Aller au contenu

Burn out


felouque38

Messages recommandés

Membre, 53ans Posté(e)
Amarok59 Membre 1 992 messages
Baby Forumeur‚ 53ans‚
Posté(e)

Je n'en doute pas !J'ai vu un jour une collègue pleurer lors d'une réunion , elle a craqué car arrivé à saturation .Malgré sa dépression elle s'est arrêté peu de temps , cela a été pire que mieux , aujourd'hui elle a complètement quitté le métier et à carrément changé d'orientation professionnelle car le socio santé plus question pour elle d'en entendre parler et ce malgré la vingtaine d'années de metier .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
  • Réponses 46
  • Créé
  • Dernière réponse
Membre, 80ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 828 messages
Mentor‚ 80ans‚
Posté(e)

Moi j'ai fait mon burn out ........a' ma retraite !!!

10 jours d’hôpital pour soigner une hypertension sévère, j’étais comme un plongeur remonté a' la surface sans paliers de décompressions.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 53ans Posté(e)
Amarok59 Membre 1 992 messages
Baby Forumeur‚ 53ans‚
Posté(e)

hé bien dis donc sympa la retraite !C'est le fait de ne plus aller bosser qui t'as fais ça?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Modérateur, ©, 108ans Posté(e)
January Modérateur 62 088 messages
108ans‚ ©,
Posté(e)

Quand j'entends burn out pour moi ça veut dire bosser trop. Une charge de travail trop importante, des heures à n'en plus finir, des devoirs à la maison, une mise en disponibilité quasi systématique, etc.. Après je me dis.."Oui mais" : ça vient d'où, de quoi, de qui ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 114ans Posté(e)
stvi Membre 20 709 messages
Mentor‚ 114ans‚
Posté(e)

Je n'en doute pas !J'ai vu un jour une collègue pleurer lors d'une réunion , elle a craqué car arrivé à saturation .Malgré sa dépression elle s'est arrêté peu de temps , cela a été pire que mieux , aujourd'hui elle a complètement quitté le métier et à carrément changé d'orientation professionnelle car le socio santé plus question pour elle d'en entendre parler et ce malgré la vingtaine d'années de metier .

absolument ... ceux qui sortent d'un burn out sont généralement ceux qui changent de métier ...Les autres subissent toujours ce raz le bol ,ce sentiment de dégoût ,et vont au travail comme on va à l'échafaud ....

le burn out n'est pas seulement dû à un surcroît de travail mais surtout des conditions dans lesquels ce surcroît est effectué....

Ce n'est pas facile actuellement de changer radicalement d'activité ,mais cela procure un sentiment de bonheur indescriptible surtout si cette reconversion est réussie ....

personnellement je suis passé de la fonction publique au privé après près de 20 ans d'activité dans ce secteur, et il était temps ...j'ai eut l'impression de commencer une nouvelle vie ,et échapper à un cercle vicieux ...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Au coeur de la Cité des Papes, Posté(e)
PUNCHETTE Membre 34 166 messages
Au coeur de la Cité des Papes,
Posté(e)

absolument ... ceux qui sortent d'un burn out sont généralement ceux qui changent de métier ...Les autres subissent toujours ce raz le bol ,ce sentiment de dégoût ,et vont au travail comme on va à l'échafaud ....

le burn out n'est pas seulement dû à un surcroît de travail mais surtout des conditions dans lesquels ce surcroît est effectué....

Ce n'est pas facile actuellement de changer radicalement d'activité ,mais cela procure un sentiment de bonheur indescriptible surtout si cette reconversion est réussie ....

personnellement je suis passé de la fonction publique au privé après près de 20 ans d'activité dans ce secteur, et il était temps ...j'ai eut l'impression de commencer une nouvelle vie ,et échapper à un cercle vicieux ...

:plus: Complètement vrai....Cela a été mon cas....j'ai quitté un métier où je gagnais très bien ma vie pour beaucoup moins mais je suis heureuse dans ce que je fais...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité rochdean
Invités, Posté(e)
Invité rochdean
Invité rochdean Invités 0 message
Posté(e)

Comme dirait Hollande : le Burn Out dans les entreprises, c'est maintenant!

Même s'ils ont trouvé la solution pour le guérir : le licenciement collectif!!!

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 53ans Posté(e)
Amarok59 Membre 1 992 messages
Baby Forumeur‚ 53ans‚
Posté(e)

Je pense que ce doit être très difficile de remettre la pratique de son métier en question , surtout quand on aime son métier et qu'on l'a pratiqué une vingtaine d'années.

Si un jour cela devait m'arriver , et avec une hernie discale je me dis que je ne suis pas à l'abri , la question que je me poserai c'est: "Bon !Je fais quoi maintenant? Et là pour moi ce sera l'angoisse totale car je n'en ai aucune idée !

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 53ans Posté(e)
Amarok59 Membre 1 992 messages
Baby Forumeur‚ 53ans‚
Posté(e)

Quand j'entends burn out pour moi ça veut dire bosser trop. Une charge de travail trop importante, des heures à n'en plus finir, des devoirs à la maison, une mise en disponibilité quasi systématique, etc.. Après je me dis.."Oui mais" : ça vient d'où, de quoi, de qui ?

Pa forcement bosser trop. Dans l'aide et le service à la personne il y a peu de temps plein , les temps partiels sont plus nombreux et c'est peut-être aussi pour ça que le recrutement et difficile et que du coup , la charge de travail est plus conséquente pour les autres.

Mon métier souffre d'une mauvaise image et c'est aussi pour ça que les recrutements sont un peu à la peine. Petits contrats ,rémunération , emplois précaires parfois avec salarié(e)s aux statuts de travailleurs pauvres , le nombre de CDD à augmenté car beaucoup d'asso ne peuvent plus se permettre des CDI d'office car trop fragiles depuis que le conseil général est beaucoup plus frileux pour allouer les plans d'aides et aussi fragilisé par le nombre d'asso qui ont poussé comme des champignons et qui au final enterre les asso les plus anciennes car moins chère.

Dans les grandes lignes je dirais que les situations sont parfois déclenchement de mal être :Comment peut-on préparer un repas pour une personne quand on est soit même obligé d'aller voir une assistante sociale pour bouffer?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 80ans Posté(e)
bibifricotin Membre 12 828 messages
Mentor‚ 80ans‚
Posté(e)

hé bien dis donc sympa la retraite !C'est le fait de ne plus aller bosser qui t'as fais ça?

Le burn out peut être une bombe a' retardement...., il peut vous rattraper même quand vous pensez en être sorti.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité
Invités, Posté(e)
Invité
Invité Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour

Je serais intéressée à lire des témoignages de ceux-celles qui ont connu un épuisement professionel.

Les signes, les causes et ce que vous avez fait pour vous en sortir.. Et surtout ce que cette expérience vous appris sur vous même, et comment elle vous a servi.

Je suis en plein dedans. au coeur du cyclone et il n’y a aucune issue possible, si ce n'est celle de prendre la porte. Les signes : tous ceux décrits par Sekhmet sans exception. Les causes : une conscience professionnelle et un perfectionnisme incompatibles avec une charge de travail insurmontable et grandissante ; une impossibilité de dire "non" parce que toute absence de réponse (ou tout refus) de ma part multiplie ma charge de travail qui déjà est insurmontable ; et une impossibilité de déléguer ce travail puisqu’il n’y a personne pour le faire à ma place. Ce qui veut dire aussi aller bosser même quand on est malade puisque que tout arrêt de travail empirerait la/ma situation. C’est un véritable cercle vicieux. D'autant plus vicieux que la fatigue et la charge mènent à un travail mal fait qui lui-même alimente l'insatisfaction. Pour l’heure, ce que l’expérience m’apprend sur moi-même c’est qu’écrire de temps en temps des conneries sur facebook pour compenser est totalement contreproductif.

On peut savoir pour quelles raisons tu t’intéresses à la question ? ce sont des raisons personnelles ou professionnelles ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 53ans Posté(e)
Amarok59 Membre 1 992 messages
Baby Forumeur‚ 53ans‚
Posté(e)

Le burn out peut être une bombe a' retardement...., il peut vous rattraper même quand vous pensez en être sorti.

J'espère que tu en est sorti

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 296 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)

Je suis en plein dedans. au coeur du cyclone et il n’y a aucune issue possible, si ce n'est celle de prendre la porte. Les signes : tous ceux décrits par Sekhmet sans exception. Les causes : une conscience professionnelle et un perfectionnisme incompatibles avec une charge de travail insurmontable et grandissante ; une impossibilité de dire "non" parce que toute absence de réponse (ou tout refus) de ma part multiplie ma charge de travail qui déjà est insurmontable ; et une impossibilité de déléguer ce travail puisqu’il n’y a personne pour le faire à ma place. Ce qui veut dire aussi aller bosser même quand on est malade puisque que tout arrêt de travail empirerait la/ma situation. C’est un véritable cercle vicieux. D'autant plus vicieux que la fatigue et la charge mènent à un travail mal fait qui lui-même alimente l'insatisfaction. Pour l’heure, ce que l’expérience m’apprend sur moi-même c’est qu’écrire de temps en temps des conneries sur facebook pour compenser est totalement contreproductif.

On peut savoir pour quelles raisons tu t’intéresses à la question ? ce sont des raisons personnelles ou professionnelles ?

J'ai vécu des situations de ce genre. J'aurais pu amener un lit de camp dans ma boîte, et bosser 7 jours sur 7 et toute la journée, sans que cela solutionne d'ailleurs mon problème de travail. Il faut se méfier du perfectionnisme. A partir du moment où on se rend compte que l'on est dans une situation sans issue, il faut avant tout se protéger soi-même, surtout si l'on occupe un poste à responsabilités. Tant pis pour le boulot. Donc :

- Respecter rigoureusement les horaires, sans plus. Toute heure supplémentaire doit être payée.

- Ne pas répondre aux appels concernant le travail quand on est en dehors du boulot. La vie privée est sacrée.

- Idem pour les e-mails.

- D'ailleurs Internet est source de perte de temps. Ne traiter que l'indispensable.

- Ne pas hésiter à faire bosser les autres à sa place si c'est possible.

- Si l'on travaille dans une entreprise où il y a un syndicat, se syndiquer et tâcher de devenir un salarié protégé.

- En cas de gros problème avec un responsable hiérarchique, aller voir à l'étage du dessus.

Pour survivre dans ce genre de situation, il faut savoir distinguer l'essentiel (à traiter) et l'accessoire (que l'on peut mettre de côté en attendant d'avoir du temps pour s'en occuper).

Cela dit, la surcharge de travail n'est que l'un des nombreux cas de figures qui peuvent mener au burn-out, et certainement pas le pire. Parmi les autres cas on peut citer :

- Les objectifs contradictoires ou impossibles à atteindre;

- Les rapports conflictuels avec sa hiérarchie, ses collègues ou la clientèle;

- L'absence totale de travail (la placardisation); sûrement le pire qui puisse arriver, surtout à quelqu'un habitué à travailler sous la pression.

Moi j'étais devenu colérique, voire violent. Je ne conseille pas d'en arriver là, mais une bonne gueulante de temps en temps ça fait du bien. En plus si on acquiert une réputation de mauvais caractère, au moins on hésite à vous déranger pour un ou pour un non : c'est tout bénef.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité nietzsche.junior
Invités, Posté(e)
Invité nietzsche.junior
Invité nietzsche.junior Invités 0 message
Posté(e)

y a pas que le coté perfectionniste , mais aussi le souci qui nous hante de vouloir aller au bout de rester sur le pont quelque que soit les conditions , et d etre un peu trop protecteur avec les gens et on fini par servir de tampon entre la direction et les salariés , c est pas tant la perfection mais on cherche toujours a faire en sorte que tout aille mieux pour tous et on fini s en sans rendre compte par etre la variable d ajustement et on se réveille un matin ; enfin nan on se reveille plus et on s endort plus non plus d ailleurs on a juste l impression d être comme un zombie .. y a comme un bruit de fond en permanence qui nous empêche de pouvoir profiter de moment précieux qui nuos permettrai de pouvoir reprendre des force ..

essayer de se preserver un endroit un lieu un espace un temps pour tenter de reprendre souffle .. deja ca . ..

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 296 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)

Dans ma vie professionnelle j'ai connu des directeurs exigeants, sévères, voire durs dans les relations de travail. Avec ceux-là souvent c'est difficile, mais ça vaut le coup de bosser et de se donner du mal. Et puis il y a les fous, les psychopathes, les authentiques salauds. Ils sont relativement rares, mais ils existent. Dans ce cas, une seule solution : la fuite. Même si c'est un arrache-cœur. Le problème, c'est que les gens ne portent pas sur le front une étiquette : "Je suis un salaud et un psychopathe". Donc quand on comprend à qui on a affaire, parfois cela fait des années que l'on est dans la boîte. Mais tant pis, il vaut mieux partir (en se faisant licencier; la démission est à réserver aux cas extrêmes). De toute façon aucune boîte ne mérite que l'on mette en péril sa santé voire sa vie pour elle.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité nietzsche.junior
Invités, Posté(e)
Invité nietzsche.junior
Invité nietzsche.junior Invités 0 message
Posté(e)

le problème c est qu on s en rend pas compte qu on met sa santé en péril .. c est comme la grenouille dans un casserole dont on fait monter la température ..

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 296 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)

Il y a des signes, quand même. Bien sûr, les seuils de tolérance, et les façons de réagir au stress, diffèrent selon les individus. Mais enfin on se rend compte quand même quand on se sent à l'aise dans son travail ou pas. L'irritabilité, le manque de sommeil ou d'appétit sont des signes qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Evidemment ce sont des questions très compliquées. Par exemple on peut supporter sans problème une grande masse de travail si on touche un bon salaire, on travaille dans un environnement agréable, on s'entend bien avec ses collègues etc. Parfois, des collègues sympathiques peuvent aider à supporter un supérieur détestable. L'environnement du travail est aussi important que le travail lui-même. Il faudrait faire un tableau, avec deux colonnes :

- Points positifs;

- Points négatifs.

Bien sûr s'il n'y a que des points négatifs... mieux vaut aller chercher ailleurs. Mais si je me replonge dans ma propre expérience professionnelle (je suis à la retraite depuis peu), je peux dire que la surcharge de travail n'a jamais constitué un problème majeur. On s'habitue à travailler sous la pression; on finit par aimer ça, et le jour où cette pression disparaît... ça manque. Par contre si d'autres problèmes (relationnels par exemple) s'ajoutent à cette surcharge, alors là ça peut devenir insupportable. Cas classique : une entreprise où se déroule un plan social. Donc souvent ce n'est pas la surcharge de travail qui est en cause, mais des facteurs aggravants liés à l'environnement du travail. Les conditions de la mondialisation, et les conneries que l'on apprend aux cadres dans les écoles, tendent à rendre les entreprises de plus en plus inhumaines, et les relations de travail de plus en plus conflictuelles. Voilà une source importante de stress.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, ♪ ♫ ♪ ♫, Posté(e)
Herman1 Membre 11 499 messages
♪ ♫ ♪ ♫,
Posté(e)

le problème c est qu on s en rend pas compte qu on met sa santé en péril .. c est comme la grenouille dans un casserole dont on fait monter la température ..

HISTOIRE DE LA GRENOUILLE.pps

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité nietzsche.junior
Invités, Posté(e)
Invité nietzsche.junior
Invité nietzsche.junior Invités 0 message
Posté(e)

Il y a des signes, quand même. Bien sûr, les seuils de tolérance, et les façons de réagir au stress, diffèrent selon les individus. Mais enfin on se rend compte quand même quand on se sent à l'aise dans son travail ou pas. L'irritabilité, le manque de sommeil ou d'appétit sont des signes qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Evidemment ce sont des questions très compliquées. Par exemple on peut supporter sans problème une grande masse de travail si on touche un bon salaire, on travaille dans un environnement agréable, on s'entend bien avec ses collègues etc. Parfois, des collègues sympathiques peuvent aider à supporter un supérieur détestable. L'environnement du travail est aussi important que le travail lui-même. Il faudrait faire un tableau, avec deux colonnes :

- Points positifs;

- Points négatifs.

Bien sûr s'il n'y a que des points négatifs... mieux vaut aller chercher ailleurs. Mais si je me replonge dans ma propre expérience professionnelle (je suis à la retraite depuis peu), je peux dire que la surcharge de travail n'a jamais constitué un problème majeur. On s'habitue à travailler sous la pression; on finit par aimer ça, et le jour où cette pression disparaît... ça manque. Par contre si d'autres problèmes (relationnels par exemple) s'ajoutent à cette surcharge, alors là ça peut devenir insupportable. Cas classique : une entreprise où se déroule un plan social. Donc souvent ce n'est pas la surcharge de travail qui est en cause, mais des facteurs aggravants liés à l'environnement du travail. Les conditions de la mondialisation, et les conneries que l'on apprend aux cadres dans les écoles, tendent à rendre les entreprises de plus en plus inhumaines, et les relations de travail de plus en plus conflictuelles. Voilà une source importante de stress.

je vois ce que tu veux dire et tu a raison c est une bonne methode , poser le pour le contre;e salaire , le trajet , mais aussi l ancienneté l age ses capacité de rebondir , le coté positif de la pression qui sert de moteur , ce stresse qu on peut convertir en coup de punch , et la satisfaction de remplir certaines missions

mais parfois le seul coté positif c est la nécessité qui te l impose .. tes crédits et l impossibilité de descendre du train en marche .. tu voudrais juste un peu de temps pour poser le truc l analyser prendre de la distance , mais non tu l a pas . Tu vois c est comme réparer un bateau mais en pleine mer , t a ce sentiment d etre coincé entre cette mission qui te bouffe , pas toujours a cause de la direction , des fois c est dans ton équipe , ou un autre cadre , des clients ;fois un peu de chaque , ca reste diffus t a du mal , souvent le manque de moyen . un vélo avec un roue et tu dois malgré tout faire comme ci ..

..

après je crois que ce qu on nomme le « burn out » y a une sorte de couplage avec la vie en général ,ou arrivé un moment on a du mal a enlever cette espèce de truc lourd qu on porte comme une veste , t a meme plus envie de parler ou de répondre au tel quand tu rentre , un peu comme cet angoisse de la boite au lettre quand tu sais que t a pas payé des truc et que tu retarde le plus .. ou si en plus en parallèle t a voulu devenir propriétaire , que des travaux en cours des truc qui te court sur le systeme .. des fois ca peut tres bien se passer a la maison en dehors mais la pression est telle qu elle déborde malgré tout et ca pollue tout .. une brume c est l image .. et pas évident d en sortir kler

c est une sorte d engrenage ou tu tient parc-que tu sais que tu dois pas tomber , alors tu t accroche mais voilà quoi combien de temps ..

quand théia parlait d ouragan je pensais a cette spirale

le vice herman c est que la grenouille personne veut la tuer ou la faire bouillir mais juste qu elle soit a la température limite , la maintenir en etat de stress .. car c est la qu on tire le meilleur d elle , etre tout le temps sur la breche .. et si la grenouille meurs c est surtout parcque elle va se laisser noyer , car elle en aura marre de barboter en permanence sans pouvoir souffler ... elle mourra de fatigue .. car dans une casserole

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 38 296 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)

Le management par le stress... Ces chefs qui se croiraient déshonorés s'ils félicitaient leur équipe qui a bien travaillé... C'est à la mode, mais c'est de la pure connerie. Les gens ont besoin d'encouragements, de travailler dans une atmosphère positive. Le modèle des entreprises françaises aujourd'hui, c'est "Koh-Lanta" (c'est d'ailleurs pour ça que cette émission a tellement de succès) : on vous traite comme de la merde, et vous traitez les autres comme de la merde. C'est comme ça qu'on fabrique du burn-out.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.


×