Du nouveau sur Mars.

Oui, pour les fake c'est connu.

Mais le caillou bizarre ressemble fortement à un artefact :

Je vais chercher des infos plus poussés avant de jeter cette photo à la poubelle.

3 mois de recherches resume en 1 clip d'une minute:

Une vidéo réalisée par un passionné d’astronomie résume en une minute les neuf mois du rover Curiosity, en mission sur Mars depuis août 2012.

30/05/2013

Les restes d'anciens cours d'eau sur Mars (Balance des Blancs effectuee)

Curiosity a trouvé des preuves d'un ancien ruisseau, qui coule sur Mars dans quelques sites, y compris l'affleurement rocheux sur la photo, que l'équipe de scientifiques a appelé "Hottah" après le lac Hottah dans les Territoires du Nord-Ouest du Canada. Il peut ressembler à un trottoir cassé, mais cette caractéristique géologique sur Mars est réellement une roche composée de petits fragments cimentés, ou ce que les géologues appellent un conglomérat sédimentaire. Les scientifiques pensent que la roche a été perturbée dans le passé, ce qui lui donne cette inclinaison, probablement par des impacts de météorites.

Curiosity a trouvé des preuves de sédiments d'eau transporté sur Mars dans quelques sites, y compris l'affleurement rocheux sur la photo, nommée "Hottah". Les cailloux arrondis dans ce conglomérat sédimentaire indiquent l'abrasion soutenue des fragments de roche dans les flux d'eau qui ont traversé le cratère Gale.

La preuve clé pour cet écoulement ancien provient de la taille et de la forme arrondie du gravier dans et autour de la roche-mère. Hottah possède des morceaux de gravier noyés dans la masse, appelés fragments, jusqu'à quelques centimètres de taille et situé à l'intérieur d'une matrice de sable. Certains de ces fragments sont de forme ronde, menant l'équipe scientifique à conclure qu'ils ont été transportés par un flux puissant d'eau. Les grains sont trop gros pour avoir été déplacé par le vent. L'erosion des affleurements et des fragments de gravier qui dépassent de l'affleurement et qui finalement tombent sur le sol, ont cree le tas de gravier au premier plan à gauche. La barre d'échelle en bas à droite est de 5 centimètres (2 pouces).

Ce point de vue de Hottah est une mosaïque d'images prises par la caméra de droite (téléobjectif lentille) de l'instrument de la caméra de mât (MastCam) de Curiosity pendant la 39e journée martienne, (ou sol 39), des travaux du rover sur Mars (14 septembre 2012 PDT / 15 septembre GMT). Il a été amélioré pour la présentation en blancs équilibré, ce qui donne une vue comme si la roche était vue dans des conditions d'éclairage extérieur sur la Terre, ce qui est utile pour les scientifiques pour distinguer les roches de couleur dans l'éclairage familier. Une vue "brut de couleur" de Hottah, montrant les couleurs enregistrée par la caméra sur Mars, est à http://photojournal....talog/PIA16156. Une vue stéréo est à http://photojournal....talog/PIA16223.

Malin Space Science Systems, San Diego, a construit et exploite MastCam. Le laboratoire Jet Propulsion de la NASA gère le Laboratoire des sciences mission Mars et le orvet Curiosity de la mission pour la Direction de la Science de la NASA à Washington. Le rover a été conçu, développé et assemblé au JPL, une division de l'Institut de technologie de Californie à Pasadena.

Pour en savoir plus sur la mission Curiosity de la NASA, visitez: http://mars.jpl.nasa.gov/msl.

Crédit image: NASA / JPL-Caltech / MSSS

Grâce aux données fournies par Curiosity, la NASA confirme qu’un vol vers Mars exposerait les astronautes à des doses de radiations dans la limite, si ce n’est au-delà de l'acceptable. Un élément qui pourrait fortement compromettre les missions habitées vers la planète rouge si on n'y trouve pas de solution.

Les scientifiques de la NASA ont profité du transport du robot américain Curiosity sur Mars (entre novembre 2011 et août 2012) pour analyser les radiations subies par le Mars Science Laboratory (MSL). Des travaux dont ils viennent tout juste de dévoiler les résultats et ceux-ci ne sont pas très optimistes.

Alors que Mars représente aujourd'hui un enjeu de taille pour les missions spatiales habitées, ces radiations représenteraient un réel danger. "Le niveau d'exposition aux radiations que nous avons mesuré est juste à la limite ou peut-être au-delà de ce qui est considéré comme acceptable dans toute une carrière d'astronaute par la NASA et les autres agences spatiales", révèle Cary Zeitlin, du Southwest Research Institute. Soit un niveau de grand maximum 1.000 millisieverts (mSv) sous peine d’augmenter de 3 à 25% le risque de mourir d'un cancer.

Or, selon la recherche publiée dans la revue américaine Science, "en termes d'accumulation de doses de radiations, un aller-retour vers Mars équivaut à subir un scanner complet du corps tous les cinq ou six jours", soit 662 mSv. Cela sans même tenir compte d’un séjour à la surface de la planète rouge où l'irradiation peut être importante.

En savoir plus sur les effets des radiations

Toutefois, comme le soulignent les chercheurs, "ces limites dépendent de notre compréhension des risques pour la santé humaine liés à une telle exposition aux rayons cosmiques. Et pour le moment cette compréhension est assez limitée". Une remarque qui ne parvient pas vraiment à rassurer mais qui rappelle que de nombreuses études restent à mener. "Comprendre les radiations à l'intérieur d'un vaisseau spatial transportant des équipages vers Mars ou d'autres destinations lointaines est essentiel pour préparer de telles missions", relève Cary Zeitlin.

Dans l'espace les astronautes s’exposent à deux types de radiations, les rayons cosmiques galactiques et les particules émanant du soleil. Les premiers possèdent une très grande énergie et ne sont pas arrêtés par les protections qui équipent les vaisseaux qui, en revanche, sont efficaces contre les particules solaires, de plus faible énergie et dont intensité est variable. Au cours du voyage du MSL, notamment, elles étaient faibles.

Un problème surmontable ?

Cependant, pour certains scientifiques comme Robert Zubrin, un ingénieur nucléaire qui préside la Mars Society, "les résultats de cette étude montrent que les radiations ne sont pas un obstacle insurmontable". Il estime même, que "le risque lié aux radiations est acceptable", jugeant que "franchement elles ne représentent qu'une modeste partie des risques d'une mission vers Mars". Pour lui comme pour d’autres experts, poser des astronautes sans encombre sur le sol de Mars est certainement bien plus problématique.

Source:http://www.maxisciences.com/

06.05.2013

Position de Curiosity pour le forage à «Cumberland» (Annote)

Cette image produite à partir du logiciel utilisé pour les lecteurs de Curiosity. l'image montre l'emplacement et la taille du rover quand il a été commandé en position de forage dans la cible rocheuse "Cumberland". Cumberland a ete deuxième cible de forage de la mission. Cette image montre également la proximité de la première cible de forage, "John Klein", qui est d'environ neuf pieds (2,75 mètres) de la cible de Cumberland. Pour se rendre de l'un à l'autre, le rover s'est éloigné de John Klein, pivoté et est alle en l'avant vers Cumberland. Curiosity est arrivé à la position représentée au cours de la journée 274e martien, ou sol, des travaux du rover sur Mars (14 mai 2013).

Le contour du rover provient du "Rover Séquençage" et logiciel du programme de visualisation, avec des images du sol à partir d'une mosaïque d'images prises par les caméras de navigation de CuriositY.

Crédit image: NASA / JPL-Caltech

Mars : les scientifiques percent le mystère des lignes observées à la surface des dunes Publié par Maxime Lambert, le 13 juin 2013 (4)

Le mystère qui planait depuis des années sur l’origine des étranges ravines à la surface des dunes sur Mars vient d’être résolu. Il s’agit en fait de dépressions créées par la chute de blocs de glaces sèches lors du printemps martien.

"J'ai toujours rêvé de me rendre sur Mars. Maintenant je rêve de surfer sur un bloc de glace sèche d’une dune martienne" confit avec humour Serina Diniega, chercheure au Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA. Cette révélation aux accents quelque peu loufoques s’appuie sur une étude bien sérieuse qui révèle la présence d’immenses pans de glace sèche recouvrant les dunes de la planète rouge. Pour en arriver à une telle découverte, l’astrophysicienne et son équipe ont étudié rigoureusement les images capturées par la sonde spatiale Mars Reconnaissance Orbiter (MRO) et particulièrement celles mettant en évidence d’étranges rainures linéaires qui ponctuent la surface des dunes. Son objectif : Tenter de déceler l’origine de ces sillons restée mystérieuse durant une décennie. De manière générale, les ravines martiennes présentent une largeur plus ou moins constante, allant jusqu’à quelques mètres. Mais contrairement aux canaux creusés par les fleuves et rivières sur Terre, aucun dépôt ou sédiment ne se trouve à leur extrémité. Il s’agit de ce fait, de formations dans lesquelles on n’observe aucun transport de matière. Les conclusions des travaux de recherche indiquent que ces dépressions sont en réalité les traces laissées par de grands blocs de glace sèche, ou plus exactement de dioxyde de carbone gelé, qui dévalent les dunes durant le printemps martien. Une théorie validée sur Terre

La publication, parue dans la revue Ikarus, révèle des images de ravines prises à différentes périodes de l’année. En hiver, les canaux sont recouverts de glace sèche mais périodiquement, on peut voir apparaître le long de leur tracé, des taches plus claires. Pour les scientifiques, ces marques sont sans l’ombre d’un doute le signe qu’un bloc de glace sèche s’est détaché de la partie supérieur de la dune. Après quoi, ces énormes amas de gaz carbonique gelé, finissent par se transformer en gaz (sublimation) et laissent ainsi des creux observés dans la partie terminale des sillons. Pour valider leur découverte, les chercheurs ont reproduit l’expérience grandeur nature. Le protocole a consisté à faire dévaler des blocs de glace sèche sur les dunes de sable de l’Utah et de la Californie. Leurs observations indiquent que la descente de ces énormes amas est facilitée par un cousin d’air mince produit par la sublimation du dioxyde de carbone. C’est pourquoi les mastodontes tracent sur les dunes des sillons peu profonds.

En savoir plus: http://www.maxisciences.com/mars/mars-les-scientifiques-percent-le-mystere-des-lignes-observees-a-la-surface-des-dunes_art29820.html

La ballade du Rover heureux:

302 jours dejà......

302 jours dejà......

Espérons que Curiosity tiendras aussi longtemps qu'Opportunity :

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronautique/d/opportunity-bat-le-record-americain-de-distance-extraterrestre_46524/

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/sur-mars-opportunity-decouvre-des-traces-dune-eau-propice-a-la-vie_47043/

Je le souhaite aussi.

vue de quelques Milliards de Pixels De Curiosity à Rocknest, avec une rectification de la balance des blancs

Ce point de vue plein cercle combine près de 900 images prises par Curiosity , générant un panorama avec 1,3 milliards de pixels dans la version pleine résolution. La vue est centrée vers le sud, avec le nord aux deux extrémités. Il montre Curiosity sur le site "Rocknest" où le rover ramassé des échantillons de poussière portée par le vent et le sable. Curiosity a utilisé trois caméras pour prendre des images de composants sur plusieurs jours différents entre le 5 octobre et le 16 novembre 2012.

Les téléspectateurs pourront découvrir cette image avec panoramique et de zoom contrôles aux http://mars.nasa.gov/bp1/.

Cette première image de la NASA de la surface de Mars est une mosaïque avec 850 cadres de la caméra téléobjectif d'instrument de caméra de mât de Curiosity, complété avec 21 cadres de l'appareil photo plus large angle de la MastCam et 25 images en noir et blanc - pour la plupart du rover lui-même - de l'appareil de navigation. Il a été produit par la Mission-Multiple Image Processing Laboratory au Jet Propulsion Laboratory de la NASA à Pasadena, en Californie

Cette version du panorama a été blanc équilibré pour montrer ce que la scène devrait ressembler à la Terre sous des conditions d'éclairage, ce qui est utile pour distinguer et reconnaître des matériaux dans les roches et le sol. Une version brute de couleur est disponible à http://photojournal....talog/PIA16919. La vue montre les effets d'illumination de variations dans le temps de la journée pour les morceaux de la mosaïque. Il montre aussi des variations dans la clarté de l'atmosphère due à empoussièrement variable au cours du mois, tandis que les images ont été acquises.

Le projet Mars Science Laboratory de la NASA utilise Curiosité et 10 instruments scientifiques du rover pour enquêter sur l'histoire de l'environnement dans le cratère Gale, un endroit où le projet a constaté que les conditions étaient depuis longtemps favorable à la vie microbienne.

Malin Space Science Systems, San Diego, construit et exploite le MastCam de curiosité. JPL, une division du California Institute of Technology, Pasadena, gère le projet Mars Science Laboratory de la science Mission de la Direction de la NASA à Washington et construit l'appareil de navigation et le rover.

Crédit image: NASA / JPL-Caltech / MSSS

Le Satellite Phobos passe au dessus de Curiosity

Phobos apparaît d'abord près du centre inférieur de la vue et se déplace vers le haut de la vue (c'est le petit point brillant qui se déplace). Le clip tourne à vitesse accélérée, la quantité de temps couvert est d'environ 27 minutes.Le halo lumineux n'est qu'un artefact du à la diffraction de la lumiere dans la caméra

Localisation Rover Curiosity pour Sol 327

Cette carte montre le chemin parcouru par Curiosity dans la 327eme journée martienne, ou "sol 327", de la mission du rover sur Mars (8 Juillet 2013).

la numérotation des points le long de la ligne indiquent le nombre "sol" .

Le Nord est en haut. La barre d'échelle est de 200 mètres (656 pieds). De Sol 324 à Sol 327, Curiosity avait conduit une distance d'environ 118 pieds (36 mètres).

Crédit image: NASA / JPL-Caltech / Univ. de l'Arizona

En route pour le mont Sharp Sol 329

Les pentes inférieures du mont apparaissent en haut de cette image prise par la caméra de navigation droite (NavCam) de Curiosity , à la fin d'un trajt d'environ 135 pieds (41 mètres) au cours de la journée martienne 329e, ou sol 329, (9 Juillet 2013). Le point d'entrée prévu dans les couches inférieures du mont Sharp, prochaine destination majeure de la mission, se trouve à environ 5 miles (8 kilomètres) au sud-ouest.

La tourelle d'outils à l'extrémité du bras robotique de Curiosity est au premier plan, avec le forage de roche d'échantillonnage du rover dans le coin inférieur gauche de l'image.

Crédit image: NASA / JPL-Caltech

07.09.2013

Processus scientifique pour la détection de "Mars Past Life"

La recherche de signes de vie passée sur Mars serai un processus en plusieurs étapes, selon l'équipe de définition de la mission Mars 2020. Le processus commence avec l'aide des instruments de rover 2020 afin de déterminer si les conditions passées étaient favorables à la vie microbienne et pour préserver les preuves sur la vie martienne, si elle existait. La prochaine étape serait à la recherche d'une preuve possible d'une vie passée, ou "biosignatures potentielles." Cette recherche peut être effectuée à la fois sur Mars, avec des instruments sur le mobile et l'utilisation de laboratoires sur Terre pour examiner des échantillons martiens sélectionnés revenu sur Terre. le rover Mars 2020 Rover collectera et conditionnera des échantillons sélectionnés pour un éventuel retour à la terre par une future mission. Le retour d'échantillons Martiens pour analyse dans les laboratoires sur Terre permettrait également l'étape suivante: la reconnaissance d'un signe définitif de la vie martienne passée - une "biosignature définitive."

Crédit image: NASA / JPL-Caltech

Rien de neuf, mais une petite ballade au dessus du Chiasma Hebes (au Nord Ouest de Valles Marineris), à partir d'images HD de Mars Express

23/07/2013

Vue par le bras de montage de de Curiosity après une longue route

La lentille main Imager (Mahli) de Curiosity est focalisée à un angle aigu lorsque le bras du rover est rangé pour la conduite. Pourtant, la caméra est capable d'enregistrer des vues sur le terrain lors de la traversée dans le cratère Gale, et faire pivoter l'image de 150 degrés fournit cette scène . La vue est dirigée vers le sud, y est compris une partie du mont Sharp et une bande de dunes sombres en face de la montagne. Elle a été prise le jour 140e martien, ou sol 140, , peu après que Curiosity aie terminé un trajet de 100,3 mètres (329,1 pieds) sur ce sol. La route était deux fois plus longue que que sur n'importe quel sol précédent.

Lorsque le bras robotique, la tourelle, et mahli sont rangés, le Mahli ne voit que par le côté avant gauche du rover. Cela ressemble beaucoup à la vue du côté du conducteur des voitures vendues aux Etats-Unis.

Le principal objectif de la caméra mahli de Curiosity est d'acquérir une vue rapprochée à haute résolution, des roches et des sols du cratère Gale . La caméra est capable de se concentrer sur une cible à une distance d'environ 0,8 pouces (2,1 centimètres) à l'infini. Cela signifie qu'il peut, comme montré ici, également obtenir des photos du paysage martien.

Crédit image: NASA / JPL-Caltech / MSSS

bonjour

on pourrait se croire dans certaines régions terrestre .mars est bien la sœur de la terre .à quand l'exploration de mars par des drones spéciaux qui pourraient se mouvoir dans l'atmosphère raréfiée de mars ?

bonne journée

Sol 343 vue par la "Twin Cairns"sur la route vers le Mont Sharp

Cette scène regroupe sept images de la caméra télé-objectif du côté droit de la caméra de mât (MastCam). Les images composantes ont été prises 11h39-11h43, heure solaire locale, le 343e jour martien, ou Sol 343. Le rover avait conduit 205 pieds (62,4 mètres) pendant Sol 342 pour arriver à l'endroit offrant ce point de vue. Le centre de la scène est vers le sud-ouest.

Une hauteur surmontée de deux rochers gris près du centre de la scène est officieusement nommé "Twin Island Cairns." Elle est à environ 100 pieds (30 mètres) de Curiosity. Les deux roches grises, combinés, sont d'environ 10 pieds (3 mètres) de large.

Cette mosaïque a été équilibrée en balance des blancs pour montrer à quoi la scène devrai ressembler sur Terre, ce qui est utile pour distinguer et reconnaître des matériaux dans les roches et le sol.

Crédit image: NASA / JPL-Caltech / Malin Space Science Systems

Mise à part les capacités des rovers, qu'est-ce qu'on apprend su Mars ?

pour l'instant, ça:

Peu après son amarsissage, les caméras de Curiosity ont détecté des agglomérats de cailloux et de gravier formés par l'écoulement d'eau dans ce qui fut le lit d'une ancienne rivière. L'analyse des roches a ensuite permis de trouver de l'argile qui se forme au contact de l'eau et de déterminer que cette eau n'était pas salée, ni trop acide pour empêcher la vie. Ces découvertes expliquent pourquoi Curiosity n'a parcouru qu'un kilomètre et demi depuis son arrivée.

D'ou les forages et tirs lasers.

Maintenant c'est direction le Mont Sharp ou il y à des couches sédimentaires ce qui permettrait de faire des datations sur les périodes propices à la vie dans le passé. 8km, il y en à pour plusieurs mois, et il y aura des analyses en cours de route.

15/08/2013

Deux lunes passant dans la nuit martienne

Ce clip montre la plus grande des deux lunes de Mars, Phobos, en passant devant la petite lune martienne, Deimos, observée par Curiosity. La série de 41 images est affichée à une vitesse accrue. Le temps écoulé réel est de 55 secondes.

Les images ont été prises par la caméra téléobjectif de la paire de caméra du mât le 1er août 2013, au cours de la journée 351e martien, ou sol 351. Ces observations de Phobos et Deimos aident les chercheurs à faire connaître les orbites des lunes encore plus précisément.

Sur Phobos, Stickney Crater est visible sur l'hémisphère avant de Phobos. Salle Crater, au Sud, est le trait saillant sur ​​le côté droit.

Crédit image: NASA / JPL-Caltech / Malin Space Science Systems / Texas A & M University.