[Policier] Roman

Bonjour à toutes et à tous sur mon nouveau sujet, dédié cette fois ci à l'écriture, puisque je vous proposerais fréquemment des écrits réalisés par moi-même.

J'ai déjà un sujet, qui regroupe différents articles, PassionDriver, sur des faits reposants : la nature, les animaux, l'automobile, le sport... Toutes les photos rigoureusement authentiques réalisé aussi par moi-même.

Pour en revenir à notre sujet, l'écrit, je vous propose dès aujourd'hui le début de mon roman.

Veuillez bien mettre un petit commentaire pour dire ce qui va ou ce qui ne vas pas, et une petite note.

Mon homme arriva enfin. Il avait une allure disgracieuse, mais il avait l'air honnête. Gentil, non, juste honnête. Il se diregea alors dans un endroit isolé et sombre, tout au bout d'un pub. Je le suivis doucement, dicrétement, ce rendez-vous devait rester confidentiel.

Je me dirigeais lentement vers la table, observant le moindre détail de la scène. Il tenait un café dans sa main gauche et une enveloppe dans sa main droite. Je tirai une chaise, esquissai un "Bonjour" mal assuré. L'homme me regarde froidement. Il me tendu la lettre, et ajouta :

"Vous ne la lirez qu'une fois chez vous. Au revoir.". Et ce fut tout. Je regarda l'enveloppe, la tourna, la retourna. Il y avait une adresse : "1314 Estevalling" au dos de la lettre, écrit en tout petit. Le serveur attendu, et dès que j'eus enlevé ma tête de cet enveloppe,

me proposa un café. Je lui répondis aimablement et m'en alla. La rue était encore bondée par cette chaleur. Ca faisait des décennies qu'on n'avait eu mois de juin pareil. Je descendis prendre le métro pour ma petite résidence en banlieue résidentielle de Londres.

Le train était heureusement presque désert. Je fus vite arrivé à mon arrêt, et je me diregais alors en courant jusqu'à chez moi. L'enveloppe encore dans ma poche, je gardais une main dessus. Que pouvez contenir ce précieux papier ?

J'aime bien. La lectures est agréable

passé simple et présent de l'indicatif bien employés -après il n'y a pas beaucoup d'indications, peu de noms de villes par exemple ou de prénoms pouvant permettre au lecteur d'imaginer une vaste suite au-delà des mots

les temps de conjugaison concordent le malheur : demeurent des fautes d'orthographe impardonnables ; le début "mon homme" et surtout l'article possessif, intrigue assez afin qu' on ait envie d'encourager l'auteure à la poursuite..

On se retrouve aujourd'hui pour la suite de mon histoire, encore sans titre (le titre viendra à la fin, ne vous inquiétez pas). A vos claviers !

J'ouvris la porte. Je trouvais mes factures, comme tous les premiers mardi du mois, étalé par terre. Je me précipita à la cuisine, me posa sur la petite table, pris mon couteau de poche et ouvrit cette mystérieuse lettre. Je vis au premier abord une écriture soignée, féminine

et gracieuse. Je commença à lire cette lettre "Bonjour cher Monsieur xxxxxxxxxxx, vous avez été sélectionnez par le site www.zxywozkn.pl pour recevoir en tir groupé 7 liasses de billets de 500 €. Veuillez nous envoyez votre confirmation à cette adresse web". Dès le

premier paragrphe, je paraissé perplexe, puis angoissé. Je me sentis tout petit, minuscule, impuissant, tout ceci paraissait incompréhensible à mes yeux. Je me disais quand même que tout ceci n'avait aucun sens, encore un attrape-couillon. Mais il ne fallait pas oublier que

cette lettre m'a avait été remise en personnes, et que cette personne, un homme sombre semblant venir d'Europe de l'est, avait un air grave et n'avait prononcé aucune parole. Si il s'était s'agit d'une arnaque, il aurait été souriant, beaucoup plus plaisant, blagueur, pour

nous mettre en confiance. Hors, celui là ne nous mettait tout sauf en confiance, c'est certain. Je lui la suite "Rendez vous au Bistrot de l'Est, 18ème, Paris, pour conditions. Soyez discret, nous parlerons des conditions". C'était une attaque, j'en étais quasi certains.

Fait marquant, il n'y avait pas d'heure ni de date sur ce rendez vous ! Cette nuit là, je n'arrivais pas à dormir. Tous ces évènements tournaient dans ma tête à un rythme effrené. Que me voulez t'on ? Quel était cette histoire ? Et surtout, qui était derrière tout ça ?

Troisième épisode cette fois-ci pour la suite de mon petit roman. Vos commentaires sont les bienvenues, ne soyez pas timides, des commentaires ne ferait pas de mal à cette page avec ses quelques commentaires ! N'hésitez pas à me critiquez, il faut que j'évolue un peu dans mon texte, donc donnez vos commentaires, merci bien ! N'hésitez pas aussi à vos mes reportages (deuxième en construction) sur ma première page (PassionRacing, lien en haut du post). Et comme promis, la suite !

Le lendemain, je me réveilla de bon matin. Je pris un en-cas avant d'aller travailler. Je travaillais dans les quartiers d'affaires de Londres, je dirigeais un petit secteur, le secteur marketing d'une grande marque de céréales. Rien d'intéressant en somme, plutôt montone.

J'arrivais à la gare de métro quand je vis que une grève avait été déclenche suite à la grave crise qui touchait l'Europe. Je retourna donc chez moi au trot, et pris ma voiture. J'arriva en retard au travail, ce qui n'affecta guère davantage l'humeur de mon patron, déjà

instable. Le soir, après une longue journée ennuyeuse et sans grand chose à décreter, je décida, sûrement pour me changer les idées, d'aller dans les beaux quartiers de Londres, et me poser jusqu'à pas d'heure dans les cafés londoniens, bondé en cette belle saison.

22 heures arrivait à grand pas, je décidais enfin de partir. Quand l'idée d'aller à ce fameux rendez-vous me vînt à l'esprit. Je tapota sur mon GPS de ma voiture, et saisit l'adresse "ADRESS NO DETECT". Je tapa alors le nom de la rue, juste "ERROR 6631 : NOT FOUND".

C'était mon affaire. J'alla alors vers une agence de voyage, et la dame fut autant que mon GPS futile dans ma recherche. Elle appela un patron, qui me prévient "N'allez pas là bas, c'est mal famé et ça pue, si je peux me permettre". Vous ne désirez pas aller dans un petit

restaurant dans les beaux quartiers, j'ai un frère qui y travaille, et ils font du pudding super !". "Non merci, Monsieur, une personne m'a prescrit cette adresse pour un rendez-vous et je...". Le malotru me coupa net : "Un rendez vous dans ce trou à rats ! Elle doit pas être très

charmante ni raffinée votre gonzelle !". Je me pris de rappeler au bonhomme que ce n'était pas son affaire, et qu'il me devait d'y aller d'urgence pour une affaire de la plus haute importance. Il me donna l'itinéraire de l'adresse, je le remercia et lui tendit un billet.

Le sourire sur son visage s'élargit. Je pris ma voiture, fonça sur l'autoroute à vive allure, vers une destiné encore incertaine...

Bonjour,

Impossible de te lire, trop de fautes de conjugaison "je tapa"... et autres, des fautes d'accord... Cela me bloque complètement.

Désolée.

Bonsoir, je rejoins Feuille...

Il me semble que c'est intéressant à lire, cependant, si tu voulais utiliser un correcteur d'orthographe, ce serait plus agréable pour tes lecteurs.

Je pense que tu souhaites faire passer ta passion aux autres, et je t'en félicite, mais il va falloir faire un effort niveau compréhension. Désolée. :blush:

Je me suis forcée à lire, et en fait c'est pire que ce que je pensais : tu emploies des tournures de phrase voire des mots qui n'existent pas...

Par exemple, qu'est-ce que ça veut dire, "je me pris de rappeler" ? :gurp:

Désolée, tu as certainement de bonnes idées sur le fond, mais sur la forme, c'est une catastrophe (enfin... pour le moment !), tu as un gros travail de réécriture à faire...