Provocateurs et vrais subversifs

Cohn-Bendit est une ordure, aujourd'hui il est de la caste des bien-pensants, mais en 1968 il était subversif pour le meilleur et pour le pire, surtout pour le pire.

Quel est le rapport entre la subversion,la provocation et l'intérêt commun ou individuel?Je vois pas.

"subversif, adjectif Féminin ive. Sens Qui tend à menacer, à provoquer ou à renverser l'ordre établi. Synonyme perturbateur"

Coluche qui se présente aux élections présidentielles de 81 et qui fait 15% d'intentions de votes,ça c'est de la subversion.

Cohn-Bendit et ses fantasmes de pédophile et tous les humoristes bobos de Paris faussement provocateurs à la Guillon,c'est du pipeau.

Définir la subversion, la provocation, c'est un débat intéressant mais qui risque de mener à une impasse. Une impasse finalement engendrée par le conflit de nos émotions intérieures transmises par les variables qui nous entourent (perception).

Cohn Bendit, désinhibé par "sa pâtisserie artificiel", à mon sens, est dans la provocation, car son discours, intentionnellement, titille et provoque les frontières subjectives des notions et conceptions que nous nous faisons du droit et de la morale.

Personnellement, donc, je trouve le choix d'Hussard Noir pertinent.

Ensuite, j'irai dans le sens de ton ressenti, en écrivant, qu'effectivement, Guillon reste un provocateur "fabriqué" par le système. Un "agitateur" à la subversion pauvre et consensuelle.

Et la Frigide Barjot qui fait de la provoc pour défendre les idées les plus réactionnaires c'est tout sauf subversif.

Damned, censuré...!!! Encore... (sourire)

Un parfait exemple de fausse subversive :

http://blogs.mediapa...-frigide-barjot

Définir la subversion, la provocation, c'est un débat intéressant mais qui risque de mener à une impasse. Une impasse finalement engendrée par le conflit de nos émotions intérieures transmises par les variables qui nous entourent (perception).

Cohn Bendit, désinhibé par "sa pâtisserie artificiel", à mon sens, est dans la provocation, car son discours, intentionnellement, titille et provoque les frontières subjectives des notions et conceptions que nous nous faisons du droit et de la morale.

Personnellement, donc, je trouve le choix d'Hussard Noir pertinent.

Ensuite, j'irai dans le sens de ton ressenti, en écrivant, qu'effectivement, Guillon reste un provocateur "fabriqué" par le système. Un "agitateur" à la subversion pauvre et consensuelle.

Je suis pas sur de bien comprendre...

Pour toi il est subversif lui ? :

Ou est-ce juste un pédophile de plus en liberté ?

Chouette topic sinon, y'a de très bons extraits ^^

Ah et j'ai lu ici que quelqu'un avait dit que les Nuls c'est naze mais bon...

Voilà pour la peine, j'poste que des trucs HS avec le topic, j'ai décidé de faire dans la provoc moi aussi :

Je suis pas sur de bien comprendre...

Il fallait juste comprendre que la perception des uns, en terme de subversion, n'est pas forcément celle des autres.

La subversion n'est pas forcement une chose honorable.

Exactement.

Il convient de comprendre que la subversion, à l'heure actuelle, passe pour être systématiquement une qualité. Cette vision des choses est, finalement, une aberration.

Quand on voit la surenchère de trash et de vulgarité qu'il existe chez les chanteuses de pop, les rockeurs et autres rapeurs, qu'y a-t-il de subversif chez ces gens là ? Il y a au contraire une mode des plus banales. Leur vulgarité croit renverser un ordre moral qui n'existe plus depuis un demi siècle, ils enfoncent des portes ouvertes, en croyant gifler la société ils giflent leur grand-mère déjà froide. A la vérité aujourd'hui, il y a plus de culot dans un discours du pape que dans un concert de Steel Panther.

Devant la rebellitude abrutissante de nos crieurs en Ray-ban, les rythmes barbares et la surenchère de vulgarité à qui fera le plus gros "buzz", je me demande si finalement, le type de musique le plus subversif dans notre société actuelle ne serait pas celui-ci :

Un moment de pure poésie romantique :

Un instant d'anthologie :

Faites attention, Hussard, quand vous pignez vous avez tendance à faire du Ségolène Royal.

http://www.youtube.com/watch?v=M2o19_jhhEk

Lyrics

Heureusement que j'ai mon dictionnaire de la mauvaise foi magusienne pour traduire que "pigner" veut dire "contredire Magus d'une façon ou d'une autre". Quant à Ségolène Royal, chacun aura compris que le néologisme "rebellitude" tient volontairement à définir par le ridicule ce que vous trouvez subversif, bien qu'il soit excessif en soi de définir par le ridicule ce qui l'est déjà par nature ; sur ce, je préfère pour ma dignité, lui ressembler au point d'enfiler un de ses tailleurs, plutôt que d'avoir voté pour elle en 2007, comme d'autres.

http://youtu.be/S0kwb9P_VnA

Exactement.

Il convient de comprendre que la subversion, à l'heure actuelle, passe pour être systématiquement une qualité. Cette vision des choses est, finalement, une aberration.

Très juste, au temps de Constantin V Copronyme, Basileus de Constantinople, ainsi nommé pour ses tendances scatophiles, ce sont ceux qui se torchaient proprement le derrière qui passaient pour subversifs...

Heureusement que j'ai mon dictionnaire de la mauvaise foi magusienne pour traduire que "pigner" veut dire "contredire Magus d'une façon ou d'une autre". Quant à Ségolène Royal, chacun aura compris que le néologisme "rebellitude" tient volontairement à définir par le ridicule ce que vous trouvez subversif, bien qu'il soit excessif en soi de définir par le ridicule ce qui l'est déjà par nature ; sur ce, je préfère pour ma dignité, lui ressembler au point d'enfiler un de ses tailleurs, plutôt que d'avoir voté pour elle en 2007, comme d'autres.

A soupeser les auras, vos compliments sont toujours des gages de qualité =) Pigner signifie geindre, chouiner, ou plus trivialement encore taper sa crise. Cela te passera, et ce monde dont tu ignores tout continuera de tourner =) J'ignorai que j'avais voté pour S. Royal. Je te laisse volontiers ses tailleurs.

Bernard Mabille

Emmett Grogan, créateurs des Diggers, suivi de son ouvrage Ringolevio, pour les connaisseurs...

Très juste, au temps de Constantin V Copronyme, Basileus de Constantinople, ainsi nommé pour ses tendances scatophiles, ce sont ceux qui se torchaient proprement le derrière qui passaient pour subversifs...

N'importe quoi.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Constantin_V