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Avec l’affaire Amber Heard, Marie de Villepin et Johnny Depp, les lipsticks sortent de l’ombre


eklipse

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Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
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En pleine polémique autour de la légalisation du mariage homosexuel, l’annonce par le New York Post vendredi, puis par Voici samedi, de l’idylle entre les très sexys Amber Heard et Marie de Villepin (oui, la fille de l’ancien Premier ministre Dominomino) fait surfer le people sur la vague du moment.

Outre la croustillance du ragot (papi Johnny, drapé dans sa dignité et ses guenilles faussement vieillies de cow-clodo-boy, dévirilisé aux yeux du monde en se voyant préférer une jeune femme, on ne peut que glousser), le glamour de ce couple lesbien vient, enfin, donner un sacré coup de jeune à l’homosexualité féminine jusque là paradoxalement restée très tabou. Car si l’on y réfléchit, et alors que de plus en plus de politiques, sportifs, présentateurs télé, stars de ciné et chefs d’entreprise décident d’annoncer leur homosexualité, voire de s’afficher avec leurs compagnons, les représentantes de cet obscur milieu lesbien que l’on connaît toujours aussi peu, se comptent sur les doigts de la main. Catherine Lara et Muriel Robin… sauf leur respect, l’image des lesbiennes en France ne laisse à voir que des butchs (lesbiennes à l’allure masculine) à la Marijo toutes droites sorties de « Gazon Maudit« , notre référent hexagonal quand les Etats-Unis eurent, à la même époque, Catherine Tramel (Sharon Stone dans Basic Instinct).

Pourtant, heureux hasard du calendrier, le Elle consacre cette semaine un dossier aux jeunes lesbiennes, et notamment aux lipsticks. Les lipsticks sont, comme Amber et Marie, ces lesbiennes hyper féminines bien loin de l’image camionneur dans laquelle la société judéo-chrétienne (toujours elle) se plaît à enfermer la déviante marginale et isolée qui ose rêver de relations sexuelles hors objectif conception. Et pourtant, les lipsticks sont bel et bien là, décidées à vivre comme elles l’entendent une sexualité décomplexée sans pour autant la revendiquer par leur look. Angelina Jolie, Amber Heard, Jodie Foster (clairement outée cette semaine en pleine cérémonie des Golden Globes), Ellen de Generes, Lindsay Lohan… les très puritaines Américaines ont une fois de plus une longueur d’avance sur l’Europe, avec leur ribambelle de lipsticks célèbres, libres et décomplexées qui, certainement, auront permis à des jeunes homosexuelles déjà libérées par la série « The L-World », de se reconnaître dans ces modèles glamour et bien dans leur peau plus que dans l’image moqueuse véhiculée par une société ancestralement machiste et attachée à la servitude de la femme au divin mâle et son non moins divin pénis. Dans le « milieu lesbien », les lipsticks sont souvent mal vues, accusées de servir le monde du porno et de la pub, friands de lesbianisme chic bien vendeur sans pour autant faire avancer la « vraie » cause lesbienne. Incomprises à la fois par leurs familles et dénigrées par leur propre milieu, bref, le cul entre deux chaises, il semble que les nombreuses lipsticks aient malgré tout décidé de sortir du placard et d’occuper l’espace public.

Pour en revenir à Amber et Marie, donc, belles lianes de vingt ans qui mannequine, qui big resta hollywoodienne, les paparazzis s’en sont donné à coeur joie lorsque, de passage à Paris, elles ont déambulé en scooter sur les Champs pour une virée au Drugstore Publicis avant un petit ciné à l’ancienne dans un UGC bien de chez nous. Ou comment ringardiser les Brangelina au Huit à huit. Mais quid de Johnny, me direz-vous ? De nombreux journaux affirmaient qu’Amber et lui avaient résidé au Bristol quelques jours auparavant, sans qu’aucun cliché ne soit sorti de cette escapade romantique dans la ville de Vanessa (qui aurait trouvé un appart dans le Marais by the way). Pour d’autres, elle n’aurait pas revu le pirate cracra depuis novembre dernier. Quant au New York Post, il n’hésite pas à affirmer clairement que Monsieur Paradis se serait carrément fait larguer pour Marie. Haha, on rit. Oui, parce que pour une fois fois que ça arrive, et si on l’avait sous la main, on aimerait bien lui poser la question, à Johnny : alors gros malin, ça fait quoi de se faire jeter pour une fille deux fois plus jeune que soi, HEIN ? :cool:

http://adeledebrief.wordpress.com/2013/01/20/avec-laffaire-amber-heard-marie-de-villepin-et-johnny-depp-les-lipsticks-sortent-de-lombre/

http://www.nypost.com/p/pagesix/amber_heard_dumps_johnny_depp_for_S8fzLwdLxwAOUHVwBHelTP

amber-heard-avec-johnny-depp-puis-marie-de-villepin_510661_510x255.jpg

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Membre, 44ans Posté(e)
Gardiane Membre 1 068 messages
Baby Forumeur‚ 44ans‚
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Sauf que les exemples sont mal choisis ... Angelina Jolie et Lindsay Lohan sont bisexuelles , Jodie Foster et Ellen Degeneres ne sont pas des lipsticks.

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Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
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Reconnaissance étroitement liée aux médias

Le terme de lesbienne lipstick a été créé à San Francisco il y a une vingtaine d'années par la journaliste Priscilla Rhoades. Celle-ci écrit alors une histoire sur les «lesbian for lipstick», qu'on peut traduire par «les lesbiennes qui portent du rouge à lèvres». Le terme de «lisptick» se médiatise en 1997 avec la présentatrice américaine Ellen DeGeneres qui répand le mot à la télévision en déclarant son homosexualité. Une partie du milieu lesbien considère que sa femme, Portia de Rossi (photo), est le symbole de la lesbienne lipstick. La création de soirées consacrées aux femmes féminines (Pinkyboat et La Babydoll à Paris) ou encore l'apparition du groupe des lesbiennes lipstick sur Facebook montrent que, depuis quelques temps, ces lesbiennes tendent vers davantage de visibilité.

Pourtant, elles ne revendiquent aucun activisme politique: la reconnaissance de leur existence est étroitement liée aux médias qui, conscients qu'une double féminité ne pouvait être menaçante pour le public hétérosexuel et pour le schéma patriarcal, se sont emparés de cette représentation éthérée de l'homosexualité féminine. En témoigne le succès de la série The L Word. Ce programme télévisé a montré, de 2003 à 2009, le quotidien d'un groupe de lesbiennes féminines qui vivent au rythme de péripéties sentimentales et professionnelles. Homosexuelles aux revenus confortables, bien placées socialement, jouant de leur féminité et de leur pouvoir de séduction, victimes de la mode, ces femmes donnent vie à une représentation féminisée et assumée de l'homosexualité féminine. Cette image valorisée et valorisante de la lesbienne permet ainsi une meilleure acceptation de leur sexualité et ouvre la porte à de nouveaux événements.

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ellen Degeneres et portia de Rossi

http://www.tetu.com/actualites/france/le-cas-lipstick-1-une-nouvelle-generation-de-lesbiennes-15101

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Suite à une décision de la Cour suprême de Californie du 15 juin 2008 (date d'effet au 16 juin 2008), la Californie est devenue le deuxième État américain après le Massachusetts à autoriser le mariage entre personnes du même sexe. Ellen DeGeneres a réagi rapidement à ce changement, annonçant publiquement son mariage avec la comédienne Portia de Rossi le lendemain dans son talk show sur la chaîne NBC. Puis, elle l'a épousée le 16 août 2008 à Los Angeles, lors d'une cérémonie en petit comité.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ellen_DeGeneres

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Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)
(Trop) féminines ? De la difficulté d'être « lesbienne invisible »

Renée Greusard | Journaliste

Elles aiment avoir des cheveux longs, portent des jupes. Parfois, elles osent même un brin de rouge à lèvres, ce qui leur vaut le nom de « lipsticks ». Une catégorisation qui ne leur plaît pas forcément.

Elles disent juste être des filles qui aiment les filles mais refusent certains codes de l’homosexualité féminine. Elles ne sont pas toujours regardées d’un bon œil dans la communauté lesbienne et elles râlent : personne ne les drague, on les prend pour des hétéros.

Depuis mai 2009, beaucoup d’entre elles se sont complètement identifiées à un personnage, celui d’Océanerosemarie dans « La Lesbienne invisible » (Voir la vidéo)

Dans ce one-woman show très drôle, juste et bien écrit (oui oui, on a adoré, allez-y), Océanerosemarie parle de « cette malédiction », le parcours de la combattante pour se faire accepter des autres lesbiennes, « celles qui seraient capables de rouler leurs tampons elles-mêmes », les « butches » qui portent des cheveux courts, des pantalons larges et qui jouent au foot.

« Ce n’est pas la laideur qui rend les femmes homosexuelles »

Pour s’en sortir, elle use de mille stratagèmes, dont convoquer la fée des lesbiennes, mais quand elle ne se confronte pas aux homosexuelles, c’est aux hétéros qu’il faut expliquer deux ou trois choses :

« Une fille lesbienne peut être jolie. En fait, ce n’est pas la laideur qui rend les femmes homosexuelles... »

Et si le spectacle est drôle, il n’en est pas moins réfléchi, comme l’explique plus tard Océanerosemarie dans un café. (Voir la vidéo)

Emma, chasseuse de têtes à Paris, en couple depuis neuf ans, a vu le spectacle d’Océanerosemarie avec sa compagne il y a deux ans et s’est complètement reconnue dans son personnage. Elle qui reconnaît admirer un peu les lesbiennes « butches » pour leur côté revendicatif, raconte avoir eu sa phase « cheveux courts » :

« Y a vraiment un moment où tu essayes d’être plus masculine. J’ai essayé de me couper les cheveux. Au final, ça m’a traumatisée. »

Une période révolue. Le jour où nous sous sommes vues, Emma assumait très bien sa beauté, sa coupe au carré soignée, ses perles blanches aux oreilles, sa robe noire élégante et ses bottes.

« Je ne veux pas faire lesbienne »

Natacha Chetcuti, sociologue, auteure de « Se dire lesbienne » aux éditions Payot, confirme que les lesbiennes féminines ne sont pas majoritaires. Après avoir interviewé des centaines de femmes homosexuelles, elle explique :

« On peut dire que le modèle le plus répandu, ce n’est ni d’être féminine ou masculine, mais plutôt androgyne. Quelle que soit la génération d’ailleurs.

Celles qui sont soupçonnées d’être hétéros ou bisexuelles ne sont pas conformes aux attentes du genre. Comme les “butches” d’ailleurs, qui sont stigmatisées comme trop masculines. »

Une cigarette en bouche, attablée à la terrasse d’un café, Anne dit clairement qu’elle ne veut « pas faire lesbienne ». Elle est même agacée par l’idée qu’elle devrait entrer dans un moule pour être tout à fait acceptée dans la communauté :

« Je n’ai pas envie qu’en me regardant, les gens puissent se dire “Ah ! elle est lesbienne !”. Je refuse que mes relations sociales soient centrées sur ma sexualité. »

Les hétéros posent toujours la même question

Elle dit ne pas apprécier l’entre-soi de certaines lesbiennes, aimer avoir des amis hétéros. Ce qui lui vaut peut-être d’être plus souvent confrontée à des stéréotypes sur la sexualité homosexuelle. Entre douceur et inactivité :

« On me pose tout le temps, mais vraiment en permanence, cette fameuse question : “Mais comment vous faites ? Vous utilisez des objets ?” A chaque fois je ne sais pas quoi répondre, si ce n’est : “On fait pareil que vous, sauf qu’à la fin, il n y a pas de bite.” »

Ce qu’Anne soulève ici, c’est la double invisibilité dont se sentent souvent victimes les « lipsticks » : dans le milieu lesbien et dans le domaine public, qui ne laisse que très peu de visibilité à l’homosexualité féminine.

« L’espace public est plus occupé par les gays que par les lesbiennes », confirme Natacha Chetcuti. « Et dans le regard sociétal, la féminité reste un registre du désir hétérosexuel. »

« L’enfer des soirées entre filles en boîte »

Anne raconte « l’enfer des soirées entre filles en boîte » :

« Le paradoxe, c’est que beaucoup de lesbiennes fantasment complètement sur les filles hétéros, donc si tu t’habilles féminine tu es sûre de plaire, par contre ce sera à toi d’y aller sinon personne ne te drague. »

Hétérosexuelle depuis ses années lycée, Sarah, 24 ans, vient juste de commencer à fréquenter des filles. Elle raconte des débuts difficiles :

« J’ai l’impression de ne pas savoir faire. Je ne me sens non identifiée. Les codes sont à l’opposé de ceux des hétéros. Quand tu sors en boîte généralement, tu mets plutôt une jupe ou une robe. »

Anne cite pour sa part le spectacle d’Océanerosemarie qui parle de femmes glaciales. Elle rejette aussi cet aspect qui ne lui plaît pas du tout :

« Dans certains endroits lesbiens, plus t’as l’air froide et plus c’est cool. C’est vraiment une ambiance à la con. »

Les lipsticks sur le dance floor, « des impostures ! »

Pour mettre à l’épreuve ces idées, nous sommes allées Chez Moune avec Sarah, Anne et sa nouvelle copine. Une boîte de nuit historiquement lesbienne. Ce soir-là, les hommes étaient admis, mais la soirée était plutôt réservée aux femmes. Sarah, qui aurait apprécié de se faire courtiser, portait une chemise bleue, un rouge à lèvres très rouge et un jean moulant noir avec des baskets :

« Je me suis habillée spécialement pour la soirée ! “

Entrées dans la boîte, je discute avec Bérengère, une brune androgyne. Que pense-t-elle des lipsticks” ? “Ce que j’en pense ? Ce sont des impostures !”, dit-elle agacée, avant d’ajouter :

“Y en a beaucoup qui ne sont pas de vraies lesbiennes, mais comme c’est à la mode et que ça fait bien... Nous on en souffre, parce qu’en filigrane ça donne l’impression que c’est un hobby.

On se méfie du côté ‘petite expérience’. On a peur de rencontrer une fille, d’être à fond, et de se prendre finalement une claque.”

Pour la jeune femme, il y a une dimension politique dans cette différence de point de vue entre les lesbiennes “lipsticks” et les autres :

“Ce n’est pas pour rien qu’il y a très peu de bars lesbiens, et de moins en moins de chars pour les filles dans les Gay Prides...”

“Pour elles, on joue le rôle du garçon ! ‘

Une de ses copines intervient dans la discussion, plutôt androgyne aussi, blonde platine. Elle n’est pas d’accord. Elle aime bien les lesbiennes féminines, et a l’impression qu’elles se font plus draguer que les autres :

En fait, ce sont elles qui attendent qu’on les drague, parce qu’elles sont dans des représentations hétérosexuelles des relations de séduction. Pour elles, on joue le rôle du garçon.’

L’impression d’un malentendu entre des femmes qui ont pourtant la même orientation sexuelle. Mélody intervient d’ailleurs à son tour pour préciser au passage que leur look n’est pas lié à une envie de ressembler aux hommes :

‘Je n’ai pas décidé d’être comme ça. J’ai toujours aimé jouer au foot et je me sens juste plus à l’aise en pantalon qu’en robe. Ça ne fait pas de moi un garçon, je suis une fille.’

Il y a toujours finalement une question de reconnaissance qui se pose. Natacha Chetcuti :

‘Dans les témoignages, il n’est jamais question de vouloir ressembler à un homme. Ce sont des lesbiennes qui ont envie de sortir de l’assignation à la féminité et ce qui s’exprime, c’est plutôt une nécessité de se créer des normes qui ne soient pas assimilées à la culture hétérosexuelle.’

Près du dance floor, on retrouve Sarah. Alors, a-t-elle réussi à se faire draguer ? Sa réponse :

‘Je me suis fait draguer par une fille avec un gros nœud, un putain d’œuf de Pâques sur la tête quoi. Elle ne me plaisait pas du tout, mais c’est la seule qui ait voulu de moi.’

Certains prénoms ont été changés.

http://www.rue89.com/rue69/2011/06/08/libres-feminines-et-un-peu-seules-voici-les-lesbiennes-invisibles-208234

p://www.youtube.com/watch?v=_34-aVpNChE

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Membre, Pas cavalier mais grand amateur de Cheval Blanc, 55ans Posté(e)
alkoolik Membre 5 672 messages
55ans‚ Pas cavalier mais grand amateur de Cheval Blanc,
Posté(e)

Chez les de Villepin, cocufier les autres est une seconde nature...

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Membre, Posté(e)
wildbill Membre 111 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

...dirait un fan de Sarko.:D

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Membre, Posté(e)
wildbill Membre 111 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

« Une fille lesbienne peut être jolie. En fait, ce n’est pas la laideur qui rend les femmes homosexuelles... »

Ca c'est profond!:o

Déjà,euuuh,une lesbienne est forcément une fille,enfin bref...

changeons quelques mots et ça donne:

Un homo peut être beau.En fait,ce n'est pas la laideur qui rend les hommes homosexuels.

pfff :D,rien que d'avoir cette idée est d'une connerie...

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Membre, Pas cavalier mais grand amateur de Cheval Blanc, 55ans Posté(e)
alkoolik Membre 5 672 messages
55ans‚ Pas cavalier mais grand amateur de Cheval Blanc,
Posté(e)

...dirait un fan de Sarko.:D

Fan est un peu fort, mais oui, j'avoue en 2007 comme en 2012 j'ai toujours voté Sarko. :D

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Membre, Posté(e)
wildbill Membre 111 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Fan est un peu fort, mais oui, j'avoue en 2007 comme en 2012 j'ai toujours voté Sarko. :D

Donc,en "cocufiage",tu t'y connais.:smile2:

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Membre, Posté(e)
saint thomas Membre 17 547 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Sauf que les exemples sont mal choisis ... Angelina Jolie et Lindsay Lohan sont bisexuelles , Jodie Foster et Ellen Degeneres ne sont pas des lipsticks.

J'aime beaucoup Foster et on parle plus de ses films avec raison que de sa vie sexuelle , ses films sont plus intéressants il est vrai

Pour Amber machin , il est très possible que ce soit Deep qui l'ait larguée

Les mecs qui se mettent en couple immédiatement après un divorce (surtout après plus de 10 ans de mariage et 2 gosses) , sont rarement prêts à s'engager dans une relation sérieuse tout de suite

Il faut du temps pour digérer la page qui s'est tournée

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Membre, Dazzling blue², 51ans Posté(e)
eklipse Membre 14 471 messages
51ans‚ Dazzling blue²,
Posté(e)

J'aime beaucoup Foster et on parle plus de ses films avec raison que de sa vie sexuelle , ses films sont plus intéressants il est vrai

Pour Amber machin , il est très possible que ce soit Deep qui l'ait larguée

Les mecs qui se mettent en couple immédiatement après un divorce (surtout après plus de 10 ans de mariage et 2 gosses) , sont rarement prêts à s'engager dans une relation sérieuse tout de suite

Il faut du temps pour digérer la page qui s'est tournée

Faut mieux te renseigner St thomas, c'est le contraire,C'est Deep qui s'est fait larguer, regarde sur internet ...

Séparé l’an dernier de Vanessa Paradis, Johnny Depp a été quitté à son tour après sept mois d’une relation orageuse. La jeune actrice américaine Amber Heard, qu’il avait rencontrée sur le tournage de « Rhum Express », l’a laissé tomber… pour une femme.

L'ex de Johnny Depp, très proche de Marie de Villepin

Il s’agit d’une Française, Marie de Villepin, la fille de l’ancien Premier ministre Dominique de Villepin. Plusieurs médias anglo-saxons, dont le « New York Post » et le « Sun », annoncent qu’Amber Heard, 26 ans, ouvertement bisexuelle, a cessé de fréquenter la star de « Pirates des Caraïbes ».

http://www.leparisien.fr/laparisienne/actu-people/johnny-depp-et-amber-heard-c-est-deja-fini-02-02-2013-2534445.php

Johnny Depp est dévasté

RUPTURE — L’acteur de 49 ans, qui avait quitté Vanessa Paradis pour Amber Heard et qui s’est fait quitter pour une femme, a le cœur brisé, selon la presse people américaine.

C’est Perez Hilton, célèbre chroniqueur people, qui a balancé l’info sur son site. «Je crois qu’il ne se doutait pas que cela pourrait arriver. Il a le cœur brisé… Johnny avait l’impression d’avoir trouvé une âme sœur en Amber», a confié une source proche de l’acteur au blogueur star.

Johnny, qui avait quitté femme et enfant pour vivre pleinement son idylle avec la blonde de 26 ans rencontrée sur le tournage de «Rhum Express», est actuellement dans un état pitoyable. Amber Heard, qui n’avait jamais caché être bisexuelle, a préféré partir avec une femme. Il ne lui reste plus qu’à se plonger dans le travail pour oublier et peut-être rencontrer une nouvelle compagne sur un tournage.

On ne se fait pas trop de soucis, son agenda étant totalement plein cette année. Il vient de finir «The Lone Ranger» il s’apprête à tourner un cinquième volet de «Pirates des Caraïbes» et un docu sur Keith Richards. Il incarnera aussi le parrain de la pègre de Boston dans «Black Mass».

http://www.lematin.ch/people/johnny-depp-devaste/story/25973119

Bon après cela reste que du cancanage ou fabulations, pour vendre des feuilles de choux, surement de nouveaux rebondissements en perspective...

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Membre, Posté(e)
saint thomas Membre 17 547 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Faut mieux te renseigner St thomas, c'est le contraire,C'est Deep qui s'est fait larguer, regarde sur internet ...

Au temps pour moi

Décidément la France colle aux basques de Deep , Paradis est française et Amber Heard vient de trouver l'amour en France

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