57% de dépenses publiques.

Oh oui !!! On pourrait même le donner aux banques pour qu'elles spéculent avec....

Bof entre le donner directement aux banques ou indirectement au PMU, je préfère la première solution, car à la sortie il peut y avoir un bénéfice tandis qu'avec la seconde on voit le résultat.:D

Ah les aprioris !!!!

L'orthographe s'il vous plait, à défaut d'être polie

Français[modifier | modifier le wikicode]

Étymologie[modifier | modifier le wikicode]

De la locution a priori empruntée au latin.

Nom commun[modifier | modifier le wikicode]

(orthographe rectifiée de 1990)

Singulier Pluriel

apriori aprioris

/a.pʁi.o.ʁi/

apriori masculin

Jugement superficiel sans réelle connaissance du sujet ; préjugé.

Il a un apriori défavorable alors qu’il ne nous connaît pas.

(Philosophie) Connaissance qui peut être prouvée sans recours à l’expérience.

L’apriori kantien

Variantes orthographiques[modifier | modifier le wikicode]

Tel la mouche du coche.............Monsieur Des.......

Et on fait quoi ???

À part couper drastiquement dans les dépenses....

Il y a des dépenses inutiles et surement une optimisation des administrations à faire mais il ne faut pas non plus tomber dans le culte de la réduction de la dépense publique : c'est notre qualité de vie qui en dépend.

Que se passe t-il si on coupe de plus en plus les vivres publiques : certains secteurs tombent ou meurent à petit feu (en pesant sur les citoyens), le privé s'en empare (souvent à valeur dérisoire) et finalement, le coût erst quand même reporté sur les citoyens, qu'ils doivent maintenir à flot un service public saboté ou qu'ils doivent payer un service privé, sans aucune garantie d'y avoir toujours accès.

Bref, la rationalisation des dépenses et de l'appareil public, elle doit être suivie de près par les citoyens et réfléchie, parce que le libéralisme pousse fortement vers la trinité : réduction des dépenses publiques, privatisations et dérégulation. Avec pour motif noble de rendre à la France croissance et productivité (mais pas pour tous !).

On est en train de subir exactement le plan : la cure d'austérité, les privatisations (ou externalisations partielles) et la traité transatlantique qui arrive (sans parler de certaines directives européennes et exigences du FMI). Comme la Grèce mais en plus soft, parce que la France est plus résistante.

Bref, Carnifex fait bien de proposer une contre-analyse à cette propagande permanente contre les dépenses et services publics. Et les gens devraient se méfier de ces discours. Ils sont prêt à se faire tondre par des mutuelles hors de prix et roublardes mais râlent pour la Sécu, alors que s'ils lui donnaient autant...

de toutes manieres avec des charlots comme dirigeants, il n,y aura jamais assez de fric dans les caisses de l,état, même si tous les Français versaient leur revenu de l,année au fisc, ça ne changerait rien , l,année suivante ils auraient tous bouffé en social, et en conneries ,sans oublier la distribution aux AMIS !!

Au contraire, on dirait qu'il y a trop de fric dans les caisses de l'état et qu'il faut vite le distribuer dans des partenariats public-privé merdiques, appels d'offres biaisés voire pire. Ce n'est pas le social qui coûte si cher et de toute façon, il est bien plus nécessaire et sain que la prédation des marchés. Le social, c'est aussi notre qualité de vie. Assez de propagande !

J'en ai marre d'entendre tout le monde chier sur les services publiques (loin d'être parfaits mais loin d'être débiles) et ensuite se plaindre quand ils disparaissent ; mais subir bien plus gentiment quand il s'agit d'un défaut d'une entreprise privée, qui sait de toute façon nous la mettre en jouant la montre et l'usure si on engage un recours. Le discours libéral, c'est le discours le plus populiste. Or, c'est bien le libéralisme et les marchés qui font peser un poids sur la France (cours volatils, chantage à la destruction d'emplois et fuite des capitaux, délocalisation et exil fiscal quand même,...).

A côté, les services publics me paraissent légers à assumer et bien plus sûrs, malgré leur défaillances (en partie dues au sabotage libéral qui veut les casser pour obliger à privatiser). On les accuse parce que ce sont encore les derniers qu'on peut tondre, avec les citoyens.