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faut il generalement souffrir pour etre heureux?


femzi

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Membre+, débatteur invétéré, 39ans Posté(e)
femzi Membre+ 5 626 messages
39ans‚ débatteur invétéré,
Posté(e)

salut tout le monde!

en voila une question qu'elle est drolement bonne;

faut il generalement souffrir pour etre heureux? quel est le prix du bonheur?

et pourquoi cela serait il verifier?

bon courage et merci a ceux qui se sentiront inspirer par la question!

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Membre, 67ans Posté(e)
Esperluette Membre 1 333 messages
Baby Forumeur‚ 67ans‚
Posté(e)

Je ne crois pas qu'il faille nécessairement souffrir pour être heureux. A moins d'être masochiste.

Ceci dit, probablement que celui qui n'a jamais été malheureux, ne connaît pas son bonheur n'ayant pas d'indicateur personnel permettant d'évaluer son propre bonheur ou sa chance...

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Membre, 39ans Posté(e)
CYRRIC Membre 3 026 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
Posté(e)

je pense que c'est indissociable mais pas proportionnelle

une personne qui a peu soufère pourra peut etre profité plus d'un evenement joyeux et une autre personne pour le même evenement pourrai moins l'aprecier bien qu'elle est plus souffert et inverssement.

je ne m'avancerais pas trop quand aux raison, on touche probablement a des raison aussi bien psychologique que social et bien d'autre aussi.

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Membre+, Amiereuse de Nouille <3 Zalakiss, 31ans Posté(e)
Elsa Membre+ 29 929 messages
31ans‚ Amiereuse de Nouille <3 Zalakiss,
Posté(e)

Bonjour!

Je pense qu'il faut avoir souffrir pour se rendre compte de ce qu'est le bonheur.. Et connaitre "sa valeur".

Si on a été mal et qu'on remonte la pente et qu'à un moment tout va pour le mieux pour nous, je pense que c'est vraiment parfait...

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Membre, 56ans Posté(e)
l'arme fatale Membre 984 messages
Baby Forumeur‚ 56ans‚
Posté(e)

Tout dépend de ce que l'on entend par souffrir mais aussi ce que l'on attend par être heureux.

Pour ma part et dans ma vie j'ai souffert avant d'être heureuse. Mauvais joie, mauvaise décision et mauvais compagnon pour enfin trouver le bonheur aprés plusieurs sacrifices. Chacuns à sa conception du bonheur, se satisfaire de ce que l'on a ou en vouloir toujours plus. Se fixer des objectifs et les atteindres ou accepter sa vie tel que.

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Membre, canal de Lumière, 46ans Posté(e)
Immateriel Membre 1 136 messages
46ans‚ canal de Lumière,
Posté(e)
faut il generalement souffrir pour etre heureux? quel est le prix du bonheur?

et pourquoi cela serait il verifier?

La souffrance fait partie de la confrontation difficile entre l'égo et le monde. Elle est une expérience qui enrichit et dont on se libère progressivement, et l'élargissement de la conscience qui prolonge cet apprentissage spirituel est celui qui mène au "bonheur" (le bonheur n'est pas avoir une infinité de plaisir, mais ne plus en être dépendant).

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Invité yakiba
Invités, Posté(e)
Invité yakiba
Invité yakiba Invités 0 message
Posté(e)

je pense qu'il faut connaitre la douleur pour apprécier quand elle s'arréte!

méme aprés la nuit la plus noire,l'aube vient toujours

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Membre, 44ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 44ans‚
Posté(e)

Mmmm je n'aime pas trop la notion de bonheur. C'est un mot valise. ( et d'ailleurs, la quête du bonheur est apparue très récemment dans nos sociétés. )

Il me semble que pour être heureux, il faut avoir vécu.

La capacité à être heureux me semble fondamentalement être une question de perception de l'instant et non d'expérience de vie.

Même si pour percevoir finement quelque chose il me semble nécessaire d'avoir vécu.

La capacité de perception dépend de l'expérience qu'on a accumulée.

En parlant d'expérience de Vie, je pense qu'il faut avoir souffert jusqu'à un point pour jouir jusqu'à ce même point.

C'est l'expérience de l'intensité de la vie. Expérience qui offre la perception du contraste de la Vie.

Mais je pense que quelqu'un qui a une vie simple, calme, sans excès, "sage", peut avoir trouvé un "bonheur" sincère.

Il aura touché l'expérience de la stabilité de la vie, ou plutôt de sa continuité.

L'expérience de la continuité me semble nécessaire pour se sentir réellement vivre. Sinon, la vie n'est qu'une accumulation désordonnée de réaction immédiates, certes intenses, mais manquant "d'unité".

Mais je pense que ni la perception de la continuité, ni du contraste de la vie sont suffisantes.

Les deux me semble nécessaire.

Je crois qu'avoir l'expérience du contraste combinée à l'expérience de la continuité, amène à une perception d'un ordre supérieure de la nature même de notre propre vie, qui me semble nécessaire pour atteindre un véritable bonheur profond.

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