Suicide des personnes âgées

le suicide de la personne âgée est plus liée à l'abandon , à la solitude qu'elle engendre ; aprés avoir vécu et tout donné durant sa vie à ses enfants et de se voir abandonné c'est le syndrome de glissement direct, plus d'envie , se sentir inutile, à cela se rajoute la dépendance d'un tiers inconnu pour les choses les plus intimes de la vie qui devient inssuportable , la degradation de l'état de santé qui engendre la souffrance physique et morale, un bon cocktel depressif et une envie de liberation pour la personne agée mais aussi un soulagement des familles(ressenti par la personne agée). et se phénoméne touche aussi les personnes en institution pas seulement à domicile. D'où, une surveillance accrue des soignants que ce soit au niveau de l'écoute, dans les symptôme de syndrome de glissement et dans les relations familles.

Bonjour :)

Très important à dire: Je souhaite et espère très vivement et très fort, que lorsque je serai arrivée (et si ) dans un état d'inautonomie physique , que ce soit chez moi même assistée, ou en maison médicalisée spécialisée ou autre, qu'on me fera la petite piqûre létale et terminé.

Je n'envisage pas, je refuse, je ne veux pas, faire de réadaptation mentale à un tel état à un âge plus avancé que le mien actuel.

Vraiment très important à dire et à faire savoir à chaque personne dans le domaine de la médecine ou infirmier ou aide-soignant-e, pour les personnes qui expriment ce souhait.

Bonne fin de journée /semaine à chacun-e :)

même si c'est ton choix, malheureusement et je ne te le souhaite pas, quand on se trouve dans un état cité comme tu le précise et qui plus est plus en capacité de donner ses derniéres directives ou souhaits, c'est le(la) conjoint(e), les enfants qui en décident par le bied d'une reunion avec en presence un medecin, un psychologue, mais cela ne concerne que l'arrêt définitif de l'acharnement médicale, ne garder que les soins de confort ou les perfusions de glucose et patch anti-douleur, l'euthanasie étant interdite.

en tant qu'aide soignante de profession nous ne pouvons que dispenser des soins de confort, d'hygiéne et d'écoute avec notre présence tant que possible au chevet du resident

je te lis bien l'arme fatale, mais tu sembles penser qu'il n' existe que des personnes âgées avec conjoint et/ou avec enfants et/ou petits-enfants

Or, ce n'est pas du tout mon cas, donc personne ne risque de procès pour euthanasie

Je sais qu'il y a eu des procès pour euthanasie, qui est interdite en France actuellement encore

Alors, ma (ou plutôt mes) question est, et elle est très importante pour moi:

comment dois-je faire, que dois-je faire, à qui dois-je m'adresser, pour être certaine que mon souhait et ma volonté soient respectées ?

ps: ici tu peux parler en toute liberté, puisque nous sommes anonymes

2è ps: je ne pense pas du tout que tous les médecins, infirmier-ères, aide-soignant-es soient contre l'euthanasie

le suicide de la personne âgée est plus liée à l'abandon , à la solitude qu'elle engendre ; aprés avoir vécu et tout donné durant sa vie à ses enfants et de se voir abandonné c'est le syndrome de glissement direct, plus d'envie , se sentir inutile, à cela se rajoute la dépendance d'un tiers inconnu pour les choses les plus intimes de la vie qui devient inssuportable , la degradation de l'état de santé qui engendre la souffrance physique et morale, un bon cocktel depressif et une envie de liberation pour la personne agée mais aussi un soulagement des familles(ressenti par la personne agée). et se phénomène touche aussi les personnes en institution pas seulement à domicile. D'où, une surveillance accrue des soignants que ce soit au niveau de l'écoute, dans les symptôme de syndrome de glissement et dans les relations familles.

Bonjour :)

Très important à dire: Je souhaite et espère très vivement et très fort, que lorsque je serai arrivée (et si ) dans un état d'inautonomie physique , que ce soit chez moi même assistée, ou en maison médicalisée spécialisée ou autre, qu'on me fera la petite piqûre létale et terminé.

Je n'envisage pas, je refuse, je ne veux pas, faire de réadaptation mentale à un tel état à un âge plus avancé que le mien actuel.

Vraiment très important à dire et à faire savoir à chaque personne dans le domaine de la médecine ou infirmier ou aide-soignant-e, pour les personnes qui expriment ce souhait.

Bonne fin de journée /semaine à chacun-e :)

même si c'est ton choix, malheureusement et je ne te le souhaite pas, quand on se trouve dans un état cité comme tu le précise et qui plus est plus en capacité de donner ses derniéres directives ou souhaits, c'est le(la) conjoint(e), les enfants qui en décident par le bied d'une reunion avec en presence un medecin, un psychologue, mais cela ne concerne que l'arrêt définitif de l'acharnement médicale, ne garder que les soins de confort ou les perfusions de glucose et patch anti-douleur, l'euthanasie étant interdite.

en tant qu'aide soignante de profession nous ne pouvons que dispenser des soins de confort, d'hygiéne et d'écoute avec notre présence tant que possible au chevet du resident

je te lis bien l'arme fatale, mais tu sembles penser qu'il n' existe que des personnes âgées avec conjoint et/ou avec enfants et/ou petits-enfants

Or, ce n'est pas du tout mon cas, donc personne ne risque de procès pour euthanasie

Je sais qu'il y a eu des procès pour euthanasie, qui est interdite en France actuellement encore

Alors, ma (ou plutôt mes) question est, et elle est très importante pour moi:

comment dois-je faire, que dois-je faire, à qui dois-je m'adresser, pour être certaine que mon souhait et ma volonté soient respectées ?

ps: ici tu peux parler en toute liberté, puisque nous sommes anonymes

2è ps: je ne pense pas du tout que tous les médecins, infirmier-ères, aide-soignant-es soient contre l'euthanasie

Vous êtes flippant, Pourquoi ne pas rester jusqu'au bout. Je sais qu'avoir un certain dû à l'âge peut être une contrainte

Mais une vie n'est elle pas vécu quand c'est jusqu'au bout ? Penser à ce genre est inconcevable a mon âge certes

mais penser qui si je prends la même décision à votre c'est prendre le risque de louper un petit peu de bonheur avec le reste de la famille.

Une mort digne est une vie vécu jusqu’à la fin.

Vous êtes flippant, Pourquoi ne pas rester jusqu'au bout. Je sais qu'avoir un certain dû à l'âge peut être une contrainte

Mais une vie n'est elle pas vécu quand c'est jusqu'au bout ? Penser à ce genre est inconcevable a mon âge certes

mais penser qui si je prends la même décision à votre c'est prendre le risque de louper un petit peu de bonheur avec le reste de la famille.

Une mort digne est une vie vécu jusqu’à la fin.

Désolée anthony sindicco, mais je n'ai pas l'esprit catho, je ne suis absolument pas anti-euthanasie

Non, non, non et X 1000 fois non, je ne veux pas de ce genre de fin de vie légume , m^me si mon esprit reste vif encore, et encore plus si mon esprit reste vif.

Non non non, je ne le veux pas

J'ai assez vu de près, ce que ça pouvait être

Et des témoignages encore plus triste aussi, tel que celui d'une bonne amie, dont le père, a eu un AVC, est resté environ 15 années ainsi, et elle m'a bien dit qu'il pleurait presque, qu'il était si malheureux, il faisait vraiment pitié, et pourtant, ses files, ses petits-enfants s'occupaient bien de lui, sont allé le voir le plus souvent possible

Ce qu'elle m'a dit, c'était réellement attristant

IL devait, il a dû, énormément souffrir moralement, mentalement d'être ainsi

15 ans d'AVC, grabataire total

15 ans

Imagines

Imagines

Alors faut pas parler de bonheur de voir la famille dans cet état

C'est du bonheur pour personne

Et moi , j'ai pas , j'ai plus aucune famille !!!!!

. Je suis pas catho. Ni rien d'ailleurs. Juste quelqu'un qui croit en la vie

Mais tu as fait ton choix. C'est triste c'est tout.

le pb est que je ne suis absolument pas certaine que mon "choix " comme tu dis, d'euthanasie ainsi que ma demande, seront respectés.

Qu'on le veuille ou non, la vie d'aucune personne n'est éternelle, la seule certitude.

Il ne s'agit pas de croire naïvement que l'élixir d'immortalité sera trouvé un jour

Peut-être, je n'en sais strictement rien

En tous cas, certainement pas dans les années qui me restent à vivre, valide, au XXIè siècle et au XXIIè siècle, ça m'étonnerait beaucoup, je ne compte vraiment pas là-dessus

En tous cas, moi, j'ai 100% de probabilité de mourir avant une telle découverte.

Alors, moi, je demande l'euthanasie, et : comment être certaine que ma demande soit respectée?

"L'élixir" de jeunesse et/ou de santé éternelle n'est pas non plus trouvé.

. Je suis pas catho. Ni rien d'ailleurs. Juste quelqu'un qui croit en la vie

Mais tu as fait ton choix. C'est triste c'est tout.

Mais sinon, t'inquiètes pas, vivre, j'aime vraiment ça:

(tiens, ne serait-ce que cet aprèm', une situation nouvelle pour moi , mais pas dramatique, m'a obligée à faire du vélo que je ne fais presque pas, eh ben j'ai dégusté avec un grand plaisr ces 2h et demie passées, nouveau pour moi enfin, la 2è fois en 15 jours

Un vrai délice !

Plus je vieilis, en bonne santé générale, plus je goûte les moments

Et samedi , petite nouvelle aventure pour moi, petit nouveau genre de voyage, pas fait encore

Ah oui, vivre, j'adore ça !

Mais valide :cool: )

le suicide de la personne âgée est plus liée à l'abandon , à la solitude qu'elle engendre ; aprés avoir vécu et tout donné durant sa vie à ses enfants et de se voir abandonné c'est le syndrome de glissement direct, plus d'envie , se sentir inutile, à cela se rajoute la dépendance d'un tiers inconnu pour les choses les plus intimes de la vie qui devient inssuportable , la degradation de l'état de santé qui engendre la souffrance physique et morale, un bon cocktel depressif et une envie de liberation pour la personne agée mais aussi un soulagement des familles(ressenti par la personne agée). et se phénoméne touche aussi les personnes en institution pas seulement à domicile. D'où, une surveillance accrue des soignants que ce soit au niveau de l'écoute, dans les symptôme de syndrome de glissement et dans les relations familles.

Bonjour :)

Très important à dire: Je souhaite et espère très vivement et très fort, que lorsque je serai arrivée (et si ) dans un état d'inautonomie physique , que ce soit chez moi même assistée, ou en maison médicalisée spécialisée ou autre, qu'on me fera la petite piqûre létale et terminé.

Je n'envisage pas, je refuse, je ne veux pas, faire de réadaptation mentale à un tel état à un âge plus avancé que le mien actuel.

Vraiment très important à dire et à faire savoir à chaque personne dans le domaine de la médecine ou infirmier ou aide-soignant-e, pour les personnes qui expriment ce souhait.

Bonne fin de journée /semaine à chacun-e :)

même si c'est ton choix, malheureusement et je ne te le souhaite pas, quand on se trouve dans un état cité comme tu le précise et qui plus est plus en capacité de donner ses derniéres directives ou souhaits, c'est le(la) conjoint(e), les enfants qui en décident par le bied d'une reunion avec en presence un medecin, un psychologue, mais cela ne concerne que l'arrêt définitif de l'acharnement médicale, ne garder que les soins de confort ou les perfusions de glucose et patch anti-douleur, l'euthanasie étant interdite.

en tant qu'aide soignante de profession nous ne pouvons que dispenser des soins de confort, d'hygiéne et d'écoute avec notre présence tant que possible au chevet du resident

je te lis bien l'arme fatale, mais tu sembles penser qu'il n' existe que des personnes âgées avec conjoint et/ou avec enfants et/ou petits-enfants

Or, ce n'est pas du tout mon cas, donc personne ne risque de procès pour euthanasie

Je sais qu'il y a eu des procès pour euthanasie, qui est interdite en France actuellement encore

Alors, ma (ou plutôt mes) question est, et elle est très importante pour moi:

comment dois-je faire, que dois-je faire, à qui dois-je m'adresser, pour être certaine que mon souhait et ma volonté soient respectées ?

ps: ici tu peux parler en toute liberté, puisque nous sommes anonymes

2è ps: je ne pense pas du tout que tous les médecins, infirmier-ères, aide-soignant-es soient contre l'euthanasie

Adresse-toi là :

http://www.admd.net/

je leur fait des bisous, je rigole avec eux, je les appels par leur prénom aprés accord des familles, ce qui m'a valut un "vous n'êtes pas professionnelle" parce que j'ai fait tombé les barriéres (quoique commej'aime à le dire c'est plutôt le barrage)puisque je fais la bise aux familles en demande. Donc quand vous avez une nouvelle venue dans la profession, elle a déjà un bon spitch durant l'entretien d'embauche pour ne pas déborder

Savez-vous que les aides-ménagères envoyées par les CCAS ont la consigne d'appeler les gens uniquement par leur nom ?

On crée une barrière.

Ma mère adorait Maria, une aide-soignante qui appelait mon père coco en maison de retraite.

. Je suis pas catho. Ni rien d'ailleurs. Juste quelqu'un qui croit en la vie

Mais tu as fait ton choix. C'est triste c'est tout.

Mais sinon, t'inquiètes pas, vivre, j'aime vraiment ça:

(tiens, ne serait-ce que cet aprèm', une situation nouvelle pour moi , mais pas dramatique, m'a obligée à faire du vélo que je ne fais presque pas, eh ben j'ai dégusté avec un grand plaisr ces 2h et demie passées, nouveau pour moi enfin, la 2è fois en 15 jours

Un vrai délice !

Plus je vieillis, en bonne santé générale, plus je goûte les moments

Et samedi , petite nouvelle aventure pour moi, petit nouveau genre de voyage, pas fait encore

Ah oui, vivre, j'adore ça !

Mais valide :cool: )

Eh ben tu me rassure.

J'ai l'impression que personne ne l'a mentionné. On ne fait que parler du sort des personnes âgées, qui est bien entendu un peu difficile en général. Mais Il faut aussi mentionner que la plupart des personnes vivent écartelées entre des contraintes familiales et professionnelles impossibles à concilier.

Les moyens de transport font qu'on peut travailler loin de chez soi, qu'on rencontre l'être aimé loin de sa famille, etc. Cette distance physique est réelle, ce n'est pas qu'une question d'attitude envers les personnes âgées. De ce fait, les conflits générationnels s'ajoutent à cette situation concrète.

Les entreprises considèrent qu'elles n'ont pas d'effort à faire pour rapprocher les gens de leur famille. Ce serait même le contraire. Quelqu'un de seul a tendance à se dévouer à son travail pour se sentir utile. Le contraire serait une coopération active des entreprises à s'échanger des employés pour les rapprocher de leur domicile et de leurs proches.

D'autre part, il y a la fierté d'avoir son travail et d'être indépendant. Abandonner son travail pour se rapprocher de sa famille, c'est encourir de se retrouver au chômage et d'être la honte pour sa propre famille. Et éventuellement de ne pas avoir d'argent pour ses vieux.

Les maisons de retraite sont sur ce marché juteux, qui rapportent... aux fonds de pension qui servent à payer... les retraites des investisseurs. Ce problème ne va pas donc se résoudre de lui-même.