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N'y a t'il de souffrance qu'existentielle ?


lycan77

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Invité ézîa
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Invité ézîa
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Posté(e)

Faites plutôt confiance à la beauté avec conscience de la laideur pouvant s'additionner à elle dans une même existence.

Innocence de la générosité pour la satisfaisante richesse.

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L'homme est un animal supérieur car il possède la faculté d'imaginer et de pouvoir créer sa propre souffrance pour certains c'est à cause de notre instinct de survie que l'on souffre .nous ne pouvons pas abréger ces souffrances car nous avons besoin de vivre car le sens de la vie au sens biologique c'est le maintient de notre structure organique. Au sens sociétal la vie n'a aucun sens sauf celle que l'on veut bien lui donner,(religion, philosophie, politique, etc.)

Dans un troupeau d'humain il y a des dominants et des dominés et d'après vous qui souffre le plus ?

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Membre, 57ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 206 messages
Forumeur balbutiant‚ 57ans‚
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ézia : Faites plutôt confiance à la beauté avec conscience de la laideur pouvant s'additionner à elle dans une même existence.

genesiis : Surement pas à notre époque ! La lame de la faux est d'une beauté fatale ; L'attractivité de certaines personnes les dispense de faire les efforts de grandir quitte a ce qu'elle adopte une philosophie de prostituées ; La confiance que peut susciter le clinquant est un piège à simples ; Les publicités cachent bien la laideur du consumérisme ... C'est là l'atrocité de la beauté.

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Membre, 57ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 206 messages
Forumeur balbutiant‚ 57ans‚
Posté(e)

---

chris : Dans un troupeau d'humain il y a des dominants et des dominés et d'après vous qui souffre le plus ?

genesiis : Voilà qui dépend des quantités et qualités des drogues absorbées. Une petite liste : aspirine, cannabis, cocaïne, opium, héroïne, adrénaline, jeux, sports, spectacles, télévision... Donnez aux dominés du pain et des jeux et ils se croiront dominants.

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Invité
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Alors heureux le simple d'esprit car lui n'a peut être pas de souffrance ?

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Membre, 57ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 206 messages
Forumeur balbutiant‚ 57ans‚
Posté(e)

Je dirais plutot que c'est le humble qui souffre le moins.

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Invité ézîa
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Invité ézîa
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Posté(e)

ézia : Faites plutôt confiance à la beauté avec conscience de la laideur pouvant s'additionner à elle dans une même existence.

genesiis : Surement pas à notre époque ! La lame de la faux est d'une beauté fatale ; L'attractivité de certaines personnes les dispense de faire les efforts de grandir quitte a ce qu'elle adopte une philosophie de prostituées ; La confiance que peut susciter le clinquant est un piège à simples ; Les publicités cachent bien la laideur du consumérisme ... C'est là l'atrocité de la beauté.

La fidélité sexuelle est belle.

La débauche sexuelle est hideuse et cela peut se voir même sur les femmes dont le corps se porte plutôt bien.

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Invité ézîa
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Invité ézîa
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Posté(e)

L'homme est un animal supérieur car il possède la faculté d'imaginer et de pouvoir créer sa propre souffrance pour certains c'est à cause de notre instinct de survie que l'on souffre .nous ne pouvons pas abréger ces souffrances car nous avons besoin de vivre car le sens de la vie au sens biologique c'est le maintient de notre structure organique. Au sens sociétal la vie n'a aucun sens sauf celle que l'on veut bien lui donner,(religion, philosophie, politique, etc.)

Dans un troupeau d'humain il y a des dominants et des dominés et d'après vous qui souffre le plus ?

Sois humble avec les autres espèces vivantes, elles sont autant précieuses.

La créativité humaine sage sert plutôt à créer de la joie.

Ais le sens de la vie en collectivité, c'est le partage d'idées, de forces, d'activités,...

On peut dominer soi même et recevoir la bonne influence d'autres dominants (et dominer avec des savoirs différents les uns des autres)

Alors heureux le simple d'esprit car lui n'a peut être pas de souffrance ?

La simplicité est utile au bonheur mais toutes les douleurs collectives et existentielles nous sont transmises pour nous inciter à améliorer le monde avec notre sensibilité.

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Membre, 57ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 206 messages
Forumeur balbutiant‚ 57ans‚
Posté(e)

ezia : La fidélité sexuelle est belle.

genesiis : Je pense aussi que la fidélité est une marque de respect mais ce n'est là qu'un contrat moral que l'on ne trouve beau que si on le souhaite.

---

ezia : La débauche sexuelle est hideuse et cela peut se voir même sur les femmes dont le corps se porte plutôt bien.

genesiis : Certaines pratiques sexuelles peuvent laisser des marques hideuses sur le corps. Mais certaines pratiques sexuelles extrèmes ne laissent aucune marque. J'irais même jusqu'à dire que certaines gymnastiques sont jolies. En restant soft : Les femmes portent de façon très élégantes des talons hauts qui sont de vrais engins de torture.

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Invité ézîa
Invités, Posté(e)
Invité ézîa
Invité ézîa Invités 0 message
Posté(e)

la laideur quand elle est présente peut se percevoir dans les gestes, dans les sons et elle crée une douleur dont les ondes touchent la collectivité même si certaines de ses sensations peuvent toucher une seule existence.

Les chaussures ont beau être belles, il peut être utile de savoir quand et comment les utiliser. La douleur nous incite à faire cet apprentissage.

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Invité Dompteur de mots
Invités, Posté(e)
Invité Dompteur de mots
Invité Dompteur de mots Invités 0 message
Posté(e)

Définis "souffrance". Qu'entends-tu par "souffrance existentielle" ?

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Membre, 57ans Posté(e)
Genesiis Membre 3 206 messages
Forumeur balbutiant‚ 57ans‚
Posté(e)

ézia : la laideur quand elle est présente peut se percevoir dans les gestes, dans les sons et elle crée une douleur dont les ondes touchent la collectivité même si certaines de ses sensations peuvent toucher une seule existence.

genesiis : C'est là un talent, voir un Don, bien utile mais peu présent parmi nos congénères.

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Invité
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Je ne vois pas de souffrances autres qu’existentiels ? Car la souffrance est lié à l'existence !

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Membre, Posté(e)
mic1 Membre 142 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

bonjour

tout est lié avec l'existence.

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Invité Dompteur de mots
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Invité Dompteur de mots
Invité Dompteur de mots Invités 0 message
Posté(e)

Je ne vois pas de souffrances autres qu’existentiels ? Car la souffrance est lié à l'existence !

Useless.

bonjour

tout est lié avec l'existence.

Useless.

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Invité
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Invité
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Posté(e)

Useless.

Useless.

c'est tout ? ben pour quelqu'un qui se dit philosophe ! cela ne va pas apporter grand chose au créateur de ce topic :D

En réponse à N'y a t'il de souffrance qu'existentielle ?

Peut être une souffrance de l’âme puisque elle n'existe pas! :p

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Invité ézîa
Invités, Posté(e)
Invité ézîa
Invité ézîa Invités 0 message
Posté(e)

Dompteur de mots a écrit:

Définis "souffrance". Qu'entends-tu par "souffrance existentielle" ?

Douleur, peine d'un être.

chris a écrit:

Je ne vois pas de souffrances autres qu’existentiels ? Car la souffrance est lié à l'existence

La souffrance collective.

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Invité
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Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Dompteur de mots a écrit:

Définis "souffrance". Qu'entends-tu par "souffrance existentielle" ?

Douleur, peine d'un être.

chris a écrit:

Je ne vois pas de souffrances autres qu’existentiels ? Car la souffrance est lié à l'existence

La souffrance collective.

Expliquez moi comment vous définissez la souffrance collective ? Et comment un individu la ressent?

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Invité ézîa
Invités, Posté(e)
Invité ézîa
Invité ézîa Invités 0 message
Posté(e)

chris a écrit:

Expliquez moi comment vous définissez la souffrance collective ? Et comment un individu la ressent?

La souffrance collective est une douleur commune (ex: la pollution). Elle peut être aussi plus indirecte (ex: la pitié). La souffrance collective provoque des souffrances existentielles. Un individu peut la vivre avec son psychisme et son physique (ex: la tristesse, la dégénérescence physique).

La souffrance existentielle, un seul être l'éprouve (ex: la douleur consécutive à une blessure). La souffrance existentielle provoque la souffrance collective (ex: la compassion).

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Membre, 48ans Posté(e)
lycan77 Membre 17 498 messages
Maitre des forums‚ 48ans‚
Posté(e)

Je dois être idiot mais je ne vois pas en quoi "vouloir toujours plus" ou "s'enrichir toujours davantage" appartient à l'Etat de Nature. Parce que l'Etat de Nature, je le vois très animal, c'est-à-dire propre à nos instincts qui sont très loin de toute accumulation inutile puisqu'ils correspondent à des besoins très primaires. C'est bien parce que nous n'y sommes pas que nous avons ce désir, cette vanité. En fait, il ne serait pas à rejeter (je ne vois de toute façon pas comment), mais à retrouver, vu comme ça, ou quasiment.

C'est précisément cela que j'appelle l'Etat de Nature poussé à son paroxysme, où l'homme accumule infiniment plus que ce dont il a besoin réellement. Ainsi en est il du PDG de Nike qui refuse d'ouvrir une usine aux USA pour embaucher du personnel américain plutôt que chinois, thailandais ou indonésien.

La gratuité d'une vie n'est pas un problème que se pose la nature, et elle se contrefiche pas mal de qui meurt ou ne meurt pas.

Faux ! La nature ne se contrefiche pas de qui meurt de qui ne meurt pas. Elle prend parti pour le plus beau, le plus fort, le plus apte, le plus intelligent le plus ceci, le plus cela. Elle écrase le faible, le débile, l'asservit pour la gloire des puissants. Là est la Vie.

Cette même vie nous a donné la possibilité de prendre une certaine distance avec ses "principes" : les moins aptes, nous pouvons les protéger, et les moins démerdards, eux, ont malgré tout le droit de rester en vie (bien qu'inégalement). La vie n'est peut-être pas un don ou un cadeau, non, effectivement, et je ne vois que deux postures face à ta vision des choses : la sartrienne, en quelque sorte, qui rejette toute raison de ta venue ici mais qui te condamne à la vie, et la meilleure possible et accessible, ou la nihiliste qui, par son rejet de tout, te justifierait sans aucun problème d'aller te pendre (avec, certes, un Schopenhauer à mi-chemin, pessimiste, qui te dit que toi t'as pas à crever, mais t'as pas à faire vivre et à te laisser vivre selon tes bas instincts, globalement).

Exact: nous sommes théoriquement des individus du choix. Je dis bien théoriquement car pour moi, encore une fois, le choix est d'abord et avant tout satisfaction de besoins primaires, de confort matériel, le reste n'étant que "luxe intellectuel", "contingence culturelle". En réalité, on n'imagine pas la puissance du "ça" en nous, et ce qu'il nous pousse à faire, au nom d'une pseudo-justice qui en réalité, trouve ses racines dans des stratégies existentielles de survie: coopération, compassion, solidarité, complémentarité etc etc ....

Encore une fois, l'homme n'a rien inventé.

Je crois, si tu veux mon avis, que le problème dans ton premier paragraphe se trouve essentiellement dans un mot, qui est de rejeter, finalement, ce que nous sommes en partie. Après, je comprends peut-être mal l'Etat de Nature chez toi, et dans ce cas, je m'en excuse.

Le langage psychanalytique ne m'intéresse pas grandement. Je ne crois pas en un "ça" qui jouerait (presque) avec nous comme avec des marionnettes quand cela lui fait envie. Et, je ne vois pas où tu vois que les grandes causes humanitaires et humanistes ont disparu, là, pour le coup.

Ces grandes causes humanitaires, justement, ne sont plus aussi prégnantes qu'il y a quelques décennies ou siècles, quand les ravages de l'Etat de Nature poussé à son paroxysme aboutissaient à des millions de crève-la-faim pour qu'une ultra-minorité de gens de l'élite s'en mette plein les pognes. Ce qu'il est intéressant de noter, c'est que les pseudo-tentatives "égalitaristes" tel que le communisme et sa doctrine de l'abolition des classes sociales ne fut jamais appliquée, et engendra au contraire des massacres et des famines inimaginables, dès lors que le "système" socio-économique ancestral, fondé sur le libéralisme était banni des usages des sociétés.

Au nom de "l'humanité et de son universalité, on a fait tuer des dizaines de millions de personnes sur Terre, dans des conditions atroces, en tant "forces contre-révolutionnaires" s'opposant soi-disant à la "Révolution culturelle". Au nom de la volonté de faire émerger un "homme nouveau", on n'a pas hésité à détruire les mentalités, et à en rejeter "l'intellectualisme trop bourgeois" ..... Un "ça" primaire et bestial qui s'ignore ou du moins, qui fit semblant de s'ignorer. Bref: de la plus pure hypocrisie.

(Le titre est marrant, je dois dire) Non, ce n'est pas faire preuve d'un esprit de justice. En tout cas, tant que ne sera pas prouvé qu'un lion a bel et bien un esprit capable de penser ce qu'il fait. Les notions de Bien et Mal sont très humaines. Si tu avais parlé de bon ou de mauvais, j'aurais peut-être pu l'admettre, mais là non. Et encore. Quand une lionne tue une gazelle, ce n'est ni Mal ni mauvais. Elle doit manger, elle mange. Quand elle protège ses semblables ou ses petits, tu as là un instinct protecteur (certes, de groupe) qui joue. Les animaux ne me semblent pas réfléchir en des termes moraux, qu'importe leur degré. Ils sont beaucoup plus terre à terre. Tout cela, tu sembles le dire, néanmoins. Mais tu sembles penser que la justice humaine est semblable. Tu sais aussi bien que moi que non. Certes, la justice se fait dans le but de protéger les individus d'un groupe, comme ta lionne l'autre lionne agressée. En cela, il y aurait similitude. Mais enfin, qu'en est-il d'une personne jugée parce qu'il a extorqué une ou des personnes, donc attaqué un bien qui n'a de valeur que celle qu'on lui donne, à côté d'une attaque physique? Tu sais aussi bien que moi qu'il y a de cet 'esprit de justice', mais tu sais aussi qu'il y a plus que cela. Peux-tu dire véritablement qu'être condamné pour m'être exprimé comme je ne le devrais pas rentre dans un cadre de "stratégie de survie"?

Et c'est précisément cela qui différencie la justice de l'homme du comportement des animaux: on peut blesser autrement plus férocement qu'avec de simples coups physiques. On peut aussi infliger des blessures psychologiques aussi sévères si ce n'est plus, que les blessures physiques. Auquel cas on reconnait le droit à un être humain à sa dignité et à sa fierté, son amour-propre. Mais, les animaux aussi peuvent souffrir psychologiquement, l'Amour d'un chien pour son maître soudain absent peut le conduire à ne plus se nourrir et à se laisser dépérir, tant bien même y aurait il d'autres personnes pour s'occuper de lui.

Maintenant, pour ce qui est de l'origine de la morale, j'en sais rien. Quand aucune cause n'existe vraiment, tu peux y attribuer toute sorte de cause. Scientifique, comme chez toi, métaphysique, comme avec Dieu. Ma façon de penser me porterait plus de ton côté que de l'autre, mais je ne suis pas plus convaincu, finalement, par l'un ou l'autre de ces côtés.

Ah mais je te l'accorde, même si caractériser par quelques traits une espèce, même animale, me semble faire du tort à ce que sont vraiment celles-ci.

Et là encore, nous sommes d'accord sur le fond. Tu sembles le voir comme quelque chose de "Mal", comme si l'Etat de Nature était un monstre. A ça, je répondrai : "humain, trop humain". Encore une fois, c'est porter un jugement là où il n'en faudrait pas. Et il n'est d'ailleurs pas nécessairement mauvais : les premiers exemples sont, et je pense que nous serons d'accord, de "bonnes choses". Les secondes, non, et là nous le serons encore. C'est là qu'intervient notre véritable différence : tu entres dans une posture très pessimiste, voyant que cette face sombre surplombe largement l'autre face, dans la mesure où elle nous correspondrait mieux. Je préfère celle qui consiste à penser que si la première existe, alors que nous serions plutôt la deuxième, c'est que nous ne sommes ni l'un, ni l'autre, et qu'il nous appartient de choisir ce que nous voulons être. La dignité de l'homme ne réside pas dans sa fuite de ce qu'il est, de son Etat de Nature, mais dans sa capacité à l'accepter et à l'adapter pour être, justement, humain, c'est-à-dire un être qui a la prétention d'être moral.

Je ne vois pas ce qu'il y a à remettre en question, sinon qu'il faut redoubler d'effort pour progresser dans notre humanité. Et je ne vois pas ce que vient faire le terme de "forcer" : radicalement, tu peux très bien aller te suicider. Moins radicalement, tu peux tout aussi bien aller vivre comme un ermite, mais cela suppose, et c'est logique, de perdre ce que la "société" t'accorde aussi comme avantages. En fait, tu n'y es forcée que de bon gré. La seule chose qui te force, c'est toi. Modifie ce mot, et tu modifieras bien des choses en toi. L'homme n'est pas le Mal et n'est pas mauvais en soi, pas plus qu'il est le Bien ou le bon en soi. Il fait des actes bons, d'autres mauvais. Il ne tient qu'à lui de choisir de quel côté la balance doit peser le plus.

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