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Comme tu traites l'animal , tu traites l'humain ...

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Le-Roi-Arthur

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Membre, Posté(e)
Fuel4Life Membre 10 926 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

carrement je suis dangereuse ? :smile2: parce que je dis que les animaux d'élevage industriel sont maltraités, c'est vrai que la vidéo sur les cochons montrent à quel point ils sont heureux. Mais j'oubliais tu n'en as rien à foutre qu'ils soient maltraités, ils sont juste là pour ton plaisir.

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Membre, Sur le départ , 49ans Posté(e)
Liutprande Membre 4 829 messages
49ans‚ Sur le départ ,
Posté(e)

tous les élevages ne sont pas ainsi et vous le savez bien : en travestissant une partie de la vérité, vous êtes dangereuse (outre le fait que vous incriminez violemment vos interlocuteurs, ce qui n'est pas le moindre de vos défauts)

Mon plaisir importe peu...vous n'arriverez à rien avec moi en faisant ainsi :smile2: Pire vous renforcez l'idée que vous êtes...sans aucune crédibilité:sleep:

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Membre, Posté(e)
Fuel4Life Membre 10 926 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

:smile2: mon dieu, un homme qui n'a aucune empathie me déteste ! ohhhhhhh ..................;;comme je m'en contrefous, si tu savais. Seul l'avis de certaines personnes a de l'importance à mes yeux. Et tu n'en fais absolument pas parti. Mon opinion sur toi est faite et rien ne me fera changé d'avis.

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Membre, Sur le départ , 49ans Posté(e)
Liutprande Membre 4 829 messages
49ans‚ Sur le départ ,
Posté(e)

qui plus est vous êtes dogmatique et vous choisissez vos interlocuteurs...mieux vaut être entourée de personnes dont on partage l'avis que de se confronter à la contradiction...

Sinon je ne vous déteste pas puisque je ne vous connais pas :mouai: je respecte votre avis mais ce n'est pas réciproque, ce qui est gênant en démocratie :sleep:

Sinon j'ai de l'empathie, c'est vous qui ne comprenez pas :gurp:

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Membre, 81ans Posté(e)
Chauxneuve25 Membre 2 387 messages
Baby Forumeur‚ 81ans‚
Posté(e)

Puisque je n'ai pas eu réponse concernant les normes, je fais les recherches moi-même voici quelques infos

QUELS SONT LES PRINCIPAUX

PROBLÈMES DE BIEN-ÊTRE LIÉS À

L’ÉLEVAGE INDUSTRIEL ?

> ENTASSEMENT

Les cochons d’engraissement et les poulets de chair

sont entassés, ce qui cause stress, agressivité, et frustrations

dûes à l’impossibilité d’exercer des comportements

naturels liés à leur espèce. Cet entassement favorise

aussi l’apparition de maladies contagieuses.

> GROUPES SOCIAUX CONTRE NATURE

Les poulets de chair sont gardés en quantités énormes,

dépassant de loin l’effectif permettant aux poulets de

reconnaître les autres individus. Ceci provoque un

stress chronique car les oiseaux sont alors incapables

de former des groupes sociaux stables. A l’opposé, les

veaux et les truies reproductrices, isolés dans des cages

individuelles, subissent de ce fait un stress important dû

à un manque de contacts sociaux avec des congénères.

> CONFINEMENT

Les truies reproductrices, les veaux en cases individuelles

et les poules pondeuses en batterie n’ont pas de

possibilité d’exercice physique ou de mouvement, ce

qui provoque un stress chronique et une détérioration

de l’état physique.

> ENVIRONNEMENT APPAUVRI

Les truies en cages individuelles et les poules pondeuses

en batterie sont dans l’impossibilité de construire un

nid, ce qui provoque une très grande frustration. L’absence

de litière appropriée provoque chez les vaches

laitières en logettes, les truies et les cochons d’engraissement

un inconfort chronique, ainsi que des blessures

ou des lésions. Les truies en cage souffrent d’ennui et

manifestent des comportements répétitifs et stéréotypiques,

comme mordre les barreaux de leur cage, et ce

en raison d’un environnement appauvri.

> MUTILATIONS

Les porcelets subissent souvent la coupe de leur queue

et le rognage de leurs dents, les bovins sont souvent

écornés et les poules débecquées, ceci étant fait afin

de diminuer les conséquences de l’agressivité causées

par l’entassement et par la pauvreté de l’environnement.

Les porcelets mâles et les veaux sont souvent castrés, bien

que beaucoup d’entre eux soient abattus avant l’âge de

la maturité sexuelle. Il arrive également que l’on coupe la

queue de vaches laitières. Toutes ces mutilations douloureuses

sont souvent pratiquées sans anesthésie, et peuvent

ensuite provoquer des douleurs chroniques.

> SÉLECTION

Les poulets de chair ont été sélectionnés afin de grossir

si vite que leur squelette et leur coeur sont souvent incapables

de s’adapter au poids excessif de leur corps, des

races « modernes » de vaches laitières ont été sélectionnées

en vue de produire une telle quantité de lait qu’elles

sont dans un état constant de « faim métabolique »

(sous-alimentation métabolique).

De nouvelles technologies comme les manipulations génétiques

et le clonage impliquent des procédés médicaux

causant des souffrances, et peuvent être utilisées pour accélérer

le processus de sélection et pousser les animaux à

des performances de productivité encore plus extrêmes et

insoutenables.

> RATIONNEMENTS ALIMENTAIRES, ALIMENTATION

INAPPROPRIÉE

Les oiseaux reproducteurs dans les races de poulets de

chair subissent des rationnements alimentaires importants

et de longue durée, ce qui leur cause une faim chronique.

Le but de ces rationnements est de contrebalancer

les effets de la sélection de ces « races » en vue d’une

prise de poids accélérée, laquelle nuirait trop à l’état de

santé de ces reproducteurs qui sont des oiseaux adultes.

Les truies reproductrices ne reçoivent pas la quantité de

fourrage et d’aliments de lest qui serait nécessaire pour

calmer leur faim. Des poules pondeuses peuvent être

privées de nourriture pendant une certaine période de

façon à causer un choc physiologique provoquant un

nouveau cycle de ponte. Les veaux élevés pour donner

du veau « blanc » reçoivent une alimentation déficiente

en fer et en fibres, afin que leur

viande soit de couleur pâle

L'UE vient de rappeler à 13 pays la législation nouvelle sur la taille des cages des poules élevées en batterie. Bien sûr, comme on l'avait dit ici, la France est dans l'illégalité totale, avec une centaine d'élevages pas aux normes sur 530: 3 à 3,7 millions de poules pondeuses seraient aujourd’hui élevées dans des cages illégales en France. Rappel: Depuis le 1er janvier, de nouvelles normes européennes, adoptées en 1999, sont applicables. Les éleveurs ont donc eu tout ce temps pour adapter leurs installations. Les « pondeuses », qui disposaient de la surface d'une feuille A4 (550 cm2), ont maintenant le grand bonheur de se voir ajouter l'équivalent d'une (petite) carte postale — soit, au total, 600 cm2 de surface par individu. Avec, en prime, quelques aménagements « luxueux » : un nid en lamelles de plastique, une baguette comme perchoir, une litière, annoncée mais la plupart du temps introuvable. Ces poules, dont la courte existence (entre un an et dix-huit mois) n'est que souffrance, constituent 80 % de l'élevage industriel.

L'élevage industriel des cochons

:plus:

Qu'est-ce que la souffrance d'un cobaye, d'une poule, d'une oie, d'un canard, d'un cochon, d'un veau, d'un cheval pour des créatures toutes dénuées de sensibilité envers les animaux .

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Membre, Sur le départ , 49ans Posté(e)
Liutprande Membre 4 829 messages
49ans‚ Sur le départ ,
Posté(e)

ceci n'est pas une réponse, tout au plus un aveu de faiblesse, rien d'étonnant quand on n'accepte pas le débat...vous devriez changer de section :mouai:

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Membre, Sur le départ , 49ans Posté(e)
Liutprande Membre 4 829 messages
49ans‚ Sur le départ ,
Posté(e)

:plus:

Qu'est-ce que la souffrance d'un cobaye, d'une poule, d'une oie, d'un canard, d'un cochon, d'un veau, d'un cheval pour des créatures toutes dénuées de sensibilité envers les animaux .

oseriez-vous dire que ce pseudo lien objectif (:sleep:) vaut pour tous les élevage alors qu'il est question d'UN élevage de porc dans ce blog ? Dites ici qu'avec UN seul exemple on peut en faire une généralité...:sleep:

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Membre, 81ans Posté(e)
Chauxneuve25 Membre 2 387 messages
Baby Forumeur‚ 81ans‚
Posté(e)

ceci n'est pas une réponse, tout au plus un aveu de faiblesse, rien d'étonnant quand on n'accepte pas le débat...vous devriez changer de section :mouai:

Je ne vois aucun aveu de faiblesse à penser que vous n'avez nul sentiment de compassion envers les animaux qui souffrent ou que l'on torture inutilement.

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Membre, Posté(e)
Fuel4Life Membre 10 926 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

L'élevage industriel conduit à des catastrophes tant pour l'environnement que pour la qualité de l'alimentation. Quant au bien-être des animaux, c'est la dernière roue du carrosse. La situation des élevages porcins est le concentré de ce que ce type de production peut avoir de pire.

Intelligent et sensible

Le cochon, malgré sa mauvaise image est un animal très intelligent et sensible. De nombreuses études ont montré qu'il est, de ce point de vue, tout à fait comparable à un chien. Il souffre profondément de ses conditions de vie exécrables.

Contraintes néfastes

Une étude de l'INRA, organisme pourtant peu soupçonnable de vouloir nuire au agriculteurs, intitulée "La relation mère-jeune chez les porcins : de la naissance au sevrage" reconnaît que "l'élevage intensif du porc impose des contraintes qui peuvent être néfastes à son bien-être".

Absence de nid

En effet, Les femelles payent le plus lourd tribut. Lors de leur gestation, elles sont enfermées dans des box individuels où elles ne peuvent que se coucher ou se lever, mais pas se retourner, s'étirer ou se gratter. Une semaine avant la naissance, elles sont menées dans des niches de mise-bas qui comportent un étroit système métallique destiné à l'empêcher d'écraser ses petits en se couchant. Or, précise l'INRA, dans la nature, il en va tout autrement : "Chez le sanglier ou le porc domestique en conditions semi-naturelles, la femelle parturiente vit en groupe matriarcal et confectionne un nid destiné à dissimuler et protéger les jeunes".

Trop prolifiques

De surcroît, les femelles, génétiquement sélectionnées pour être prolifiques mettent bas plus de petits qu'elles ne peuvent en élever. Les jeunes sont alors séparés de leur mère. Si cela est fait assez tôt, cela ne pose pas trop de problèmes. "Assez curieusement, note l'étude, une truie en phase de lactation bien établie, séparée de ses propres porcelets, accepte sans grande difficulté une nouvelle portée de 24-36 heures d'âge". Même si "pendant les 2 à 5 heures qui suivent l'adoption, la truie nourrice est plus agitée, se lève fréquemment et reste davantage couchée sur le ventre que sur le flanc, ne permettant pas l'accès à la mamelle. Mais elle est rarement agressive envers la nouvelle portée".

Grognements de détresse

En revanche, si les adoptions se font plus tardivement (ce qui est préféré par les éleveurs, car alors les animaux ont sensiblement le même poids au sevrage) "les porcelets étrangers passent davantage de temps à errer en émettant des grognements de détresse caractéristiques et montrent une diminution de l'engagement à la tétée. Parallèlement, la truie est perturbée par l'intensité des combats à la mamelle et les cris que poussent les étrangers au moment de la tétée".

Agressions

A cela viennent s'ajouter d'autres troubles : "des porcelets soumis à des adoptions multiples s'agressent beaucoup plus que des porcelets vivant dans des portées non modifiées. La plupart des combats oppose un porcelet résident à un porcelet étranger (80 %) et ils ont pour motif l'accès à une tétine convoitée par eux deux".

Stress

Ce stress a des répercussion sur la femelle. "Dans ces conditions, explique l'étude de l'INRA, la truie ne présente pas toujours un réflexe d'éjection de lait lorsqu'elle est sollicitée et qu'elle s'est mise en position d'allaitement. Elle s'assoit ou se lève précipitamment, réduisant ainsi le rythme de tétées. Les truies adoptives passent en moyenne 15 à 30 % de temps en moins couchées sur le flanc." En outre, "le niveau d'agressivité des truies soumises à ces adoptions multiples est également accru et ce comportement est principalement dirigé vers les porcelets étrangers."

Castrés sans anesthésie

Le sol des élevages est soit du ciment nu, soit, pour les porcelets, un caillebotis métallique où s'évacuent les déjections. Les porcelets n'ont rien d'autre à faire qu'à manger et se battre. Pour éviter qu'ils ne se blessent, les éleveurs emploient une technique radicale. Au lendemain de la naissance, ils épointent les dents et coupent la queue des cochons, sans anesthésie. Puis, à 5 ou 6 jours, les jeunes mâles sont castrés à vif.

Sevrage précoce

Dans la nature, les porcelets sont sevrés vers 10 à 12 semaines. Dans les élevages, le sevrage est laissé à l'initiative de l'éleveur. Sa seule contrainte, depuis le 1er janvier 2003 est de ne pouvoir le faire avant 28 jours. Or, dans ces conditions "pour le porcelet, le sevrage représente une situation de stress majeur, puisqu'en plus du changement de logement et d'alimentation qu'il implique, il correspond à la privation de la mère et, le plus souvent, à un changement de groupe social (mélange de portées)".

Troubles digestifs

La même étude souligne que "le sevrage perturbe le porcelet notamment aux plans nutritionnel, thermique, sanitaire et émotionnel qui interfèrent sur son comportement et son équilibre hormonal". Déjà il lui est fourni une nourriture solide à laquelle il n'est pas habitué, même si des compléments alimentaires lui sont fournis dans les derniers jours de l'allaitement. Il en résulte des troubles digestifs importants. Par ailleurs, "une élévation du taux urinaire de cortisol, considéré comme indicateur physiologique de stress, est observée dans les deux jours qui suivent un sevrage à 21 ou 28 jours".

Bouleversements sociaux

Pourtant, ce stress pourrait être adouci. "Il est important de souligner que l'attention portée par l'éleveur à ses animaux, notamment lors des bouleversements sociaux qu'il leur impose, contribue à limiter les conséquences négatives sur leur santé et leur bien-être". Mais dans les élevages industriels, la souffrance des animaux n'est pas une préoccupation.

Performance avant tout

Pour ces éleveurs, la preuve que leurs animaux ne souffrent pas est qu'ils ne présentent pas de blessures ou de maladies. Or ce n'est pas un indicateur valable : "Les critères sanitaires sont souvent considérés par l'éleveur, avec les critères zootechniques, comme de bons indicateurs du bien-être de l'animal. Pathologies ou lésions corporelles peuvent en effet être étroitement liées aux conditions d'élevage des animaux. Une production optimale ne permet cependant pas de conclure sur un éventuel état de bien-être chez l'animal, son niveau de performance n'étant pas toujours le reflet de son confort".

Considérés comme des produits

Les porcelets sont ensuite engraissés, toujours à l'intérieur de hangars, dans d'étroits enclos, quant ils ne sont pas maintenus en stalles individuelles. Ils sont abattus vers l'âge de six mois. Ils n'auront jamais connu un seul instant des conditions de vie normale. Ils auront toujours été considérés comme des produits, pas comme des animaux.

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Membre, Sur le départ , 49ans Posté(e)
Liutprande Membre 4 829 messages
49ans‚ Sur le départ ,
Posté(e)

aucune source sur le lieu (pays, région, ville), la date, j'en passe et des pires. Vous n'auriez pas autre chose que des vidéos dont l'objectivité est douteuse ? reprenez le PDF alsacien que je vous ai fourni...l'avez-vous lu en entier? Sérieusement et honnêtement...

L'élevage industriel conduit à des catastrophes tant pour l'environnement que pour la qualité de l'alimentation. Quant au bien-être des animaux, c'est la dernière roue du carrosse. La situation des élevages porcins est le concentré de ce que ce type de production peut avoir de pire.

Intelligent et sensible

Le cochon, malgré sa mauvaise image est un animal très intelligent et sensible. De nombreuses études ont montré qu'il est, de ce point de vue, tout à fait comparable à un chien. Il souffre profondément de ses conditions de vie exécrables.

Contraintes néfastes

Une étude de l'INRA, organisme pourtant peu soupçonnable de vouloir nuire au agriculteurs, intitulée "La relation mère-jeune chez les porcins : de la naissance au sevrage" reconnaît que "l'élevage intensif du porc impose des contraintes qui peuvent être néfastes à son bien-être".

Absence de nid

En effet, Les femelles payent le plus lourd tribut. Lors de leur gestation, elles sont enfermées dans des box individuels où elles ne peuvent que se coucher ou se lever, mais pas se retourner, s'étirer ou se gratter. Une semaine avant la naissance, elles sont menées dans des niches de mise-bas qui comportent un étroit système métallique destiné à l'empêcher d'écraser ses petits en se couchant. Or, précise l'INRA, dans la nature, il en va tout autrement : "Chez le sanglier ou le porc domestique en conditions semi-naturelles, la femelle parturiente vit en groupe matriarcal et confectionne un nid destiné à dissimuler et protéger les jeunes".

Trop prolifiques

De surcroît, les femelles, génétiquement sélectionnées pour être prolifiques mettent bas plus de petits qu'elles ne peuvent en élever. Les jeunes sont alors séparés de leur mère. Si cela est fait assez tôt, cela ne pose pas trop de problèmes. "Assez curieusement, note l'étude, une truie en phase de lactation bien établie, séparée de ses propres porcelets, accepte sans grande difficulté une nouvelle portée de 24-36 heures d'âge". Même si "pendant les 2 à 5 heures qui suivent l'adoption, la truie nourrice est plus agitée, se lève fréquemment et reste davantage couchée sur le ventre que sur le flanc, ne permettant pas l'accès à la mamelle. Mais elle est rarement agressive envers la nouvelle portée".

Grognements de détresse

En revanche, si les adoptions se font plus tardivement (ce qui est préféré par les éleveurs, car alors les animaux ont sensiblement le même poids au sevrage) "les porcelets étrangers passent davantage de temps à errer en émettant des grognements de détresse caractéristiques et montrent une diminution de l'engagement à la tétée. Parallèlement, la truie est perturbée par l'intensité des combats à la mamelle et les cris que poussent les étrangers au moment de la tétée".

Agressions

A cela viennent s'ajouter d'autres troubles : "des porcelets soumis à des adoptions multiples s'agressent beaucoup plus que des porcelets vivant dans des portées non modifiées. La plupart des combats oppose un porcelet résident à un porcelet étranger (80 %) et ils ont pour motif l'accès à une tétine convoitée par eux deux".

Stress

Ce stress a des répercussion sur la femelle. "Dans ces conditions, explique l'étude de l'INRA, la truie ne présente pas toujours un réflexe d'éjection de lait lorsqu'elle est sollicitée et qu'elle s'est mise en position d'allaitement. Elle s'assoit ou se lève précipitamment, réduisant ainsi le rythme de tétées. Les truies adoptives passent en moyenne 15 à 30 % de temps en moins couchées sur le flanc." En outre, "le niveau d'agressivité des truies soumises à ces adoptions multiples est également accru et ce comportement est principalement dirigé vers les porcelets étrangers."

Castrés sans anesthésie

Le sol des élevages est soit du ciment nu, soit, pour les porcelets, un caillebotis métallique où s'évacuent les déjections. Les porcelets n'ont rien d'autre à faire qu'à manger et se battre. Pour éviter qu'ils ne se blessent, les éleveurs emploient une technique radicale. Au lendemain de la naissance, ils épointent les dents et coupent la queue des cochons, sans anesthésie. Puis, à 5 ou 6 jours, les jeunes mâles sont castrés à vif.

Sevrage précoce

Dans la nature, les porcelets sont sevrés vers 10 à 12 semaines. Dans les élevages, le sevrage est laissé à l'initiative de l'éleveur. Sa seule contrainte, depuis le 1er janvier 2003 est de ne pouvoir le faire avant 28 jours. Or, dans ces conditions "pour le porcelet, le sevrage représente une situation de stress majeur, puisqu'en plus du changement de logement et d'alimentation qu'il implique, il correspond à la privation de la mère et, le plus souvent, à un changement de groupe social (mélange de portées)".

Troubles digestifs

La même étude souligne que "le sevrage perturbe le porcelet notamment aux plans nutritionnel, thermique, sanitaire et émotionnel qui interfèrent sur son comportement et son équilibre hormonal". Déjà il lui est fourni une nourriture solide à laquelle il n'est pas habitué, même si des compléments alimentaires lui sont fournis dans les derniers jours de l'allaitement. Il en résulte des troubles digestifs importants. Par ailleurs, "une élévation du taux urinaire de cortisol, considéré comme indicateur physiologique de stress, est observée dans les deux jours qui suivent un sevrage à 21 ou 28 jours".

Bouleversements sociaux

Pourtant, ce stress pourrait être adouci. "Il est important de souligner que l'attention portée par l'éleveur à ses animaux, notamment lors des bouleversements sociaux qu'il leur impose, contribue à limiter les conséquences négatives sur leur santé et leur bien-être". Mais dans les élevages industriels, la souffrance des animaux n'est pas une préoccupation.

Performance avant tout

Pour ces éleveurs, la preuve que leurs animaux ne souffrent pas est qu'ils ne présentent pas de blessures ou de maladies. Or ce n'est pas un indicateur valable : "Les critères sanitaires sont souvent considérés par l'éleveur, avec les critères zootechniques, comme de bons indicateurs du bien-être de l'animal. Pathologies ou lésions corporelles peuvent en effet être étroitement liées aux conditions d'élevage des animaux. Une production optimale ne permet cependant pas de conclure sur un éventuel état de bien-être chez l'animal, son niveau de performance n'étant pas toujours le reflet de son confort".

Considérés comme des produits

Les porcelets sont ensuite engraissés, toujours à l'intérieur de hangars, dans d'étroits enclos, quant ils ne sont pas maintenus en stalles individuelles. Ils sont abattus vers l'âge de six mois. Ils n'auront jamais connu un seul instant des conditions de vie normale. Ils auront toujours été considérés comme des produits, pas comme des animaux.

source svp?

ceci n'est pas une réponse, tout au plus un aveu de faiblesse, rien d'étonnant quand on n'accepte pas le débat...vous devriez changer de section :mouai:

Je ne vois aucun aveu de faiblesse à penser que vous n'avez nul sentiment de compassion envers les animaux qui souffrent ou que l'on torture inutilement.

ah un deuxième caricaturiste...intéressant puisque vous n'avez pas lu mes propos mais vous vous fiez à Fuel4life...intéressant le phénomène de groupe.

Mais la caricature ne me gêne en rien, bien au contraire :cool:

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Membre, 81ans Posté(e)
Chauxneuve25 Membre 2 387 messages
Baby Forumeur‚ 81ans‚
Posté(e)

L'élevage industriel conduit à des catastrophes tant pour l'environnement que pour la qualité de l'alimentation. Quant au bien-être des animaux, c'est la dernière roue du carrosse. La situation des élevages porcins est le concentré de ce que ce type de production peut avoir de pire.

Intelligent et sensible

Le cochon, malgré sa mauvaise image est un animal très intelligent et sensible. De nombreuses études ont montré qu'il est, de ce point de vue, tout à fait comparable à un chien. Il souffre profondément de ses conditions de vie exécrables.

Contraintes néfastes

Une étude de l'INRA, organisme pourtant peu soupçonnable de vouloir nuire au agriculteurs, intitulée "La relation mère-jeune chez les porcins : de la naissance au sevrage" reconnaît que "l'élevage intensif du porc impose des contraintes qui peuvent être néfastes à son bien-être".

Absence de nid

En effet, Les femelles payent le plus lourd tribut. Lors de leur gestation, elles sont enfermées dans des box individuels où elles ne peuvent que se coucher ou se lever, mais pas se retourner, s'étirer ou se gratter. Une semaine avant la naissance, elles sont menées dans des niches de mise-bas qui comportent un étroit système métallique destiné à l'empêcher d'écraser ses petits en se couchant. Or, précise l'INRA, dans la nature, il en va tout autrement : "Chez le sanglier ou le porc domestique en conditions semi-naturelles, la femelle parturiente vit en groupe matriarcal et confectionne un nid destiné à dissimuler et protéger les jeunes".

Trop prolifiques

De surcroît, les femelles, génétiquement sélectionnées pour être prolifiques mettent bas plus de petits qu'elles ne peuvent en élever. Les jeunes sont alors séparés de leur mère. Si cela est fait assez tôt, cela ne pose pas trop de problèmes. "Assez curieusement, note l'étude, une truie en phase de lactation bien établie, séparée de ses propres porcelets, accepte sans grande difficulté une nouvelle portée de 24-36 heures d'âge". Même si "pendant les 2 à 5 heures qui suivent l'adoption, la truie nourrice est plus agitée, se lève fréquemment et reste davantage couchée sur le ventre que sur le flanc, ne permettant pas l'accès à la mamelle. Mais elle est rarement agressive envers la nouvelle portée".

Grognements de détresse

En revanche, si les adoptions se font plus tardivement (ce qui est préféré par les éleveurs, car alors les animaux ont sensiblement le même poids au sevrage) "les porcelets étrangers passent davantage de temps à errer en émettant des grognements de détresse caractéristiques et montrent une diminution de l'engagement à la tétée. Parallèlement, la truie est perturbée par l'intensité des combats à la mamelle et les cris que poussent les étrangers au moment de la tétée".

Agressions

A cela viennent s'ajouter d'autres troubles : "des porcelets soumis à des adoptions multiples s'agressent beaucoup plus que des porcelets vivant dans des portées non modifiées. La plupart des combats oppose un porcelet résident à un porcelet étranger (80 %) et ils ont pour motif l'accès à une tétine convoitée par eux deux".

Stress

Ce stress a des répercussion sur la femelle. "Dans ces conditions, explique l'étude de l'INRA, la truie ne présente pas toujours un réflexe d'éjection de lait lorsqu'elle est sollicitée et qu'elle s'est mise en position d'allaitement. Elle s'assoit ou se lève précipitamment, réduisant ainsi le rythme de tétées. Les truies adoptives passent en moyenne 15 à 30 % de temps en moins couchées sur le flanc." En outre, "le niveau d'agressivité des truies soumises à ces adoptions multiples est également accru et ce comportement est principalement dirigé vers les porcelets étrangers."

Castrés sans anesthésie

Le sol des élevages est soit du ciment nu, soit, pour les porcelets, un caillebotis métallique où s'évacuent les déjections. Les porcelets n'ont rien d'autre à faire qu'à manger et se battre. Pour éviter qu'ils ne se blessent, les éleveurs emploient une technique radicale. Au lendemain de la naissance, ils épointent les dents et coupent la queue des cochons, sans anesthésie. Puis, à 5 ou 6 jours, les jeunes mâles sont castrés à vif.

Sevrage précoce

Dans la nature, les porcelets sont sevrés vers 10 à 12 semaines. Dans les élevages, le sevrage est laissé à l'initiative de l'éleveur. Sa seule contrainte, depuis le 1er janvier 2003 est de ne pouvoir le faire avant 28 jours. Or, dans ces conditions "pour le porcelet, le sevrage représente une situation de stress majeur, puisqu'en plus du changement de logement et d'alimentation qu'il implique, il correspond à la privation de la mère et, le plus souvent, à un changement de groupe social (mélange de portées)".

Troubles digestifs

La même étude souligne que "le sevrage perturbe le porcelet notamment aux plans nutritionnel, thermique, sanitaire et émotionnel qui interfèrent sur son comportement et son équilibre hormonal". Déjà il lui est fourni une nourriture solide à laquelle il n'est pas habitué, même si des compléments alimentaires lui sont fournis dans les derniers jours de l'allaitement. Il en résulte des troubles digestifs importants. Par ailleurs, "une élévation du taux urinaire de cortisol, considéré comme indicateur physiologique de stress, est observée dans les deux jours qui suivent un sevrage à 21 ou 28 jours".

Bouleversements sociaux

Pourtant, ce stress pourrait être adouci. "Il est important de souligner que l'attention portée par l'éleveur à ses animaux, notamment lors des bouleversements sociaux qu'il leur impose, contribue à limiter les conséquences négatives sur leur santé et leur bien-être". Mais dans les élevages industriels, la souffrance des animaux n'est pas une préoccupation.

Performance avant tout

Pour ces éleveurs, la preuve que leurs animaux ne souffrent pas est qu'ils ne présentent pas de blessures ou de maladies. Or ce n'est pas un indicateur valable : "Les critères sanitaires sont souvent considérés par l'éleveur, avec les critères zootechniques, comme de bons indicateurs du bien-être de l'animal. Pathologies ou lésions corporelles peuvent en effet être étroitement liées aux conditions d'élevage des animaux. Une production optimale ne permet cependant pas de conclure sur un éventuel état de bien-être chez l'animal, son niveau de performance n'étant pas toujours le reflet de son confort".

Considérés comme des produits

Les porcelets sont ensuite engraissés, toujours à l'intérieur de hangars, dans d'étroits enclos, quant ils ne sont pas maintenus en stalles individuelles. Ils sont abattus vers l'âge de six mois. Ils n'auront jamais connu un seul instant des conditions de vie normale. Ils auront toujours été considérés comme des produits, pas comme des animaux.

:plus: :plus:

Vos arguments sont énormes :gurp:

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Membre, Sur le départ , 49ans Posté(e)
Liutprande Membre 4 829 messages
49ans‚ Sur le départ ,
Posté(e)

merci. Mais ce ne sont pas des études scientifiques qui prouvent que TOUS les élevages fonctionnent ainsi?

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Membre, Posté(e)
Fuel4Life Membre 10 926 messages
Baby Forumeur‚
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Vos arguments sont énormes :gurp:

Merci, c'est vrai que quand je lis ces documents ou que je vois ces images, je suis impressionnée par tant d'horreurs calculées et froidement organisées.

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Membre, Sur le départ , 49ans Posté(e)
Liutprande Membre 4 829 messages
49ans‚ Sur le départ ,
Posté(e)

moi je vois surtout une source peu fiable et très critiquable, ainsi sur le label One Voice, Yves ROCHER est homologué alors que 33% appartient à Sanofi...on ne peut pas faire confiance à l'objectivité de One Voice visiblement

Source : http://laterredabord.fr/?p=3779

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Membre, 81ans Posté(e)
Chauxneuve25 Membre 2 387 messages
Baby Forumeur‚ 81ans‚
Posté(e)

Je termine par de belles citations, prenez-en de la graine et bonne soirée.

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Cuisine végétarienne

Citations de végétariens célèbres

By Holistique Concept 17 juin 2010 Post a comment vegetariens.jpg

Végétariens célèbres

Un point commun à de nombreuses personnalités à travers l’Histoire est d’avoir un jour renoncé à se nourrir d’animaux suite à une réflexion d’ordre éthique pour la plupart. Ceci est une liste non exhaustive :

Penseurs végétariens

Einstein, Léonard de Vinci, Platon , Confucius , Darwin , Cuvier , Émile Zola , Jean-Jacques Rousseau , Blaise Pascal, Virgile, Apollonios de Tyane , Benjamin Franklin, Jeremy Bentham, Bouddha , Carl von Linné , Diogène, Empédocle , Epicure , Fénelon, François d’Assise , George Washington, Horace , Isaac Bashevis Singer , Isaac Newton , Theodor Adorno , Percy Bysshe Shelley, Henry David Thoreau , Jiddu Krishnamurti, Franz Kafka, Lamartine, Lanza del Vasto , Mahatma Gandhi , Marguerite Yourcenar, Martin Luther, Montgomery , Plotin, Plutarque, Porphyre, Pythagore1 , Richard Wagner , Schopenhauer, Théodore Monod , Thomas Edison , Thomas Henry Huxley , Léon Tolstoï, Virgile , Voltaire, Zoroastre , Albert Schweitzer , Byron , Richard Wagner , Cyrus, Emanuel Swedenborg , Ovide, Mark Twain,

Citations

Friedrich Nietzsche

« Toute la philosophie antique était orientée sur la simplicité de la vie et enseignait une certaine sobriété. De ce point de vue, le peu de végétariens par philosophie ont fait plus pour l’humanité que tous les philosophes modernes et tant qu’ils n’auront pas le courage de chercher un mode de vie totalement différent et de l’indiquer comme exemple, ils ne porteront aucun fruit. »

Emile Zola :

« La cause des animaux passe avant le souci de me ridiculiser. »

Voltaire :

« Qu’y a-t-il de plus repoussant que de se nourrir continuellement de chair de cadavre ? »

Marguerite Yourcenar :

« Soyons subversifs. Révoltons-nous contre l’ignorance, l’indifférence, la cruauté, qui d’ailleurs ne s’exercent si souvent contre l’homme parce qu’elles se sont fait la main sur les bêtes. Rappellons-nous, s’il faut toujours tout ramener à nous-mêmes, qu’il y aurait moins d’enfants martyrs s’il y avait moins d’animaux torturés, moins de wagons plombés amenant à la mort les victimes de quelconques dictatures, si nous n’avions pris l’habitude des fourgons où les bêtes agonisent sans nourriture et sans eau en attendant l’abattoir. » « Les animaux sont mes amis et je ne mange pas mes amis. »

Albert Schweitzer :

« Jadis, le fait de croire que les hommes de couleur étaient vraiment des hommes et devaient être traités humainement passait pour une folie. Aujourd’hui, on considère comme éxagéré de prétendre qu’un des devoirs imposés par l’éthique rationnelle est de respecter ce qui vit, même dans ses formes inférieures. Mais un jour, on s’étonnera qu’il ait fallu autant de temps à l’humanité pour admettre que des déprédations insouciantes causées à ce qui vit sont incompatibles avec l’éthique. »

Thomas Henry Huxley :

« L’homme vint avant la hâche et le feu, il ne pouvait donc pas être omnivore. » « Le seul animal qui existe ayant une morphologie omnivore est l’ours, qui a quelques dents pointues et les autres plates. »

Cuvier :

« L’anatomie comparée nous enseigne qu’en toute chose, l’homme, ressemble aux animaux frugivores, et en rien aux carnivores… Ce n’est qu’en déguisant la chair morte rendue plus tendre par des préparatifs culinaires, qu’elle est sucesptible d’être mastiquée et digérée par l’homme chez qui, de la sorte, la vue des viandes crues et saignantes n’excite pas l’horreur et le dégout. »

Thomas Edison :

« Je suis végétarien et anti-alcoolique : ainsi je peux faire un meilleur usage de mon cerveau ».

Mahatma Gandhi :

« Je crois que le progrès spirituel exige de nous que nous cessions de tuer les autres êtres vivants pour nos besoins corporels ». « La grandeur d’une nation et ses progrès moraux peuvent être jugés de la manière dont elle traite les animaux ». « S’abstenir de viande est d’un grand secours pour l’élévation de l’âme. »

Albert Einstein :

« Rien ne peut être aussi bénéfique à la santé humaine et augmenter les chances de survie de la vie sur terre que d’opter pour une diète végétarienne ».

Léonard de Vinci :

« J’ai très tôt renoncé à la viande et un jour viendra où les hommes tels que moi proscriront le meurtre des animaux comme ils proscrivent aujourd’hui le meurtre de leurs semblables ».

Pythagore :

« Tant que les hommes massacreront les animaux, ils s’entre-tueront. Celui qui sème le meurtre et la douleur ne peut récolter la joie et l’amour ».

Darwin :

« Peu d’hommes pourraient supporter pendant 5 minutes l’observation d’un animal se débattant, avec un membre écrasé ou déchiqueté ». « La classification des formes, des fonctions organiques et des régimes a montré d’une façon évidente que la nourriture normale de l’humain est végétale comme celle des anthropoïdes et des singes, que nos canines sont moins développées que les leurs, et que nous ne sommes pas destinés à entrer en compétition avec les bêtes sauvages ou les animaux carnivores. »

Émile Zola :

« Pourquoi la souffrance d’une bête me bouleverse-t-elle ainsi ? Pourquoi ne puis-je supporter l’idée qu’une bête souffre, au point de me relever la nuit, l’hiver, pour m’assurer que mon chat a bien sa tasse d’eau ? [...] Pour moi, je crois bien que ma charité pour les bêtes est faite de ce qu’elles ne peuvent parler, expliquer leurs besoins, indiquer leurs maux. Une créature qui souffre et qui n’a aucune moyen de nous faire entendre comment et pourquoi elle souffre, n’est ce pas affreux, n’est ce pas angoissant ? »

Claude Lévi-Strauss (végétarien ?) :

« Depuis une quinzaine d’années, l’ethnologue prend davantage conscience que les problèmes posés par les préjugés raciaux reflètent à l’échelle humaine un problème beaucoup plus vaste et dont la solution est encore plus urgente : celui des rapports entre l’homme et les autres espèces vivantes ; et il ne servirait à rien de prétendre le résoudre sur le premier plan si on ne s’attaquait pas aussi à lui sur l’autre, tant il est vrai que le respect que nous souhaitons obtenir de l’homme envers ses pareils n’est qu’un cas particulier du respect qu’il devrait ressentir pour toutes les formes de la vie ».

Saint Paul :

« Il est bien de ne pas manger de viande, de ne pas boire de vin… » (Épître aux Romains, 14, 21)

Romain Rolland :

« La cruauté envers les animaux et même déjà l’indifférence envers leur souffrance est à mon avis l’un des péchés les plus lourds de l’humanité. Il est la base de la perversité humaine. Si l’homme crée tant de souffrance, quel droit a-t-il de se plaindre de ses propres souffrances ? »

Theodor Adorno :

« Auschwitz commence partout où quelqu’un regarde un abattoir et pense : ce sont seulement des animaux. »

Jeremy Bentham

« Les français ont déjà réalisé que la peau foncée n’est pas une raison pour abandonner sans recours un être humain aux caprices d’un persécuteur. Peut-être finira-t-on un jour par s’apercevoir que le nombre de jambes, la pilosité de la peau ou l’extrémité de l’os sacrum sont des raisons tout aussi insuffisantes d’abandonner une créature sensible au même sort. (…) La question n’est pas : « Peuvent-ils raisonner ? » ni « Peuvent-ils parler ? » mais « Peuvent-ils souffrir ? »’

Lamartine

« Ma mère était convaincue, et j’ai gardé à cet égard ses convictions, que tuer les animaux pour se nourrir de leur chair et de leur sang est l’une des plus déplorables et des plus honteuses infirmités de la condition humaine ; que c’est une de ces malédictions jetées sur l’homme par l’endurcissement de sa propre perversité. Elle croyait, et je crois comme elle, que ces habitudes d’endurcissement du coeur à l’égard des animaux les plus doux, ces immolations, ces appétits de sang, cette vue des chairs palpitantes, sont faits pour férociser les instincts du coeur. »

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Membre, Posté(e)
Canonas Membre 900 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

En voici un lien avec des vidéos à l'appui : http://www.l214.com/salon-agriculture

En France, plus de 80% des animaux vivent dans des élevages intensifs, confinés dans des bâtiments aveugles, contraints à la promiscuité, à la puanteur, dopés aux antibiotiques pour tenir le coup jusqu'au moment d'être tués. Ces élevages sont de plus gourmands en eau, en intrants et en énergie et génèrent de nombreuses pollutions.

Je ne comprends pas comment aujourd'hui on puisse être aussi ignorant et après on a la prétention de débattre. C'est pratique de se fermer les yeux !

Lisez, documentez vous et après seulement venez donner votre avis mais en connaissance de cause, avec au moins la décence de ne pas nier les faits. Ce qui se passe est un véritable scandale, un honte !

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Membre, Posté(e)
Fuel4Life Membre 10 926 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Mais bien sur comment pourrais-tu accepté des informations qui ne viennent pas te conforter dans l'idée que les animaux d'élevage insdustriel sont bien traités, cela remettrais en cause beaucoup de chose....; ah mais non, toi tu t'en fous des animaux d'élevage, ils ne sont là que pour te remplir la panse; Donc de toute façon, ces documents ne sont pas pour toi, car tu n'en as rien à foutre.

Ces documents sont là pour des lecteurs pour qui une vie animale compte et se respecte.

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Membre, Sur le départ , 49ans Posté(e)
Liutprande Membre 4 829 messages
49ans‚ Sur le départ ,
Posté(e)

fatalement puisqu'il faut nourrir 66 millions d'individus : le pourrait-on sans élevage intensif ? Comment peut-on contraindre les populations à devenir végétariens ou végétaliens et qui plsu est, sans industrie du vert ?

Soyons sérieux deux secondes...

J'ai lu et vu vos sources : elles ne sont pas fiables puisque même One Voice est critiquable...

Alors qu'il existe des assos qui travaillent ensemble pour faire de l'industriel avec moins de souffrance, j'ai mis le lien l'avez-vous lu ? (aucune réponse pour le moment d'ailleurs, bizarrement...)

Mais bien sur comment pourrais-tu accepté des informations qui ne viennent pas te conforter dans l'idée que les animaux d'élevage insdustriel sont bien traités, cela remettrais en cause beaucoup de chose....; ah mais non, toi tu t'en fous des animaux d'élevage, ils ne sont là que pour te remplir la panse; Donc de toute façon, ces documents ne sont pas pour toi, car tu n'en as rien à foutre.

Ces documents sont là pour des lecteurs pour qui une vie animale compte et se respecte.

cette dernière phrase est une escroquerie intellectuelle puisque je viens de dire deux pages plus haut que ce n'est pas le cas me concernant.

On peut me donner des sources scientifiques montrant que l'élevage se fait selon des normes comme dans le PDF Alsacien : l'avez-vous lu ?

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