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La "métempathie" ( méta-empathie )


deja-utilise

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Membre, Posté(e)
poxy91 Membre 126 messages
Baby Forumeur‚
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"Ce qui à n'en pas douter faciliterait la tolérance et les relations entre humains, non? "

Ca dépend. La métempathie présuppose j’ai l’impression des comportements types, des chaines d’émotions et des successions d’événements qui conduisent à des résultats inéluctables. Bien sûr on pourrait certainement mieux comprendre l’autre mais l’autre deviendrait tellement prévisible.

Pour moi se mettre aussi totalement à la place de l’autre relève de l’impossible. Il y aura toujours une part d’interprétation inévitable dans la connaissance de l’autre et de ses choix. De plus l’autre qui se raconte ne dit pas forcement la vérité, du moins ne peut à mon sens se raconter d’une façon totalement transparente .

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Oui même en ayant de l'empathie, on ne connaît jamais vraiment l'autre ni même soi-même d'ailleurs.

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
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ce qui m'interpelle, c'est convictions/état d'esprit.

Ce n'était que pour éviter d'utiliser les mêmes mots qu'avant dans mon exemple.

. Après par contre, ce n'est pas sûr si tu avais eu le même passé et conviction/état d'esprit que tu aurais réagi comme lui, je fais référence aux jumeaux qui pourraient avoir eu le même vécu, convictions/état d'esprit et pourtant peut vivre différemment

Même de vrais jumeaux ne vivent pas la même chose, et ne l'intériorisent pas identiquement, même si ils peuvent se mettre en "synchronisation" par la discussion, cela suppose donc une grande proximité, qui ne peut pas être perpétuelle, car chacun finira par faire sa vie, et donc avoir une individualité tranchée.

Pour moi, cela reste de l'empathie

( http://fr.wikipedia.org/wiki/Empathie )

Lipps introduisit la dimension affective dont héritera notre conception moderne : l'Einfühlung caractériserait par exemple le mécanisme par lequel l'expression corporelle d'un individu dans un état émotionnel donné déclencherait de façon automatique ce même état émotionnel chez un observateur.

Dans une perspective différente, Wilhelm Dilthey fera usage du vocable hineinversetzen se mettre à la place de », traduit en empathie) désignant une capacité intellectuelle de transposition, sous-jacente dans sa théorie à la capacité de compréhension du monde

C'est ce qui m'a fait écrire que l'empathie seule, est avant tout un effet miroir, alors que ce que je décris va bien au-delà. ( comme les développement ultérieurs pourront le montrer en couplant empathie avec cognition par exemple, ce qui pour moi décrit un phénomène distinct, d'où un besoin d'un nom distinct )

La métempathie présuppose j’ai l’impression des comportements types, des chaines d’émotions et des successions d’événements qui conduisent à des résultats inéluctables. Bien sûr on pourrait certainement mieux comprendre l’autre mais l’autre deviendrait tellement prévisible.

Pour moi se mettre aussi totalement à la place de l’autre relève de l’impossible. Il y aura toujours une part d’interprétation inévitable dans la connaissance de l’autre et de ses choix. De plus l’autre qui se raconte ne dit pas forcement la vérité, du moins ne peut à mon sens se raconter d’une façon totalement transparente .

Pas du tout, c'est exactement l'inverse, la métempathie elle est à la carte, plutôt que commune/"stéréotypée" comme l'empathie classique.

On ne peut bien évidemment pas se mettre à la place de la personne, ou s'oublier complètement, simplement je proposais d'aller plus loin qu'une "simple" empathie, pour être plus proche de sa réalité, et donc de mieux comprendre, ce qui corrélativement peut aussi aider à dédramatiser un jugement superficiel/de prime abord.

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Peu importe sur la signification des mots mais j’ai compris ce que tu veux dire d’après ton exemple, donc si je m’en réfère à celui-ci, je l’appelle métempathie. Sinon, je rajoute un lien sur l’empathie.

Empathie et ses effets

Mais est il possible de vivre le même passé alors que la vie n’est que mouvement, si je m’en réfère par exemple à deux nouveau-nés, on les met tous les deux ensemble et ils vont pourtant avoir des réactions différentes, l’un va dormir, l’autre va se mettre à pleurer. Il y a l’inné de la personne qui aura une répercussion sur son vécu et certainement d’autres éléments qui font que personne ne peut vivre un passé identique.

Après oui, la métempathie que tu abordes va certes faciliter la tolérance et les relations humaines en sachant qu’il faut quand même à la base que la personne le souhaite. Sinon, j’irais plus loin dans l’exemple que tu cites, si on vit parmi un temps avec cette personne, on peut encore mieux comprendre ce qu’elle ressent. Suite à l’exemple qui avait été cité sur le racisme, je parle souvent d’ignorance parce que c’est souvent des préjugés que l’on a à travers les médias ou autres alors que si on vit parmi eux, on apprend à mieux les connaître et en avoir un tout autre aperçu. On parle aussi d’expérience, qui de mieux que celui qui a vécu les mêmes difficultés peut comprendre celui qui s’en exprime.

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Invité Leopardi
Invités, Posté(e)
Invité Leopardi
Invité Leopardi Invités 0 message
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Oui même en ayant de l'empathie, on ne connaît jamais vraiment l'autre ni même soi-même d'ailleurs.

Pourquoi pas mais il faut d'abord répondre à : qu'y a-t-il à connaître ? Qu'est-ce que connaître vraiment l'autre ?

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Après oui, la métempathie que tu abordes va certes faciliter la tolérance et les relations humaines en sachant qu’il faut quand même à la base que la personne le souhaite. Sinon, j’irais plus loin dans l’exemple que tu cites, si on vit parmi un temps avec cette personne, on peut encore mieux comprendre ce qu’elle ressent. Suite à l’exemple qui avait été cité sur le racisme, je parle souvent d’ignorance parce que c’est souvent des préjugés que l’on a à travers les médias ou autres alors que si on vit parmi eux, on apprend à mieux les connaître et en avoir un tout autre aperçu. On parle aussi d’expérience, qui de mieux que celui qui a vécu les mêmes difficultés peut comprendre celui qui s’en exprime.

Merci pour ton lien Samira.

Oui, grâce à cette approche "volontariste", qui peut être déclenchée par l'empathie justement, le racisme peut être traitée différemment, comme l'opposition croyant-athée, ou encore les "marginaux" comme les gens du voyage...

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Invité s
Invités, Posté(e)
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Pourquoi pas mais il faut d'abord répondre à : qu'y a-t-il à connaître ? Qu'est-ce que connaître vraiment l'autre ?

Ce que l’on peut connaître de l’autre, son caractère, son comportement, son éducation, son vécu…

Ce que l’on ne connaîtra jamais de l’autre son jardin secret.

Connaître vraiment l’autre, c’est le comprendre, être capable sans qu’il s’en exprime de prévoir comment il peut réagir à telle situation, savoir utiliser les bons mots au bon moment, savoir deviner ce qu’il pense ou anticiper ce qu’il va dire…

Pour connaître vraiment l’autre, il faudrait qu’on soit l’autre, ce qui est impossible.

Il y aussi le fait qu’une personne peut avoir une attitude complètement différente avec un autre. Ce que l’on peut penser de l’autre peut être aussi notre propre reflet. Il est aussi difficile de savoir ce que l’on est et cela me fait penser un peu à un entretien d’embauche, les personnes ont beaucoup de mal à définir leurs qualités ou leurs défauts, ce qui n’est pourtant qu’une infime partie de la connaissance de soi. Je ne saurais d’ailleurs définir s’il est plus dur de se connaître que de connaître l’autre. On ne se connaît pas soi-même, ce qui est nécessaire pour connaître bien l’autre. Une personne évolue, change et devient un autre en sachant que l’on peut se tromper sur ce que l’on pense de l’autre ou de nous-même.

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Membre, 114ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 114ans‚
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Avoir de l'empathie n'est déjà pas simple car elle est déclenchée habituellement par une situation,une appréhension ,un aspect physique ...et il est possible qu'on puisse en avoir plus facilement pour certaines personnes et pas pour d'autres ...

c'est là je suppose ou on pourrait faire preuve de métempathie lorsqu'on dépasse une situation qui ne se suffit pas à elle même ,et qu'on se force à éprouver de l'empathie pour une personne /situation qui ne la déclenche pas spontanément....

En fait si je n'éprouve aucune empathie pour une personne il me sera difficile de faire comme si... ,à moins bien sûr que cela fasse partie de mon métier comme les travailleurs sociaux ou psychologues ,ou encore thérapeuthes ...

désolé pour la métempathie ,je ne suis pas payé pour ça ..j'ai déjà ma dose d'empathie à gérer .....

Maintenant personne ne t'empêche de te sublimer smile.gif

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VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
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Je vais essayer avec un autre exemple.

Récemment j'ai pris le temps de discuter avec un SDF que je saluais jusqu'à ce moment.

Au lieu de chercher à comprendre à travers mon uniquement vécu, ou les ressentis que l'on peut tous avoir, comme la peur, la joie, la tristesse, l'exclusion, ou des points communs ( comme les femmes, boire un verre, ce genre de choses banales ), je l'ai questionné et il y a bien voulu me répondre, je me suis donc assis à coté de lui, et l'on a passé un bon moment à discuter, et au fur et à mesure qu'il m'expliquait ce qui avait fait, par ce qu'il était passé, ses idées, ses principes, ses souhaits/attentes, je peux dire qu'en m'imprégnant de lui, tout en suspendant ma propre histoire/conception/attente/vision, j'ai, selon moi, compris ses choix, où il en est arrivé, sans aucun jugement, ni exprimé, ni contenu. Je mes suis simplement projeter avec ses propres contraintes, et non les miennes, ce qui fait que j'ai saisi le pourquoi et le comment de sa "vie", non par simple empathie, mais si j'avais eu le même passé et les mêmes convictions/état d'esprit, j'aurais probablement agit comme lui! ( alors que si je reviens à moi, à ce que je suis, je ne conçois pas les choses comme ça, n'aurait pas agit comme lui, fait les mêmes choix, ce qui ne m'empêche pas, même avec mes propres considérations, d'éprouver de l'empathie envers cet homme, qui m'a d'ailleurs amené vers lui ).

J'espère avoir été suffisamment clair cette fois-ci, pour tous, ;)

Pour moi, tu n'as pas dépassé le stade de l'empathie : tu as dépassé le stade mécanique de l'empathie, cette réaction minimale aux affects d'autrui. Je trouve le terme de compréhension empathique assez parlant puisqu'il s'agit d'aller chercher consciemment chez l'autre le plus de prises possibles, une plus grande compréhension de son chemin de vie... mais qui n'est toujours lu qu'à travers notre propre chemin, quand bien même on ferait attention à se mettre à distance. On ne peut pas imaginer digérer la complexité d'une vie en quelques questions/réponses, ni changer tous ses propres référents.

L'Homme peut-il dépasser l'empathie, déjà ?

Métempathie ça impliquerait pour moi ce pouvoir de vivre mentalement la vie des autres (et pourquoi pas plus largement que l'individu-même, car ça implique une conscience énorme que de vivre pleinement toutes ces vies). Un truc quasiment divin, ou en tout cas dépassant l'état humain connu.

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Membre, 114ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 114ans‚
Posté(e)

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Dans une perspective différente, Wilhelm Dilthey fera usage du vocable hineinversetzen se mettre à la place de », traduit en empathie) désignant une capacité intellectuelle de transposition, sous-jacente dans sa théorie à la capacité de compréhension du monde

C'est ce qui m'a fait écrire que l'empathie seule, est avant tout un effet miroir, alors que ce que je décris va bien au-delà. ( comme les développement ultérieurs pourront le montrer en couplant empathie avec cognition par exemple, ce qui pour moi décrit un phénomène distinct, d'où un besoin d'un nom distinct )

Pas du tout, c'est exactement l'inverse, la métempathie elle est à la carte, plutôt que commune/"stéréotypée" comme l'empathie classique.

On ne peut bien évidemment pas se mettre à la place de la personne, ou s'oublier complètement, simplement je proposais d'aller plus loin qu'une "simple" empathie, pour être plus proche de sa réalité, et donc de mieux comprendre, ce qui corrélativement peut aussi aider à dédramatiser un jugement superficiel/de prime abord.

l'effet miroir ,je n'y crois pas ....c'est plutôt une prise de conscience de notre utilité ....c'est un comportement social instinctif ...

beaucoup éprouvent de l'empathie pour des animaux ,alors qu'ils sont plus réservés pour l'être humain ...

et il est démontré que les animaux éprouvent aussi ce sentiment envers les humains et même entre eux ....

"C'est une scène de la vie ordinaire. Une aveugle, désorientée, cherche son chemin. Une voyante vient à son secours, la guidant de la voix. L'infirme la remercie par de bruyantes effusions. Scène ordinaire, à cela près qu'elle se passe en Thaïlande, dans un parc naturel, et que les deux protagonistes sont des éléphantes."

http://www.editionsl...=liv&livre_id=3

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
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l'effet miroir ,je n'y crois pas ....c'est plutôt une prise de conscience de notre utilité ....c'est un comportement social instinctif ...

beaucoup éprouvent de l'empathie pour des animaux ,alors qu'ils sont plus réservés pour l'être humain ...

et il est démontré que les animaux éprouvent aussi ce sentiment envers les humains et même entre eux ....

"C'est une scène de la vie ordinaire. Une aveugle, désorientée, cherche son chemin. Une voyante vient à son secours, la guidant de la voix. L'infirme la remercie par de bruyantes effusions. Scène ordinaire, à cela près qu'elle se passe en Thaïlande, dans un parc naturel, et que les deux protagonistes sont des éléphantes."

Tout à fait, sauf que ce n'est pas un phénomène conscient, puisque même les bébés éprouvent très tôt de l'empathie, et ce n'est pas non plus réservé aux humains. Et des chercheurs ont mis la main sur ce qui l'explique:

http://fr.wikipedia..../Neurone_miroir

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Membre, If you don't want, you Kant..., Posté(e)
deja-utilise Membre 5 992 messages
If you don't want, you Kant...,
Posté(e)

Pour moi, tu n'as pas dépassé le stade de l'empathie : tu as dépassé le stade mécanique de l'empathie, cette réaction minimale aux affects d'autrui. Je trouve le terme de compréhension empathique assez parlant puisqu'il s'agit d'aller chercher consciemment chez l'autre le plus de prises possibles, une plus grande compréhension de son chemin de vie... mais qui n'est toujours lu qu'à travers notre propre chemin, quand bien même on ferait attention à se mettre à distance. On ne peut pas imaginer digérer la complexité d'une vie en quelques questions/réponses, ni changer tous ses propres référents.

L'empathie à proprement parler est bien cette faculté à ressentir ou penser par similitude, comme l'autre ( Cf le document de Samira est très parlant à ce sujet " qu'est ce que l'empathie " ), et ces fameux neurones miroirs sont évocateurs, pour expliquer les phénomènes d'empathie émotionnelle ou cognitive. Seulement l'empathie se borne à une transposition de ce qui préexiste en moi chez autrui, pour comprendre ce qu'il vit, ressent, pense.

Ce que j'ai proposé, est radicalement différent, sans y être opposé, par moment la métempathie peut englober l'empathie, mais pas nécessairement, elle peut n'être que le moteur vers une compréhension supérieure, plus profonde, plus sincère, plus proche de l'autre, ce n'est plus une approche analogique, mais complémentaire et substitutive.

Je ne dis pas que c'est aisé, comme sa propre introspection "psychanalytique", qui de l'aveu des psychanalystes n'est pas possible, on peut parfois dépasser les limites de nos aïeuls, il faut bien souvent du temps, être obstiné et motivé, sans se disperser ( et c'est valable dans bien des activités d'ailleurs ).

L'Homme peut-il dépasser l'empathie, déjà ?

Oui, comme je l'ai montré aussi avec mon premier exemple, entre un croyant et un athée, l'empathie servira à venir en aide à l'autre si besoin car les deux sont des être humains sensibles. Mais nous pouvons aller plus loin que cet élan naturel, et chercher à comprendre l'autre en mettant en stand-by ce qui nous révulse, l'aversion primaire la plus intense, ensuite commence un travail d'investigation, soit que l'on écoute passivement l'autre parler de sa spécificité, soit l'on est plus directif, et on pousse la personne à divulguer des informations personnelles, un peu comme un entretien ethnologique ou une enquête sociologique.

Je l'ai également expérimenté sur les gens du voyages, mais pas avec les mêmes résultats pour le moment, car ils ne sont pas très loquaces en général, mais je ne suis pas bredouille pour autant.

Métempathie ça impliquerait pour moi ce pouvoir de vivre mentalement la vie des autres (et pourquoi pas plus largement que l'individu-même, car ça implique une conscience énorme que de vivre pleinement toutes ces vies). Un truc quasiment divin, ou en tout cas dépassant l'état humain connu.

Oui si on le prend à l'extrême, ce qui n'est bien évidemment pas possible, dans mon exemple sur l'athée-croyant, il n'y a qu'à mettre en sursis son jugement, son sentiment à ce sujet, et d'écouter les liens logiques à partir du point de départ qu'est la foi/croyance, en aucun cas cela demande d'être vierge, et d'emmagasiner tout le vécu de l'autre individu, car de lui-même il a déjà organisé sa pensée autour de son affaire, l'écoute de ce qu'il pense est amplement suffisant, et comme nous fonctionnons tous sur le même modèle cognitif, au même titre que nous sommes physiquement semblables, car appartenant à la même espèce, le reste se fait "tout seul", pas besoin de "reset" de sa personnalité ou de transférer l'intégralité des souvenirs conscients et inconscients de l'autre. Pareillement que le psychologue lorsqu'il veut savoir l'impact d'une publicité sur un individu, il n'a pas besoin de connaitre l'ensemble des caractéristiques de son sujet/cobaye.

Et comme je le fais pour moi-même, je n'ai pas de protocole à respecter, ou de comptes à rendre, ou encore une déontologie à suivre, comme cela a été le cas avec lors de l'apparition de la psychanalyse.

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Membre, 40ans Posté(e)
loanh Membre 429 messages
Baby Forumeur‚ 40ans‚
Posté(e)

toi même agit comme ça

je me souviens m'être faite proprement insultée par toi dans le sujet "pourquoi faire des enfants", parce que ta propre expérience et tes propres valeurs te faisaient penser que c'était une connerie d'en faire,

****, quoi qu'il en soit tu n'a rien comprit en tout cas et ça le prouve bien, quand je répond a une personne je répond en proportion a son intervention tout simplement donc pose toi des question sur toi même déjà avant merci avant de faire des intervention aussi stupide qu'inutile

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VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
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Merci de vous calmer direct.

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