Aller au contenu

Faut il stopper le dépistage du cancer du sein par mammographie ?


garotoubib

Messages recommandés

Membre, Posté(e)
garotoubib Membre 177 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

donc imagine que au cours d'une prise de sang banale, tes résultats sont à chier, et ton médecin traitant, demande un surplus d'examen, et là, la tuile ! Cancer !! tu fais quoi ?

ça ne risque pas :smile2:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
  • Réponses 60
  • Créé
  • Dernière réponse
Membre, 61ans Posté(e)
heavendoor Membre 1 594 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)

Qu'est ce qu'il ne risque pas ?

Que tu fasses une prise de sang ou que tes résultats soient à chier ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, A ghost in the shell, 50ans Posté(e)
Nephalion Modérateur 32 738 messages
50ans‚ A ghost in the shell,
Posté(e)

Qu'est ce qu'il ne risque pas ?

Que tu fasses une prise de sang ou que tes résultats soient à chier ?

Qu'il puisse avoir un cancer.

Il a un remède miracle contre le cancer.

Si si.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Aux grands mots les grands remèdes, Posté(e)
Fafaluna Membre 7 395 messages
Aux grands mots les grands remèdes,
Posté(e)

Genre le gars il ne conçoit pas qu'il puisse un jour avoir un cancer ou autre maladie hein... de plus en plus pitoyable il risque de tomber de bien haut.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 61ans Posté(e)
heavendoor Membre 1 594 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)

Genre aussi, comme je l'ai déjà dit ailleurs, Temoin de Jehovah, en croisade contre la médecine ... Ce qui semblerait logique vu les théories auquelles nous avons le droit depuis quelques jours

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Aux grands mots les grands remèdes, Posté(e)
Fafaluna Membre 7 395 messages
Aux grands mots les grands remèdes,
Posté(e)

Je pense aussi secte macrobiotique, naturopathe intégriste ou jéhovah.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 61ans Posté(e)
heavendoor Membre 1 594 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)

Perso qu'il croit ce qu'il veut, c'est sa vie, sa santé et son popotin, mais qu'il vienne nous rabâcher et nous envahir avec ses liens d’intégristes ça passe pas, surtout face à des personnes qui ont déjà du se battre contre cette putain de maladie, qui ont vu la mort de très près et qui s'en sont sortis grâce à leur volonté et à la médecine actuelle ...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
garotoubib Membre 177 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
dépistage du cancer du sein : Ce dépistage systématique n’apporte pas d’amélioration en termes de mortalité, sur-diagnostics, souffrance et mutilations supplémentaires : la balance bénéfice/ risque n’est pas favorable. Voilà pourquoi, à la lumière des données actuelles de la science, j’ai décidé à titre personnel de ne pas suivre vos conseils et de ne pas subir de mammographie de dépistage. En tant que médecin et en vertu de la Loi 2002-303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades, j’apporterai à mes patientes toutes les informations qui leur seront nécessaires pour qu’elles puissent décider, pour elles mêmes, en toute connaissance de cause
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 61ans Posté(e)
heavendoor Membre 1 594 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)

Nous constatons tous que tu ne réponds pas aux questions.

Chercheur en quoi déjà ?

petite prise de sang ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 61ans Posté(e)
heavendoor Membre 1 594 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)

Limites et incertitudes sur le dépistage

Date de dernière mise à jour : 21/09/2012

Des interrogations émergent depuis plusieurs années sur les bénéfices et les risques associés au dépistage du cancer du sein par mammographie. Elles portent principalement sur le risque de surdiagnostic et de sur-traitement inhérent, mais aussi sur la question des cancers radio-induits et l'impact réel du dépistage sur la réduction de la mortalité.

Les questions posées à propos du dépistage

Dépistage, surdiagnostic et sur-traitement

L'objectif du dépistage est de détecter des cancers de stade précoce pour les prendre en charge avec de meilleures chances de guérison. Néanmoins, il est établi que certaines lésions détectées par la mammographie et traitées ne se seraient pas développées, ou n'auraient pas évolué et n'auraient été à l'origine d'aucun du vivant de la personne. C'est ce que l'on appelle le surdiagnostic. Il est inhérent à tout dépistage mais plus ou moins important selon les techniques utilisées et le dépistage concerné.

Le surdiagnostic concerne surtout les cas de cancers « in situ », c'est-à-dire les lésions cancéreuses limitées au tissu qui leur a donné naissance et qui ne sont donc pas invasives. On considère qu'environ un cancer in situ sur trois serait susceptible de ne pas évoluer et correspondrait donc à un surdiagnostic.

Une revue complète sur les programmes européens de dépistage a été publiée en septembre 20121. Elle conclut que, pour 1.000 femmes soumises tous les deux ans à une mammographie entre 50 et 69 ans, sept à neuf décès sont évités et quatre femmes sont surdiagnostiquées. Le dépistage sauverait ainsi deux fois plus de vies qu'il n'occasionnerait de surdiagnostic. Les auteurs de cette étude concluent que le bénéfice du dépistage est supérieur à ses risques, même si ceux-ci ne sont pas négligeables.

Publiée en octobre 2012, une méta-analyse réalisée par un comité d’experts indépendants travaillant sur le dépistage du cancer du sein au Royaume-Uni, estime, en se fondant sur l’analyse de onze essais randomisés, à 19% la part des cancers faisant l’objet d’un surdiagnostic. Ainsi, sur une période de 20 ans et sur une population de 10 000 femmes de plus de 50 ans invitées à se faire dépister, 681 cancers du sein seraient détectés dont 129 surdiagnostiqués. Par ailleurs, 43 décès par cancer du sein seraient évités2.

Par ailleurs, dans l'état actuel des connaissances, il n'est pas encore possible de prédire l'évolutivité d'une lésion au moment de son diagnostic : on ne sait pas distinguer les cancers qui vont s'étendre et évoluer, qui sont majoritaires, de ceux qui n'évolueront pas. L'ensemble des lésions détectées font donc l'objet d'un traitement. La prise en charge des cancers faisant l'objet d'un surdiagnostic correspond à ce que l'on appelle sur-traitement.

Des chercheurs travaillent actuellement à identifier des marqueurs de pronostic ou d'agressivité. Ils permettront, à terme, de repérer parmi ces cancers ceux susceptibles d'être peu évolutifs, pour proposer une stratégie de prise en charge plus adaptée. Par ailleurs, l'évolution des connaissances sur lesmarqueurs tumoraux en général permet un traitement ciblé du cancer et une prise en charge personnalisée.

En effet, l'évolution des traitements du cancer du sein vise à prendre en compte la spécificité de ces cancers, de façon à limiter les effets secondaires et les éventuelles séquelles. Ainsi, l'ablation systématique des ganglions (curage) de l'aisselle, pratiquée pour limiter le risque de récidive du cancer, cède progressivement le pas à la « technique du ganglion sentinelle » qui permet de limiter l'ablation aux ganglions effectivement atteints. De plus, le recours aux traitements adjuvants (chimiothérapie) est moins systématique, ou suivant des schémas moins lourds. Enfin, le recours à la chirurgie conservatrice est beaucoup plus fréquent que la mastectomie, qui ne représente aujourd'hui que 30 % des chirurgies du sein.

Dépistage et risque de cancers radio-induits

Les cancers radio-induits sont la conséquence de l'irradiation reçue au cours d'examens ou de traitements utilisant des rayons. Une étude parue fin 2011 et basée sur des expériences en radiobiologie menées sur des cellules cancéreuses a mis en évidence les effets de l'irradiation à faible dose, correspondant à celle délivrée par mammographie, notamment chez les femmes porteuses de mutation des gènes BRCA1 et BRCA23.

Cette étude interpelle sur le risque de la répétition des mammographies dès avant 50 ans, période où le sein est plus dense et nécessite donc une plus forte dose d'irradiation pour obtenir une image lisible.

Cela conduit à rappeler qu'en l'absence de symptôme ou de facteur de risque, il n'y a pas d'indication à se faire dépister avant l'âge de 50 ans, ni de faire plus d'une mammographie tous les deux ans. En effet, le risque de cancers radio-induits augmente si l'on commence à faire des mammographies trop tôt. C'est pourquoi le programme français de dépistage organisé a retenu la borne d'âge de 50 ans pour l'inclusion des femmes.

De plus, les progrès technologiques permettent d'user de doses d'exposition de plus en plus faibles. Ce risque de cancer radio-induit est considéré comme très faible au regard des bénéfices escomptés du dépistage.

Impact du dépistage organisé sur la mortalité

La question de l'impact du dépistage organisé en termes de mortalité est régulièrement examinée. Lesrecommandations d'un dépistage systématique par mammographie des femmes de 50 à 69 ans et au-delà s'appuient sur l'avis de groupes d'experts internationaux qui ont, pour une grande majorité, conclu qu'il permet de réduire la mortalité par cancer du sein.

En 2002, dans une vaste méta-analyse, le CIRC avait estimé la baisse de la mortalité à environ 35% parmi les femmes participant à ces programmes, à raison d'une fois tous les deux ans4. Plusieurs études ont, depuis, cherché à évaluer l'impact des programmes de dépistage organisé du cancer du sein dans les pays où ils ont été mis en place. Une majorité d'entre elles concluent que le dépistage contribue à réduire la mortalité. Dans un numéro du Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) consacré au dépistage organisé du cancer du sein, paru en septembre 2012, l'InVS publie des résultats concernant la mortalité dans 10 essais randomisés portant sur plus de 500.000 femmes. Ces résultats montrent une réduction combinée de la mortalité par cancer du sein de 21%5. Une autre étude, parue en 2010, estime la baisse de la mortalité par cancer du sein à 11% en France6.

Une autre étude récente, menée par un comité d’experts indépendants sur le dépistage du cancer du sein au Royaume Uni, estime à 19 % la réduction du risque de décès par cancer du sein chez les femmes invitées à participer au programme de dépistage, tous les 3 ans2.

Toutefois, dans notre pays, plusieurs critères rendent difficile et probablement prématurée l'analyse précise de la contribution du dépistage organisé dans l'impact sur la mortalité. Il s'agit du bon pronostic de la maladie, de l'efficacité des traitements, de la facilité de l'accès aux thérapeutiques et de la modification desfacteurs de risque dans le temps, données auxquelles s'ajoute une participation au programme de dépistage organisé du cancer du sein insuffisante au regard des besoins statistiques.

Travaux et évaluations en cours

Les conditions et le contexte dans lesquels le dépistage organisé a été mis en place en 2004 ont évolué, de nombreuses études parfois contradictoires ont été publiées, des interrogations sur les tranches d’âges mais aussi sur les limites du dépistage, notamment le surdiagnostic, sont régulièrement formulées. Parallèlement les progrès réalisés dans la prise en charge et l’accès aux traitements innovants des femmes atteintes de cancers du sein ont eu un impact positif sur la mortalité et ont permis une désescalade thérapeutique (chirurgie conservatrice dès que possible, curages ganglionnaires limités,chimiothérapie moins systématique…).

Pour tenir compte de l’ensemble de ces évolutions et interrogations, les pouvoirs publics mènent depuis plusieurs années des travaux qui s’inscrivent dans le cadre d’une évaluation continue du programme national de dépistage, dispositif complexe faisant intervenir de multiples acteurs.

Le dépistage organisé : des bénéfices reconnus

Le véritable enjeu de la mise en place d'un tel programme consiste à mettre en oeuvre un processus de qualité qui garantisse un apport optimal aux populations qui y ont recours. Le bénéfice d'un programme de dépistage repose aussi sur une prise en charge adaptée des lésions détectées.

Une bonne capacité de détection précoce

Le dépistage par mammographie permet de détecter, avant tout symptôme, 90 % des cancers du sein. La répétition de l'examen tous les deux ans améliore cette capacité de détection précoce. Ainsi, en 2008, plus de 14 500 cancers du sein ont été détectés dans le cadre du dépistage organisé, soit un taux de 6,8 pour 1 000 femmes dépistées en France. De plus, on estime actuellement que 9 % des cancers sont dépistés grâce à la seconde lecture.

Les pourcentages de cancers de bon pronostic parmi l'ensemble des cancers détectés sont des indicateurs indirects de l'efficacité du programme. En effet, la prévention des décès par cancer du sein grâce au dépistage organisé n'est possible que si les cancers sont détectés à un précoce, quand les traitements sont les plus efficaces. En 2008, parmi les cancers invasifs, 36,5 % avaient une taille inférieure ou égale à 10mm et 75 % de ceux dont le statut ganglionnaire était connu ne présentaient pas d'envahissement : ils étaient donc localisés et de bon pronostic. Ces résultats sont conformes aux références européennes.

Le dépistage organisé s'appuie sur des critères scientifiques stricts et conformes aux recommandations européennes. De plus, le processus d'assurance qualité comprend l'évaluation continue du programme : il offre un cadre indispensable pour optimiser les bénéfices du dépistage tout en minimisant ses effets délétères. La majorité des sociétés savantes et des autorités de santé publique considèrent ainsi que la balance bénéfices-risques penche en faveur d'un dépistage du cancer du sein par mammographie.

Une amélioration des connaissances sur le cancer du sein

La médiatisation des programmes de dépistage favorise également une amélioration de la connaissance de la maladie dans la population et chez les professionnels de santé. L'existence du dépistage organisé du cancer du sein est ainsi largement connue du grand public 7 (98 % des 25 ans et plus, 99 % des femmes de 50 à 74 ans). C'est aussi celui pour lequel les femmes identifient le mieux l'examen : entre 50 et 74 ans, 87 % d'entre elles citent la mammographie. Les femmes connaissent bien les moyens d'agir face à cette maladie qu'elles redoutent, et sont plus vigilantes face à l'apparition de certains symptômes.

1 - S. Hofvind, A. Ponti, J. Patnick, N. Ascunce, S. Njor, M. Broeders, L. Giordano, A. Frigerio and S. Törnberg,, J Med Screen, September 2012; doi:10.1258/jms.2012.012083

2 - Independant UK Panel on Breast Cancer Screening, The benefits and harms of breast cancer screening : an independant review, published Online October 30, 2012, http://dx.doi.org/10.1016/S0140-6736(12)61611-0.

3- C. Collin et al, DNA double-strand breaks induced by mammographic screening procedures in human mammary epithelial cells, Intl J of Radiation Biology, Nov 2011, Vol. 87, No. 11, pp. 1103-1112.

4- Mammography Screening Can Reduce Deaths From Breast Cancer, 2002.

5- Numéro thématique – Dépistage organisé du cancer du sein, BEH, InVS, 26 septembre 2012/n°35-36-37

6- P. Autier et al, <a href="http://www.bmj.com/content/341/bmj.c4480" target="_blank" style="margin: 0px; padding: 0px; color: rgb(18, 56, 133);">Disparities in breast cancer mortality trends between 30 European countries: retrospective trend analysis of WHO mortality database, BMJ 2010;341:c3620; doi:10.1136/bmj.c3620

7- Baromètre INCa/BVA « Les Français face au dépistage des cancers », enquête téléphonique réalisée en janvier-février 2009 auprès de 1 013 personnes.

http://www.e-cancer.fr/depistage/depistage-du-cancer-du-sein/limites-et-incertitudes-sur-le-depistage

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Dégonfleur de baudruches, 68ans Posté(e)
Dinosaure marin Membre 24 125 messages
68ans‚ Dégonfleur de baudruches,
Posté(e)

Heavendoor utiliser des arguments logiques avec un taliban naturopathe est une perte de temps.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 61ans Posté(e)
heavendoor Membre 1 594 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)

Je sais mais j'informe aussi les personnes sensées cool.gif le dépistage est très important pour tous ( sauf lui hein ! ) et il sauve énormement de vies

Face à toutes les conneries qui apparaissent faut rétablir la vérité scientifique aussi !

Mais le terme taliban naturopathe est très bon plus.gif

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
garotoubib Membre 177 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Limites et incertitudes sur le dépistage

Date de dernière mise à jour : 21/09/2012

Des statistiques trompeuses pour promouvoir la mammographie

la puissante fondation américaine « Susan G. Komen for the Cure » utilise des statistiques trompeuses afin de promouvoir la mammographie pour le dépistage du cancer du sein tout en ignorant complètement les risques pourtant très importants qu’elle génère. Les deux chercheurs affirment que la campagne de 2011 a exagéré le bénéfice de la mammographie car elle citait un taux de survie de 5 ans après le diagnostic de 98 % pour une tumeur décelée suffisamment tôt, contre 23 % pour un diagnostic tardif

Les essais cliniques montrent que 0,53 % des femmes non dépistées meurent d’un cancer du sein dans les 10 ans, comparativement à 0,46 % qui subissent un dépistage..

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 61ans Posté(e)
heavendoor Membre 1 594 messages
Baby Forumeur‚ 61ans‚
Posté(e)

répond donc déjà à mes questions antérieurs

Merci

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre+, 53ans Posté(e)
Ocytocine Membre+ 17 770 messages
Forumeur Débutant‚ 53ans‚
Posté(e)

Les essais cliniques montrent que 0,53 % des femmes non dépistées meurent d’un cancer du sein dans les 10 ans, comparativement à 0,46 % qui subissent un dépistage..

Donc le dépistage sauve des vies. CQFD.:sleep:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
garotoubib Membre 177 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Donc le dépistage sauve des vies. CQFD.:sleep:

Chacun en pense ce qu'il en veut :)

Pour sauver une vie, les programmes de dépistage du cancer du sein en massacre 10 !

Dire que les mammographies de dépistage réduisent la mortalité du cancer du sein de 30 % est un mensonge selon Peter Gøtzsche. Car si le dépistage sauve effectivement une vie pour chaque 2000 femmes qui subissent une mammographie de dépistage, dans le même temps, parmi ces 2000 femmes, elle en massacre aussi 10 qui subiront injustement les affres du traitement. Car explique le Pr Peter Gøtzsche chez ces 10 femmes/2000, les cellules cancéreuses détectées auraient pu disparaitrent d’elles-même ou ne jamais progresser vers un cancer. Ces femmes vont pourtant subir une excérèse et 6 d’entre elles subiront même l’ablation inutile d’un sein. Sans compter la radiothérapie, les chimiothérapies et l’ensemble des répercutions physiques et psychologiques provoquées par le diagnostic et le traitement. (ajoutons, qu'en plus ce comportement fausse les statistiques en faisant croire qu'on guérit beaucoup plus de cancers qu'en réalité. J. L. )

"les trois quarts de l'incidence annuelle actuelle du cancer du sein aux États-Unis est causé par des rayonnements ionisants, principalement à partir de sources médicales."

"Si une femme a une mammographie annuelle dès l'age de 55 à 75 ans, elle recevra un minimum de 20 rads de rayons.A titre de comparaison, les femmes qui ont survécu aux attentats à la bombe atomique à Hiroshima ou Nagasaki ont absorbées 35 rads...."

Conflits d’intérêts et surdiagnostic du cancer du sein

Comment les conflits d’intérêts mènent-ils à traiter inutilement des surdiagnostics, à savoir des « cancers » qui n’auraient pas eu de conséquence sur la vie des patients s’ils n’avaient pas été découverts ?

http://www.formindep.org/Conflits-d-interets-et.html

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Aux grands mots les grands remèdes, Posté(e)
Fafaluna Membre 7 395 messages
Aux grands mots les grands remèdes,
Posté(e)
Peter Gøtzsche chez ces 10 femmes/2000, les cellules cancéreuses détectées auraient pu disparaitrent d’elles-même ou ne jamais progresser vers un cancer

Des cellules cancéreuses qui disparaissent par l'opération du saint esprit ben voyons! Le mec persiste dans sa connerie quoi...! ce serait comique si cela ne risquait pas de nuire aux malades.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, A ghost in the shell, 50ans Posté(e)
Nephalion Modérateur 32 738 messages
50ans‚ A ghost in the shell,
Posté(e)

Quelques chiffres sur la radioactivité ...

Radioactivité naturelle : 1-20 mSv par an (des pics à 40 mSv ont été reportés en Iran)

Une radiographie du bras : 0,1 à 1 mSv en quelques minutes

Une mammographie : 1 à 4 mSv en quelques minutes

Un scanner du thorax : 10-20 mSv en quelques minutes

Une session de radiothérapie : 2 Sv en quelques minutes à la tumeur (une radiothérapie est faite de plusieurs sessions espacées de 24 h)

En dehors de la radioactivité naturelle et de toute irradiation d’origine médicale, la limite individuelle pour le grand public (hors travail) est de 1 mSv/an (corps entier), 15 mSv/an pour le cristallin et 50 mSv/an pour chaque cm2 de peau.

http://www.inserm.fr/actualites/rubriques/actualites-societe/radioactivite-faibles-doses-fortes-doses-sommes-nous-tous-egaux

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
garotoubib Membre 177 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Des cellules cancéreuses qui disparaissent par l'opération du saint esprit ben voyons! Le mec persiste dans sa connerie quoi...! ce serait comique si cela ne risquait pas de nuire aux malades.

Ben oui...c'est courant....et heureusement !

Le corps humain est assez bien fait dans certains cas.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Aux grands mots les grands remèdes, Posté(e)
Fafaluna Membre 7 395 messages
Aux grands mots les grands remèdes,
Posté(e)

vous voulez faire croire ça à qui? dans le cas du cancer il est IMPERATIF de neutraliser les cellules cancéreuses quand elles sont encore au début sinon le cancer se généralise et là c'est fini et y'a pas de " le corps humain est bien fait"qui tienne face à cette maladie.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.


×