La croisière vomit

Bonjour ,

Je viens de tomber sur une drôle d'info : une épidémie de gastro-entérite sur un bateau de croisière, vendredi dernier... Une croisière qui n'a pas du s'amuser donc. J'imagine que le doc Adam Bricker n'a pas du savoir où donner de la tête, tandis que le fringant capitaine Merrill Stubing a du se prendre quelques galons (marron) en sus sur son uniforme immaculé, quelque peu moucheté pour l'occasion. Il n'aurait plus manqué que le bateau heurte un iceberg... Imaginez alors le tableau. Enfin, quel calvaire pour les pauvres passagers : déjà le mal de mer, c'est pas marrant, mais quand la gastro s'invite par dessus ! Oh, regardez : le navire du Hollandais gerbant qui écume les mers ! Envoyez les secours, c'est une marée brune, avec des grumeaux !

Bon, suffit les bêtises, place à l'article, repêché dans le journal Ouest-France : Mon lien

Gastro-entérite. La croisière vomit : traversée-cauchemar pour 300 passagers

Faits diversvendredi 14 décembre 2012

• La croisière ne s’est pas amusée, entre Southampton et la mer Baltique. 300 passagers du paquebot Oriana ont été touchés par une épidémie de gastro-entérite.Archives Ouest-France

C'était pas la croisière idéale pour trouver l'amour :

300 passagers d’un paquebot de luxe ont été frappés par une épidémie de gastro-entérite, qui a transformé la croisière en cauchemar, entre Southampton (Royaume-Uni) et la mer Baltique.

« Ça a été horrible du début à la fin. Les gens tombaient comme des mouches et l’équipage essayait malgré tout de nous dire que tout allait bien. Tout le monde disait : c’est un navire pestiféré. C’est un cauchemar vivant. »

Paul Gilman, 62 ans, qui s’est confié au Daily Mail, se souviendra longtemps de la croisière de l’Oriana, parti de Southampton (Royaume-Uni) le 4 décembre pour une dizaine de jours sur la mer Baltique avant de regagner le port anglais.

« La pagaille du début à la fin »

Une « affection gastro-intestinale bénigne », selon le croisiériste P & O, a rendu malade environ 300 des 1 843 passagers à bord du paquebot. « Il semblerait qu’il s’agisse d’une gastro-entérite, une affection hautement contagieuse » et « très commune au Royaume-Uni, en Europe et aux Etats-Unis ».

« Ça a été la pagaille du début à la fin », raconte un autre passager, Brian Weston, 67 ans. « Les gens sont tombés malades presque immédiatement quand nous avons levé l’ancre et l’épidémie s’est propagée comme une traînée de poudre. Mais les officiers sur le bateau tentaient de minimiser ce qui se passait. »

« Un spécialiste des virus, qui a fait la traversée avec nous, nous a dit que le navire n’aurait pas dû prendre la mer pendant 48 heures et aurait dû être nettoyé à fond », a expliqué son épouse Denise Weston.

La compagnie se défend

P & O assure de son côté que « des protocoles de désinfection plus poussés » ont été mis en place en accord avec les responsables sanitaires britanniques et que « tout a été fait pour s’assurer du confort des passagers malades ».

Pour cette croisière d’une dizaine de jours, certains passagers avaient déboursé 1 400 livres (1 725 €). L’Oriana a plusieurs fois accosté à Brest et Cherbourg ces dernières années.

Rires!

on aurait pu titrer aussi"la croisiére s'emmerde"

c'est la faute a choco, il était sur le navire

J'éspère au moins qu'ils ont gerbé en serrant les dents pour garder les plus gros morceaux !