Une page Facebook sur la mutilation.

Merci Samira, je viens de lire, y a de l'idée... :)

Après, attention, même chez un automutilateur, ça n'est pas forcément de l'automutilation. Il y a l'étape de la sublimation chez certains, à savoir: utiliser les cicatrices venant du mal-être pour les transformer en art, et en faire du beau. Et là, la notion de douleur est absente, l'important c'est de dépasser le passé.

Bref, les cas particuliers sont extrêmement nombreux.

et donc trop complexes :)

C'est pour ça qu'il ne faut jamais juger une pratique, mais toujours chercher à comprendre ce qu'il y a derrière. Car une pratique est une conséquence, et c'est la cause qui détermine exactement le fonctionnement de la conséquence.

Un même geste peut être totalement différent.

Nous sommes donc d'accord et c'est bien ce même message que l'on veut faire passer , " essayer de comprendre".