Etudes

Bonjour tout le monde je suis présentement en Tle S dans un lycée Ivoirien et j'aurais évidemment le Bac Ivoirien Je voudrais savoir avec la sécurité sociale, les frais d'inscription un étudiant étranger gaspille combien les premiers mois

Merci déjà pour toutes vos réponses

Tu veux dire dans l'enseignement supérieur (université, écoles...)

oui enseigenement sup surtout en Licence éco-gestion.

Selon vous combien on gaspillera le premier mois ?

Bonjour,

Tout dépend de la ville où on étudie. Par exemple, si tu vas à Strasbourg, dans tes frais, il faut compter :

- la sécurité sociale si t'as 20 ans ou si tu vas les avoir : ça coûte approximativement 100 et quelques euros.... (en fait, je sais plus....)

- le logement : en pleine ville, c'est vraiment pas donné. Un pote à moi habite en plein Strasbourg et il paye dans les 500 euros pour 30 m2

- la nourriture : si tu manges tous les jours au resto U, t'en as pour 50 euros par mois

- les frais d'inscription : c'est pas donné, mais on est dans les 200 euros

etc....

Admettons que t'as pas de bourse, tu gaspillerais environ 1000/1500 euros pour un mois. Mais bon c'est très approximatif et ça dépend beaucoup de la ville où tu étudies.....

Voilà, j'espère que j'ai répondu à ta question....:smile2:

Enseignement : sans 2 370 € en poche, on ne rentre plus à la fac

PATRICIA GUIPPONI 20/08/2013, 06 h 00 49 réactions Le Crous de l’académie de Montpellier est très sollicité par les étudiants. La demande de logements dépasse l’offre. (Photo MICHAEL ESDOURRUBAILH) La rentrée universitaire et le coût de la vie étudiante ont augmenté. Le logement représente 50 % des dépenses. La rentrée seule est estimée à 2 370,95 € en province. Entre 10 500 et 15 500 € pour suivre un an d’études quand on est hors du domicile familial.

Elles sont inséparables. Depuis trois ans, Mélaine et Farah font les mêmes études, dans le but d’embrasser une carrière dans le tourisme. D’abord, scolarisées à la faculté d’Aix-en-Provence, elles poursuivent cette année leur cursus à Montpellier. En bachelor, dans une école privée spécialisée.

Un budget mensuel calculé au centime près

Et elles admettent, de concert, que la vie estudiantine "a augmenté". Phénomène récurrent chaque année. Si bien que les deux amies sont forcées de prendre une colocation pour réduire leurs frais, à défaut de chambre universitaire ou de bourses. "Nos parents gagnent suffisamment aux yeux de l’administration, bien qu’ils aient des revenus modestes", note Farah.

"On évite les boîtes de nuit"

Leur budget mensuel est calculé au centime près. Serré. Courses dans les discounts, sorties limitées. "Le restaurant, le cinéma, ça coûte cher. On se réunit chez les uns et les autres. On se cotise. On évite les boîtes de nuit", confie Mélaine. Et encore, elles ont pu travailler cet été. "On a fait des stages rémunérés via notre formation." Ce n’est pas le lot de tous.

"En concurrence avec des personnes qui ont l’âge de mes parents"

Étienne, étudiant en économie et gestion à Nîmes, n’a signé qu’un contrat de trois semaines dans la restauration. "Je me suis rapproché de domaines agricoles pour savoir si on cherchait de la main-d’œuvre, mais je n’étais pas le seul dans ce cas". Il s’est retrouvé en concurrence avec "des personnes qui ont l’âge de mes parents ou de mes grands-parents et ont besoin de revenus complémentaires pour s’en sortir".

Parce qu’il est bien là, le problème. La vie universitaire coûte de plus en plus cher et les ressources pour la financer sont de plus en plus difficiles à trouver. "Le Languedoc-Roussillon est la région de France la plus touchée par le chômage. À cela, on ajoute le problème du logement, préoccupant dans une ville attractive comme Montpellier, observe Arnaud Etcheverria, secrétaire général de l’Union nationale des étudiants de France (Unef) de Montpellier.

Le logement représente la moitié des dépenses des étudiants

Et encore, des efforts ont été faits. Des logements Crous ont été livrés à l’école d’infanterie, dont les locaux étaient vacants. 155 en février 2013 et d’autres vont suivre." Le logement représente la moitié des dépenses des étudiants. C’est ce que pointent l’Unef et la Fédération des associations générales étudiantes (Fage), dans deux enquêtes distinctes, qui relèvent pour l’essentiel les mêmes points critiques.

La rentrée seule est estimée à 2 370,95 € en province. Entre 10 500 et 15 500 € sont nécessaires pour suivre un an d’études quand on est hors du domicile familial. Familles qui elles aussi sont toujours plus tributaires de la crise. "Le plus angoissant, c’est que ces sacrifices-là ne nous garantissent même pas un emploi en fin de parcours", remarque Farah. Elle croise les doigts.

RÉPERCUSSIONS La santé en péril

La cotisation au régime de sécurité sociale étudiant a augmenté de 1,9 € (soit 4 €). La complémentaire santé enregistre quant à elle la hausse la plus nette des frais contractés pour le seul mois de septembre en cette rentrée universitaire : 274,50 € en moyenne en 2013 contre 237 € en 2012.

Même son de cloche

"On a été obligé de monter nos tarifs par rapport à ce que nous impose l’État", reconnaît Jean-Batiste Roussouly, responsable pour l’académie de Montpellier de la Mep, complémentaire santé. Même son de cloche pour la LMDE, dont la cotisation a gonflé de 7 % en moyenne. Jean-Baptiste Roussouly redoute que le nombre d’étudiants qui se passent de couverture santé et de soins n’explose. Pour l’heure, 19 % des étudiants n’ont pas de complémentaire et un sur trois renonce à des soins.

Les frais mensuels passés au peigne fin La Fage a étudié en détail à la fois les frais de la vie courante et ceux spécifiques au seul mois de septembre. Les premiers ont subi une augmentation de plus 3,16 % par rapport à l’an dernier. Si le loyer et les charges sont en légère baisse (soit 442,01 € en province par mois en moyenne contre 448,28 €), le reste des dépenses mensuelles quotidiennes est en hausse : les repas au restaurant universitaire prennent 1 € de plus en un an, la téléphonie et internet 5 €. Les loisirs passent de 77,20 € à 79,50 € en province ; les transports coûtent 100,93 € en 2013 contre 99,93 € en 2012.

L’alimentation, l’habillement et les produits d’hygiène et d’entretien, qui représentaient l’année dernière une somme mensuelle de 288,12 €, sont estimés à 289,92 €. Un étudiant dépense en moyenne 1 030,36 € par mois. En Ile-de-France, il doit débourser 1 278,43 € (se loger étant en moyenne plus cher de 200 €).

Les frais spécifiques au mois de septembre ont augmenté de 2 %. On entend par là les droits d’inscription à l’établissement scolaire, la sécurité sociale, la complémentaire santé, l’assurance logement, le matériel pédagogique. La hausse va de 3 à 35 €. Seuls les frais d’agence immobilière, quand ils s’imposent, ont baissé de 1 €.

En dix ans, de 2003 à 2013, les frais spécifiques à la rentrée de septembre coûtent 23 % de plus pour ce qui est des droits d’inscription, 17 % pour la sécurité sociale, 38 % pour la complémentaire santé, 30 % pour les fournitures scolaires."

Voilà une page du midi libre.

Chambre d'étudiant (faire une demande au CROUS) = 240 € dont 120 € d'allocation logement

frais inscription fac = 200 € mais cela dépend des revenus

frais transport par an = 250 € par an

Assurance complémentaire basique + Sécurité sociale = 150 €

il manque les bouquins, le téléphone, la nourriture, ....

ben à l'université, dans les premier mois, entre les frais de scolarisation, la mutuelle, le logement, assurance il faut au moin déboursser 1000 euro minimum et encore sa dépend des université. y'en a ou les frais d'inscription sont plus cher