Aller au contenu

Un jour l'homme allaitera et les femmes se gratteront l'entrejambe...

Noter ce sujet


epmd71

Messages recommandés

Membre, 31ans Posté(e)
Relgad Membre 545 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)

je crois que tu ne m'a pas compris

c'est le fait de banalisé les gens qui change de sexe qui m’inquiètes plus

après ce qu'il y a dans la tête des gens des fois va savoir :smile2::smile2::smile2::smile2:

Tu sais, c'est pas parce que l'on dit que c'est pas grave/que l'on s'en fout, que tout le monde va vouloir devenir homme ou devenir femme

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, Posté(e)
Fuel4Life Membre 10 926 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Donc en fait tu as ouvert un topic sur l'inversion des rôles sociaux (masculin/féminin) pour en fait t'en prendre aux transsexuels ?

Pourquoi n'avoir pas plutot ouvert un topic sur la vraie question ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Polémiste, Posté(e)
Hussard Noir Membre 2 682 messages
Polémiste,
Posté(e)

Que c'est complètement idiot de définir ce qu'est une femme ou un homme selon des tâches ou des fonctions. Les hommes et les femmes se complètent point barre.

Un homme qui prend un congé parental pour s'occuper de son enfant, ne s'est pas féminiser. Il fait juste un choix professionnel et personnel. Un homme qui fait le repassage n'est pas non plus une femme.

Une femme qui décide de reprendre son travail après la naissance de son enfant ne s'est pas masculiniser. Elle fait un choix. Une femme chauffeur routier ou militaire, n'est pas non plus un homme, c'est une femme.

Quand tata Robert se maquille il ne s'est pas féminisé, il fait juste un choix personnel. Votre rhétorique atteint vite ses limites. Vous commencez par insulter à peu près tous les penseurs et tous les philosophes de la création en prétendant qu'il est "complétement idiot de définir ce qu'est une femme ou un homme selon des tâches ou des fonctions." Surtout ne lisez jamais Rousseau, Schopenhauer, Stendhal, Oscar Wilde, Molière, Nietzsche... ; tous ces idiots, tous ces "beaufs", machistes de la différenciation.

Un homme ne se féminise pas en voulant s'occuper d'enfant, à moins d'être figé sur le concept "c'est la femme qui s'occupe des gosses". Pareil pour la cuisine, le ménage, regarder des films à l'eau de rose. Ou pour les femmes : jouer au foot, boire de la bière, regarder des films violents ou... travailler. Il ne s'agit pas non plus de masculinisation, à moins d'être encore figé sur les vieilles notions.

Ce ne sont pas des vieilles notions mais des notions intemporelles, qui ne sont pas tombées du ciel pour atterrir universellement par le plus grand des hasards. Les différences naturelles provoquent les différences culturelles ; voulez-vous nier que le genre féminin est plus sensible et donc plus adeptes aux "films à l'eau de rose", et le genre masculin plus en testostérones donc plus adeptes aux films ou aux sports violents ? Pour les enfants, pardon si mère nature discrimine son monde en ne faisait enfanter que les femmes, vous pouvez saisir la HALDE, ou vous faire à l'idée que l'instinct maternel est naturel et l'instinct paternel culturel.

ensuite, lorsqu'un homme donne le biberon, ce n'est plus un homme ?

Objectivement qu'est-ce qu'un biberon, si ce n'est un sein artificiel pour allaiter. L'homme ne peut donner le sein mais il peut donner biberon, il n'a pas d'instinct maternel alors on lui invente un instinct paternel. Le rôle du père lui était propre quand la famille était patriarcale ; aujourd'hui il n'y a plus de pères mais des secondes mères.

lorsqu'une femme décide de garder intacte sa pilosité, ce n'est plus une femme ? sauf que s'épiler, ce n'est à la base pas naturelle, les femmes ont naturellement des poils sous les aisselles, sur les jambes, au sexe et parfois meme un duvet sous le nez...

Le poil est synonyme de virilité, c'est un fait pas seulement culturel mais lié à la testostérone. Une femme est naturellement beaucoup moins poilue qu'un homme, lorsqu'elle s'épile elle accentue donc sa féminité, c'est à dire sa différence de l'homme ; et lorsque l'homme s'épile il se réduit esthétiquement de sa virilité, on peut donc parler d'un geste de féminisation.

40% des jeunes hommes Européens auraient un sperme de mauvaise qualité. C’est le constat d’un professeur d’université gantoise. Ce professeur a sa petite explication. Le problème vient des eaux de surface, les eaux de rivière. A certains endroits, on y trouve beaucoup d’oestrogènes, des hormones féminines. Même après épuration, elles se retrouvent dans l’eau de distribution. Avec pour conséquence, des risques de fertilité chez l’homme et un comportement plus enclin à se féminisé.

Chacun prendra cette information comme bon lui semble.

Ça n'est pas dénué de sens. Les stations d'épuration ne savent pas filtrer tous les résidus de médicaments et leurs molécules. Ainsi les millions de femmes qui prennent la pilule évacuent dans leurs urines des dérivés d'œstrogènes qui polluent l'eau, particulièrement aux abords des grandes villes, et ont un effet catastrophique chez les poissons qui développent des malformations génitales et en deviennent stériles. Ces dérivés d'œstrogènes n'étant pas filtrés par les stations d'épuration elles se retrouvent dans l'eau du robinet, comme un tas de saloperies par ailleurs.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 45ans Posté(e)
epmd71 Membre 10 304 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

Tu ne fais toujours pas la différence entre un ou une transexuel et un travesti ?

(c'est bien tu as appris à te servir de google, bientot le correcteur d'orthographe alors, chouette, ce que tu écris va devenir lisible)

skirts2.jpg

collection pour hommes de JJGauthier, ça encore j'imagine que c'est un exemple que tu vas rejetter (puisqu'il ne va pas dans ton sens) ?

pas besoin de tes leçons je fais très bien la différence

y'a des "travestis" juste pour un défilé ou une soirée et y'a vincent mc doom qui est quoi pour toi? :dort::dort::dort::dort::dort:

t’essaie de contourner le vrai problème qui est que les gens ne se mettent plus de barrière et banalise tout ce qu'il voit tu dois faire partir de ces individus :gurp:

moi je suis la vieille ecole peut etre pour certains

mais je veux pas d'un monde qui se détraquerais un jour

je crois que tu ne m'a pas compris

c'est le fait de banalisé les gens qui change de sexe qui m’inquiètes plus

après ce qu'il y a dans la tête des gens des fois va savoir :smile2::smile2::smile2::smile2:

Tu sais, c'est pas parce que l'on dit que c'est pas grave/que l'on s'en fout, que tout le monde va vouloir devenir homme ou devenir femme

le fait de banalisé est la porte ouverte a d'autre choses aussi tordus

ça coule de source

Donc en fait tu as ouvert un topic sur l'inversion des rôles sociaux (masculin/féminin) pour en fait t'en prendre aux transsexuels ?

Pourquoi n'avoir pas plutot ouvert un topic sur la vraie question ?

non car y'a les 2 choses pour moi sont liés indirectement

le fait de laisser l'homme ou la femme inverser quelquefois les rôles que ce soit social ou physique fait que les gens banalise et laisse de plus en plus faire

et je penses que certains choses doivent rester a leur place

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 31ans Posté(e)
Relgad Membre 545 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)

On ne banalise pas, on dit juste que c'est égal si un mec qui s'estimes femme en devient une.

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 45ans Posté(e)
epmd71 Membre 10 304 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

On ne banalise pas, on dit juste que c'est égal si un mec qui s'estimes femme en devient une.

oui c'est ça on légalise des choses complètement immoral et incongru :dort::dort:

Modifié par epmd71
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
Posté(e)

tu voudrais qu'une femme boit du whisky et fume le cigare . l'homme fait des connerie donc elle l'est feraient aussi

les hommes qui boient beaucoup j'aime pas et les femmes qui les imiteraient j'aimerais encore moins

L'égalité totale, c'est aussi la liberté de faire les mêmes conneries. De plus, une femme qui boit n'est pas en train "d'imiter un homme". C'est juste une alcoolique. En fait, tu as des idées très arrêtées sur ce qui fait homme et ce qui fait femme.

=========

skirts2.jpg

Ça doit ferait fureur en Asie, ça. Au Japon, par exemple. Ils ne sont pas bridés (!) par le port de vêtements longs, type jupe ou robe, par les hommes. Le mélange tradition/modernisme dans ce genre serait beaucoup mieux vu (et presque anodin) qu'en France où ça doit faire office de militantisme vestimentaire.

==========

Quand tata Robert se maquille il ne s'est pas féminisé, il fait juste un choix personnel. Votre rhétorique atteint vite ses limites. Vous commencez par insulter à peu près tous les penseurs et tous les philosophes de la création en prétendant qu'il est "complétement idiot de définir ce qu'est une femme ou un homme selon des tâches ou des fonctions." Surtout ne lisez jamais Rousseau, Schopenhauer, Stendhal, Oscar Wilde, Molière, Nietzsche... ; tous ces idiots, tous ces "beaufs", machistes de la différenciation.

Dans l'esprit actuel, on associe le maquillage à la femme. OR, les hommes se maquillaient à une époque, chez nous. Dans bien d'autres cultures, anciennes ou actuelles, le maquillage n'a pas de sexe.

- Si Robert se maquille, ça peut être un choix esthétique et un choix idéologique (braver le canon esthétique occidental). La mouvance "emo", malgré sa maladresse et sa juvénilité lorgne un peu vers cette idée en mélangeant la transgression frontale menée par certains musicien rock (de David Bowie, Alice Cooper, Prince,... à Tokyo Hotel)

- Si Robert se maquille dans le but de ressembler à une femme, c'est un autre problème : Robert a du mal à se définir. Robert est peut-être en conflit avec son genre. Ou Robert est gay et se perd dans une imitation de la féminité pour s'affirmer. Dans ce cas, il se déguise.

- Si Robert se maquille, c'est peut-être juste pour la déconne de la soirée.

Il y a plein de cas de figure. Pragmatiquement, le maquillage n'est qu'une opération de dessin. Les gens qui passent à la télé, les acteurs de cinéma, sont maquillés. Sans parler des shoots photos ou lors des tournées promotionnelles. Trouves-tu que Hugh Jackman fait "tata" dans ses films ?

Tu peux faire du name droping de grandes personnalités, tu n'en es pas moins réduit à amalgamer et réduire la notion de maquillage à "tata", en occultant très ethnocentriquement tout ce que ça peut représenter. D'autre part, Rousseau, Molière et consorts n'étaient pas fermés sur la définition/condition de la femme et de l'homme, même s'il savaient très bien observer et rendre les définitions de leur époque. Molière est assez critique même, sur toute la société et ses moeurs.

Ce ne sont pas des vieilles notions mais des notions intemporelles, qui ne sont pas tombées du ciel pour atterrir universellement par le plus grand des hasards. Les différences naturelles provoquent les différences culturelles ; voulez-vous nier que le genre féminin est plus sensible et donc plus adeptes aux "films à l'eau de rose", et le genre masculin plus en testostérones donc plus adeptes aux films ou aux sports violents ? Pour les enfants, pardon si mère nature discrimine son monde en ne faisait enfanter que les femmes, vous pouvez saisir la HALDE, ou vous faire à l'idée que l'instinct maternel est naturel et l'instinct paternel culturel.

Il s'agit de préjugés adoubés et normalisé, avec la complicité des industriels. Je connais des gars qui regardent des comédies sentimentales, des filles qui regardent des trucs violents...et pour la plupart, des gens qui regardent les deux. Bien sûr, les arguments de ventes ne sont pas les mêmes pour un film avec Hugh Grant et un film avec Vin Diesel... mais c'est la promotion qui est d'emblée sexuée.

Les femmes dans les sports de combat, il y en a plein. Il n'y a pas de contrainte. Si les hommes restent physiquement dominant (plus grande marge musculaire), rien n'interdit à une femme d'avoir le goût et les capacités de ces sports et d'être sure de leur sexualité. Remarque, quand tu entends d'agressifs "Tu te prends pour un mec ? ", c'est plus facile à contrer quand tu sais que tu peux démonter la face à coup de high kick.

La femme douce et soumise, qui ne doit pas répondre et qui doit louer l'homme viril, bagarreur, muscles apparents et vulgarité de bon aloi, c'est un cliché répandu des confins cités aux comptoirs des campagnes. Si c'est ce genre de notion intemporelle que tu kiffes, si c'est ce genre de tyrannie territoriale que tu veux avaliser, grand bien te fasse.

Objectivement qu'est-ce qu'un biberon, si ce n'est un sein artificiel pour allaiter. L'homme ne peut donner le sein mais il peut donner biberon, il n'a pas d'instinct maternel alors on lui invente un instinct paternel. Le rôle du père lui était propre quand la famille était patriarcale ; aujourd'hui il n'y a plus de pères mais des secondes mères.

Lis l'article que j'ai mis en lien dans un précédent message : biologiquement, l'homme peut allaiter et allaiterait si ça entrait dans les moeurs. Dans la tribu des "meilleurs papas du monde", les pères allaitent. Bien sûr, des siècles de pratiques ont fait que nous sommes loin derrière les femmes, et que nos hormones réduisent cette fonction, mais rien ne dit que mère Nature n'ai pas envisagé l'homme comme allaiteur - au moins par défaut.

Tu as deux tétons et un système lactaire fonctionnel, donc le fait de donner un biberon n'a rien de dévirilisant. Ni le fait d'être père : dans la nature, beaucoup de créatures mâles sont papa, bien au-delà de la simple fonction génitrice. Sauf qu'on nie cette fonction et qu'on se repose sur ces acquis idéologiques, au motif qu'on a construit notre culture actuelle dessus.

Bien sûr, la femme est liée au rôle de mère de part sa condition biologique (elle porte l'enfant, accouche et se met en condition de l'allaiter et s'occuper de lui dans ses premières années). L'homme est plus détaché et le choix lui revient de s'investir ou non. Dans une société artificielle où il n'est plus besoin de chasser depuis longtemps, les possibilités sont démultipliées. Et comme notre nature est de nous adapter à notre contexte...

Le poil est synonyme de virilité, c'est un fait pas seulement culturel mais lié à la testostérone. Une femme est naturellement beaucoup moins poilue qu'un homme, lorsqu'elle s'épile elle accentue donc sa féminité, c'est à dire sa différence de l'homme ; et lorsque l'homme s'épile il se réduit esthétiquement de sa virilité, on peut donc parler d'un geste de féminisation.

La femme est poilue naturellement et on la force aussi à abolir ce poil. On impose un geste de féminisation à la femme et ensuite, on établi un chantage aux hommes comme quoi ils se féminisent ? Ça suffit pour soulever que le poil est avant tout symbolique, idéologique.

La tendance de s'épiler intégral, peu importe le genre, est très récente et fait partie de cette volonté de maîtriser la nature, le corps. Ça fait partie de l'idéologie de l'homme émancipé, de l'esprit dominant la matière (dans un registre plutôt superficiel). Ça sous-tend toute une tendance et sert parfois d'argumentaire à certain(e)s féminsites (Badinter) ou mouvements GLTB mais ça va plus loin que l'abolition des barrières idéologiques traditionnelles entre homme et femme.

Ça n'est pas dénué de sens. Les stations d'épuration ne savent pas filtrer tous les résidus de médicaments et leurs molécules. Ainsi les millions de femmes qui prennent la pilule évacuent dans leurs urines des dérivés d'œstrogènes qui polluent l'eau, particulièrement aux abords des grandes villes, et ont un effet catastrophique chez les poissons qui développent des malformations génitales et en deviennent stériles. Ces dérivés d'œstrogènes n'étant pas filtrés par les stations d'épuration elles se retrouvent dans l'eau du robinet, comme un tas de saloperies par ailleurs.

Ça c'est une notion biologique. Augmenter artificiellement le taux d'oestrogène chez l'homme va déséquilibrer tout notre système endocrinien. Evidemment, ça va altérer certaines fonctions et avoir des conséquences à long terme. On n'est plus dans le débat idéologique mais le débat médical (que je trouve bien plus intéressant et alarmant) : les oestrogènes activent des fonctions de type féminin.. que l'homme porte aussi en lui. En gros, nous sommes un peu des femmes inhibées par hormones. Nous produisons naturellement de l'oestrogène, cela dit, et heureusement car les conséquences seraient certainement plus graves sinon.

On peut jouer sur les caractères physiques, pour les cas de transexualisme, avec des injections d'hormones. Ça influence en profondeur puisque les hormones sont de puissants contrôleurs.

Ça ne légitime pas "la bière est un truc d'homme" et "la couture c'est pour les femmes" (ça pré-existait) mais l'influence médicale de l'oestrogénisation générale doit être mesurée. Pour les femmes aussi : tant d'oestrogène, quelles conséquences ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 31ans Posté(e)
Relgad Membre 545 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)

On ne banalise pas, on dit juste que c'est égal si un mec qui s'estimes femme en devient une.

oui c'est ça on légalise des choses complètement immoral et incongru :dort::dort:

Bah non :)

Après, l'immoralité et l'incongruité est variable selon les individus, mais je vois pas ce qu'on légalise de si "immoral et incongru" tu as des exemples? (Si tu parles du changement de sexe, y a rien d'immoral. Du moins je vois pas. Si un homme se sent une femme prisonnière d'un corps masculin, alors je trouve normal qu'elle décide d'accorder son corps et son esprit :) )

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité nietzsche.junior
Invités, Posté(e)
Invité nietzsche.junior
Invité nietzsche.junior Invités 0 message
Posté(e)

***

Modifié par yop!
Courtoisie
  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 45ans Posté(e)
epmd71 Membre 10 304 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

tu voudrais qu'une femme boit du whisky et fume le cigare . l'homme fait des connerie donc elle l'est feraient aussi

les hommes qui boient beaucoup j'aime pas et les femmes qui les imiteraient j'aimerais encore moins

L'égalité totale, c'est aussi la liberté de faire les mêmes conneries. De plus, une femme qui boit n'est pas en train "d'imiter un homme". C'est juste une alcoolique. En fait, tu as des idées très arrêtées sur ce qui fait homme et ce qui fait femme.

=========

skirts2.jpg

Ça doit ferait fureur en Asie, ça. Au Japon, par exemple. Ils ne sont pas bridés (!) par le port de vêtements longs, type jupe ou robe, par les hommes. Le mélange tradition/modernisme dans ce genre serait beaucoup mieux vu (et presque anodin) qu'en France où ça doit faire office de militantisme vestimentaire.

==========

Quand tata Robert se maquille il ne s'est pas féminisé, il fait juste un choix personnel. Votre rhétorique atteint vite ses limites. Vous commencez par insulter à peu près tous les penseurs et tous les philosophes de la création en prétendant qu'il est "complétement idiot de définir ce qu'est une femme ou un homme selon des tâches ou des fonctions." Surtout ne lisez jamais Rousseau, Schopenhauer, Stendhal, Oscar Wilde, Molière, Nietzsche... ; tous ces idiots, tous ces "beaufs", machistes de la différenciation.

Dans l'esprit actuel, on associe le maquillage à la femme. OR, les hommes se maquillaient à une époque, chez nous. Dans bien d'autres cultures, anciennes ou actuelles, le maquillage n'a pas de sexe.

- Si Robert se maquille, ça peut être un choix esthétique et un choix idéologique (braver le canon esthétique occidental). La mouvance "emo", malgré sa maladresse et sa juvénilité lorgne un peu vers cette idée en mélangeant la transgression frontale menée par certains musicien rock (de David Bowie, Alice Cooper, Prince,... à Tokyo Hotel)

- Si Robert se maquille dans le but de ressembler à une femme, c'est un autre problème : Robert a du mal à se définir. Robert est peut-être en conflit avec son genre. Ou Robert est gay et se perd dans une imitation de la féminité pour s'affirmer. Dans ce cas, il se déguise.

- Si Robert se maquille, c'est peut-être juste pour la déconne de la soirée.

Il y a plein de cas de figure. Pragmatiquement, le maquillage n'est qu'une opération de dessin. Les gens qui passent à la télé, les acteurs de cinéma, sont maquillés. Sans parler des shoots photos ou lors des tournées promotionnelles. Trouves-tu que Hugh Jackman fait "tata" dans ses films ?

Tu peux faire du name droping de grandes personnalités, tu n'en es pas moins réduit à amalgamer et réduire la notion de maquillage à "tata", en occultant très ethnocentriquement tout ce que ça peut représenter. D'autre part, Rousseau, Molière et consorts n'étaient pas fermés sur la définition/condition de la femme et de l'homme, même s'il savaient très bien observer et rendre les définitions de leur époque. Molière est assez critique même, sur toute la société et ses moeurs.

Ce ne sont pas des vieilles notions mais des notions intemporelles, qui ne sont pas tombées du ciel pour atterrir universellement par le plus grand des hasards. Les différences naturelles provoquent les différences culturelles ; voulez-vous nier que le genre féminin est plus sensible et donc plus adeptes aux "films à l'eau de rose", et le genre masculin plus en testostérones donc plus adeptes aux films ou aux sports violents ? Pour les enfants, pardon si mère nature discrimine son monde en ne faisait enfanter que les femmes, vous pouvez saisir la HALDE, ou vous faire à l'idée que l'instinct maternel est naturel et l'instinct paternel culturel.

Il s'agit de préjugés adoubés et normalisé, avec la complicité des industriels. Je connais des gars qui regardent des comédies sentimentales, des filles qui regardent des trucs violents...et pour la plupart, des gens qui regardent les deux. Bien sûr, les arguments de ventes ne sont pas les mêmes pour un film avec Hugh Grant et un film avec Vin Diesel... mais c'est la promotion qui est d'emblée sexuée.

Les femmes dans les sports de combat, il y en a plein. Il n'y a pas de contrainte. Si les hommes restent physiquement dominant (plus grande marge musculaire), rien n'interdit à une femme d'avoir le goût et les capacités de ces sports et d'être sure de leur sexualité. Remarque, quand tu entends d'agressifs "Tu te prends pour un mec ? ", c'est plus facile à contrer quand tu sais que tu peux démonter la face à coup de high kick.

La femme douce et soumise, qui ne doit pas répondre et qui doit louer l'homme viril, bagarreur, muscles apparents et vulgarité de bon aloi, c'est un cliché répandu des confins cités aux comptoirs des campagnes. Si c'est ce genre de notion intemporelle que tu kiffes, si c'est ce genre de tyrannie territoriale que tu veux avaliser, grand bien te fasse.

Objectivement qu'est-ce qu'un biberon, si ce n'est un sein artificiel pour allaiter. L'homme ne peut donner le sein mais il peut donner biberon, il n'a pas d'instinct maternel alors on lui invente un instinct paternel. Le rôle du père lui était propre quand la famille était patriarcale ; aujourd'hui il n'y a plus de pères mais des secondes mères.

Lis l'article que j'ai mis en lien dans un précédent message : biologiquement, l'homme peut allaiter et allaiterait si ça entrait dans les moeurs. Dans la tribu des "meilleurs papas du monde", les pères allaitent. Bien sûr, des siècles de pratiques ont fait que nous sommes loin derrière les femmes, et que nos hormones réduisent cette fonction, mais rien ne dit que mère Nature n'ai pas envisagé l'homme comme allaiteur - au moins par défaut.

Tu as deux tétons et un système lactaire fonctionnel, donc le fait de donner un biberon n'a rien de dévirilisant. Ni le fait d'être père : dans la nature, beaucoup de créatures mâles sont papa, bien au-delà de la simple fonction génitrice. Sauf qu'on nie cette fonction et qu'on se repose sur ces acquis idéologiques, au motif qu'on a construit notre culture actuelle dessus.

Bien sûr, la femme est liée au rôle de mère de part sa condition biologique (elle porte l'enfant, accouche et se met en condition de l'allaiter et s'occuper de lui dans ses premières années). L'homme est plus détaché et le choix lui revient de s'investir ou non. Dans une société artificielle où il n'est plus besoin de chasser depuis longtemps, les possibilités sont démultipliées. Et comme notre nature est de nous adapter à notre contexte...

Le poil est synonyme de virilité, c'est un fait pas seulement culturel mais lié à la testostérone. Une femme est naturellement beaucoup moins poilue qu'un homme, lorsqu'elle s'épile elle accentue donc sa féminité, c'est à dire sa différence de l'homme ; et lorsque l'homme s'épile il se réduit esthétiquement de sa virilité, on peut donc parler d'un geste de féminisation.

La femme est poilue naturellement et on la force aussi à abolir ce poil. On impose un geste de féminisation à la femme et ensuite, on établi un chantage aux hommes comme quoi ils se féminisent ? Ça suffit pour soulever que le poil est avant tout symbolique, idéologique.

La tendance de s'épiler intégral, peu importe le genre, est très récente et fait partie de cette volonté de maîtriser la nature, le corps. Ça fait partie de l'idéologie de l'homme émancipé, de l'esprit dominant la matière (dans un registre plutôt superficiel). Ça sous-tend toute une tendance et sert parfois d'argumentaire à certain(e)s féminsites (Badinter) ou mouvements GLTB mais ça va plus loin que l'abolition des barrières idéologiques traditionnelles entre homme et femme.

Ça n'est pas dénué de sens. Les stations d'épuration ne savent pas filtrer tous les résidus de médicaments et leurs molécules. Ainsi les millions de femmes qui prennent la pilule évacuent dans leurs urines des dérivés d'œstrogènes qui polluent l'eau, particulièrement aux abords des grandes villes, et ont un effet catastrophique chez les poissons qui développent des malformations génitales et en deviennent stériles. Ces dérivés d'œstrogènes n'étant pas filtrés par les stations d'épuration elles se retrouvent dans l'eau du robinet, comme un tas de saloperies par ailleurs.

Ça c'est une notion biologique. Augmenter artificiellement le taux d'oestrogène chez l'homme va déséquilibrer tout notre système endocrinien. Evidemment, ça va altérer certaines fonctions et avoir des conséquences à long terme. On n'est plus dans le débat idéologique mais le débat médical (que je trouve bien plus intéressant et alarmant) : les oestrogènes activent des fonctions de type féminin.. que l'homme porte aussi en lui. En gros, nous sommes un peu des femmes inhibées par hormones. Nous produisons naturellement de l'oestrogène, cela dit, et heureusement car les conséquences seraient certainement plus graves sinon.

On peut jouer sur les caractères physiques, pour les cas de transexualisme, avec des injections d'hormones. Ça influence en profondeur puisque les hormones sont de puissants contrôleurs.

Ça ne légitime pas "la bière est un truc d'homme" et "la couture c'est pour les femmes" (ça pré-existait) mais l'influence médicale de l'oestrogénisation générale doit être mesurée. Pour les femmes aussi : tant d'oestrogène, quelles conséquences ?

jai pas une idée arrêtée c'est l’égalité homme femme qui tourne a l'obsession de nos jours pour certains qui va dans tout les sens .

pour l'alcoolique je dis ça car pour moi un homme qui boit c'est moche alors une femme :gurp::gurp: c'est tout

On ne banalise pas, on dit juste que c'est égal si un mec qui s'estimes femme en devient une.

oui c'est ça on légalise des choses complètement immoral et incongru :dort::dort:

Bah non :)

Après, l'immoralité et l'incongruité est variable selon les individus, mais je vois pas ce qu'on légalise de si "immoral et incongru" tu as des exemples? (Si tu parles du changement de sexe, y a rien d'immoral. Du moins je vois pas. Si un homme se sent une femme prisonnière d'un corps masculin, alors je trouve normal qu'elle décide d'accorder son corps et son esprit :) )

non accorder la transformation physique n'est pas un jeu.

quand tu vois des fois le résultat

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 31ans Posté(e)
Relgad Membre 545 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)

non accorder la transformation physique n'est pas un jeu.

quand tu vois des fois le résultat

Ai-je dis que c'était un jeu? Non. J'ai dis que c'était normal qu'un homme qui se sentait femme (Et c'est rare) puissent raccorder son esprit à son corps.

La réussite du résultat n'a rien à voir avec le fait, ou non, d'interdire ça ><. (Et pour 1 raté, y en a 100 de réussi. Alors c'est plutôt aux chirurgiens et autre médecins qui foirent qu'il faut s'en prendre).

De plus, ton article est interressant pour cette phrase : "Là encore les observations sont inquiétantes : accroissement important de la stérilité, augmentation des cas de cryptorchidie (arrêt de "migration" des testicules en un point) , taux de cancer croissant,... ". Autrement, ça n'apporte rien au débat :)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 45ans Posté(e)
epmd71 Membre 10 304 messages
Baby Forumeur‚ 45ans‚
Posté(e)

non accorder la transformation physique n'est pas un jeu.

quand tu vois des fois le résultat

Ai-je dis que c'était un jeu? Non. J'ai dis que c'était normal qu'un homme qui se sentait femme (Et c'est rare) puissent raccorder son esprit à son corps.

La réussite du résultat n'a rien à voir avec le fait, ou non, d'interdire ça ><. (Et pour 1 raté, y en a 100 de réussi. Alors c'est plutôt aux chirurgiens et autre médecins qui foirent qu'il faut s'en prendre).

De plus, ton article est interressant pour cette phrase : "Là encore les observations sont inquiétantes : accroissement important de la stérilité, augmentation des cas de cryptorchidie (arrêt de "migration" des testicules en un point) , taux de cancer croissant,... ". Autrement, ça n'apporte rien au débat :)

si ça montre bien que la transexualité n’emmènes rien a la procreation en questions

car les organes sexuels chez les trans ne sont pas reproductifs

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 31ans Posté(e)
Relgad Membre 545 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)

si ça montre bien que la transexualité n’emmènes rien a la procreation en questions

car les organes sexuels chez les trans ne sont pas reproductifs

Ouais peut-être. Et?

Parce qu'ils ne peuvent pas procréer faut interdire?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Polémiste, Posté(e)
Hussard Noir Membre 2 682 messages
Polémiste,
Posté(e)
Dans l'esprit actuel, on associe le maquillage à la femme. OR,les hommes se maquillaient à une époque, chez nous. Dans bien d'autres cultures, anciennes ou actuelles, le maquillage n'a pas de sexe.

Quand on parle de féminisation des hommes la question est associée à un contexte culturel précis. Il ne s'agit pas simplement d'un changement de mode mais d'un changement de moeurs.

Il s'agit de préjugés adoubés et normalisé, avec la complicité des industriels. Je connais des gars qui regardent des comédies sentimentales, des filles quiregardent des trucs violents...et pour la plupart, des gens qui regardent les deux. Bien sûr, les arguments de ventes ne sont pas les mêmes pour un film avec Hugh Grant et un film avec Vin Diesel... mais c'est la promotion qui est d'emblée sexuée.

Les femmes dans les sports de combat, il y en a plein. Iln'y a pas de contrainte. Si les hommes restent physiquement dominant (plus grande marge musculaire), rien n'interdit à une femme d'avoir le goût et les capacités de ces sports et d'être sure de leur sexualité. Remarque, quand tuentends d'agressifs "Tu te prends pour un mec ? ", c'est plus facile à contrer quand tu sais que tu peux démonter la face à coup de high kick.

La femme douce et soumise, qui ne doit pas répondre et qui doit louer l'homme viril, bagarreur, muscles apparents et vulgarité de bon aloi, c'est un cliché répandu des confins cités aux comptoirs des campagnes. Si c'est ce genre de notion intemporelle que tu kiffes, si c'est ce genre de tyrannie territoriale que tu veux avaliser, grand bien te fasse.

Il ne s'agit pas de dire que tous les hommes sont fans de sports violents et toutes les femmes de comédies sentimentales, sans qu'aucun homme n'ait d'intérêt pour la comédie sentimentale et aucune femme d'intérêt pour un sport violent. Une pensée se schématise et ensuite on lui apporte les détails de la nuance. Que l'homme possède 50 fois plus de testostérones que la femme, avec les différences générales de sensibilité et d'agressivité que ça provoque, s'agit-il de préjugés ou de faits scientifiques ? J'ai évoqué une chose très simple au sujet de la pilosité dont l'importance est liée à la testostérone, que l'on peut donc associer non sans logique à la virilité dans son importance et à la féminité dans sa carence. Ce simple fait rappelé m'a valu d'être traité d'intégriste religieux complétement débile. Là c'est le féminisme qui tourne à l'obscurantisme. Je note d'ailleurs votre deux poids deux mesures dans la gestion du trollage.

Lis l'article que j'ai mis en lien dans un précédent message : biologiquement,l'homme peut allaiter et allaiterait si ça entrait dans les moeurs. Dans la tribu des "meilleurs papas du monde", les pères allaitent. Bien sûr, des siècles de pratiques ont fait que nous sommes loin derrière les femmes, et que nos hormones réduisent cette fonction, mais rien ne dit que mère Nature n'ai pas envisagé l'homme comme allaiteur - au moins par défaut.

J'ai lu cet article et j'en déduis que vous le surinterprétez à vos fantasmes.

En dehors de ces cas extrêmes, il faut avoir pris des médicaments qui augmentent le taux de prolactine pour que cela ait lieu. Ou bien il faut souffrir d'une tumeur affectant la sécrétion de certaines hormones pituitaires… (...) Chez les femmes, c'est la prolactine (produite notamment lorsqu'elle accouche) qui met en route la laiterie. Mais chez les hommes, la dopamine inhibe presque systématiquement la production de prolactine et empêche le circuit nourricier de fonctionner. Pour que la lactation des mâles puisse survenir, il suffirait de modifier chez eux le taux de dopamine. Il arrive d'ailleurs que certains désordres ou traitements hormonaux aient cet effet. (...) Les femmes baignent dans un bain» d'oestrogène pendant neuf mois avant d'allaiter. Ça prend du temps de mettre en marche le processus. Les hommes peuvent bien essayer mais au final ils n'obtiendront guère que quelques gouttes. Est-ce que ça vaut le coup ? Je ne crois pas.

Il faut prendre des médicaments, ou souffrir d'une tumeur ou d'un sévère désordre hormonal pour que l'homme produise dans de rares cas quelques gouttes de lait, par ailleurs insuffisantes à nourrir un nourrisson. Dans quasiment le même registre, il suffit d'une opération pour que l'homme puisse enfanter...

La femme est poilue naturellement et on la force aussi à abolir ce poil. On impose un geste de féminisation à la femme et ensuite, on établi un chantage aux hommes comme quoi ils se féminisent ? Ça suffit pour soulever que le poil est avant tout symbolique, idéologique.

La femme est naturellement beaucoup moins poilue que l'homme parce-qu'elle possède notamment beaucoup moins de testostérone, ce n'est pas une idéologie c'est un fait biologique. En revanche prétendre qu'on force la femme à s'épiler c'est le procès d'intention idéologique de la femme persécutée ; certaines ne s'épilent pas et assument parfaitement, et la plupart de celles qui s'épilent n'aimeraient pas se voir autrement. Une femme qui s'épile accentue sa féminité naturelle, puisqu'elle est naturellement moins poilue, et un homme qui s'épile réduit sa virilité (ou masculinité) naturelle. Si la culture traditionnelle fut de cultiver les différences naturelles entre les deux sexes, l'idéologie contemporaine elle celle de les effacer.

La tendance de s'épiler intégral, peu importe le genre, est très récente et fait partie de cette volonté de maîtriser la nature, le corps.Ça fait partie de l'idéologie de l'homme émancipé

C'est intéressant cette expression : l'homme émancipé. Le féminisme a d'abord parlé de femme émancipée, puis il parle maintenant d'homme émancipé pour désigner les metrosexuels, ces hommes aux moeurs féminisées. Quant à la volonté de maitriser excessivement la nature sans doute, mais je crois qu'on peut distinguer ce phénomène d'épilation intégrale chez l'homme et la femme. Je maintiens que le poil est un symbole évident de la virilité chez l'homme, et que l'homme moderne doit se faire épiler de cette virilité ancestrale pour devenir une femme comme les autres. Chez la femme, concernant l'épilation intégrale au niveau du pubis, je pense qu'il s'agit d'un besoin de virginité dans l'apparence, d'innocence pré-pubère, à l'heure où les femmes multiplient les partenaires dans leur vie alors qu'elles étaient mariées vierges depuis toujours il n'y a pas si longtemps.

Nous produisons naturellement de l'oestrogène, cela dit, et heureusement car les conséquences seraient certainement plus graves sinon.

Et les femmes produisent de la testostérone mais en bien moindre quantité.

Modifié par yop!
Courtoisie
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Sylareen
Invités, Posté(e)
Invité Sylareen
Invité Sylareen Invités 0 message
Posté(e)

Bon, je vais pas m'étendre sur le sujet trop longtemps (à moins que la discussion prenne vraiment cette direction) sinon ça va encore faire des hors sujet à rallonge. Mais je voudrais faire un point sur les différentes choses que j'ai lues (en bien ou en mal).

par exemple est ce que les heterosexuels ont le droit d'interdire l'homosexualite ou la transexualite?

Les transsexuel(le)s peuvent être hétéro, homo, ou bi. Les hétéro peuvent être trans ou "cisgenre" (dans le bon corps).

La gênétique ne peut pas faire qu'un homme "de base" (donc un homme physiquement normal) puisse engendrer des enfants. Les exemples que tu donnes epmd71 sont des femmes qui sont devenues hommes mais qui n'ont pas "tout changer". Donc elles ont encore l'appareil reproducteur féminin et donc peuvent enfanter.

Comme dit si bien Relgad, ces cas sont des cas très très isolés et rarissimes, venant de transexuels ayant conservé leur appareil reproducteur féminin. Mais ça les transexuels, il y en a parce que la nature donne parfois des êtres hermaphrodites, qui un jour vont choisir d'être opérés pour être du sexe duquel ils se sentent le plus proche, et c'est leur droit.

Les "femmes" qui deviennent hommes (ou inversement, les hommes qui deviennent femmes) n'existent pas. Soit ce sont des hommes dans le corps d'une femme (mais des hommes quand même, ça change rien. On ne "change" pas de genre) ou inversement, des femmes dans un corps d'homme, mais des femmes quand même.

la transsexualité une personne justement qui veut changer sont sexe et ça c'est pas ma vision de l’évolution?

l'hermaphrodite c'est médicale donc c'est une malformation a la naissance a mon sens donc c'est normal qu'ils se fassent opérer si c''est tu veux savoir

Je ne vais pas m'étendre, puisque Fuel4Life à très bien répondu : "La transexualité c'est pour faire simple pour toi, une erreur qui est corrigé. Quelqu'un accorde son corps biologique et son identité. Ce n'est la porte ouverte à rien du tout. Seul les personnes qui ne se sentent pas dans le bon corps demandent le changement de sexe."

Changer son sexe, pourquoi faire ? C'est pas pour s'amuser hein, le parcours médical loooooooooong et fastidieux, les traitements à vie, irréversibles, lourds en effets secondaires, et les opérations irréversibles, douloureuses, risquées, qui nécessite des soins post-opératoires à vie (je donnerais des détails si quelqu'un en veut), décourageraient n'importe qui. On est pas maso. Si on le fait, c'est pour une bonne raison, c'est pour pouvoir vivre en étant nous mêmes. Pas être obligés de jouer un rôle toute notre vie. Et quand je dis "jouer un rôle", c'est pas parce qu'il y a le verbe "jouer" que c'est amusant... D'après cette enquête (http://www.hes-france.org/IMG/pdf/Rapport_Prelim_Enquete_JeunesTrans_Avril2009_Vfinal.pdf), le taux de tentatives de suicide chez les jeunes trans français est de 34%. D'après le site de Laura's Playground (un site américain de soutien et d'entraide aux trans), le taux de suicide chez les trans (aux Etats-Unis) est de 31%, et le taux de tentative de suicide chez les trans avant 20 ans est de 50%.

non accorder la transformation physique n'est pas un jeu.

quand tu vois des fois le résultat

Ai-je dis que c'était un jeu? Non. J'ai dis que c'était normal qu'un homme qui se sentait femme (Et c'est rare) puissent raccorder son esprit à son corps.

La réussite du résultat n'a rien à voir avec le fait, ou non, d'interdire ça ><. (Et pour 1 raté, y en a 100 de réussi. Alors c'est plutôt aux chirurgiens et autre médecins qui foirent qu'il faut s'en prendre).

De plus, ton article est interressant pour cette phrase : "Là encore les observations sont inquiétantes : accroissement important de la stérilité, augmentation des cas de cryptorchidie (arrêt de "migration" des testicules en un point) , taux de cancer croissant,... ". Autrement, ça n'apporte rien au débat :)

C'est bien de défendre les trans, mais il y a quelques incohérences =D.

Un homme ne se sent pas femme. Une femme se sent femme. Et de temps en temps, cette femme qui se sent femme est enfermée DANS un corps d'homme. (Mais ce n'est pas un homme pour autant. Il faut différencier le sexe et le genre).

Et ce n'est pas l'esprit qu'on raccorde au corps, mais l'inverse ^^. A l'époque, les "docteurs" tentaient d'accorder l'esprit au corps à coup de drogues et d'électrochocs. Inutile de préciser que ça n'a jamais marché...

La réussite du résultat, ça dépend ce qu'on appelle une réussite... Par exemple, les opérations FTM (female to male, donc phalloplastie ou metaoidioplastie) peuvent être "réussies" dans le sens ou l'opération s'est bien passé, et que le résultat est conforme au résultat annoncé. Mais selon moi, c'est encore très loin de l'aspect d'organes génitaux masculins biologiques.

Au contraire, les opérations MTF (male to female, donc vaginoplastie, labiaplastie, tout ça) sont mieux maîtrisées et le résultat est indissociable de l'aspect d'organes génitaux féminins biologiques. En cas de réussite du moins. Même les gynécologues ont du mal à faire la différence. Mais bon, suivant le chirurgien, le cadre de l'opération, l'âge et l'état de santé de la patiente, la bonne réalisation des soins post opératoires, le résultat peut être décevant. Certaines trans mtf se retrouvent avec un simple trou, béant et inutile. Chez d'autres encore, le trou se rebouche... Cela arrive même chez les meilleurs chirurgiens (qui sont habituellement reconnus comme étant le dr Suporn, le dr Chettawut, ou encore le dr Brassard) (mais cela ne dépend pas que du chirurgien, ça dépend aussi du sérieux qu'on met dans les soins post-opératoires, qui rappelons le, doivent être fait A VIE).

Le risque zéro n'existe nulle part. Mais bon, on a plus de chance d'être réussie chez Brassard (qui a plus de 1500 vaginoplastie à son actif, et qui est reconnu comme un des meilleurs mondiaux, qui a été formé par le dr Ménard (un des meilleurs mondiaux aussi, mais à la retraite maintenant) et qui forme d'autres chirurgiens, par exemple le français Morel Journel, sans doute le meilleurs chirurgien français pour les réassignations sexuelles.) que chez un chirurgien low cost en thaïlande...

Donc pour répondre en même temps à epmd71, non ce n'est pas un jeu. D'ailleurs, la transformation physique ne comprend pas que l'opération de réassignation sexuelle, mais aussi les opérations "annexes" (que tout le monde ne fait pas forcément) : féminisation faciale, aplanissement de la pomme d'adam, implant mammaire, modification chirurgicale de la voix. Ou au contraire pour les ftm, mammectomie, etc (je m'y connais moins en ftm XD), qui sont toutes des opérations où le risque zéro n'existe pas, et où le résultat peut parfois être loin de l'attente.

Et bien sur, la transformation physique comprend aussi l'hormonothérapie, qui bien sur modifient le corps, mais ont également de lourds effets secondaires. Fatigue, maux de tête, maux de ventre, dépression, surcharge du foie, etc. D'après mon expérience personnelle et le témoignage de nombreuses personnes, voila ce que ça donne : fatiguée tout le temps pendant les premiers mois du traitement (impossible de se concentrer longtemps, j'ai du quitter la prépa à cause de ça...), mal au ventre tout le temps pendant les premiers mois (non seulement ça fait mal, mais en plus c'est pas très glamour...), hypersensibilité (capacité à chialer comme une madeleine devant tous les Pixar, les films bien, les films niais, les navets, les séries de Disney Channel, Dora l'exploratrice, etc.)...

Sinon, pour répondre au sujet initial, je ne pense pas que l'homme se féminise ni que la femme se masculinise. Je pense juste que les gens se libèrent des carcans sociaux, religieux, autres, qui imposent des comportements aux gens, et qu'ils commencent à être eux mêmes. Tout le monde a une part de féminité et une part de masculinité en soit, à des degrés différents, c'est pour ça que chaque personne est unique.

Au lieu de dire "omg !! ca va détruire la société !!1 Si ça continue, on sera obligé d'être des tarlouzes !", pourquoi on dirait pas "Soyez vous même et faites pas chier les gens, bordayl de merde !"

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Polémiste, Posté(e)
Hussard Noir Membre 2 682 messages
Polémiste,
Posté(e)

La suite est intéressante également. Ça change du discours convenu et des lieux communs qu'on lit depuis 13 pages.

Modifié par Hussard Noir
  • Like 2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
Posté(e)

Zemmour est une flipette qui a peur du changement de condition de la femme. Bien sûr que la société se féminise puisque des barrières idéologiques tombent. Mais la société ne fait pas que ça. :mouai: Depuis sa sortie sur "la castration de l'homme blanc", j'ai un peu pitié de lui. Et je connais bien ses positions : je l'écoutais tous les matins à la radio.

Quand on parle de féminisation des hommes la question est associée à un contexte culturel précis. Il ne s'agit pas simplement d'un changement de mode mais d'un changement de moeurs.

Notre culture est perméable, rien n'est figé, tu l'auras remarqué. Des tendances sont en conflit. On vit dans un monde qui s'accélère, une société de l'image avec des représentations multiples. Cela influence nos moeurs... mais elles n'évoluent pas aussi vite que les prophètes zemmouriens le crient. Tout un discours social est culturel est encore porté sur les représentations traditionnelles, voire sur un certain sexisme.

Se maquiller a souvent été (et est toujours) un acte militant, car porteur d'une autre idée au sein d'une culture aux références contestées. Ne pas se maquiller pour un femme, tiens, c'est souvent porteur d'une petite idée, ce n'est plus anodin. Un mini-conflit idéologique (il y a d'autres facteurs en jeu de la guerre des sexes, d'ailleurs).

Que l'homme possède 50 fois plus de testostérones que la femme, avec les différences générales de sensibilité et d'agressivité que ça provoque, s'agit-il de préjugés ou de faits scientifiques ? J'ai évoqué une chose très simple au sujet de la pilosité dont l'importance est liée à la testostérone, que l'on peut donc associer non sans logique à la virilité dans son importance et à la féminité dans sa carence. Ce simple fait rappelé m'a valu d'être traité d'intégriste religieux complétement débile. Là c'est le féminisme qui tourne à l'obscurantisme. Je note d'ailleurs votre deux poids deux mesures dans la gestion du trollage.

Tu évoques sans cesse un constat biologique (que je connais aussi, figure-toi) pour justifier ce qui devient ensuite idéologique. Notre culture influence autant notre mode de vie que notre biologie. C'est un va-et-vient permanent. Il ne s'agit pas que de testostérone mais de formatage culturel, éducatif. On élève les filles comme des filles et les gars comme des gars. Ça fait longtemps qu'on est au-delà de l'analogie à la nature : on a déjà tout influencé. Idem pour les films : ils ne sont pas attirés par les hormones mais ils sont culturellement formatés, sexués arbitrairement.

Le poil est plus que symbolique, par exemple. Certes, les mecs sont plus poilus, mais de là à pousser la donne à abolir tout poil chez la femme, ça dénote d'une influence culturelle très forte : la femme naturelle a aussi du poil. Ce n'est pas l'apanage de l'homme, même s'il en a plus. Mais c'est devenu un canon esthétique imposé. La preuve : même les femmes moches s'épilent.

Pour le mâle, c'est plus récent. Forcément, les partisans du "le poil, c'est l'homme" pensent qu'être imberbe et épilé est une féminisation. Ça n'a plus le même sens dès lors que les deux sexes en arrivent à cette pratique. Ça relève de l'esthétique hygiénistes, la modernité sans aspérité, le contrôle sur la nature, l'excès d'intervention sur son corps par désir d'identité ou d'originalité, etc... Peut-être pour certains, cela sert à "faire la femme", comme pour le maquillage. Mais c'est un usage parmi d'autres.

Ceux qui font des raccourcis théorisent des lustres sur la féminisation sans aborder tous les autres aspects.

Après, nos différences physiques fondamentales et les grandes lignes de nos comportements sont dominés par notre biologie. Est-il besoin de le rappeler ? Mais ça ne répond pas à la question : pourquoi le billard, le cigare et le whisky sont "des trucs de mecs" ?

Il faut prendre des médicaments, ou souffrir d'une tumeur ou d'un sévère désordre hormonal pour que l'homme produise dans de rares cas quelques gouttes de lait, par ailleurs insuffisantes à nourrir un nourrisson. Dans quasiment le même registre, il suffit d'une opération pour que l'homme puisse enfanter...

Je suis contre tout ça, bien sûr. L'article, je l'ai simplement mis pour couper court au biologisme systématique qui parcourt ce genre de débat. Il fait réfléchir sur notre nature.

La femme est naturellement beaucoup moins poilue que l'homme parce-qu'elle possède notamment beaucoup moins de testostérone, ce n'est pas une idéologie c'est un fait biologique. En revanche prétendre qu'on force la femme à s'épiler c'est le procès d'intention idéologique de la femme persécutée ; certaines ne s'épilent pas et assument parfaitement, et la plupart de celles qui s'épilent n'aimeraient pas se voir autrement. Une femme qui s'épile accentue sa féminité naturelle, puisqu'elle est naturellement moins poilue, et un homme qui s'épile réduit sa virilité (ou masculinité) naturelle. Si la culture traditionnelle fut de cultiver les différences naturelles entre les deux sexes, l'idéologie contemporaine elle celle de les effacer.

Ça, c'est ta vision idéologique. Accentuer sa féminité est n'avoir plus de poil alors qu'à l'état naturel, le poil féminin existe ? Tu dis aussi que des femmes assument leur féminité tout en ne s'épilant pas. J'aimerais bien entendre des témoignages de leur vécu, en conflit direct avec l'esthétique intime actuelle. Ne pas s'épiler est un combat typiquement féminin (comme si une femme poilue était moins femme). Pour l'homme, c'est maintenant s'épiler qui est jugé et accusé. Sur ces simples motifs de catégorisation.

La disparition du poil est un phénomène général, à mon humble avis.

C'est intéressant cette expression : l'homme émancipé. Le féminisme a d'abord parlé de femme émancipée, puis il parle maintenant d'homme émancipé pour désigner les metrosexuels, ces hommes aux moeurs féminisées. Quant à la volonté de maitriser excessivement la nature sans doute, mais je crois qu'on peut distinguer ce phénomène d'épilation intégrale chez l'homme et la femme. Je maintiens que le poil est un symbole évident de la virilité chez l'homme, et que l'homme moderne doit se faire épiler de cette virilité ancestrale pour devenir une femme comme les autres. Chez la femme, concernant l'épilation intégrale au niveau du pubis, je pense qu'il s'agit d'un besoin de virginité dans l'apparence, d'innocence pré-pubère, à l'heure où les femmes multiplient les partenaires dans leur vie alors qu'elles étaient mariées vierges depuis toujours il n'y a pas si longtemps.

Si c'est un symbole - ce que je te répète depuis l'autre post - c'est que c'est une idée et non plus un fait biologique brut. :mouai: C'est une représentation. L'humain moderne est beaucoup plus complexe que ça. Même les animaux et leur genre ne peuvent pas être réduits à quelques symboles. Idem pour le besoin de virginité : c'est de l'idéologie. La femme doit être vierge ou le paraître alors que l'homme n'a pas cette contrainte.

Je sens venir la justification "l'homme est naturellement fait pour baiser plein de femmes " mais c'est faux : la monogamie remonte aux débuts de nos sociétés.

Finalement, nos vues se rejoignent...

Pour l'homme émancipé, je parlais de l'Homme émancipé. De l'humain émancipé, en fait. Il faut que je perde ce vieux réflexe masculo-dominant. :smile2:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×