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Et si le suicide était commercialisé ?

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

Ah mais voilà, faites vous plaisir... débridez votre émotivité à fleur de peau... Vous vivez dans l'affect, vous souffrez par l'affecte et forcément c'est ma faute parce que je représente pour vous une alternative raisonnable à la souffrance. Sauf que je ne suis que ça pour vous: une représentation... Du coup c'est quoi ce lynchage? Jalousie? Projections inconsciente? Aurez vous seulement le courage de retourner vos analyses contre vous même?

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Tu ne présentes pas d'alternatives raisonnable à la souffrance. Tu présentes la déshumanisation complète, la destruction du libre-arbitre et de l'individualité. Ce lynchage, c'est celui de l'homme contre la machine, celui de l'émotion qui dit "ta gueule", parce que peut-être que l'émotion fait mal, mais elle fait quelque chose, elle existe, alors que ton "alternative" ne fait rien, et elle tue sans affect, laissant juste des zombies fonctionnels et animés dans son sillage.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Et du coup tu te sens mieux en réduisant l'homme à une machine ?

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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 55ans Posté(e)
pascalin Membre 15 340 messages
55ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
Posté(e)

Ah mais voilà, faites vous plaisir... débridez votre émotivité à fleur de peau... Vous vivez dans l'affect, vous souffrez par l'affecte et forcément c'est ma faute parce que je représente pour vous une alternative raisonnable à la souffrance. Sauf que je ne suis que ça pour vous: une représentation... Du coup c'est quoi ce lynchage? Jalousie? Projections inconsciente? Aurez vous seulement le courage de retourner vos analyses contre vous même?

N'importe quoi ,c'est toi qui ne supporte pas la réalité , parles donc de ta vision de "forcément après la pluie vient le beau temps" et du monde de bisounours que tu t'es construit

Aurez vous seulement le courage de retourner vos analyses contre vous même?

Je te retourne la question

Modifié par pascalin
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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

Moi ça ne me pose aucun problème de vivre dans un corps mécanique... je peux me casser un os ou je peux péter une durite et faire un AVC. Je vis dans un corps que j'entretiens, mon cerveau me fait comprendre qu'il manque de protéine et me fait croire que j'ai envie de manger une cote de boeuf, et parfois il me fait comprendre que ce serait pas mal d'avoir une salade grecque...

Donc oui, j'ai retourné le truc dans tous le sens et au lieu de rejeter ce que je suis, j'ai accepté d'être. En plus K. m'a expliqué que ma pensée est le fruit de mon expérience et qu'il me faut me connaitre pour penser plus juste.

Le monde n'est pas forcément plus beau pour moi, j'ai assisté à des trucs bien dégueulasse comme ma grand mère qui s'excuse de tousser du sang avant de mourir, ou mon père qui claque la porte en me hurlant qu'il n'a plus envie de me voir... C'est juste que si je me laisse aller à l'affect, je donne de la valeur aux choses, de la même manière que vous me donner assez de valeur pour perdre votre temps à me gueuler dessus, parce que je représente des choses que vous détestez. (je n'ai pas dis je suis, mais je représente, la nuance peut être intéressante).

D'autres questions?

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Bien ce que je pensais. Comme souvent, ceux qui apprennent que l'affect créé la douleur, prennent le parti de fuir la douleur en supprimant l'affect. Logique, dans ce cas, que tu te sentes bien dans un monde où tu n'es plus que mécanique. Tu as supprimé tout ce qui fait de toi autre chose qu'une machine, et tu aimerais que ce soit pareil pour les autres. Aucune acceptation ici, simplement un refoulement.

Tu n'as pas accepté d'être, tu as simplement refoulé l'être, pour qu'il ne reste qu'un système mathématique et rationnel.

Malheureusement, ça n'a rien d'une position tenable, c'est simplement une erreur de lecture. Qu'on fait facilement, qui plus est.

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Membre, le corps sur Terre, l'esprit ailleurs , 55ans Posté(e)
pascalin Membre 15 340 messages
55ans‚ le corps sur Terre, l'esprit ailleurs ,
Posté(e)

Moi ça ne me pose aucun problème de vivre dans un corps mécanique... je peux me casser un os ou je peux péter une durite et faire un AVC. Je vis dans un corps que j'entretiens, mon cerveau me fait comprendre qu'il manque de protéine et me fait croire que j'ai envie de manger une cote de boeuf, et parfois il me fait comprendre que ce serait pas mal d'avoir une salade grecque...

Donc oui, j'ai retourné le truc dans tous le sens et au lieu de rejeter ce que je suis, j'ai accepté d'être. En plus K. m'a expliqué que ma pensée est le fruit de mon expérience et qu'il me faut me connaitre pour penser plus juste.

Le monde n'est pas forcément plus beau pour moi, j'ai assisté à des trucs bien dégueulasse comme ma grand mère qui s'excuse de tousser du sang avant de mourir, ou mon père qui claque la porte en me hurlant qu'il n'a plus envie de me voir... C'est juste que si je me laisse aller à l'affect, je donne de la valeur aux choses, de la même manière que vous me donner assez de valeur pour perdre votre temps à me gueuler dessus, parce que je représente des choses que vous détestez. (je n'ai pas dis je suis, mais je représente, la nuance peut être intéressante).

D'autres questions?

Hum je sens une réticence , une carapace ?

mais bon , t'inquiètes , on est humain , on est pas des robots :cool:

Mais quid des questions (pluie /beau temps) ?

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

Hum je sens une réticence , une carapace ?

mais bon , t'inquiètes , on est humain , on est pas des robots :cool:

Mais quid des questions (pluie /beau temps) ?

J'ai une soupapes de sécurité parce que je suis aussi un humain qui parfois besoin de faire hurler les watts...

Bien ce que je pensais. Comme souvent, ceux qui apprennent que l'affect créé la douleur, prennent le parti de fuir la douleur en supprimant l'affect. Logique, dans ce cas, que tu te sentes bien dans un monde où tu n'es plus que mécanique. Tu as supprimé tout ce qui fait de toi autre chose qu'une machine, et tu aimerais que ce soit pareil pour les autres. Aucune acceptation ici, simplement un refoulement.

Tu n'as pas accepté d'être, tu as simplement refoulé l'être, pour qu'il ne reste qu'un système mathématique et rationnel.

Malheureusement, ça n'a rien d'une position tenable, c'est simplement une erreur de lecture. Qu'on fait facilement, qui plus est.

Ce n'est pas une fuite mais une décision de vivre une meilleure vie en étant tour à tour bouddhiste, fan de Démocrite et stoïcien. Mais comme je le disais j'ai aussi mon Mister Hyde (monsieur caché), un monstre que je dois nourrir régulièrement pour éviter que ce soit lui qui décide de prendre les commandes.

Il n'y a donc pas de refoulement mais un déplacement: c'est à dire au lieu de te juger sans te connaitre et de te pourrir, je profite de la situation pour m'observer et me comprendre... et accessoirement le surplus d'émotion passera à travers mon ampli. Mais tu peux quand même te gratter pour toucher un pourcentage sur les droits d'auteur :D

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

J'y croirais, si ta position dans ce débat n'était pas celle que tu as donné. Non, il y a bien refoulement pur, et volonté d'annihiler toute forme d'émotion, pour ne garder de l'humain qu'une image fonctionnelle, déterminée, et creuse.

Mais au moins, ça permet d'expliquer ta position.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Et rebelote vers la condescendance. En même temps de la part de quelqu'un qui refuse aux autres le droit d'être différent de lui, comment s'en étonner ?

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

En même si tu ne veux pas que je fasse dans la condescendance, évite de te placer en dessous de ton niveau avec tes attaques... qu'est ce que j'en ai à foutre que tu me crois ou pas? Tu me demandes un truc, je te réponds, tu me traites de menteur, ben vis ta vis... Tu pensais que j'allais chercher à te convaincre que je n'ai aucune raison de mentir?! Je suis un pseudo à la con sur un forum! Une représentation! C'est pas comme si t'étais mon frangin et que ton avis est super important pour moi...

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Implique que ta condescendance est une réaction, alors que tu en as fait usage bien avant la moindre attaque.

Bref: go out, troll.

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

Désolé d'avoir les moyens de ma condescendance. :D

Nan sérieux, ce que tu appelles condescendance c'est la maitrise de soi. Tu t'énerves et parce que moi je m'en branle parce que je ne m'implique dans tes insultes (oui on est arrivé là avec ton "Troll"), tu vas avoir l'impression que je te suis supérieur.

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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

Non, aucun rapport entre la maîtrise de soi et la condescendance, même si la seconde implique la première en général.

enfin, je vais arrêter là, de toute manière, discuter avec une machine n'a aucun intérêt.

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Membre, 52ans Posté(e)
Crabe_fantome Membre 47 126 messages
Maitre des forums‚ 52ans‚
Posté(e)

Ah tu vois: toi aussi tu es tenté de faire dans la condescendance... peut être que tu me reproches une partie de toi en fait: tu te connais assez?

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Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Le seul choix de la personne doit primer et franchement faut arrêter deux secondes avec l'alibi^^ du dysfonctionnement :mouai:

Pour la limite, tu as entièrement raison, elle est difficile à poser. Mais il faut d'abord bien concevoir que cette limite DOIT être posée. Ensuite, il convient, à mon sens, de ne pas considérer les envies suicidaires comme argument suffisant pour dire qu'une personne n'est pas en état de faire son choix.

Je ne répondrai qu'à ces parties-là parce que d'après moi c'est le coeur du sujet (et j'ai pas encore lu les posts suivants)

Ok. Partons du principe que l'envie de mourir peut être un choix raisonnable et délibéré. Pourtant, quand un individu exprime son désir de mourir, qu'est ce qui a priori, nous incite à penser qu'il n'est probablement pas en état de faire son choix ? Pourquoi ne pas lui faire confiance d’emblée ? autrement dit, qu’est ce qui vous permet de penser qu’il n’est peut-être pas dans son "libre arbitre"?

Peut-être bien parce que dans le fond on estime tous que vivre est plus raisonnable que mourir... que le principe de vie est un acquis, un fondement de notre raisonnement. Pas seulement de la raison d'ailleurs: quelle est la fonction de nos émotions primaires (la peur etc) sinon la préservation de notre vie ? Quelle est celle de l’homéostasie, sinon d’assurer naturellement à notre corps les conditions de la vie ? Mon corps, mes émotions, ma raison, c’est cet ensemble "l’individu"!

Moi quand je lis "qui sommes nous pour porter un jugement sur les personnes qui se suicident ? Choisis ta vie, et choisis ta mort , si tu le souhaites !Nous n'avons de compte à rendre qu'à nous même!", je me dis : "oh quel beau discours Lorelei! On ne peut que le plussoyer!". Le problème c'est que ce beau discours n'est valable (et assez réconfortant, il faut l’avouer) qu'a posteriori, quand le suicidaire est mort.

En attendant, pourquoi diable allez-vous tenter de faire changer d’avis un individu qui vous dit qu'il a envie de mourir ? pourquoi ne pas le laisser faire puisqu’on n’est pas en droit de juger son choix de vie ou de mort ? Qui êtes vous pour le juger apriori inapte à décider ? Quelle est cette pulsion qui vous pousse à considérer que "peut-être bien qu’il ne sait pas tout à fait ce qu’il veut"?"

...Parce qu'on partage tous ce principe que l’envie de mourir n’est pas "normale", au sens statistique ET biologique.

Alors comment savoir où est le libre arbitre dans tout ça ? et comment faites-vous pour distinguer "l’individu pensant" de son corps biologique?

A partir de là, il me semble évident qu’il nous est impossible (voire dangereux !) de poser cette fameuse limite dont on parlait, Casdenor. Quelques soient les critères que tu proposeras, ils seront forcément contestables, puisqu’on ne sait pas où se situe le libre arbitre. Et on ne peut pas non plus considérer que seul l’individu lui-même est apte à déclarer "c’est mon libre choix de mourir", puisque cela reviendrait à laisser librement les suicidaires passer à l'acte, quelque soient les circonstances.

Modifié par Théia
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Membre, Bubon baveux de Belzébuth, 37ans Posté(e)
casdenor Membre 11 203 messages
37ans‚ Bubon baveux de Belzébuth,
Posté(e)

En attendant, pourquoi diable allez-vous tenter de faire changer d’avis un individu qui vous dit qu'il a envie de mourir ? pourquoi ne pas le laisser faire puisqu’on n’est pas en droit de juger son choix de vie ou de mort ? Qui êtes vous pour le juger apriori inapte à décider ? Quelle est cette pulsion qui vous pousse à considérer que "peut-être bien qu’il ne sait pas tout à fait ce qu’il veut"?

Justement, il n'est pas question de le juger inapte à décider, à moins d'avoir des raisons de ce faire. Mais la volonté de mourir n'en est pas une suffisante.

Et le fait que la personne soit apte à décider ne signifie pas qu'il faille dire amen. En revanche, ça signifie qu'il ne faut pas non plus abuser d'elle en la privant de ses droits.

Il me semble évident qu’il nous est impossible (voire dangereux !) de poser cette fameuse limite dont on parlait, Casdenor. Quelques soient les critères que tu proposeras, ils seront forcément contestables, puisqu’on ne sait pas où se situe le libre arbitre. Et on ne peut pas non plus considérer que seul l’individu lui-même est apte à déclarer "c’est mon libre choix de mourir", puisque cela reviendrait à laisser librement les suicidaires à passer à l'acte, quelque soient les circonstances.

Et pourtant, il est nécessaire de la poser, car il n'est pas tolérable d'attacher des personnes à des lits pendant des mois en les gavant de cocktails jusqu'à ce qu'ils soient tellement abrutis qu'ils ne soient même plus capable de faire quoique ce soit par eux-mêmes.

Il est exact que les critères seront arbitraires cependant. mais arbitraire ne signifie pas mauvais. L'arbitraire peut tout à fait être la reconnaissance d'une nécessité impossible à pleinement atteindre, et donc que l'on pose à un emplacement.

Encore une fois, il n'est nullement question d'interdire à quelqu'un de se jeter sur une personne qui se trouve sur des rails. Il n'est pas non plus question de laisser les personnes dans leur merde. Il est question de garder cette distanciation nécessaire, d'accepter qu'un cardiaque mange du fromage, d'accepter de considérer que l'on n'a pas le droit d'abrutir quelqu'un de médicament jusqu'à ce qu'elle ne soit plus capable de rien.

Parce qu'au final, c'est bien ça le soucis: en considérant qu'il faut sauver à tout prix quelqu'un, on légitime la contention et l'usage abusif des médicaments, et, au final, on nie toute dignité et toute humanité de la personne.

Encore une fois, on ne peut réduire l'homme à une machine, et on ne peut nier le droit à un individu de faire ces choix. De ce fait, il convient de savoir poser une limite. Discuter de la limite est un sujet passionnant. Discuter du fait qu'il faille la poser me semble un sujet insoutenable, parce que ça signifie littéralement "à partir de quand dois-je considérer l'autre ?".

J'ai toujours envie de répondre: "constamment". On doit TOUJOURS considérer l'autre.

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