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Les musiques de l'ame...

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Invité Leconteur

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Invité Lion2
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Invité Lion2
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Coucou,

Pourquoi cinq fois cette vidéo...La vie nous reprend ce qu'elle nous donne ?

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Etrange Membre 2 065 messages
Baby Forumeur‚
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Bonsoir,

Je ne souhaite plus me justifier ni m'expliquer.

Quand je donne , que je fais, que je rend services gratuits, même à mes dépens, moi c'est cadeau.

Même si je suis athée.

Désolée, nous ne sommes pas ici à un tribunal populaire.

Désolée encore, mais

je ne crois plus à l'amour qu'on m'a proclamé, soi-disant

Je n'y crois plus. Je ne Peux plus y croire.

Trop souvent constaté que les gens aiment quand c'est vers eux ou elles, mais dans l'autre sens, non, jamais vu ni constaté pour moi.

Ou si peu, à peine, si rarement, pour une petite distraction , pas obligatoirement de cul ou d'argent, d'un jour ou d'un soir.

Modifié par Etrange
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Etrange Membre 2 065 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Coucou,

Pourquoi cinq fois cette vidéo...La vie nous reprend ce qu'elle nous donne ?

Pourquoi j'ai mis cinq fois cette video?

Parce que les 4 années où j'ai vécu en Inde, seule pratiquement toutes ces 4 années, 1 bonne copine connue là-bas, bretonne , un peu à cause d'elle que je me suis installée en Bretagne à mon retour en France, et des gens (pas beaucoup) avec qui j'ai sympathisé, de l'école de recherche historique française d'Extrême Orient de Pondicherry, j'ai appris au début à conduire une moto, et j'ai circulé en moto , indienne, fabriquée et vendue en Inde, que les mécanos indiens connaissaient par cœur, et savaient la réparer avec 3 fois rien, j'ai appris à me dépanner seule en les regardant faire, système D (débrouille avec ce qu'il y a),

et j'ai circulé pendant les vacances beaucoup en Inde, du Sud vers le Nord, et l'Ouest et l'Est , jusqu'au Ladakh en passant par Srinagar.

Et aussi je suis allée , seule, au Népal, un hiver en moto.

Et j'ai de magnifiques souvenirs de l'Inde, de ses habitants, du Népal, et des ces voyages dans ce grand pays, constamment surprenant.

Mais les femmes ne conduisaient pas de motos ni de voitures ni de cars ni de rickshaws.

A l'époque.

Maintenant, je ne sais pas, il faudrait regarder des vidéos actuelles pour le savoir un peu plus. S'il y a eu un changement ?

Modifié par Etrange
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Invité Lion2
Invités, Posté(e)
Invité Lion2
Invité Lion2 Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour Etre humain,

Ta réponse me fait monologuer sur un air d'ancre venue du fond de la vase...Je n'ai pas de réponses sur les changements actuels du parcours des femmes indiennes sur des routes en pointillés...Quelques souvenirs de ces pistes rouges de poussière de mes propres voyages et désirs d'aventures vécus intensément - et toutes ces illusions...Comme si la vie attendait de nous quelque chose que nous ne parvenions à lui accorder, à lui sacrifier, notre temps de vie, notre temps d'attention, nos certitudes, notre trop grand besoin de satisfaction, nos idéaux inadéquates, notre petite raison d'aimer...Pas étonnant que nous soyons si peu satisfaits...Un désir nous pousse à chercher toujours ailleurs...Pas étonnant que de cet "amour proclamé" nous connaissons la soumission. La question est hormonale, une désillusion persiste s'accroche et s'effiloche au rythme des amours clandestins inavouables ; la machine fonctionne au quart de tour et le témoin lumineux de sa réalité s'éclipse en perdition dans les Bermudes de Mort Shuman. Tant de morceaux de soleils luminescents dans l'eau même d'une saison - et Dix Neuf Cent le cadeau du bateau.

Musique ? :smile2:

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Invité O)))
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Invité O)))
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Etrange Membre 2 065 messages
Baby Forumeur‚
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Bonjour Etre humain,

...

Ah oui, compris tu me prends pour une pute. Une fille facile , une Marie couches-toi là, en recherche de tourisme sexuel pendant toute sa vie

Tu en es peut-être une, une pute, toi aussi, une fille ou une femme facile en recherche de tourisme sexuel? qui sait?

Bof pas grave, je sais que c'est complètement faux!

Maintenant, vas voir ailleurs si j'y suis, lion2

C'est un post musique ici, pas un post bla bla bla...

Vas prier à l"église tiens! Rires!

Merci.

Bonjour Etre humain,

Sale juge intraitable!! Sale juge intraitable!!!! Pourrie !!!!

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Invité Leconteur
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Invité Leconteur
Invité Leconteur Invités 0 message
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Bonjour tlm,

Relax....

Et....

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Invité Lion2
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Invité Lion2
Invité Lion2 Invités 0 message
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@ au photographe du mois,

Recevez les palmes du subconscient, merci pour votre vision éclairée !

***

@ Miss Perlinpinpin,

Les petits noms joyeux qui agrémentent les vinaigrettes fantasmatiques de la gente masculine, ces petits noms charmants de p.te, et de sa..pe à la mesure du langage étriqué de l'homme esclave, esclave de ces propres hormones, projetées en injectives désordonnées aux reins des passantes...c'est de l'hypocrisie endimanchée. C'est un langage d'homo-recto-rictus. Le commerce des femmes par les hommes, c'est le bizness du touriste ou du colon. Existe-t-il une autre position...?

Attend, j'interroge Barbara...

"Ne rien donner éperdument mais tout donner avec ivresse"

"Rien que la tendresse pour toute richesse..."

"Perlinpinpin c'est qu'il vaut mieux rien avoir dépouillé de tout.."

Oui, ben c'est pas sûr que Barbara y comprenne elle-même quelque chose depuis le temps que l'on parle du dépouillement ? Le dépouillement, oui, mais lequel ?

Ya un truc qui cloche...

L'église, je veux bien y aller pour repeindre les bâtiments...Pour le reste, hein, ça ne se commande pas.

Allezou.

Modifié par Lion2
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Invité Lion2
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Invité Lion2
Invité Lion2 Invités 0 message
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Wow! une rareté, magnifique ! Je l'empreinte à ce Conteur...

:zen:

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Etrange Membre 2 065 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

@ au photographe du mois,

Recevez les palmes du subconscient, merci pour votre vision éclairée !

***

@ Miss Perlinpinpin,

Les petits noms joyeux qui agrémentent les vinaigrettes fantasmatiques de la gente masculine, ces petits noms charmants de p.te, et de sa..pe à la mesure du langage étriqué de l'homme esclave, esclave de ces propres hormones, projetées en injectives désordonnées aux reins des passantes...c'est de l'hypocrisie endimanchée. C'est un langage d'homo-recto-rictus. Le commerce des femmes par les hommes, c'est le bizness du touriste ou du colon. Existe-t-il une autre position...?

Attend, j'interroge Barbara...

"Ne rien donner éperdument mais tout donner avec ivresse"

"Rien que la tendresse pour toute richesse..."

"Perlinpinpin c'est qu'il vaut mieux rien avoir dépouillé de tout.."

Oui, ben c'est pas sûr que Barbara y comprenne elle-même quelque chose depuis le temps que l'on parle du dépouillement ? Le dépouillement, oui, mais lequel ?

Ya un truc qui cloche...

L'église, je veux bien y aller pour repeindre les bâtiments...Pour le reste, hein, ça ne se commande pas.

Allezou.

Merci Lion2

ET oui, ce que tu dis.

ça cloche de Pâques! en chocolat. Hi!

Pour le reste, je suis très d'accord avec toi, ça ne se commande pas.

MOi aussi, j'y vais zou, des trucs à faire, pour d'autres, pour moi, là oui, pour moi y a vraiment besoin que je fasse.

Bonne journée Lion2.

Bonne journée Leconteur.

Bah, si on ne me fait pas confiance, pas dramatique comme à Charlie Hebdo.

Ou ailleurs.

Mais je ne peux toujours pas sauver le Monde entier.Ni la France entière.

Impossible.

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Etrange Membre 2 065 messages
Baby Forumeur‚
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L'odinateur et la vie pour beaucoup dans ce Monde, c'est:

Droits Miranda

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. [/url] Pour les articles homonymes, voir Miranda.Les droits Miranda (Miranda rights) et l'avertissement Miranda (Miranda warning) sont des notions de la procédure pénale aux États-Unis dégagées par la Cour suprême des États-Unis en 1966 dans l’affaire Miranda v. Arizona.

Ces droits se manifestent par la prononciation d’un avertissement lors de l’arrestation d'un individu, lui signifiant notamment son droit à garder le silence et le droit de bénéficier d’un avocat. Le recours systématique à cet avertissement par la police et sa portée symbolique font que sa présence dans de nombreux films et téléfilms américains ont contribué à sa diffusion mondiale et à sa notoriété.

Dans les faits, 78 % des suspects décident de parler à la police.

Sommaire

[masquer]

L’affaire Miranda[modifier | modifier le code]

Les faits de l’affaire Miranda[modifier | modifier le code]

Ernesto Miranda naît en 1941 à Mesa (Arizona). D’un niveau scolaire d’école élémentaire, il sera fréquemment condamné et emprisonné.

En 1962, il se trouve à Phoenix (Arizona). Selon la police de cette ville, il aurait à plusieurs reprises enlevé, violé et volé plusieurs jeunes filles. En mars 1963, une des victimes croit reconnaître la voiture de son agresseur. Miranda est arrêté par la police. Au cours de l’interrogatoire, sans avoir été informé de ses droits ni être assisté d’un avocat, Ernesto Miranda avouera l’enlèvement et le viol. Lors du procès, le procureur utilisera ses aveux comme moyen de preuve contre lui et Miranda sera condamné pour enlèvement et viol. Son avocat, Alvin Moore, tentera de faire rejeter ses aveux. Il fera appel de la décision devant la Cour suprême de l'Arizona, mais celle-ci confirmera la décision en avril 1965.

Robert J. Cocoran, un ancien avocat de la partie civile, eut connaissance de l’affaire suite au procès devant la Cour suprême d’Arizona. Il savait que des aveux pouvaient facilement être obtenus de la part de suspects n’ayant pas un niveau d’éducation très élevé et ignorant le plus souvent leurs droits. En juin 1965, il fera appel à John J. Flynn, un avocat de la défense du cabinet Lewis and Roca à Phoenix. Celui-ci accepta de soutenir l’affaire avec l’aide de John P. Frank et de Peter D. Baird.

L'arrêt Miranda v. Arizona[modifier | modifier le code]

Article détaillé : Miranda v. Arizona.L’affaire sera plaidée devant la Cour suprême des États-Unis du 28 février au 1er mars 1966, la décision sera rendue le 13 juin de la même année.

La Cour va estimer qu’étant donné la nature coercitive de l’interrogatoire lors d’une garde à vue (le Chief Justice Earl Warren citera plusieurs manuels de police), les droits de la personne interrogée doivent être garantis.

Elle va se fonder sur deux amendements du Bill of Rights : le cinquième amendement qui dispose notamment que nul ne peut être forcé à témoigner contre lui-même (« No person [...] shall be compelled in any criminal case to be a witness against himself ») et le sixième amendement selon lequel l'accusé a droit à un avocat (« In all criminal prosecutions, the accused shall enjoy the right [...] to have the Assistance of Counsel for his defense. »).

C’est dans le but d’assurer la sauvegarde de ces droits constitutionnels que la Cour va déclarer que :

Ce qui peut être traduit par :

Ce sont ces éléments qui constituent les droits Miranda et qui vont être repris au travers de l’avertissement Miranda.

Ces droits n’ayant pas été respectés lors de l’interrogatoire d’Ernesto Miranda, la Cour va annuler ses aveux en tant que moyen de preuve.

Les conséquences de l’affaire Miranda[modifier | modifier le code]

Les droits Miranda[modifier | modifier le code]

La Cour rappelle sur le fondement des cinquième et sixième amendements des droits à valeur constitutionnelle :

Le droit de garder le silence, qui découle du droit à ne pas témoigner contre soi-même. Lorsque la personne interrogée invoque ce droit, il produit tous ses effets ainsi la Cour suprême précise d’ailleurs que si le droit à garder le silence est invoqué au cours de l’interrogatoire, celui-ci doit cesser (« If the individual indicates in any manner, at any time prior to or during questioning, that he wishes to remain silent, the interrogation must cease. »). Toutefois, si l’individu choisit de parler en connaissant ses droits, ce qu’il dit pourra parfaitement être retenu à charge contre lui.

Le droit de faire appel à un avocat. La Cour rappelle que compte tenu de ce droit à l’avocat, la personne arrêtée peut s’en prévaloir quelles que soient ses ressources financières. Il ne s’agit pas là d’un élément nouveau, mais en précisant cette prise en charge, la Cour veille à ce que cette personne ne puisse pas croire que ses ressources puissent l’empêcher d’exercer ce droit. Sur ce point également, si l’individu exprime le souhait d’exercer ce droit, la Cour en assure l’effectivité puisque l’interrogatoire doit cesser jusqu’à ce que l’avocat soit présent. Michigan c. Jackson (1986) rendait nul et non avenu tout aveu obtenu lors de l'interrogatoire en l'absence de l'avocat, si le prévenu avait requis une assistance judiciaire. Cependant, cet arrêt a été renversé par Montejo v. Louisiana (2009).

L’avertissement Miranda[modifier | modifier le code]

Le recours à un avertissement est la conséquence la plus marquante de l’arrêt rendu par la Cour. Lorsque l’avertissement est transmis à l’individu, on dit, selon l’expression consacrée, qu’on lui « lit ses droits », les anglophones américains ont même inventé le verbe to mirandize. Ces droits ne valent que lorsqu'il y a détention (custodial interrogation).

La forme de l’avertissement n’a pas strictement été définie par la Cour, seul son contenu est délimité par les droits qu’elle a énoncés. Il doit se faire de manière orale, et le témoignage du policier suffit aux tribunaux pour juger qu'il a été donné : il est donc difficile aux prévenus d'affirmer qu'on ne lui aurait pas lu ses droits

Ainsi la formulation peut varier selon les juridictions américaines, un exemple de formulation peut être :

Ce qui peut être traduit par :

Depuis la Cour a estimé que cet avertissement devait être fait de façon sérieuse, c’est-à-dire notamment compréhensible, le problème a été posé pour l’arrestation d’une personne ayant un mauvais niveau d’anglais, ou un faible niveau d’éducation. C’est la raison pour laquelle il est parfois requis que la personne acquiesce ses droits.

Ainsi, par exemple, en Californie, l’officier rajoute « Do you understand the rights I have just read to you ? With these rights in mind, do you wish to speak to me ? », ce qui peut être traduit par « Avez-vous compris les droits que je viens de vous lire ? En ayant ces droits à l’esprit, voulez-vous me parler ? »

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Invité soad-minouw
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Invité soad-minouw
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