition dans laquelle elle était, certains hommes ont du mal a' suivre cette mutation de la femme, et certaines femmes vont dans l'excés en se radicalisant, mais tout reprendra sa place un jour ou l'autre.

Des animaux qui ont développés une société capitaliste où seule la réussite personnelle compte. C'est le climat social qui nous rend solitaire, et l'argent qui nous donne une structure compétitive au sein d'une ville, d'une entreprise, d'un pays, et plus géréralement envers les autres.

Contrairement aux Fourmies, l'homme est conditionné à être performant et productif, ou du moins plus que les autres. C'est donc ce qui démarque notre espèce, la compétition et l'individualisme....

Bonjour Delateur,

Je crois que tu as vu juste, c'est cet esprit compétitif qui nous perdra, chaque individu aspire a' être " Dieu" .

De ce point de vue, l'évolution va plutôt dans le sens d'une meilleure communication : nous avons donc tendance à de mieux en mieux nous comprendre...

même, cette entende n'est pas encore parfaite.... :zen:

Même si cela peut te te paraître surprenant, il y a de moins en moins de violence dans les rapports hommes / femmes...

Bonjour Ohenzy,

je vois que sur ce point la' nos avis se rejoignent, je viens de répondre pareil a' cry baby.

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Membre, Posté(e)
Ohanzee Membre 87 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour Delateur,

poutant nous sommes des animaux sociaux, peut-être que nous mutons a' devenir solitaires.

Sur le développement de l'individualisme par le capitalisme, une bibliotèque a déjà été écrite...

Grégarité (le fait d'être un animal social) et individualisme ne se développent pas sur les mêmes registres :

1- La grégarité, principe des manifestations de l'appartenance.

Nous sommes toujours des animaux sociaux. On pourrait rajouter, de plus en plus.

L'imitation de l'autre, la pression à la conformité sont des mécanismes déterminants qui sont utilisés (de plus en plus) dans de nombreux secteurs de l'économie et de la régulation sociale.

- Tous les ans, la mode joue sur ce principe en nous affirmant que ce que nous portions l'année dernière est désormais "has been". Le développement du "tendance" est la volonté d'élargir le modèle économique quasi annuel de la mode a d'autres secteurs que celui de l'habillement....

La grégarité est un des principes du comportement humain. Chaque individu veut appartenir à une communauté (une nation, une religion, un groupe social, une élite, une bande...) et veut donc manifester son appartenance, par des signes d'identification ou des comportements similaires.

2- La différenciation, principe de l'individualisme

- Cependant, et c'est un principe fondamental du capitalisme (qui est un mécanisme fonctionnant sur la contradiction), nous cherchons à manifester notre appartenance, mais nous voulons également nous distinguer des membres de ces communautés.

Chaque être humain a besoin de se sentir singulier tout en manifestant ses signes d'appartenance.

La consommation utilise donc conjointement ces 2 mécanismes :

- La grégarité pour nous pousser à témoigner de notre appartenance

- L'individualisme pour nous inciter à nous différencier des autres membres de nos communautés d'appartenance.

Chaque produit et chaque marque se glorifie de nous rendre plus ceci ou moins cela mais seulement par rapport aux gens qui nous ressemble.

On ne cherche pas à se différencier de quelqu'un qui ne fait pas partie de notre communauté.

C'est notre consommation qui nous différencie, mais principalement de notre voisin immédiat.

La première voiture fabriquée en série, la ford T n'existait qu'en un seul modèle, une seule finition, une seule couleur.

Aujourd'hui nous prendrions une telle négation de notre spécificité comme une insulte à notre identité et comme une pratique issue du collectivisme....

Conséquence de cette consommation identitaire : quelqu'un qui n'a pas les moyens de consommer, laisse (selon le discours des marques) une faible trace identitaire dans son environnement.

C'est un discours classique de sociologue que de considérer que nous sommes passés ces 50 dernières années d'une intégration par le travail à une intégration par la consommation.

3. Les tatouages et parures corporelles, témoignages de ce que nous sommes intérieurement.

Ces dernières années se sont développées de nouvelles manifestations du commerce de l'identitaire.

Après le développement du commerce des signes d'appartenance, après celui de l'explosion des manifestations de différenciation, se développe aujourd'hui la marchandisation des témoignages extérieurs de l'identité personnelle.

Les tatouages et parures corporelles, inspirées à l'origine des tatouages ethniques prétendent témoigner en surface (sur notre peau) de qui nous sommes à l'intérieur.

C'est - en tout cas - une des motivations qui semble ressortir du développement de ce phénomène mondial apparu il y a une vingtaine d'années.

Mais ces témoignages, comme tous les moyens d'expression, utilisent des codes, des langues. Or d'une culture à l'autre, les codes changent.

Vous avez probablement déjà vu plusieurs jeunes femmes avec le tatouage d'un papillon sur l'épaule. Ce qu'elles ne savent pas, c'est que ce tatouage du papillon est en Russie, le code pour désigner une prostituée... Si elles le savaient, elles ne le ferait probablement pas.

On le voit, l'être humain est profondément demandeur de témoignages et de manifestations de qui il est.

La spiritualité est, dans la même mouvance, une recherche de ce que nous sommes.

Malraux avait affirmé que le 21ème siècle serait spirituel ou ne serait pas.

Il n'avait peut-être pas envisagé que notre spiritualité,

le témoignage de ce que nous sommes en tant qu'être,

pouvait se manifester dans le développement des tatouages...

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Membre, Posté(e)
marginale2 Membre 225 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Sur le développement de l'individualisme par le capitalisme, une bibliotèque a déjà été écrite...

Grégarité (le fait d'être un animal social) et individualisme ne se développent pas sur les mêmes registres :

1- La grégarité, principe des manifestations de l'appartenance.

Nous sommes toujours des animaux sociaux. On pourrait rajouter, de plus en plus.

L'imitation de l'autre, la pression à la conformité sont des mécanismes déterminants qui sont utilisés (de plus en plus) dans de nombreux secteurs de l'économie et de la régulation sociale.

- Tous les ans, la mode joue sur ce principe en nous affirmant que ce que nous portions l'année dernière est désormais "has been". Le développement du "tendance" est la volonté d'élargir le modèle économique quasi annuel de la mode a d'autres secteurs que celui de l'habillement....

La grégarité est un des principes du comportement humain. Chaque individu veut appartenir à une communauté (une nation, une religion, un groupe social, une élite, une bande...) et veut donc manifester son appartenance, par des signes d'identification ou des comportements similaires.

2- La différenciation, principe de l'individualisme

- Cependant, et c'est un principe fondamental du capitalisme (qui est un mécanisme fonctionnant sur la contradiction), nous cherchons à manifester notre appartenance, mais nous voulons également nous distinguer des membres de ces communautés.

Chaque être humain a besoin de se sentir singulier tout en manifestant ses signes d'appartenance.

La consommation utilise donc conjointement ces 2 mécanismes :

- La grégarité pour nous pousser à témoigner de notre appartenance

- L'individualisme pour nous inciter à nous différencier des autres membres de nos communautés d'appartenance.

Chaque produit et chaque marque se glorifie de nous rendre plus ceci ou moins cela mais seulement par rapport aux gens qui nous ressemble.

On ne cherche pas à se différencier de quelqu'un qui ne fait pas partie de notre communauté.

C'est notre consommation qui nous différencie, mais principalement de notre voisin immédiat.

La première voiture fabriquée en série, la ford T n'existait qu'en un seul modèle, une seule finition, une seule couleur.

Aujourd'hui nous prendrions une telle négation de notre spécificité comme une insulte à notre identité et comme une pratique issue du collectivisme....

Conséquence de cette consommation identitaire : quelqu'un qui n'a pas les moyens de consommer, laisse (selon le discours des marques) une faible trace identitaire dans son environnement.

C'est un discours classique de sociologue que de considérer que nous sommes passés ces 50 dernières années d'une intégration par le travail à une intégration par la consommation.

3. Les tatouages et parures corporelles, témoignages de ce que nous sommes intérieurement.

Ces dernières années se sont développées de nouvelles manifestations du commerce de l'identitaire.

Après le développement du commerce des signes d'appartenance, après celui de l'explosion des manifestations de différenciation, se développe aujourd'hui la marchandisation des témoignages extérieurs de l'identité personnelle.

Les tatouages et parures corporelles, inspirées à l'origine des tatouages ethniques prétendent témoigner en surface (sur notre peau) de qui nous sommes à l'intérieur.

C'est - en tout cas - une des motivations qui semble ressortir du développement de ce phénomène mondial apparu il y a une vingtaine d'années.

Mais ces témoignages, comme tous les moyens d'expression, utilisent des codes, des langues. Or d'une culture à l'autre, les codes changent.

Vous avez probablement déjà vu plusieurs jeunes femmes avec le tatouage d'un papillon sur l'épaule. Ce qu'elles ne savent pas, c'est que ce tatouage du papillon est en Russie, le code pour désigner une prostituée... Si elles le savaient, elles ne le ferait probablement pas.

On le voit, l'être humain est profondément demandeur de témoignages et de manifestations de qui il est.

La spiritualité est, dans la même mouvance, une recherche de ce que nous sommes.

Malraux avait affirmé que le 21ème siècle serait spirituel ou ne serait pas.

Il n'avait peut-être pas envisagé que notre spiritualité,

le témoignage de ce que nous sommes en tant qu'être,

pouvait se manifester dans le développement des tatouages...

Bonjour Ohenzee,

en conclusion nous sommes des moutons de panurge.

L'individualisme dont tu parles me fait penser a' la chanson de Léo Ferré "la graine d'ananar"

La vie m'a doublé

C'est pas régulier

Pour un pauvre lézard

Qui vit par hasard

Dans la société

Mais la société

'Faut pas s'en méler

J'suis un type a' part

Une graine d'Ananar.

Ça me donne envie de mettre ce couplet comme signature.

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Membre, 30ans Posté(e)
Delateur Membre 231 messages
Baby Forumeur‚ 30ans‚
Posté(e)

J'ai regardé un film hier qui m'a beaucoup fait penser à ce sujet : Cloud Atlas. Extrêmement complexe mais bon c'est pas le sujet, ce film retrace les différentes inégalités et la lutte de différents personnages suivant les époques. De l'esclavage aux théories de l'homme prédéfinie (un peu comme dans le film divergente) en passant par la critique des maisons de retraites, ce film dénonce un peu l'individualisme des hommes, et montre quelle issue l'attendent s'ils n'agissent pas pour les autres. Dans le film, l'humanité revient au point de départ (vie en petite communauté, sans technologies...) parce que l'Homme agit toujours dans son propre intérêt et ne pense pas à l'avenir.

Du coup le film répond un peu à la problématique de base en disant : l'Homme est voué à régresser... Et ce même film met en avant les gens essayant d'empêcher cette régression (qui était plus d'un point de vue égalité qu'un point de vue technologique).

Deux citations qui m'ont plu :

"La liberté. Rengaine pompeuse de notre civilisation. Il n'y a que ceux qui en sont privés qui savent ce que cela signifie."

"Toutes les limites sont des conventions qui attendent d'être transcendées. Chacun peut dépasser n'importe quelle convention, si d'abord, on peut concevoir de le faire soi-même."

Film que je conseil, un OVNI dans le monde cinématographique mais très compliqué à suivre. Pour vraiment le comprendre il faut le voir 2-3 fois...

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Membre, claniste, 107ans Posté(e)
cry baby Membre 44 061 messages
107ans‚ claniste,
Posté(e)

pourtant de plus de couples ont chacun leur appart,ils e voient chez l'un ou l'autre pour paser la soirée ,la nuit et repartent dans leur pénates

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Membre, Posté(e)
Ohanzee Membre 87 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour Ohanzee,

en conclusion nous sommes des moutons de panurge.

Non, nous sommes des hommes...

Des êtres sociaux et individuels à la fois...

J'ai regardé un film hier qui m'a beaucoup fait penser à ce sujet : Cloud Atlas. Extrêmement complexe mais bon c'est pas le sujet,

Film que je conseil, un OVNI dans le monde cinématographique mais très compliqué à suivre. Pour vraiment le comprendre il faut le voir 2-3 fois...

Effectivement, excellent film, très atypitque...

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Membre, Posté(e)
Ohanzee Membre 87 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

pourtant de plus de couples ont chacun leur appart,ils se voient chez l'un ou l'autre pour passer la soirée ,la nuit et repartent dans leur pénates

A toutes les époques, les formes de la sociabilité ont évoluées...

cependant il y a eu des époques (pas les plus sympathiques) où elles n'ont pas changées pendant plusieurs siècles...

Nous avons abandonné il n'y a pas si longtemps, les "familles-souches" qui intégraient les grands parents, au sein du noyaux père, mère, enfants.

Le couple cesse progressivement de se conformer au modèle de celui de nos grands parents où le choix d'un compagnon ou d'une compagne était le choix d'une vie...

Les modalités de la vie en commun peuvent également changer (souvent en début et en fin de formation des couples),

nos sociétés évoluent... les modes de vie se diversifient pour ne plus seulement adopter qu'un modèle unique.

L'égalité des femmes a transformé le traditionnel rapport hommes/femmes entraînant des bouleversements et des ajustements.

Mais il faut regarder d'où on vient :

L'esclavage n'a été aboli qu'il y a un peu plus de 200 ans, (100 ans dans certains pays et dans d'autres, il existe encore de façon implicite), les femmes n'ont le droit de vote que depuis 70 ans, l'homosexualité n'est plus considérée comme une perversion sexuelle que depuis 30 ans...

Il ne faut pas forcément condamner ce qui vient devant parce que ce n'est pas conforme à ce qui est derrière nous....

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Membre, Posté(e)
marginale2 Membre 225 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

J'ai regardé un film hier qui m'a beaucoup fait penser à ce sujet : Cloud Atlas. Extrêmement complexe mais bon c'est pas le sujet, ce film retrace les différentes inégalités et la lutte de différents personnages suivant les époques. De l'esclavage aux théories de l'homme prédéfinie (un peu comme dans le film divergente) en passant par la critique des maisons de retraites, ce film dénonce un peu l'individualisme des hommes, et montre quelle issue l'attendent s'ils n'agissent pas pour les autres. Dans le film, l'humanité revient au point de départ (vie en petite communauté, sans technologies...) parce que l'Homme agit toujours dans son propre intérêt et ne pense pas à l'avenir.

Du coup le film répond un peu à la problématique de base en disant : l'Homme est voué à régresser... Et ce même film met en avant les gens essayant d'empêcher cette régression (qui était plus d'un point de vue égalité qu'un point de vue technologique).

Deux citations qui m'ont plu :

"La liberté. Rengaine pompeuse de notre civilisation. Il n'y a que ceux qui en sont privés qui savent ce que cela signifie."

"Toutes les limites sont des conventions qui attendent d'être transcendées. Chacun peut dépasser n'importe quelle convention, si d'abord, on peut concevoir de le faire soi-même."

Film que je conseil, un OVNI dans le monde cinématographique mais très compliqué à suivre. Pour vraiment le comprendre il faut le voir 2-3 fois...

Bonjour Delateur,

je ne connaissais pas ce film qui m'intrigue, je vais essayer de me le procurer, et de faire des recherches la'-dessus sur le net.

Merci pour ton partage.

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Membre, claniste, 107ans Posté(e)
cry baby Membre 44 061 messages
107ans‚ claniste,
Posté(e)

ha mais je condamnes rien delateur,je constaste c'est tout

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