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Pacte avec le Diable


Logan-

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Logan- Membre+ 1 823 messages
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Petit écrit que j'avais produit il y a environ 1 an :) Bonne lecture!

;)

Pacte Avec Le Diable

Une journée merveilleuse s’annonçait… Il avait neigé, les gens dehors étaient heureux. Je pouvais apercevoir des enfants qui étaient en train de faire une bataille de boules de neige, d’autres qui faisaient du patin à glace sur le lac gelé… Tous étaient heureux. Le paysage était magnifique. Les arbres ne bougeaient pas, recouverts d’une épaisse couche de neige. Personnellement, je ne savais que faire… J’ai toujours été seul… Enfin, seul… J’avais tout avant : ma meilleure amie, Malicia, des amis en Or, une vie merveilleuse de lycéen… Enfin tout quoi. Mais depuis le 10 juillet 2012, date à laquelle j’avais appris la disparition de Malicia, tout a basculé. Je vis depuis toujours dans la ville de Brights Falls, une ville magnifique située sur la rive d’un lac et d’une forêt en Montagne. Malicia n’était pas la seule à avoir disparu. Une vingtaine de personnes avaient disparu en 50 ans. Le Sheriff n’avait trouvé aucunes pistes sur sa disparition, aucuns indices, pas de lettres d’adieu… rien. Un corps avait été retrouvé calciné non loin de Brights Falls dans la forêt. Le Shériff en avait déduit que le corps retrouvé était celui de Malicia, l’affaire avait ainsi été classée. Depuis ce jour bon nombre de personnes m’avaient oublié. Elles prenaient pour cause le fait que j’en étais responsable, que je la rendais malheureuse, déprimante… j’étais soi-disant le mal incarné pour cette fille, alors qu’en fait, j’étais tout pour elle, et elle tout pour moi. Je l’ai pleuré pendant de long mois. Je sais néanmoins que le jour de sa disparition, il s’était passé quelque chose… Mais quoi ? Aujourd’hui encore, la douleur est profonde. Je ne sais que faire de ma vie sans elle.

En cette journée enneigée, j’avais alors décidé d’aller me promener dans la forêt de Brights Falls, là où j’allais souvent me promener avec elle. J’adore cette odeur champêtre, ce bruit que font les arbres en parlant entre eux et ce paysage magnifique recouvert de cette étrange matière qui rend les gens heureux. Je marchais en suivant ce long chemin, face à moi, écoutant la nature parler, le chant des oiseaux encore présents dans la contrée, ceux qui migrent… Je marchais maintenant depuis plus d’une heure, en me posant plusieurs questions. J’étais fatigué… Pourquoi étais-je ici à marcher, seul ? Pourquoi n’avais-je pas confiance en moi ? Pourquoi n’avais-je confiance en personne ? Pourquoi certains se fichaient de moi ? Pourquoi certains m’ont oublié …? Malicia me manque tellement. Elle qui me donnait tout… Des questions sans réponses malheureusement… Ou alors, peut-être connaissais-je déjà les réponses… Mais sans vouloir les accepter. J’étais totalement perdu et hors de moi-même.

Un lampadaire se trouvait sur ma route, il émettait de la lumière, pourtant, il n’y avait pas d’ampoule : aucunes sources lumineuses n’étaient possibles. C’était tellement bizarre. Aussi, dès l’instant où je suis passé à côté de ce lampadaire, tout devînt calme, la nature ne bougeait plus, plus d’oiseaux dans le ciel, plus aucuns sons. Il n’y avait que moi et moi seul. C’était comme si le monde avait cessé d’exister. Le calme avant la tempête sûrement. Le réverbère s’était éteint. Une nuit obscure fit son apparition, la température chuta sur le champ, j’avais froid. Puis il y eût ce brouillard épais qui s’était levé. Il était si épais que je ne pouvais plus rien voir, il m’étouffait. La neige recommença à tomber : un vrai blizzard. Je sentis la température chuter (Je gelais sur-place). Je continuais désespérément de marcher dans ce froid glacial, ne voyant toujours rien, j’étais fatigué, surtout fatigué de toutes ces questions sans réponses, fatigué de marcher… La vie m'abat… Je me disais que c’était la fin. Mais j’avais cette sensation étrange… Depuis que j’avais passé ce lampadaire. Je me sentais épié, quelqu’un ou quelque chose me regardait. Je sentis d’un coup un vif courant d’air glacial, mais autre chose que le vent. Quelque chose me caressait le cou ! De même, je sentais de l’air non loin de mon oreille. Une sensation étrange traversait mon corps de long en large : une sensation connue que je ne saurais guère décrire, mais déjà vécue. Mais pourtant j’étais seul. La peur me saisissait de nouveau et je commençais à paniquer. J’avais beau me retourner sans cesse, regarder autour de moi, mais impossible de voir quoi que ce soit avec ce brouillard qui rôdait à mes côtés. Plus troublant encore, il y avait cette voix, douce, agréable et féminine que j’entendis. Je connaissais cette voix ! Je l’avais déjà entendue plusieurs fois. Mais il m’était impossible de me souvenir de qui elle pouvait provenir, si proche soit-elle. On sentait tout de même une lueur froide au fond de ces douces mélodies… qui étaient si magnifiques. Serait-ce seulement ma tête qui me jouait des tours ? Tout ce que je sais, c’est que cette voix me hantait de plus en plus… Elle n’arrêtait pas de répéter « N’avance pas plus loin mon Ange ! ».Mais je niais cette voix et avançais toujours. Le brouillard tomba, mais la nuit était toujours aussi obscure, le temps quant à lui s’était arrêté (ma montre affichait 00h00min01s). J’avais toujours aussi froid et la fatigue me gagnait de plus en plus. J’avais peur, je me sentais perdu, plus que d’habitude encore ! Je sentais bien que je n’étais pas seul, mais cela paraissait si fou. Il y avait quelque chose qui me traquait, je le savais, et ce depuis que je suis arrivé dans cette forêt. Mais quoi ??! Paniqué, j’ai courus vers l’avant, j’ai fuis aussi vite que j’ai pu. Je n’avais jamais couru aussi vite de ma vie. Je ne comprenais pas du tout ce qui se passait…

Un peu plus loin, je me suis retrouvé face à un autre luminaire, sur mon chemin, où j’ai pu y trouver une plaque avec le message : « Ce chemin mène aux vérités. Vous ne pourrez guère faire demi-tour ». Pas d’encre, mais du sang ! De qui ? Qu’est-ce que je faisais là… ? Pourquoi ce message ?? Il y avait ce symbole, rouge, écrit avec du sang, qui me donnait d’affreuses migraines. Un cercle sur lequel je pouvais y distinguer trois petits cercles au niveau du centre, des symboles dont un œil et la balance de la justice ainsi que divers segments dans un langage qui m’était totalement inconnu. Au pied de ce lampadaire, il y avait un petit sac rouge posé sur le sol, avec une étoile bleue dessus. Un sac de fille sûrement, mais ce sac ne m’était guère inconnu. Il y avait également une écharpe bordeaux, aspergée de parfum fruité. J’ai regardé ce qu’il y avait dans ce sac et j’ai pu y trouver une lampe torche, un médaillon en forme de cœur rouge et une photo de moi. Mais ce qui m’a troublé, c’est qu’il n’y avait qu’une moitié du cœur. Je me souvenais de ce médaillon ! Je l’avais offert à une personne qui m’était très chère. En réunissant les deux morceaux, on obtenait la phrase « Toi + Moi = For Ever » gravé avec de l’or pur. ..

Malicia ! Que faisait son médaillon ici ? Quand allais-je sortir d’ici ? Que t’est-il arrivé ? Toi qui me rendais si heureux… confiant… sûr de moi-même… Cette voix me revenait de nouveau, mais elle n’était plus aussi douce que tout à l’heure : « Mon Ange je t’en prie ! Écoute-moi ! Ne vas pas plus loin ! Il est encore temps !» Toujours une voix inquiétante… C’était clair, elle ne voulait pas que je continue. Mais au fond, elle me poussait à avancer ! Cette sensation si étrange… indescriptible… de vouloir savoir… Cette voix était-elle celle de Malicia ? J’aurais tout fait pour la revoir…. J’en aurais même vendu mon âme si cela était nécessaire. Je m’agenouillai s sur le sol, les larmes aux yeux, désespéré. Au même moment, je sentis un autre courant d’air vif passer derrière moi. Plus de doutes, je n’étais plus seul. « Malicia ?! Est-ce que c’est toi ? ». Cette agitation disparue. Mais j’étais tellement obsédé par ces « vérités » que j’avais passé mon chemin malgré sa voix.

A peine avais-je passé le lampadaire qu’il s’était éteint, comme le précédent. Qu’est-ce que cela signifiait ? Une mauvaise décision ? Je fis un pas, puis deux… Et la terre s’était mise soudainement à trembler pendant quelques secondes. J’ai regardé derrière moi… Je ne voyais plus le chemin, mais juste un énorme ravin sans fond.

Il m’était impossible de faire demi-tour, j’étais coupé du monde. Est-ce un cauchemar ? Quand est-ce que je me réveil alors ?! Ce cauchemar devait cesser. N’ayant plus le choix, je continuai donc de marcher. La neige avait disparu, seul la brume apparaissait. La torche allumée, j’avançais dans le clair-obscur jusqu’à me trouver face à une porte. Une porte banale, l’aspect métallique, rouillée, où je pus y apercevoir un grand verrou ainsi que le même symbole qu’il y avait sur le lampadaire qui me donnait de nouveau des migraines. Un panneau « Exit », taché de sang y était placardé. J’avais derechef une grande inquiétude, mais je n’avais plus le choix : avancer était l’unique solution. Avant que je ne saisisse la poignée dans ma main, je pus entendre de nouveau la voix : « Je t’en prie, je n’en vaux pas la peine ! ». Je ne comprenais rien… Comment cela elle n’en valait pas la peine ? Devais-je continuer ? Que devais-je faire ? J’étais perdu. Par curiosité, et aussi parce que c’était le seul chemin que je puisse emprunter, j’ouvris la porte.

Je pus y voir un long escalier en bois, m’emmenant dans les profondeurs. Tout était obscur, je n’y voyais rien… La lampe ne m’éclairait que peu. Plus je descendais, plus j’entendais des bruits bizarres, comme quelque chose taper contre de la ferraille. La terreur hantait de plus en plus mon esprit. Je pouvais y entendre des cris... des cris de femmes… ! Il faisait de plus en plus chaud. Lorsque je regardais vers les profondeurs, je pouvais y voir une lumière jaune orange qui s'accroissait au fur et à mesure de ma descendante, qui me donnait mal à la tête. Où étais-je ? Je me trouvais dans un environnement au corps métallique. L’escalier était lui-même devenu en acier. Je marchais sur des plaques en forme de grilles à peine solides. J’angoisse… Mais je n’ai plus le choix. Il y avait des instruments médicaux un peu partout. J’arrivais à distinguer un lit d’hôpital sur ma droite. Une femme était couchée dessus, sanglée de part en part. Un homme, avec une tête en forme de pyramide, l’aspergeait d’une substance qui paraissait être de l’acide… Elle criait, elle hurlait même ! Tout résonnait dans ma tête : les cris, les pleurs… tout cela me rendais fou. Toujours en descendant, j’aperçus sur ma gauche plusieurs squelettes, des corps enchaînés et pendus (il n’y avait pourtant pas de plafond… Tout un système de machinerie était en place… des engrenages tournant dans le vide… les flammes… « la lave »… Un vrai enfer…). Que faisais-je ici ? Pourquoi n'arrivais-je pas à faire demi-tour ? Pourquoi cette volonté d'avancer dans une plus grande curiosité ? Je cherchais à faire rebrousser chemin, mais il m’en n’était impossible. L’escalier disparaissait au fur et à mesure que j’avançais. J’étais prisonnier de ce lieu lugubre. Je me suis assis, paniqué, regardais et re-regardais sans cesse autour de moi. La tempête me guettait de l’intérieur… Je ne savais que faire. Ma seule conviction qui me poussait à avancer : que faisait Malicia dans tout cela ? Pourquoi elle ? Au bout de tant d’années… Quelle Vérité ? Qu’est-ce que je devais savoir ? Je n’avais plus qu’à avancer… tel était mon destin après tout.

Un bruit sourd retentit trois fois. On aurait dit une sorte de signal, comme si quelqu’un tapait contre le sol avec… quelque chose de gros… Je ne savais pas quoi. Il n’y avait plus de bruit, plus de cris, de pleurs… Le néant. Le décor s’est mis à se changer. Tout se modifiait autour de moi ! Le décor s’évaporait en morceaux ! Un long couloir s’était formé devant moi ! Que se passait-t-il ?! J’entendais de nouveau cette voix qui fût à peine audible, j’étais presque sûr que c’était celle de Malicia ! « Tu n’aurais jamais dû venir icii ! Il y a parfois des choses que tu ne dois pas savoir ! Tu n’aurais pas dû gâcher ta vie pour moi ! Il n’est pas trop tard ! Tu devras choisir !». J'étais terrorisé et horrifié, je courais encore et toujours ! Je sentais que quelque chose me pourchassait sans relâche ! Mais ça n’était pas la même chose qui me talonner dans les bois, je le sentais […]

Je m’arrêtais au bout de quelques minutes, épuisé. Je vis une grande porte devant moi. Le cadre de la porte n’était formé que de lave, tachée de sang, rouillée. Je me dirigeais vers cette porte qui me paraissait mystérieuse… Quelque chose m’appelait derrière cette porte. Mais il y eût ce bruit avant que je n’empoigne l’anneau. Ce frottement, métal contre métal. Le bruit devenait de plus en plus audible. J'hésitais : devais-je tourner la tête pour voir qui se cachait derrière moi ? Ou ouvrir et partir ? Pris d'une curiosité affolante, je tournai la tête. Je pouvais apercevoir une forme triangulaire assez haute. Mon cœur a éclaté d’un coup, la douleur était intense ! Les migraines étaient de retour ! C’était l’homme à la tête pyramidale. Il traînait avec lui et avec beaucoup de mal, une longue épée. Par affolement, je pris la fuite en passant la porte.

La pièce adjacente était vide. Seuls des hommes, des femmes… des enfants même étaient « encastrés » dans les murs. Les murs étaient flasques, mous… Les personnes prisonnières essayaient de se libérer de ce mur. Des cris, des pleurs, de la peur se ressentaient en cette pièce sinistre, sombre. Il n’y avait rien autour mise à part toutes ces personnes. Il n’y avait qu’un trou sans fond au niveau du sol. Même s’il y avait une grande menace derrière la porte, j’avais tenté de revenir en arrière mais, il n’y avait pas de poignée. Impossible de faire demi-tour. Seul ce trou était mon issue de secours… Mais où allait-il ? Menait-il quelque-part pour commencer ? Qu’allais-je y trouver une fois au fond ? Plus le choix, il fallait sauter…

Je ne sais pas ce qui s’est passé une fois dans ce trou. Tout ce que je sais, c’est que je me suis réveillé non loin d’une grande porte. Rien de cassé, aucune douleur, pas de blessures… Tout juste impossible après avoir fait un tel saut… En face de moi, je vis une porte, très grande, où le même symbole que le lampadaire était visible.

La porte menait dans une grande salle. Je vis des flammes tout autour de moi, des cris, toujours des pleurs, des corps brûlés… Retour en enfer. L’autel se trouvant au milieu de la pièce m’interpella. Une jeune femme y était couchée, enchaînée. Elle était fabuleuse, cheveux bruns mi- longs, magnifique visage, des yeux bleus où l’on pouvait voir les flammes s’y réfléchir. Elle criait et essayait de se libérer. : Grincements de ferraille : C’était Malicia ! J’avais reconnu le médaillon qu’elle portait à son cou, elle avait l’autre moitié du cœur. :Grincements de ferraille: Je courus vers elle ! Impossible de la détacher ! Elle criait « Va-t’en ! Laisse-moi ! Je suis finie icii ! » . L’homme à la tête de pyramide se trouvait derrière moi. Elle essayait toujours de se débattre. Il se tenait là, devant moi, droit, son épée à la main. Il me regardait. Cette coque de Pyramide m’empêchait de voir ses yeux. Il souriait narquoisement.

- Qui êtes-vous et que voulez-vous ?! Que fait Malicia ici !?

- Je suis ton Destin, m’a-t-il répondu avec une voix terrifiante, lui-même était déjà terrifiant. Il y a des choses qui font parfois très mal, certaines Vérités entre-autre.

- Et que dois-je savoir au juste ?! Pourquoi retenez-vous Malicia icii ??

- Tu dois savoir ce que tu sais déjà au fond de toi.

Je ne répondis rien

- Tu ne te souviens pas apparemment… Oublier le mal que l’on fait pour se soulager… Telle a toujours été ta solution. Erreur… Laisse-moi te rafraîchir la mémoire. Le jour où ta belle a été enlevée… Tu étais dans la forêt avec elle, là, devant elle, avec cette arme dans la main. Tu as détruit ce que tu aimais !

- Jamais je n’aurais fait cela ! je l’aime trop pour commettre ce crime !

- Et pourtant… L’amour rend aveugle ne l’oublie pas ! Tu l’as tué pour soulager ton âme ! Égoïste tu as été !

Cela me revenait… Je me revois… dans la forêt… avec cette arme en main… Qu’est ce qui m’avait poussé à commettre un tel acte ? Mon dieu j’aimerais tant que tu me pardonnes Malicia ! « Sache que je t’aime mon ange, m’avait-elle dit, tu le sais déjà… Mon destin était de mourir à tes côtés, ce fut fait. Mais je n’en vaux pas la peine ! Vis ta vie ! Et oubli moi ! » L’homme rétorqua :

- N’oublie pas que je suis ton destin. Mais tu as une chance de te rattraper. Dans la vie, il faut faire des choix. Celui-ci sera sans nul doute le plus important de ta vie. Ta solution n’a guère fonctionné. Ma solution est néanmoins sûre de marcher. Mais il faut choisir. Laisser ta belle en enfer, la laisser payer de tes actes et te laisser vivre dans le désarroi. Donner ta vie à cette belle afin de pardonner tes actes, et ainsi rembourser ta dette. !

- Ne fais rien ! répondit-elle, Mes meilleurs moments furent ceux passés à tes côtés. Jamais je ne les oublierais ! Ne fais pas cette erreur de me laisser vivre ! Je t’ai fait du mal ! C’est à moi de payer…

- Mais il faut choisir… reprit-il

Deux chemins s’ouvrirent. Un éclairé bleu, présentant des arceaux électriques avec deux poignées, un autre éclairé rouge, avec un escalier qui semblait remonter en surface.

- Je t’aime Malicia ! Mais devoir vivre en sachant que tu as tant souffert à cause de moi… je ne peux l’accepter… Je ne mérite la vie ! Tu mérites l'existence ! Celle dont tu as toujours rêvé ! Je l’ai dit une fois : je serais prêt à donner mon âme pour ton bonheur… je veillerais sur toi pour l’éternité mon ange !

Je me dirigeai doucement vers ce chemin éclairé d’une vive lumière bleue… Elle pleurait, criait « Je t’en prie non !! Fait le pour moi ! ». J’avais saisi l’une des poignées… Je sentis quelque chose traverser mon corps. En la regardant, ses chaînes disparaissant, je saisissais la deuxième poignée… Mon corps se mis à brûler. Mon âme se déchirait !... Mais c’était ma décision… Je lui ai donné ma vie…

Aujourd’hui, je veille continuellement sur elle, mais ce n’est plus la Malicia que j’avais connu… triste, désespérée, angoissée… Elle vit pour moi… Mais j’ai l’impression de ne pas avoir été à la hauteur… j’ai échoué. Avais-je pris la bonne décision ? L’amour est un état d’âme qui nous pousse à faire tant de chose… mais aveugle nous rend-il aussi… Je t’aime Malicia et ce pour l'éternité !

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Membre, 37ans Posté(e)
Ozmaestro Membre 413 messages
Baby Forumeur‚ 37ans‚
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C'est un plagiat de Silent Hill 2, non ? :smile2:

J'ai compris à partir de Pyramid Head, du coup c'est dommage tous les joueurs du second opus comprendront la fin avant de l'avoir lu...:dev:

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Membre+, ~ \o/ ~, 29ans Posté(e)
Logan- Membre+ 1 823 messages
29ans‚ ~ \o/ ~,
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non mais chut quoi xD Le chieur... inspiré quoi xD j'étais à fond dans cette saga à ce moment là :D

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