Pas top, la vie de mannequin

Ancien mannequin, Christine Hart publie un livre sévère sur l'univers de la mode et des top-modèles. Un témoignage de plus sur les pressions et les abus, y compris sexuels, que subissent de très jeunes femmes désireuses de réussir.

Il a fallu attendre vingt ans pour découvrir qu’à l’apogée de sa carrière Linda Evangelista – le top-modèle qui ne sortait pas de son lit pour moins de 10 000 dollars – vivait en réalité dans une grande solitude. Son seul plaisir était sa Game Boy.

Pareillement, plusieurs années ont passé avant que Karen Mulder – "la blonde classe" – ne déclenche un scandale retentissant, peu avant d’être admise dans un service psychiatrique. Elle déclara qu'Albert de Monaco et d’autres dirigeants de l’agence Elite avaient essayé de la violer, que son père l’hypnotisait dans le même but et que son statut de mannequin faisait d'elle une monnaie d’échange sexuelle.

Paranoïa ou sinistre réalité ?

Depuis, la Hollandaise a présenté des excuses et fait profil bas suite [toutefois une plainte pour viol a bien été déposée en novembre 2001]. Karen Mulder est alors internée, mais sa tentative de suicide, en 2002, a relancé le débat sur le style de vie des mannequins et les répercussions psychologiques de leur travail.

Dans ce monde, garder la tête froide et survivre aux succès comme aux échecs s’apparente à un véritable triomphe. Voilà ce que pense Christine Hart de sa profession. Pendant dix ans (des années 1990 et au début des années 2000), cet ex-mannequin a travaillé à Milan, Paris et New York. Elle a côtoyé les plus grands pendant l’âge d’or des top-modèles, travaillé pour le photographe Helmut Newton, défilé pour Kadhafi. Et elle a survécu pour raconter son histoire dans un livre.

Suite :

http://www.courrierinternational.com/article/2012/12/19/pas-top-la-vie-de-mannequin

Quand on fait ce métier là , on subit, ou on s'en va, les pimbêches déhanchées qui veulent faire des stars se trompent de porte

Très étonnant moi qui pensait que la vie de mannequin était faite de respect et de spiritualité.

Loin de moi l'idée de cautionner ce qui se passe dans ce milieu, c'est quand même pas un secret que c'est un monde pourri jusqu'à la moelle. Elles imaginent quoi les filles qui se lancent là-dedans ?

Les filles veulent leur ressembler, c'est donc que leurs idoles sont aussi mal loties qu'elles, des bonnes à tout faire.

Ce métier est trop restrictif au niveau de la bouffe pour être intéressant. Travailler, gagner de l'argent pour ressembler à un squelette et droguer toutes la journée... c'est pas pour moi.

En tout cas, l'article est intéressant.

Je préfère une bonne fille comme celle de mon avatar...

http://www.google.fr...r:18,s:100,i:58

A ce stade là , c'est beau la vie de mannequin:gurp:

Elle en est morte.

Oui, c'est vraiment l'extrême, mais combien sont elles à s'approcher comme elle, un beau métier mais complétement dingue à gérer

:cool:

Moi , longtemps , j'ai fais "mannequin-slip" pour un catalogue de vente par correspondance ...

Le plus dur , c'était les strings !

Je redoute les Trois Suisses à cause de la Camif ...

:cool:

Je pense que pour les femmes sont plus concernée par ça