restez vous même nous disent ils ...

Il existait un membre qui s'appelait Le Génie et Parfois La Folie, il aurait été mieux placé que moi pour t'expliquer, je le regrette, paix à son âme.

J'ai fais philo en terminal... le programme de base. Le reste c'est de la lecture et dans mes lectures j'ai appris que le "je" était le produit de ma mémoire, de mes expériences, de ma pensée... mais qu'une fois mort, y a plus rien. Au mieux un cadavre (qui ne peut plus dire "je") et des amis pour qui j'existe encore un peu dans leur mémoire. Si tu veux dire qu'on a une âme ou que des extra terrestre peuvent nous rendre la vie, dis le carrément... mais tu sais déjà que tu seras non seulement hors sujet, mais hors thème puisque ces croyances n'ont rien à faire en philosophie.

Le produit de "ma" mémoire, "ma" pensée et à qui appartiennent ils avant de dire qu'il sont miens à ce "je", donc définis ce "je" avant de dire mien.

Il existait un membre qui s'appelait Le Génie et Parfois La Folie, il aurait été mieux placé que moi pour t'expliquer, je le regrette, paix à son âme.

Le génie ( l' intelligence ) ,c' est aussi arrivé à se faire comprendre simplement sans laisser parler son égo.

Moi j' ai pas fait phylo mais je pense que si on m' explique avec des phrases cohérantes ,je devrais comprendre.

Bah c'est ce qui fait le charme de Fort Boyard...

Alors je m' occuperais du physique et des serpents. :D

Quoi que.....

Le génie ( l' intelligence ) ,c' est aussi arrivé à se faire comprendre simplement sans laisser parler son égo.

Moi j' ai pas phylo mais je pense que si on m' explique avec des phrases cohérantes ,je devrais comprendre.

Pourtant depuis le début j'essai de faire preuve de cohérence ou d'en susciter chez l'autre.

Les oppositions ne se font que par relation d'opposition qu'entretiennent la douleur et l'indolore. Si soi s'oppose à autrui, alors c'est que soi et autrui entretiennent une relation d'opposition, sachant que tout ce qui s'oppose est la douleur et son absence ; c'est que soi est indolore et que autrui est douloureux ou que autrui est indolore et que soi est douloureux.

Mais si ils sont tous deux douloureux ou indolores ou d'égal mélange pour chacun des deux alors ils ne pourraient pas entretenir une relation d'opposition pour se distinguer l'un de l'autre.

Alors je m' occuperais du physique et des serpents. :D

Je te les laisse, j'irais me faire un plateau de fruits de mer à coté sur Oléron... Enfin mon "futur moi" fera ça parce qu'il adorera ça et qu'une fois mort, mon existence sera bien terne sans les langoustines :smile2:

Ce sera toi ou pas on peut la jouer à plouf plouf mais comme le roi ne le veut pas ce ne sera pas toi.

Là j' ai compris :D

Pourtant depuis le début j'essai de faire preuve de cohérence ou d'en susciter chez l'autre.

Les oppositions ne se font que par relation d'opposition qu'entretiennent la douleur et l'indolore. Si soi s'oppose à autrui, alors c'est que soi et autrui entretiennent une relation d'opposition, sachant que tout ce qui s'oppose est la douleur et son absence ; c'est que soi est indolore et que autrui est douloureux ou que autrui est indolore et que soi est douloureux.

Mais si ils sont tous deux douloureux ou indolores ou d'égal mélange pour chacun des deux alors ils ne pourraient pas entretenir une relation d'opposition pour se distinguer l'un de l'autre.

Mais ça tu n'as pas compris sérieux ? Je crois que je vais sombrer dans l'autisme si ce n'est pas déjà le cas.

Si j' ai compris ( enfin je pense ) j' ai même fait le rapport au sujet.

Mais pourquoi tu ne donnes pas directement des exemples, par rapport à ton sujet, qui sont compréhensibles par n' importe qui. Avec des phrases et des images simples enfin accessibles à autrui .Sans parler juste pour je.

Deux personnes malheureuses ou heureuses de la même chose se comprendront mieux comme s'ils étaient un.

Oui et non... ça dépendra de leur passé, de leur vécu et donc un même événement n'aura pas forcément le même écho chez l'un ou chez l'autre... tu peux l'imaginer oui, mais tu ne peux pas savoir ce que l'autre ressent.

Faudrait vraiment que tu fasses une pause dans ta façon de parler de temps en temps... Quand tu vas chercher une baguette chez ta boulangère tu ne le lui dis pas "l'opposé de la miche, n'est couronne que si tu me mène à la baguette"... Si tu veux échanger plus clairement, oublie un peu ton personnage.

Oui et non... ça dépendra de leur passé, de leur vécu et donc un même événement n'aura pas forcément le même écho chez l'un ou chez l'autre... tu peux l'imaginer oui, mais tu ne peux pas savoir ce que l'autre ressent.

Faudrait vraiment que tu fasses une pause dans ta façon de parler de temps en temps... Quand tu vas chercher une baguette chez ta boulangère tu ne le lui dis pas "l'opposé de la miche, n'est couronne que si tu me mène à la baguette"... Si tu veux échanger plus clairement, oublie un peu ton personnage.

Je ne lui parlerai pas seulement de baguette, de miche, et de couronne pour lui expliquer en quoi elles s'opposent et donc se différencient, je lui parlerai de douleur et d'indolore et non pas d'un sombre "je" et "tu".

Parce que en attendant tu t'expliques en tant que "je" par "ta" pensée et "ta" mémoire mais sans expliquer qui est cet être à qui cela appartient.

C'est comme ci je lui disais que la baguette, la miche ou la couronne m'appartiennent sans lui expliquer qui est ce "je" à qui elles appartiennent.

Par contre je ne m'étonnerai pas que quelqu'un te le démontre en te frappant avec douleur que la seule différence qu'il fait c'est qu'en te frappant cela ne lui fait pas mal à lui, preuve qu'il n'est pas toi mais son "je" propre.

Je ne l'explique pas parce que personne ne me le demande et parce que ce n'est pas le sujet non plus.

Pour ce qui est de frapper l'autre, c'était une méthode intéressante dans les grandes écoles Zen en Chine. Genre "qu'est ce que le Zen?" demandais le professeur et une balayette attendait le disciple qui ne répondait pas un truc du genre "l'arbre dans le jardin". Reste que la relation de violence n'oppose pas, mais lie quelque part... Au pire dans une relation de haine, mais ça reste une relation. Mais ça reste "petit" comme exercice de pensé je trouve... en plus de nous éloigner du sujet de plus en plus.

Il faut définir ce qu'est soi avant de dire que l'on reste soi même.

Pas nécessairement: Si rester moi même consiste à justement ne pas me définir, du moins pas à ce moment là...

Donc tu définirais soi comme étant indéfini, bonne chance pour faire la part des choses si tu n'as pas compris ce que j'essai de faire saisir pour différencier, le changement, l'inchangement, le défini, l'indéfini...

Je propose une solution pour éviter ce genre d'amalgame et rester clair. Quand on parle de changement et que c'est indolore alors oui tout change, mais si on parle de changement alors que c'est douloureux il s'agit de parler d'inchangement mais si on parle d'inchangement et que c'est ce qui est indolore alors parler de changement et significatif de douleur. Parce que à parler de changement qui ne change pas, un jour quelqu'un te dira qu'une chose douloureuse ne l'est pas. C'est comme ci je disais que la seule chose de douloureuse est l'indolore ou la seule chose qui est indolore est la douleur.

J'ai dis "pas nécessairement"... Cependant il peut être indéfini parce que les mots manquent.

Quand je parle de changement qui ne change pas c'est juste une formule d'une banale évidence: le changement ne change pas, il est toujours le changement. De notre coté nous changeons que l'expérience douloureuse ou non... et le principe d'ipséité nous permet de changer tout en restant nous même.

J'ai dis "pas nécessairement"... Cependant il peut être indéfini parce que les mots manquent.

Quand je parle de changement qui ne change pas c'est juste une formule d'une banale évidence: le changement ne change pas, il est toujours le changement. De notre coté nous changeons que l'expérience douloureuse ou non... et le principe d'ipséité nous permet de changer tout en restant nous même.

L'inchangement ne change pas il est toujours l'inchangement ça c'est évident.

Par contre le changement ne change pas il est toujours le changement, il pourrait changer et devenir inchangeable et donc il ne serait pas toujours changeant.

Et l'ipséité comment la définis tu avec le principe de "ma" pensée, "ma" mémoire ?

Parce que pour l'instant moi aimant l'indolore je pourrais très bien me dire, en jouant mon personnage comme tu le dis si bien, qu'il suffit que l'ipséité me soit douloureuse pour que je parle d'altérité.

Le "je" est une dynamique, un cheminement au sein d'une matrice existencielle d'influences.