La patience...

Socrate ou la religion qui défie la marche de l §Histoire , mais de quoi on parle on la .? la marche de l Histoire pour un penseur helléniste qui a vécu 4 siecle avant notre 'ere' ca a vraiment un sens ..? .. t es pas en train de t envoler un peu trop haut juste pour un bout de prose qui evoque l anthologie secrete d icare , Socrate était un sophiste comme tout les autres ...

vas y mollo quasi modo avec les sourate de Socrate .. .. je vois pas trop le rapport avec la patience par contre j en vois un avec l ignorance ; la patience ne sera jamais une vertus c est juste une pratique .. elle n est vertus que pour les bovin en partance pour l abattoire .. voila cé ca .. la patience c est propre aux etre impuissant comme l impatience est celle des etre précoce !!! pire la patience est un carcan ou on enferme tout nos reve puis ont fini par les oublier ... tu me fatigue a toujours vouloir des argument .; et si on tuait Descartes ? a quand l apologie du chaos !!

Socrate ou la religion qui défie la marche de l §Histoire , mais de quoi on parle on la .? la marche de l Histoire pour un penseur helléniste qui a vécu 4 siecle avant notre 'ere' ca a vraiment un sens ..? .. t es pas en train de t envoler un peu trop haut juste pour un bout de prose qui evoque l anthologie secrete d icare , Socrate était un sophiste comme tout les autres ...

vas y mollo quasi modo avec les sourate de Socrate .. .. je vois pas trop le rapport avec la patience par contre j en vois un avec l ignorance ; la patience ne sera jamais une vertus c est juste une pratique .. elle n est vertus que pour les bovin en partance pour l abattoire .. voila cé ca .. la patience c est propre aux etre impuissant comme l impatience est celle des etre précoce !!! pire la patience est un carcan ou on enferme tout nos reve puis ont fini par les oublier ... tu me fatigue a toujours vouloir des argument .; et si on tuait Descartes ? a quand l apologie du chaos !!

De quoi on parle? Tout simplement du fait qu'aujourd'hui encore nous parlons de Socrate et de la religion chrétienne, juive ou islamique. Du fait que ces façons particulières de concevoir le monde nous parlent encore aujourd'hui et qu'on peut encore y trouver des réponses, malgré les siècles qui s'écoulent.

Maintenant effectivement il n'y a pas de rapport avec le sujet et cela je le savais, c'est pourquoi j'essayai simplement de te ramener dans le giron. C'est toi qui a fait dévier cette discussion alors assume.

A trop battre des ailes, tête de linotte, on finit par brasser de l'air...

L'impatience finit par rendre les gens inaccessible, stressés, peu communicatifs

ils passent leur temps à courir après tout et rien ils oublient que la vie c'est aussi savoir prendre son temps,

que de ne pas tout obtenir de suite permet au contraire de mieux savourer le moment

ou on fait l'acquisition d'une chose que l'on a attendu durant un certain temps ...

J'ai une conception différente, pour moi rien n'a d'importance réellement, seul réside les petits

moments de plaisir attendus ou inattendus ! Je remets facilement tout sans ma poser la question

de savoir si il y a urgence ou pas. Je suis patient, la vie s'écoule déjà assez vite, faut profiter

de chaque instant avec sérénité.

Savoir prendre son temps donne une dimension plus agréable de la vie, flâner, prendre le temps

d'apprécier, découvrir avec plaisir les choses sans vouloir pour autant les obtenir !

NO STRESS........

...Il s'agit d'un poème et d'une chanson qui montre justement les dégâts que peut causer l'impatience, en particulier ceux qui veulent modifier le rythme imposé par la nature...

Oui, j'avoue que je n'ai pas compris non plus l'analogie avec l'idéologie libertaire, puisque le poème que tu as mis (ou du moins l'extrait), explique justement l'idée qu'avec un peu d'attente (et oui, Rome ne s'est pas faite en un jour), on peut profiter des meilleures choses, et que cela est expliqué à travers la métaphore du fruit arrivé à maturité.

Mais je pense qu'il s'était peut être éparpillé à la lecture de certaines interventions, certes divertissantes, mais quelque peu confuses.

Là où vous pourriez vous rejoindre, c'est que la société de consommation actuelle est telle, qu'aujourd'hui, on ne laisse plus le temps aux fruits de s'épanouir... Ni même de pousser dans les meilleures conditions possibles d'ailleurs: il n'y a qu'à voir certaines serres où la plante ne peut même pas s'enraciner au sol, pour le comprendre. On cueille des fruits dès qu'ils ont ont une belle apparence, pour les vendre, et non plus parce qu’ils sont mûrs.

tout le monde vit sans plus vouloir attendre pour quoi que ce soit.

Patience avait dit la vie,

si tu veut le paradis,

il faut attendre demain,

peut-être attend tu pour rien!

Demain c'est l'éternité

et je n'ose pas y penser,

nous avons si peu de temps,

qu'il ne faut pas perdre un instant!

Il à bon goût ce fruit mûr,

que nous croquons à pleines dents,

et qui par toute ces blessures

fond dans notre bouche a présent!

nous n'aurions pas eu l'idée,

folle de paraître impatient

d'aller cueillir sur le pommier

la branche fleurie au printemps!

etc...

Pantience, Louis Capart (chanteur de l’île de sein)

en plein dans le sujet!

Beau discours de l'idéologie 68-arde dont l'auteur est contemporain... mais avec les dégâts qu'on lui connaît.

Puisse-que tu lui connait des dégâts, peut tu les expliquer?

Il s'agit d'un poème et d'une chanson qui montre justement les dégâts que peut causer l'impatience, en particulier ceux qui veulent modifier le rythme imposé par la nature, comme par ex., les serres en hors sol, qui produise très vite une qualité médiocre d'aliments.

Ou vois tu un discours 68-ard! se poème a été écrit dans les années 2000!

Mea Culpa, j'avais mal compris le sens du texte que j'ai cru cerner un peu vite. Peut-être étais-je trop impatient justement, ou effectivement plus vraisemblablement dispersé par les diverses interventions de NJ qui étaient sans rapport avec le sujet. Enfin je ne prétends pas non plus être un modèle de patience ; le véritable critique sait qu'il partage, au moins en partie, les défauts qu'il reproche à la société qu'il accable.

Toutefois, la lecture de ton texte m'a fait penser à rapporter l'impatience à l'idéologie libertaire. Celle qui nous a appris qu'il ne fallait surtout pas brimer nos enfants, que la fessée ou la claque était un traumatisme, que les curés étaient des moulins à parole sans pertinence, etc.. etc..

J'ai trouvé ce lien très intéressant même si je n'ai pas encore pu tout lire sur ce phénomène que je connais un peu : L'enfant roi : Tout, tout de suite!

C'est pas faux Quasi-Modo, mais il faut voir la façon dont était perçus les enfants avant la première partie du XXe siècle. Certes, il y a aujourd'hui des dérives, mais "Le bébé est une personne", merci Dolto!

Certes, le bébé est une personne, mais il n'est pas encore un individu, et la nuance est de taille lorsqu'on parle d'enfant-roi.

Car précisément, c'est dans la frustration et la réprimande que l'enfant construit son individualité, sans quoi il n'acquerra jamais la notion de moralité.

Car précisément, c'est dans la frustration et la réprimande que l'enfant construit son individualité, sans quoi il n'acquerra jamais la notion de moralité.

Là j'approuve, faut savoir doser ni plus ni moins, pas toujours évident de trouver un bon équilibre

mais avec un peu de logique et d'intelligence on finit par donner et apporter aux gosses

ce qu'ils ont besoin sans tomber dans l'excès. Les petits plaisirs simples permettent à l'enfant

de comprendre qu'on a pas besoin d'être à la pointe de la modernité, de tout posséder

pour être heureux. Cela leur permet aussi d'acquérir de la patience, de savoir attendre.

Evidemment le caractère va rentrer en ligne de compte car chaque personne réagit différemment .

Loin de moi l'idée d'approuver l'attitude actuelle de certains parents qui répondent au moindre désir de leur enfant et justifient un comportement caractériel, qui croient que tout lui céder est une chose tout à fait normale et logique.

Non, j'expliquais simplement que vu d'où on vient: l'enfant n'avait aucun droit, était sous considéré, il n'est pas étonnant que l'on soit passé dans l’extrême inverse.

Bien sûr, il y a l’entre-deux. Certains y parviennent heureusement!

Soyons patients, certains finiront peut être par ouvrir les yeux. Quoiqu'il est vrai l'éducation n'attend pas...

enseigner la patience comme on apprend l'art de bâiller

J'ai vu l'ironie, mais souhaite tout de même rebondir.

Non, rien d'inné, mais qu'on le veuille ou non, on subit l'attente. Alors il vaut mieux l'accepter de manière philosophe, plutôt que de se mettre la rate au court-bouillon.

Bien évidemment, ce n'est pas toujours facile, n'y même souhaitable dans certaines circonstances (en cas d'abus manifeste par exemple), mais c'est tout de même une façon de vivre ensemble et de faire face aux évènements sur lesquels on n'a aucune prise.

oué ca roule comme ca .. j accepte mais seulement pour cette nuit voie lactée

Les seuls gens qui existent sont ceux qui ont la démence de vivre, de discourir, d'être sauvés, qui veulent jouir de tout dans un seul instant,(j.kerouac)

Ça me va, même si cet accord ne dure qu'une nuit.

D'autant que terminer avec cette belle photo de James Dean, je ne peux qu'approuver! Oui, il a brûlé sa vie par les deux bouts, mais a effectivement vécu à fond sa passion...

enseigner la patience comme on apprend l'art de bâiller

Je ne sais si tu l'as remarqué, mais je ne suis pas en train de faire l'apologie de la patience.

Ce qui m'intéresse c'est le phénomène de société et son explication.

Certaines activités pourtant particulièrement enrichissantes nécessitent de la patience, comme la lecture, le jardinage, l'élevage, l'amour, etc...

Ça me va, même si cet accord ne dure qu'une nuit.

D'autant que terminer avec cette belle photo de James Dean, je ne peux qu'approuver! Oui, il a brûlé sa vie par les deux bouts, mais a effectivement vécu à fond sa passion...

Nous sommes ici dans une fausse dichotomie. La question n'est pas de savoir si il faut vivre passionnément ou raisonnablement, car la réponse est certainement dans un mélange des deux. Qui pourrait seulement prétendre qu'il a toujours écouté les conseils raisonnables? Qui peut prétendre n'avoir vécu que pour et par sa passion?

J'expliquai juste que les mécanismes régulateurs de cette expansivité si naturelle chez l'enfant, réside dans l'apprentissage de la patience, sans quoi cette impatience et cette expansivité risque de demeurer à l'âge adulte en formant de bons enfants d'éducation libérale ou néo-libérale, étant par ailleurs particulièrement insupportables pour leurs proches ainsi que les autres citoyens.

Je ne savais d'ailleurs pas que NJ était libéral mais enfin... on en apprend tous les jours.

La patience

Je suis toujours speed ! Je suis enervé en permanence et impatient !

J'ai des problèmes d'hypertension mais j'aimerai vraiment apprendre à me calmer. D'autant plus que l'accouchement de ma femme arrive..

Je suis tombé sur cet article : http://h30565.www3.hp.com/t5/Blog-de-la-Rédaction/La-patience-est-elle-une-vertu/ba-p/7622?profile.language=fr

IL m'a permis de faire un peu le vide et je voudrais savoir si vous voulez bien me donner des conseils vous aussi qui pourrait me permettre de me relaxer !a

Merci d'avance !

"Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage."

La patience, c'est un peu "L'Arbre tient bon; le Roseau plie" de Jean de la Fontaine...

Une force pour qui c'est avoir cette qualité qui n'est ni lenteur ni refus d'être dans l'air du temps ou dans les temps...

Une sorte de "recul" sur l'action... Une maîtrise du temps...

Celui qui est patient n'abandonne pas l'action... Rien ne le lasse ou le décourage... C'est une capacité à relativiser... Sans perdre de vue son but... Et à atteindre l'objectif dans de bonnes conditions et sans avoir stresser inutilement...

La patience ne sert à rien, l'impatience non plus !

:blush: ...

Ce texte, préparé par le général Mordacq et par Georges Clemenceau, indique clairement ce qui distingue et ce qui lie stratégie et tactique. Trois classes d'acteurs sont énumérées : les gouvernements, détenteurs du pouvoir politique ; le responsable de la direction stratégique, qui reçoit mission des gouvernements de « coordonner l'action des armées alliées » ; enfin, les généraux en chef qui exercent la « conduite tactique » de leur armée. L'action s'articule donc à trois niveaux : la politique, la stratégie et la tactique.

Ah d'accord ! C'est une honte de pousser le vice jusqu'à parler de stratégie dans ce sujet qui traite de la vertueuse patience.