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January

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
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bonjour

un cas étrange de disparition en 1915 , c'est produit dans les Dardanelles pendant la bataille .

22 soldats néo-zélandais d'une compagnie virent le bataillon royal Norfolk fort de 267 soldats se porter au secours du corps d'armée ANZAC qui attaquait la cote 60 et qui était en difficulté .

les 267 hommes de ce bataillon entrèrent dans une espèce de nuage étrange qui renvoyait les rayons du soleil , d'après les témoins .

quand le dernier soldat eu disparut dans le nuage et à la vue des témoins ,celui-ci s'éleva doucement et s'en alla .

aucun des soldats du royal Norfolk bataillon ne fut jamais retrouvé .

après la guerre , il fut demandé aux turcs s'ils les avaient tués ou fait prisonniers .ils affirmèrent qu'ils n'avaient jamais vus ces soldats .

cette histoire n'est pas de la science fiction , elle reste un mystère et de nombreuses hypothèses ont étés donnés par la suite sans résultat convainquant .

bonne soirée

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
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bonjour

je m'attendais à une réaction de ce genre . ce fait est connus par les historiens .je te propose de te renseigner sur wilkipedia , par exemple .

ce qui c'est passé , n'à rien à voir avec le crash de Roswell .

bonne soirée

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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
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Justement, d'après les historiens c'est un récit inventé de toutes pièces 50 ans plus tard. De nombreux cadavres de ce bataillon ont été retrouvés en 1919.

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 041 messages
108ans‚ ©,
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Il n'y a pas "d'étrange nuage". Ce phénomène de brume était connu et courant dans la région. Et comme le dit Ocytocine, la majorité des cadavres ont bien été retrouvés.

Beaucoup d'accrocs du mystère relateront des choses "paranormales" toutes aussi (à première vue) inexplicables les unes que les autres. Comme ce monstrueux "chien de l'enfer", qui, surgi des profondeurs venait achever la nuit tombée les soldats blessés sur le champ de bataille et les emporter dans les entrailles de la terre ? ;)

Modifié par January
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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Justement, d'après les historiens c'est un récit inventé de toutes pièces 50 ans plus tard. De nombreux cadavres de ce bataillon ont été retrouvés en 1919.

bonjour

je ne savais pas que des cadavres de ces soldats ont étés retrouvé ? tu à peut-être raison .

bonne journée

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  • 2 semaines après...
Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 041 messages
108ans‚ ©,
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Bonjour tout le monde :)

Quelqu'un a-t-il des pistes de recherche, une méthodologie qui aiderait, pour trouver des informations sur les soldats incorporés dans les "Groupes spéciaux" ?

Les "groupes spéciaux" de réservistes des corps d'armée : ils sont au nombres de 21 (autant que de régions militaires). Ils sont composés d'anciens "joyeux" privés du certificat de bonne conduite rappelés sous les drapeaux en 14 lors de la mobilisation générale, ou de sujets ayant accompli leurs obligations dans toutes les unités de l'armée mais qui, postérieurement à leur libération, ont été condamnés en correctionnelle ou même aux assises, pour ceux qu'on nomme les "exclus".

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Membre+, 52ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 52ans‚
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Je ne sais pas, mais moi je contacterais le Centre de Documentation de l'école militaire (CDEM) à Paris pour avoir le renseignement. Il y a un accueil au public, je pense que leurs documentalistes doivent pouvoir t'aider.

https://m.facebook.com/pages/CDEM-Centre-de-documentation-de-lEcole-militaire/365402033534956?_rdr

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
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Bonjour tout le monde :)

Quelqu'un a-t-il des pistes de recherche, une méthodologie qui aiderait, pour trouver des informations sur les soldats incorporés dans les "Groupes spéciaux" ?

Les "groupes spéciaux" de réservistes des corps d'armée : ils sont au nombres de 21 (autant que de régions militaires). Ils sont composés d'anciens "joyeux" privés du certificat de bonne conduite rappelés sous les drapeaux en 14 lors de la mobilisation générale, ou de sujets ayant accompli leurs obligations dans toutes les unités de l'armée mais qui, postérieurement à leur libération, ont été condamnés en correctionnelle ou même aux assises, pour ceux qu'on nomme les "exclus".

bonjour

il est assez difficile d'avoir des précisions sur ces groupes spéciaux pendant la guerre de 1914 .

les hommes faisant partis des groupes spéciaux n'avait pas le droit et l'honneur de combattre avec les troupes régulières .

sauf s'ils avaient donnés des preuves certaines d'amendements .ils n'avaient pas le droits aux permissions . leurs officiers étaient choisi parmi les plus sévère .

ils semble qu'ils furent , principalement " les nettoyeurs de tranchées " pendant la guerre de 1914 .cela consistait à tuer aux couteau ou avec des armes , les quelques soldats ennemis rescapés d'une attaque , pour faire la place aux troupes régulière avant qu'elles n'arrive et occupent la tranchée sans risque et sans combat .

ces groupes spéciaux me font penser aux bat' d'af en afrique du nord c'est à dire les bataillons disciplinaires pour les fortes tètes et les délinquants .

bonne journée

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 041 messages
108ans‚ ©,
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Les bat'd'af (BILA) n'étaient pas officiellement des bataillons disciplinaires (si je m'en réfère à D. Kalifa, qui me semble faire autorité dans le disciplinaire colonial) en revanche il existait des "compagnies disciplinaires" officielles. Et "Biribi" (les bagnes coloniaux de l'armée française), bien sûr. En revanche d'après toujours le même auteur, il semble que les BILA ait fourni une "clientèle" importante à Biribi. En tout cas en 1914, il semblerait ma parole que le soldat parte au front en acceptant de mourir, en revanche, Biribi, il en a une trouille bleue.

Modifié par January
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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 041 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Dans ma "tournée" habituelle des articles qui peuvent alimenter ce sujet, j'ai trouvé ceci :

Les prévenus des conseils de guerre : "Mauvais soldats", ou "combattants ordinaires" ?

La justice militaire représente un objet sensible, en tout cas singulier, de l'histoire de la première guerre mondiale. Liée à la question du contrôle social, de la contrainte, de la violence d'Etat et de la violence institutionnelle, elle est chargée d'affects et d'émotions relayés jusqu'à nos jours par le cinéma et la littérature.

Depuis une décennie environ, la plupart des essais d'historiens l'abordent essentiellement par le biais d'une seule question : la peine de mort. Si par ailleurs, le mutin de 1917 objet d'une attention plus soutenue, a bénéficié de recherches récentes, le prévenu de la Grande Guerre, c'est à dire la population des soldats jugés devant un tribunal militaire entre 1914 et 1918 demeure très largement inconnue, la première figure tendant souvent à effacer la seconde. C'est cette dernière, la figure du prévenu entre 1914 et 1918 qui est abordée ici :

http://centenaire.org/fr/societe/les-prevenus-des-conseils-de-guerre-mauvais-soldats-ou-combattants-ordinaires

Bonne lecture :)

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
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bonsoir

merci .met sur Google : les bat'd'af et dans la liste des articles lire le témoignage d'un soldats qui y à été incorporé trois ans .

bonne soiré

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 041 messages
108ans‚ ©,
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Bonjour le merle,

Si tu veux aller plus loin, Serge Douceret a publié, "les morsures de l'ouarkziz", je l'ai lu. Sinon, il y a le livre de Kalifa, et celui de Pierre Dufour aussi.

Avec le centenaire, des archives sortent, des images, des livres, mais "étrangement" ces bataillons sont les grands oubliés des auteurs...

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
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bonjour

je te remercie mais , cela fait plusieurs années que j'ai arrèté de lire définitivement .cela ne me passionne plus .

il est vrai que ces bataillons particuliers ont été " oublié " par l'histoire mais ,la réputation de ceux qui les composait n'était pas assez correcte pour les bien pensants , malgré qu'ils se sont bien comporter dans plusieurs campagnes militaires .

bonne soirée

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Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 041 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Les marraines de guerre

C’est Esther Lemaire-Crémieux, qui, visitant fin 1914 l’hôpital de la Charité à Lyon, va être à l’origine de cette organisation. Esther Lemaire-Crémieux est la présidente de l’Union des familles françaises et alliées, et, peinée par le cas d’un jeune soldat sans famille, elle a l’idée de mettre en relation « des êtres qui souffrent sans se connaître et qui pourraient sans doute trouver dans un rapprochement une atténuation à leurmalheur ».

Elle crée alors « Frères et Sœurs de guerre » et en informe tous les journaux. Tous publient le « communiqué de presse ». Les retombées sont bien plus importantes qu’elles n’avaient été imaginées, puisque jusqu’à 2000 lettres par jour arrivent chez un quotidien, autant de missives de marraines que de filleuls.

Les candidats et candidates sont de tous milieux et de toutes régions, et Esther Lemaire Crémieux va s’efforcer de mettre en contact ces personnes, en tenant compte au mieux des cultures et des éducations. Du « collectif » de jeunes filles sans revenus, se groupant pour adopter un filleul et l’aider ensemble, jusqu’à une grand-mère de quatre-vingts ans, il y aura quelques marraines « inattendues ».

Beaucoup de marraines sont des femmes aisées, qui ne tombent pas dans le sentimental mais comblent leurs filleuls, femme et enfants compris.

Bien sûr, quelques dérapages il y aura avec des « professionnelles » qui tenteront de se servir de l’organisation.

Mais en 1915, le mouvement est si bien lancé que naît « La famille du soldat », fondée à Angers, par Jules cambon et le baron Beyens, et dirigée par Marguerite de Lens. Bien d’autres associations verront le jour, « Monsoldat », « l’Echo de Paris », ou même « les amis du soldat russe »…

Lorsque l’armée réquisitionnera des vélos chez Manufrance, un mot sera glissé dans chaque sacoche : « Voulez-vous que je sois votre marraine de guerre ? »

Elles sont couturières, infirmières des âmes, pâtissières, parfois écolières, les marraines de guerre deviennent bientôt très recherchées et elles sont nombreuses à postuler à cette mission salutaire. Parfois jeune fille non encore fiancée officiellement connue depuis longtemps, jeune femme rencontrée lors d’une permission, jeune cœur à prendre ou femme à la recherche d’un héros à soutenir, il y a pourtant bientôt plus de soldats que de marraines (retenue et éducation l’emporte sur altruisme ou patriotisme, même si certaines marraines ont plusieurs filleuls).

Sur le front, cela suscite des « jalousies » au point que certains soldats « sans marraine » n’hésiteront plus : ils passeront une annonce.

Les journaux publient. La première opération menée par le journal Fantasio devra néanmoins s’arrêter six mois plus tard, le journal est totalement submergé de demandes militaires. Mais d’autres journaux prendront le relais, et on verra fleurir un genre d’annonce qui dépasse largement l’objectif initial, de soutien moral on s’achemine au flirt épistolaire.

Si certains soldats recherchent une relation sincère dans le long terme, bien sûr il en existera certains qui chercheront à profiter de la situation.

Alors apparaissent des groupes contestataires, prônant la vertu, qui vont jusqu’à parler de proxénétisme. Les chansonniers depuis longtemps se moquent de « vieilles filles profiteuses ».

N’empêche, même s’il y en a qui verront carrément des espionnes dans les marraines de guerre, beaucoup de ces échanges vont aboutir à de belles romances, même à des mariages après guerre.

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IT-Daniel Membre 7 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Pour se faire une idée non simplement de la guerre mais de tout le contexte et l'état d'esprit de l'époque, je recommande la lecture du tome 1 de "la chute des géants" de Ken Follett, c'est un roman certes mais qui s'appuie sur un gros travail d'historien et permet de comprendre un peu mieux ce qu'était le monde a l'époque, a prendre bien sur comme un ouvrage initiatique au sujet

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heurk93 Membre 522 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Moi, au contraire, j'ai étudié le phénomène de brutalisation en fac d'histoire avec Stéphane Audoin-Rouzeau, phénomène qui a contribué à l'étonnante implication dans ce massacre.

http://www.crid1418.org/espace_scientifique/textes/culture_de_guerre.htm

egalement, le concept de mosse est interessant meme si la filiation qu il met en lumiere avec le fascisme me semble un peu moins pertinente.

j ai devoré le "14/18 retrouver la guerre" d audouin rouzeau et de becker, surtout le chapitre "la violence" avec les temoignages de cendras et leger....

Un forum fourni sur 14/18: http://pages14-18.mesdiscussions.net/

Modifié par heurk93
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heurk93 Membre 522 messages
Baby Forumeur‚
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http://fr.wikipedia.org/wiki/Code_talker

"Adolf Hitler était au courant de l'utilisation fructueuse des code talkers pendant la Première Guerre mondiale. Il envoya une équipe d'une trentaine d'anthropologues pour apprendre les langues amérindiennes avant le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Mais il s'est avéré trop difficile pour eux d'apprendre les nombreuses langues et dialectes existant."

Méfions nous si un jour une dizaine de membres du parti communiste chinois débarque pour apprendre le basque ou le breton :smile2:

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